Jean-Christophe Grangé — Polars Pourpres

[norbert]

Après l'époustouflant (eh oui) :




Impossible de passer à autre chose tellement j'étais tenu en haleine par la trilogie de Greg Iles, donc j'ai enchainé direct avec :


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« Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy

[Ironheart]

Après le très intéressant, choquant, mais aussi émouvant (j'ai eu un pincement au coeur à la fin) :



Je suis dans :


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“Si vous possédez une bibliothèque et un jardin, vous avez tout ce qu'il vous faut".
Cicéron.

[El Marco]

J'ai fini

[Polarbear]

[norbert]

Après avoir (malheureusement ) fini :




Je vais commencer :


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« Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy

[Emil]

[norbert]

[grolandrouge]

J'ai commencé et
à suivre:
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"Le cadavre est à terre et l'idée est debout."
Victor Hugo

[Polarbear]

J'ai terminé le bouleversant

puis dévoré cette BD
puis le très bon

je change d'atmosphère avec un Western

Inspiré par El Marco, j'essaie le manga et en lecture du soir avec ma fille
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"Ce qui compte dans le polar, ce n'est pas le crime, mais le monde dans lequel il se produit." Richard Price

[Ironheart]

Après le gros page turner :



Roman efficace mais je déplore une fois de plus la méconnaissance du système scolaire français. Ce n'est pas la première fois que je lis un bouquin mettant en scène des écoles primaires avec de grossières erreurs de fonctionnement.

Non, le directeur ne passe pas son temps à se balader dans les couloirs et à surveiller les enseignants pour la bonne raison qu'il a lui même une classe à gérer et qu'il court partout pour réaliser les tâches administratives et autres joyeusetés qui lui incombent.
Il n'y a qu'à Paris intra-muros que le directeur est déchargé totalement ou dans les grosses écoles à 12 classes.

Et non, le directeur ne choisit pas les enseignants qui composent l'équipe éducative !! Et heureusement (mais on risque d'y venir un jour...)

Et enfin, il n'y a pas de surveillant dans les écoles. On manque déjà de remplaçants, d'Atsem, d'AVS ou autres alors les surveillants, on oublie, ce serait un luxe absolument impensable.

Voilà, c'était mon petit coup de gueule mais ça me hérisse le poil à chaque fois ! Des auteurs sont capables de recherches de fou sur d'autres pays ou d'autres temps mais sur une école, lieu somme toute moins exotique et plus proche d'eux, y'a encore des progrès à faire.

Désolée pour le HS mais en cette période politique un peu perturbée, je suis chatouilleuse sur le sujet !

Sinon, je me suis régalée avec :



(qui m'a fait découvrir le bien joli poème éponyme de Paul Eluard au passage)

Et je suis dans :


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“Si vous possédez une bibliothèque et un jardin, vous avez tout ce qu'il vous faut".
Cicéron.

[Le Juge Wargrave]

Après l'exécrable



J'ai commencé



et toujours dans l'écoute de


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La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003).

[grolandrouge]

Après et , j'ai commencé et une relecture
à suivre: et
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"Le cadavre est à terre et l'idée est debout."
Victor Hugo

[Polarbear]

Après l'éprouvant

puis une incursion dans l'univers des Mangas
et
et une BD de qualité
Je me lance avec avidité dans et en BD
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"Ce qui compte dans le polar, ce n'est pas le crime, mais le monde dans lequel il se produit." Richard Price

[norbert]

Après le très bon :




J'ai retrouvé au fond d'un carton le dernier volet d'une fascinante trilogie de thrillers "aux frontières du réel" (commencée avec Tropique de la nuit et Les Rivages de la nuit) que j'avais adorée - lue il y a une bonne douzaine d'années - et qui m'avait collé de sacrés frissons, mais dont je n'avais finalement jamais lu le dernier opus.
Je salive donc d'avance en commençant :





Les 2 premiers volets de cette trilogie Jimmy Paz :



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« Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy

[chouchou]