Jean-Christophe Grangé — Polars Pourpres

[Fredo]

C'est toujours le revers de la médaille quand on arrive sur un roman après une chronique enthousiaste. Pas ce que forcément, on va lire ensuite le livre avec une attente que l'on aurait pas eu si on lisait le livre en se contentant de la quatre de couv.
Je m'efforce de faire très attention avec ça dans mes chroniques, c'est toujours difficile de jongler entre le fait de ne pas donner d'indices sur l'intrigue tout en louant le travail de construction et de progression.
Clémence, tu uses du bon mot : quoiqu'il arrive, qu'importe les efforts que l'on va faire, quand on fait une chronique pour encourager les gens à lire un livre, on pervertie le lecteur.
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[clémence]

Ceci étant dit, l'énorme mérite de vos chroniques, aussi pervertissantes ont-elles pu être, a été de m'orienter vers la lecture de ce formidable et époustouflant roman. Merci la team, et particulièrement Nico et Frédo.
Final majestueux.

[Ironheart]

Livre qui démarre très rapidement et qui happe immédiatement le lecteur.
J'espère simplement qu'il ne va pas être trop "politique" car ce n'est pas du tout mon truc.
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“Si vous possédez une bibliothèque et un jardin, vous avez tout ce qu'il vous faut".
Cicéron.

[Fredo]

Non, je ne pense pas que l'on puisse parler de "politique" concernant ces Larmes...
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[Ironheart]

Pourtant, là, j'y suis en plein dedans. Les deux chapitres que j'ai lus hier soir ont calmé mon enthousiasme. J'ai complètement décroché quand il a été longuement question de mafia et de conflits en Irlande du Nord.
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Cicéron.

[Fredo]

Mais je ne place pas la politique et la guerre dans le même panier. De mon côté, je ne considère pas les Fantômes du Delta ou Vendetta comme des livres politiques. En ce qui concerne les Larmes, ça ne m'a pas gêné plus que ça. Le conflit en Irlande du Nord représente une part importante dans le passé de l'un des personnages. Ça reste un élément de l'histoire, il ne me semble pas que ça représente un axe majeur de l'histoire. Pas de quoi coller la mention "politique" sur la couverture... Je suis curieux de connaitre l'avis des autres lecteurs, c'est un sujet intéressant.
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[Emil]

Ironheart, je ne sais pas où tu en es dans le bouquin, mais j'ai eu un peu le même sentiment que toi en "début" de lecture, un peu trop "politique" pour moi donc un peu de mal à rentrer dans l'histoire.
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La seule chose que l'on puisse décider est quoi faire du temps qui nous est imparti - JRR Tolkien

[Le Juge Wargrave]

[norbert]

[Ironheart]

Ah Emil', tu me rassures ! Je ne suis pas très avancée dans ma lecture, j'attends de voir la suite.

Norbert et le Juge semblent apprécier les romans guerrillo-mafioso-politiques, tout ce que je déteste...Faut croire que c'est un truc de mec ça ! o)

Fredo, la guerre à la base, si ce n'est pas religieux, c'est politique, non ?

[Fredo]

[Ironheart]

Allons-y pour géopolitique, Fredo. Tu as raison, c'est plus approprié et moins restrictif. Mais de toute façon, ça ne change rien à mon ressenti. En général, cela ne me passionne pas franchement.
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Cicéron.

[Nico]

Ironheart, si je peux te donner un conseil, c'est d'essayer de persévérer un peu. Je pense que cette dimension est surtout présente en début de roman (avec effectivement ce contexte Irlande du Nord / mafia) mais s'estompe par la suite.
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Nico - Webmaster de Rivières Pourpres et Polars Pourpres

[Fab]

oui ce n'est vraiment présent qu'au début
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À chaque décision que nous prenons, nous créons un nouvel avenir. Et, ce faisant, nous détruisons tous ceux que nous aurions pu avoir à la place.
Lou Berney November Road

[Fredo]

Oui, il sème des graines au début mais c'est vraiment le dilemme humain qui est intéressant par la suite.
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