Jean-Christophe Grangé — Polars Pourpres

[Fredo]

Bon, tant pis pour le père noel, je viens de me le commander !
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[clo]

je viens de trouver les morsures de l'ombre à 6 € chez Gibert Joseph ce soir d'occaz mais j'ai pas vue la différence avec les neufs

[Fredo]

Je viens de recevoir mon exemplaire !!!
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[Lucie]

Excellent ! Se lit à une vitesse...Beaucoup de tension jusqu'au final...
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On veut haïr et on veut aimer, mais on aime encore quand on hait, et on hait encore quand on aime !

[zonelivre]

Je me suis laissée prendre au jeu (j'ai lu ce roman en quelques heures) car, même si ce thème a déjà été traité, Karine GIEBEL tient son lecteur en haleine jusque dans ses dernières lignes.
Il y a une véritable énergie et une tension palpable tout au long du roman.
A découvrir !

[fabien]

Laissez-moi vous parler de Lydia. C'est une jeune femme très bien. une jolie rousse au physique élancé. le genre de femme qui fait retourner les hommes sur son chemin, et fait ressentir aux femmes de la jalousie. Ses yeux vous pralent d'eux-même. Le genre de feme très agréable à vivre. Surtout quand vous habitez dans sa cave!
Et là, le commandant Benoît Lorand peut vous en parler. Il est senfermé dans une cage qui a été installée dan cette cave. Imaginez la scène: vous vous réveillez groggy dans un lieuq ue vous ne reconnaissez pas. Les paupières lourdes, le monde qui vous entoure prend petit à petit consistance. Les murs... Puis els barreaux... Et là, cette jeune femme rousse que vous avez aidé sur le bord de la route descend d el'ecalier et vous explique que cette cage sera votre dernière demeure... Bienvenue dans le monde de Benoît!

Le sujet de la vengeance traité à travers un huis-clos de souffrance est pas neuf en soi. On peut citer Misery de Stephen King parmi les meilleures réussites. Le challenge était alors pas gagné d'avance. L'exercice de style qu'est d'écrire un huis-clos possède de nombreux écuels possible: la répétition, la surenchère inutilement glauque ou encore la fin expédiée. Hé ben, je peux vous dire avec plaisir que Karin,e Giebel les évite tous uns par uns. Et comment? Tout simplement, si je puis dire , en nous offrant un panel de personnages sonsitants et très bien construits. Chacun des personnages amène de l'épaiseur à l'histoire et du mystère.
En effet, la situation de départ ets simpel: Une jeune femme se venge en enfermant et torturant un homme. Mais de nombreuses questions sont soulevées à travers les chapitres. Qui ets cette femme? De quoi se venge-t-elle? Se venge-t-elle sur la bonne personné? Et si une tropisième personne était derrière tout ça? Benoît va-t-il s'en sortir?.... Les questions s'enchaînent les 150 première page. Sur les 100 dernières pages, les réponses sont distillées tout doucement. Enfin presque toutes...

Karine Giebel m'a littéralement scotché à son roman. Dès les premières lignes, vous êtes happées par la situation. Et le flux d'adrénaline ne cesse à aucun moment. Avec les derniers mots, on s'en prend plein la tête. Un roman noir, des personnages tout aussi importants et travaillés et un style fluide qui entraîne la lecture. J'avais beaucoup aimé Termiunus Elicius par son originalité, j'ai adoré Les morsures de l'ombre par son intensité.

Karine Giebel, une auteure à suivre de très très près!
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L'enfer existe, et je sais maintenant que son horreur repose en ceci qu'il n'est fait que de lambeaux de paradis
Alec Covin

[montse]

Vraiment très prenant du début à la fin, un suspens hallucinant, beaucoup de tension et une fin à la hauteur de tout le reste !
Stfoch, tu as vraiment bien fait d'insister pour nous faire découvrir Karine Giebel !

