Posté le: Lun Mar 16, 2020 4:35 pm Sujet du message: La Chaîne - Adrian McKinty (Mazarine)
En attendant la publication de la suite de la série Sean Duffy par Actes Sud, Adrian McKinty fait son grand retour avec La Chaîne, qui vient de paraître chez Mazarine, traduit par Pierre Reignier.
Le livre :
VICTIMES. SURVIVANTS. RAVISSEURS. CRIMINELS.
VOUS SEREZ TOUT CELA À LA FOIS.
Le téléphone sonne. Un inconnu a kidnappé votre enfant.
Pour qu’il soit libéré, vous devez enlever l’enfant de quelqu’un d’autre.
Votre enfant sera relâché quand les parents de votre victime auront à leur tour enlevé un enfant.
Si un chaînon manque : votre enfant sera tué.
VOUS FAITES DÉSORMAIS PARTIE DE LA CHAINE.
VOUS N’ÊTES PAS LES PREMIERS.
VOUS NE SEREZ CERTAINEMENT PAS LES DERNIERS.
#nebrisezpaslachaine #dontbreakthechain
« Jamais vous n'avez lu un livre comme La Chaîne, et jamais vous ne pourrez l'oublier. Il est brillant. Il est magnifiquement écrit. C'est un chef-d'oeuvre de tension dramatique. La Chaîne appartient à l'élite des thrillers de très grande classe, tels que Les Apparences ou Le Silence des agneaux. C’est rien de moins que Les Dents de la mer pour les parents. »
DON WINSLOW
« Une mère aimante poussée à ses limites... Un livre captivant et diabolique qui donne des frissons, que vous allez savourer. »
People
« Une histoire profondément dérangeante qui remet en cause les limites de la morale, soulevant des questions sur la nature du bien, du mal et interrogeant la puissance de l'amour parental. »
New-York Times
« Cette histoire cauchemardesque est incroyablement originale et dynamique. Elle vous obsèdera longtemps. »
STEPHEN KING
Adrian McKinty, critique littéraire et auteur récompensé deux fois par le prix Edgar-Allan-Poe, est l’une des étoiles montantes du polar. Il s’est vu décerner deux fois le prix Ned Kelly et il a également reçu le prix Barry, le prix Audie et le prix Anthony. Les romans de sa série Sean Duffy ont été nommés Meilleur polar de l’année par le Times, le Daily Mail, le Boston Globe et le Irish Times.
Adrian McKinty est né et a grandi à Belfast en Irlande du Nord. Après avoir étudié la philosophie à l’université d’Oxford, il est parti aux États-Unis pour enseigner l’anglais en lycée. Il vit actuellement à New York.
_________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy
Posté le: Lun Mar 16, 2020 7:10 pm Sujet du message:
Je me le suis acheté la semaine dernière, ça me fait penser un peu à , j’espère qu’il sera aussi bon ! _________________ La seule chose que l'on puisse décider est quoi faire du temps qui nous est imparti - JRR Tolkien
Posté le: Mar Mar 17, 2020 2:30 pm Sujet du message:
Du coup tu l'as commencé, Emil ? _________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy
Adrian McKinty est une vieille connaissance, et mérite qu'on raconte un peu son histoire. Sa formidable série Sean Duffy, qui met en scène un flic catholique en Irlande du nord, a remporté de nombreux prix, lui a valu une presse dithyrambique, mais ne lui a pas rapporté un kopek... En France, les derniers volumes de la série n'ont même pas été traduits - on espère que cette injustice sera réparée d'ici peu.
