Jean-Christophe Grangé — Polars Pourpres

[holden]

pour les amateurs de roman noir

terramer, norbert, etc et jean oublie

je vous confie trois pépites, et je vous rembourse si vous n'aimez pas


superbe pepite

Green River, le plus ancien pénitencier du Texas. 3 000 détenus s'entassent dans un labyrinthe de granit et d'acier. Dans cette architecture conçue pour stimuler les fantasmes paranoïaques de ses occupants, le docteur Klein, accusé à tort du viol de son ancienne maîtresse, est un homme respecté. Et il doit sortir de prison bientôt. C'est sans compter sur l'émeute qui se prépare, attisée par directeur même du pénitencier, et qui va mettre le feu aux énergies contraintes depuis des années. Face à l'explosion de violence qui se prépare, Klein pourra-t-il sauver sa peau - et sa dignité - sans devenir lui-même une bête sauvage ?
les deux autres sont à lire dans l'ordre sous peine de châtiments divins

2 diamants


Callie, ex-prostituée camée à la cocaïne, réussit le casse du siècle en braquant la banque de son mari: un million de dollars à partager avec Luther Grimes, un vétéran du Vietnam reconverti dans le trafic de stupéfiants. Pour doubler son complice, la belle séduit son frère, Cicero Grimes, un psy déjanté. Et le capitaine Jefferson, un flic sadique, espère bien récupérer sa part du butin...





on résume
Lenna Parillaud vit dans la haine et la souffrance depuis la perte de sa fille. Seul un abominable rituel donne un sens à son existence une visite chaque mois depuis douze ans à son mari - drogué et enfermé dans une bâtisse isolée du delta du Mississippi - auquel elle inflige toutes sortes d'humiliations. Cicero Grimes, lui, traverse une grave dépression. Reclus au milieu de ses propres détritus dans une caserne désaffectée à la Nouvelle-Orléans, il n'émerge de sa torpeur que pour prendre conscience du dégoût qu'il s'inspire à Lui-même. Lenna Parillaud et Cicero Grimes ne se sont jamais rencontrés. Jusqu'au jour où ils reçoivent chacun une lettre qui les entraîne dans un cataclysme de vengeances, de haines et de violences. --Ce texte fait référence à l'édition Broché .



un seul mot, un dernier auteur à connaître....
courrez

[holden]

Tim Willocks - The Religion
Rating:



Is ‘The Religion’ the first hard-boiled Renaissance thriller? Tim Willocks, author of the much-lauded ‘Green River Rising’, has always been influenced by the darker side of American crime fiction, and much of the architecture of the noir is here. Its flawed hero, Mattias, is a wheeler-dealer with a past that has taken him from Hungary to Sicily via Ottoman Istanbul, and from Islam to a weary cynicism about anything beyond the corporeal. In Messina, his life of carousing and shady dealing is interrupted by a beautiful noblewoman begging for help to recover her illegitimate son from Malta, where the population is preparing to repel a vast Turkish fleet bearing down on the island. With the Ottomans intent on extinguishing the last obstacle to the reconquest of Spain and a Grand Inquisitor on his trail, Mattias knows answering the lady’s call could spell his end, but is unable to resist a beautiful woman and the scent of war.


With a slow-burning pace and a knack for a cliffhanger, Willocks builds the tension terrifically amid graphic slaughter and velvet-gloved treachery. To his credit, he draws no lazy parallels with any modern suppositions of a clash of civilisations. Rather, the constant here is the power of ideas and the merciless bloodletting they can inspire, infused with a cynical, not an idealistic, condemnation of war. ‘Who cares now that Hannibal won at Cannae?’ he has his hero say. ‘A line will change on a map, or not.’


Willocks isn’t going to win over any critics of his 1995 slice of Southern Grand Guignol, ‘Bloodstained Kings’, with this joyously scatological, bloody recounting of the siege that marked the long, slow decline of the Ottoman Empire. ‘The Religion’ is an unashamedly epic, occasionally schlocky romp, and if Willocks could have done with a more ruthless editor, it nevertheless paints its broad strokes with inventiveness and intelligence.



ET de bien entendu

celui ci ne saura jamais traduit alors que toutes les critiques sont unanimes......

[fabien]

J'ai lu l'annnée dernière Les rois écarlates et j'avais pas aimé. C'est très rare chez moi mais là c'est le cas.
Le livre est censé être un roman assez rapide et haletantm ais l'auteur nous plonge à chaque page dans les remords et pensées (pas très claires...) des protagonistes. Le récit s'en trouve ralenti. A l'excès. On en est à sauter des pages pour accélérer le rythme artificiellement.
Et ce jusqu'au final, où le récit reprend de la vitesse. Mais on se demande presque pourquoi. C'est brusque. Violent et gore à l'excès sans que ça serve vraiment l'intrigue.

Très déçu!
Si quelqu'un l'a lu et pouvait m'expliquer ce que sont exactement les rois écarlates. Parce que là j'ai pas tout compris!
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L'enfer existe, et je sais maintenant que son horreur repose en ceci qu'il n'est fait que de lambeaux de paradis
Alec Covin

[terramater]

[holden]

[holden]

[terramater]

[El Marco]

Ajout à la base de la fiche auteur de Tim Willocks et de ses trois romans :




Tim Willocks est psychiatre, scénariste, producteur et écrivain. Souvent comparé à James Ellroy ou Norman Mailer, il est l'auteur de plusieurs polars d'une intensité et d'un réalisme rares.

[claire_redfield]

J'ai lu L'odeur de la Haine, d'une violence et d'une brutalité extraordinaires, mais très bien écrit et d'un humanisme terrifiant (en gros, une sorte de reflexion sur la perte d'humanité dans le milieu carceral et le sort de ceux qui malgrès tout gardent encore une part d'etre humain en eux)
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So I turn'd to the Garden of Love
That so many sweet flowers bore
And I saw it was filled with graves
(W.Blake)

[norbert]

Cet auteur me tente de plus en plus, vous m' avez convaincu!...

[holden]

de la bombe baby
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lisez ce vous voulez . . .

http://unwalkers.com

[norbert]

Entre parenthèse, cette nouvelle collection de romans noirs chez Points est de grande qualité avec des auteurs comme Tim Willocks, Charles Higson, Thierry Jonquet, Pete Dexter et bientôt Ken Bruen (en mai pour Hackman Blues). Chapeau bas!

[holden]

oui mais si il pouvait traduire religion de tim willocks
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lisez ce vous voulez . . .

http://unwalkers.com

[norbert]

[holden]