[Lucie]

Oui merci encore, il est vraiment excellent ce bouquin !!!!!
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On veut haïr et on veut aimer, mais on aime encore quand on hait, et on hait encore quand on aime !

[Sybil]

Acheté, commencé et fini hier car une fois dedans, impossible de lâcher le livre, d'autant qu'il est relativement court.
J'ai beaucoup aimé, bien que Benoît m'ait été plutôt antipathique (limite si je n'étais pas mécontente de ce qui lui arrivait...
La structure narrative m'a rappelé certains films comme Sleepy Hollow ou le Pacte des loups :

Spoiler:

On s'intéresse d'abord au "monstre" que ce soit un cavalier sans tête, la bête du Gévaudan ou une rousse complètement folle, avant de réaliser que ce qui importe réellement, c'est qui contrôle ce monstre... D'ailleurs sur ça j'ai eu une réelle surprise, j'ai soupçonné tout le monde sauf la psy, il faut dire que les fausses pistes sont plutôt bien amenées...

Au final, mon seul regret sera de l'avoir lu trop près du livre de Patrick Senecal, "les Sept jours du Talion", car le sujet abordé reste malgré tout relativement semblable.
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N'est pas mort ce qui à jamais dort.

[Vanessa]

Quasi huis-clos admirablement réussit, on y entre pour ne plus en ressortir, même lorsqu'il est entrecoupé d'un passage sur l'enquête pour retrouver Benoît on retourne immédiatement dedans.
Les personnages nous apportent des sentiments différents, envie d'aider Benoît, qu'il tienne le coup jusqu'au bout, mais en même temps au début le doute s'infiltre quand même... Beaucoup d'agacement, d'exaspération avec Lydia qui décidement ne veut rien entendre.
Je crois que c'est un livre qui se lit très vite, on ne peut pas abandonner Benoît à son sort...
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Vanessa

http://www.lectuerie.net

[Hoel]

Lu il y a déjà un moment je viens de publier un article sur Les morsures de l'ombre sur mon blog.
Avant de poster mon message j'ai relu tout le sujet et j'ai l'impression que mon avis est très proche de celui de Fabien.

S’il y a du talent chez Karine Giebel et que Les morsures de l’ombre est un bon roman, ce n’est pas de par son scénario.

En effet, il s’agit du grand classique prisonnier/geôlier ou encore victime/agresseur qui est ici revisité. Toute la force de ce livre réside d’ailleurs dans le rapport entre ces deux personnages que tout semble opposer. Les quelques autres personnages apparaissant dans le roman ne jouent finalement qu’un bien maigre rôle.
Cet affrontement de tous les instants entre deux fortes personnalités et très réussi. Comme on pourrait s’en douter de part la situation, il y a beaucoup de dialogues, bien écrits généralement.

Une très forte tension se dégage de ce roman et j’ai tourné les pages à une vitesse folle. Parti avec un a priori plutôt négatif du fait de la maigreur du scénario, j’ai été finalement content de cette lecture. J’ai particulièrement aimé le dénouement mais je ne peux pas en dire plus sans vous ruiner la lecture.

Spoiler:

En fait je croisais les doigts sans trop y croire pour que ça ne finisse pas en décevant happy end. Je crois que c'était mal connaître l'auteur de ma part.

Karine Giebel réussit donc parfaitement son examen à l’épreuve d’écriture du huis-clos avec deux personnages. Comme quoi, pas besoin d’aller chercher des scénarios ultra-complexes pour faire du bon polar.
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Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire... J'ai la certitude d'être encore heureux.
Jules Renard (1864-1910)

http://hanniballelecteur.wordpress.com/

[Fredo]

Je vais enfin le commencer !
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Frédéric Fontès, News & Chroniques sur www.4decouv.com et C'est Culturellement Dingue sur TikTok

[Inka]

Bonne lecture Fredo !

[la braque]

C'est une histoire qui se dévore !!!

[norbert]

Il sort quand en poche?!