En bref, Adrian McKinty, fauché comme les blés, réduit à devenir chauffeur Uber et barman, avait carrément perdu sa maison... Dans une interview accordée au Guardian, il confie : « Quand nous avons été expulsés de la maison, j'étais là, devant chez moi avec les enfants, toutes leurs petites affaires étaient sur le trottoir et je me disais : "Adrian, qu'as-tu fait de ta vie ?" »
Un soir, il reçoit un coup de fil de l'agent littéraire Shane Salerno, qui travaille en particulier pour Don Winslow. Ce dernier lui avait dit que McKinty était au bout du rouleau et qu'il envisageait d'arrêter l'écriture. L'agent demande à McKinty s'il aurait, par hasard, un manuscrit dont l'histoire se déroulerait aux Etats-Unis. Coup de chance, McKinty avait dans ses tiroirs un vieux projet dont il raconte l'intrigue à l'agent : une histoire de chaîne, d'échanges de kidnappings. Salerno lui demande d'écrire cette histoire et lui envoie 10 000 $. McKinty lui envoie les 30 premières pages et là... Salerno lui interdit d'arrêter d'écrire et le somme de terminer ce projet. Résultat : un contrat d'édition à 6 chiffres, et, juste avant la sortie du livre, un deal à 7 chiffres avec Paramount.
The Chain est donc sorti en anglais en 2019 et connaît immédiatement un succès international, aussi bien aux Etats-Unis qu'au Royaume-Uni. La Chaîne vient de sortir en France, et on ne risque pas grand-chose en lui prédisant une belle réussite.
Pourquoi ? Parce que ce roman est entièrement fondé sur l'identification du lecteur, et parce que le cœur du sujet est imparable et universel : lorsqu'il s'agit de son propre enfant, on ne connaît plus de limites, plus de frontières morales. On est, littéralement, prêt à tout. Et c'est absolument terrifiant.
Dès les premières pages, on entre dans le vif du sujet. Nous sommes dans le Massachusetts, non loin de New York, sur Plum Island. A huit heures du matin, la jeune Kylie, 12 ans, se prépare à prendre le bus pour le collège lorsqu'elle est abordée par un couple en voiture qui la fait monter de force, sous la menace d'une arme. Bizarrement, ces deux-là n'ont pas l'air de malfrats : l'homme en particulier, qui parle à Kylie et essaie de la rassurer. La femme, elle, est plus farouche... A tel point que lorsque le couple est arrêté pour excès de vitesse, elle n'hésite pas à dégainer son arme et à abattre le flic. A ce moment précis, on comprend qu'on a basculé de l'autre côté. Kylie est emmenée dans une maison, cloîtrée au sous-sol.
Pendant ce temps, Rachel, la mère de Kylie, roule dans sa vieille Volvo. Elle se rend chez son médecin oncologue, qui l'a priée de venir plus tôt que prévu : une analyse sanguine préoccupante, apparemment. Rachel a eu un cancer du sein, et l'avenir est incertain... Elle vit seule avec sa fille depuis son divorce, son état physique s'est un peu amélioré - ces derniers mois, elle a retiré tous les miroirs de sa maison pour ne pas voir son visage décharné, son teint gris, les cernes sous ses yeux, sa chevelure en débandade. Elle a trouvé un nouveau poste d'enseignante de philosophie : c'est une nouvelle vie qui s'offre à elle, si le cancer le lui permet... Son téléphone portable sonne, numéro inconnu. Elle répond, et bascule de l'autre côté, elle aussi. Kylie a été enlevée, et la voix au téléphone l'informe qu'elle fait maintenant partie de la Chaîne. Si elle veut revoir sa fille vivante, elle devra verser 25 000 $ en bitcoins sur un compte anonyme, et surtout, surtout, enlever un autre enfant. La femme qui lui parle lui explique que son fils, lui aussi, a été enlevé, et qu'il ne sera libéré qu'une fois que Rachel aura rempli son contrat. Bien sûr, si Rachel prévient la police, Kylie sera exécutée...
Rachel est seule, tellement seule. Elle essaie bien de joindre son ex-mari Marty, mais comprend vite que ce n'est pas une bonne idée... La Chaîne se charge d'ailleurs de le lui confirmer. Affaiblie par la maladie, elle reste une battante : on ne l'a pas choisie par hasard. La Chaîne sait qui elle est, à quel point elle est vulnérable, mais aussi la force incroyable qu'elle est capable de déployer pour sa fille. En quelques jours, Rachel va accomplir des actes dont elle ne se serait jamais cru capable : trouver 25000 $ alors qu'elle est fauchée comme les blés, acheter plusieurs téléphones portables intraçables, une arme, se rendre sur le Dark Net pour verser la rançon. Reste le plus difficile : enlever un enfant...
On n'en dira pas plus sur la suite des événements. D'autant que le coeur du sujet réside dans la psychologie des personnages, de Rachel en particulier. Adrian McKinty s'est d'ailleurs inspiré de sa propre vie pour inventer celle de Rachel - enseignante, puis chauffeur Uber pour survivre, ça nous dit quelque chose...
Cette femme blessée, seule, usée, va commencer par culpabiliser, et même par se dire qu'elle aurait mieux fait de mourir de son cancer, que si Kylie avait vécu avec Marty, ce ne serait pas arrivé. Avant de comprendre que sans elle, Kylie est fichue. De foncer tête baissée dans le projet le plus inimaginable qui soit et de déployer des trésors de ruse et de courage pour parvenir à ses fins.
D'un bout à l'autre, le phénomène d'identification du lecteur au personnage fonctionne à plein, qu'on soit parent ou non. A tout moment, on se demande ce qu'on aurait fait dans une situation pareille. A tout moment, on se remet en question...
L'issue de l'histoire est aussi hallucinante que son début, et McKinty fait encore une fois la preuve de son incroyable sens du rythme, de sa finesse dans le traitement des personnages. Il démontre aussi qu'un auteur de son calibre peut passer du polar au thriller sans rien perdre de ses qualités de romancier. Avec La Chaîne, Adrian McKinty renaît là où on ne l'attendait pas, tant mieux pour lui et pour nous.
D'autant que si on en croit son fil Twitter, il se serait remis à travailler sur un nouveau Sean Duffy...
_________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy
Posté le: Jeu Mar 19, 2020 3:23 pm Sujet du message:
norbert a écrit:
Du coup tu l'as commencé, Emil ?
Pas encore, à l’heure où l’on nous rabâche de profiter du temps pour lire, j’ai bien du mal à me faire à ces changements de vie, je ne suis pas au top niveau organisation et comme je suis complètement bouleversée par ce que nous traversons, mon niveau de concentration est au plus bas ! _________________ La seule chose que l'on puisse décider est quoi faire du temps qui nous est imparti - JRR Tolkien
Posté le: Jeu Mar 19, 2020 3:33 pm Sujet du message:
Emil a écrit:
norbert a écrit:
Du coup tu l'as commencé, Emil ?
Pas encore, à l’heure où l’on nous rabâche de profiter du temps pour lire, j’ai bien du mal à me faire à ces changements de vie, je ne suis pas au top niveau organisation et comme je suis complètement bouleversée par ce que nous traversons, mon niveau de concentration est au plus bas !
En fait c'est exactement pareil pour moi. Ca faisait plusieurs jours que j'avais terminé mon dernier bouquin et jusqu'à ce matin je n'avais quasiment plus envie ni de lire ni de regarder des films ou des séries.
Finalement, je me suis un peu forcé, j'ai fini par commencer MotherCloud de Rob Hart et, depuis, je suis à fond dedans, impossible de le lâcher, je suis totalement plongé dans son univers glaçant ! Ca fait un petit moment que ça ne m'était pas arrivé et ça fait du bien ! _________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy
Posté le: Jeu Mar 19, 2020 10:20 pm Sujet du message:
norbert a écrit:
Emil a écrit:
norbert a écrit:
Du coup tu l'as commencé, Emil ?
Pas encore, à l’heure où l’on nous rabâche de profiter du temps pour lire, j’ai bien du mal à me faire à ces changements de vie, je ne suis pas au top niveau organisation et comme je suis complètement bouleversée par ce que nous traversons, mon niveau de concentration est au plus bas !
En fait c'est exactement pareil pour moi. Ca faisait plusieurs jours que j'avais terminé mon dernier bouquin et jusqu'à ce matin je n'avais quasiment plus envie ni de lire ni de regarder des films ou des séries.
Pareil que vous, entre les enfants, le télétravail (j'ai les yeux explosés !), les rares moments de calme ben... j'arrive pas à me concentrer sur mon livre du moment.
Je finis péniblement Le Sixième homme de Monica Kristensen, j'espère que je vais pouvoir enchaîner avec un roman qui accroche et enfin retrouver le goût de la lecture. _________________ La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003).
C’est peu dire que l’on attendait depuis longtemps le retour d’Adrian McKinty, porté disparu en France depuis la publication en 2013 de Dans la rue j’entends les sirènes, deuxième volet d’une série mettant en scène Sean Duffy policier catholique de la très protestante police d’Irlande du Nord, la RUC, au début des années 1980. Entre temps, McKinty a ajouté trois volumes à cette série, reçu un très bon accueil critique mais n’a pas vendu beaucoup de livres. Au point de finalement envisager d’abandonner l’écriture.
Devenu chauffeur Uber, il a néanmoins finalement eu droit à sa part de rêve américain lorsque son agent lui a demandé de transformer une de ses nouvelles qui trainait dans un tiroir en un roman et que celui-ci, bénéficiant par ailleurs d’une amicale promotion de la part de Don Winslow, est devenu un best-seller et a été acheté – cher – par le cinéma. Ce roman, donc, c’est La Chaîne.
Rachel se remet tout juste d’un cancer du sein et commence à envisager un peu plus sereinement l’avenir après avoir trouvé un poste de professeur de philosophie. Mais, alors qu’elle se rend chez son médecin après des analyses qui font craindre une récidive de la maladie, elle reçoit un coup de téléphone. Un couple vient d’enlever sa fille de treize ans, Kylie. Si elle veut la revoir, elle devra verser une rançon et, à son tour, enlever un enfant. Elle vient d’intégrer la Chaîne, mystérieuse organisation qui paraît omnisciente au fonctionnement extrêmement simple : la famille victime doit elle-même devenir criminelle pour sauver son enfant, créant une longue chaîne gouvernée par la terreur. Car si un seul chaînon échoue, l’enfant est éliminé.
Ce que propose donc Adrian McKinty avec La Chaîne, c’est un pur thriller qui se fonde sur un point de départ d’une rare simplicité : il suffisait d’y penser, en fin de compte, et il se trouve que c’est lui qui a eu cette bonne idée. On aurait pu plus mal tomber.
Car si ce roman ne révolutionne pas foncièrement le genre, il bénéficie du savoir-faire d’Adrian McKinty, un auteur qui sait maintenir le suspense et qui, par ailleurs, sait écrire (quand bien même il se laisse parfois aller ici à des petites tirades un peu emphatiques).
Bref, on se laisse facilement prendre au jeu pervers de La Chaîne, et c’est avec un plaisir non feint que l’on suit, dans une première partie, d’un côté les péripéties qui mènent Rachel à devenir elle-même une criminelle pour sauver sa fille, et de l’autre les efforts de Kylie pour tenter d’échapper à ses ravisseurs. La deuxième partie du roman, elle, sera consacrée au désir de revanche de Rachel, à sa volonté de détruire la Chaîne. Elle se révèle tout aussi bien construite, même si le dénouement est quelque peu attendu.
Adrian McKinty, donc, nous offre là un thriller très calibré, fort bien fait et d’une assez redoutable efficacité. Un plaisir à ne pas bouder.
_________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy
Posté le: Mar Avr 07, 2020 6:31 pm Sujet du message:
Pas de tension dramatique ni de frissons pour moi Plus haut je disais que cette histoire me rappelait « le fil rouge » mais après l’avoir lu je n’ai pas du tout le même ressenti, celui de P. Barbato m’a marqué, il était beaucoup plus percutant.
Citation:
Je suis attristée de mettre un 5 à un livre d’Adrian McKinty mais c’est une note à la hauteur de ma déception. Loin de l’Irlande, et de Duffy, l’auteur exporte son histoire aux USA, ici pas d’enquêteurs surtout pas ! Tout se passe à guichet fermé, les enfants kidnappés, les parents ravisseurs, les monstres à l’origine de « La chaîne ». L’histoire est bien pensée (c’était à l’origine une nouvelle), l’écriture est agréable mais je suis passée à travers les mailles de la chaîne ! Je n’ai pas eu spécialement d’empathie pour les personnages, ça manquait de suspense pour me tenir en haleine ... Si J’ai bien aimé les références à l’univers Lovecraftien, le concept de cette chaîne d’enlèvements, la tournure que prend le roman m’a laissée, elle, indifférente.
_________________ La seule chose que l'on puisse décider est quoi faire du temps qui nous est imparti - JRR Tolkien
Posté le: Mar Avr 07, 2020 7:27 pm Sujet du message:
Arf, McKinty a sans doute écrit, sous les conseils de Winslow et de son agent, un thriller un peu trop mécanique pour avoir du succès - et ça a fonctionné -, c'est pour ça que j'attends plutôt impatiemment la suite de sa série Sean Duffy qu'Actes Sud publiera.
Par contre, en ce qui concerne le kidnapping d'enfants, mais avec un traitement de ce sujet jusque là inédit à ma connaissance, je ne peux que vivement conseiller un thriller psychologique/roman noir à suspense que j'ai lu d'une traite dans la nuit de vendredi à samedi, c'est l'excellent Bad Man de Dathan Auerbach :
Je comprends que ça peut ne pas plaire à ceux qui s'attendent à un thriller speed et plein de rebondissements, ici bien sûr qu'il y en a quelques uns, mais c'est l'immersion et l'ambiance qui sont privilégiées, avec notamment des personnages superbement campés, très attachants et pourtant tous ambigus, et son atmosphère anxiogène et paranoïaque, qui rappellent un peu certaines ambiances à la Stephen King (le fantastique en moins), jusqu'à un final totalement inattendu, percutant et dérangeant, qui font de ce bouquin un roman unique et bluffant.
Bref, une vraie petite claque pour les amateurs de romans noirs à suspense !
PS : Je te le recommande tout particulièrement Emil, ainsi qu'à Ironheart. _________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy
Age: 36 Inscrit le: 06 Oct 2005 Messages: 11458 Localisation: Au bout du monde
Posté le: Mar Avr 07, 2020 8:58 pm Sujet du message:
Va lui mettre une bonne note Norbert, au lieu de parler en bien d'un roman dont la note est jaune. _________________ Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire... J'ai la certitude d'être encore heureux.
Jules Renard (1864-1910)
Posté le: Mer Avr 08, 2020 11:25 am Sujet du message:
Hoel a écrit:
Va lui mettre une bonne note Norbert, au lieu de parler en bien d'un roman dont la note est jaune.
Je t'embauche comme ghost writer de commentaires PP si tu veux, Hoel ! _________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy
Posté le: Mer Avr 08, 2020 1:19 pm Sujet du message:
Norbert, en vrai tu n'as pas grand chose à faire... tu reprends ton message plus haut et tu y ajoutes une note. _________________ La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003).
Posté le: Mer Avr 08, 2020 7:40 pm Sujet du message:
Le Juge Wargrave a écrit:
Norbert, en vrai tu n'as pas grand chose à faire... tu reprends ton message plus haut et tu y ajoutes une note.
Oui, je pense que c'est ce que je vais finir par faire, en compilant avec ce que j'ai aussi écrit sur le topic consacré au bouquin. _________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy
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