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Une semaine en enfer - Matthew F. Jones (Denoël)

 
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norbert
Serial killer : Hannibal Lecter


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Le Serment des Limbes

MessagePosté le: Dim Fév 24, 2013 11:52 pm    Sujet du message: Une semaine en enfer - Matthew F. Jones (Denoël) Répondre en citant

Publié en même temps que Des noeuds d'acier de Sandrine Collette pour inaugurer la relance de la collection Sueurs Froides de Denoël, Une semaine en enfer de l'américain Matthew F. Jones est traduit par Pascale Haas.



Citation:
Comment, en sept jours, un pauvre type tisse les fils de son malheur et se retrouve totalement piégé...

Abandonné par sa femme et leur jeune fils, John Moon vit dans une misérable caravane en lisière de la forêt, désabusé et aigri : son père, ruiné, a vendu la ferme, et depuis John survit de petit boulot en petit boulot.
Un jour, il part braconner et, croyant tirer sur un daim qui s'enfuit à travers les bois, il abat une jeune fille. C'est sa première faute, les autres suivront...
Pourtant, cette fois-ci, John ne se laissera pas faire. Il se lance dans une fuite en avant désespérée, bien décidé à prouver à tous qu'il peut s'en sortir.
Mais depuis quand les losers auraient-ils une seconde chance ?


Citation:
Matthew F. Jones vit à Charlottesville en Virginie. Il a écrit de nombreux romans noirs, ainsi que des scénarios de films.
Une semaine en enfer est en cours d'adaptation au cinéma.



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norbert
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MessagePosté le: Dim Fév 24, 2013 11:57 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je viens juste de le commencer après avoir terminé l'impressionnant Bangkok 8 de John Burdett, et, en tout cas pour l'instant, c'est du tout bon pour les amateurs de romans noirs.
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Le Serment des Limbes

MessagePosté le: Dim Mar 24, 2013 3:21 am    Sujet du message: Répondre en citant

Bon allez, je vous mets ici ce que j'en ai pensé, mais je préfère vous avertir dès maintenant : c'est un tout petit peu long je trouve. Mais pas de spoiler, donc ça va, pour ceux qui s'apprêtaient à le lire.



Mon avis :

Citation:
Une tragédie noire d'encre, belle à en pleurer.


Il fallait pourtant s'y attendre de la part de Béatrice Duval. Celle par qui, décidément, le succès et les grands auteurs de demain, français ou étrangers, arrivent. Après, et pour ne citer qu'eux, le suédois Jonas Jonasson et Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire, ou encore l'anglaise Elizabeth Haynes avec Écumes de sang et surtout son best-seller Comme ton ombre, l'une des premières idées qu'elle semble avoir eue, une fois directrice des prestigieuses éditions Denoël, fut immédiatement de relancer sa non moins prestigieuse collection culte Sueurs froides. Et d'emblée, elle aura cogné fort, très fort.

Voici ce qu'on appelle un tour de force : avec seulement deux titres parus en janvier dernier, c'est ainsi toute une ligne éditoriale fort prometteuse qu'elle aura réussi à relancer. Tout d'abord, le déjà gros succès du thriller Des nœuds d'acier, premier roman en forme de huis-clos de Sandrine Collette, toute nouvelle voix là aussi déjà très remarquée du polar français.
Mais également, et de manière encore plus subtile, à la fois parallèle et extrêmement discrète, un véritable petit chef d'œuvre du roman noir américain, exhumé des tiroirs pourtant débordants de nouveautés de l'édition internationale, et qui, on n'y comprend décidément rien, n'avait semble-t-il jusque là jamais trouvé d'acquéreur en France...
Il s'agit bien évidemment de ce formidable premier roman de Matthew F. Jones, Une semaine en enfer.

Que ce soit de par son titre, en VO ( « A single shot » ) ou en français, Jones aura alors, dès 1996, dévoilé toute l'ampleur de son talent. Un peu à la manière aujourd'hui d'un Donald Ray Pollock ( Knockemstiff ou Le Diable, tout le temps ), d'un Frank Bill ( Chiennes de vies ) ou d'un Kevin Powers ( Yellow birds ), et mis à part bien sûr que les deux premiers auront débuté, eux, par un recueil de nouvelles.

Car contrairement à ce que pourrait faire penser la fameuse accroche, terriblement éculée, de quatrième de couverture, « Mais depuis quand les losers auraient-ils une seconde chance ? », ce pur diamant noir est, lui aussi, d'une beauté à couper le souffle. Loin d'être banal, tout cas.
Rien à voir donc ici avec les innombrables autres « losers » qui, depuis, ont peuplé la production de romans en tous genres.
Non, John Moon, lui, est tout simplement un type, un pauvre type comme vous et moi.

C'est pourquoi aussi, d'emblée avec ce roman, on ne peut s'empêcher de penser à David Vann par exemple, et notamment à son déjà culte Sukkwan Island.

Car John Moon, dont le début de vie en tant qu'adulte avait alors toujours reposé sur son son père, a désormais tout perdu.
« Il lui dit que, à son âge, son seul projet était d'épouser la fille qu'il aimait, de la ramener à la ferme familiale, d'être le meilleur paysan possible et d'élever ses enfants pour qu'ils en fassent autant, et que le fait que son père ait tout perdu quand il avait seize ans l'a laissé aussi handicapé que s'il avait eu un accident de voiture et perdu l'usage de ses jambes. »

Ainsi, il vivote maintenant au jour le jour grâce au braconnage, vit dans une pauvre caravane accrochée au maigre lopin de terre qui lui reste de son paternel; celle-ci ayant été vendue il y a déjà fort longtemps à un banquier du coin assoiffé, lui, par sa condition de jeune « redneck » américain, qui était alors venu réclamer au père de Moon l'argent que sa banque lui avait prêté. Ruiné, acculé, celui-ci n'avait pu que vendre à regrets cette terre, celle qui les avait toujours nourris, lui et sa famille, lui et son gosse, John.

Aujourd'hui, John Moon vit non seulement dans ces conditions misérables au sein d'un paysage pourtant magnifique, et avec un voisin qui lui propose même un job pour au moins tenter de se « fixer » durablement, mais il doit également subir le départ de sa femme. Laquelle est partie se réfugier dans un petit appartement, avec un job de serveuse dans le snack du coin, mais emmenant avec elle la prunelle de ses yeux : son fils.

Malgré cela, John survit, comme il peut. C'est un battant, et s'il parvient justement à survivre, c'est avant tout parce qu'il vit au jour le jour, certes, mais aussi parce qu'il a des valeurs, des valeurs d'homme.
Il ne baisse jamais les bras, même aux pires moments, même lorsqu'il ne semble y avoir plus aucun espoir.
Car si tout le monde voit en John Moon un loser, tous se trompent. Lui a un fils et y tient plus que tout au monde. Il ferait tout, n'importe quoi, pour que celui-ci ne manque jamais de l'appui de son père.
Tout comme John, mis à part que lui, plus jeune, a pu voir le sien mourir à petits feux des suites d'une grave maladie, laquelle aura non seulement emporté son père, mais l'aura aussi privé de tout futur possible, et même, visiblement, de tout bonheur possible.

Alors ce matin-là, lorsque John part braconner un cerf qui le nargue maintenant depuis des jours, représentant la viande, malheureusement chère, dont son fils a besoin pour ne manquer de rien, tout bascule.
La pauvre petite vie minable de John trébuche.

Car dès lors qu'il tire par mégarde sur cette fille, croyant enfin abattre ce cerf qu'il pourchasse depuis des heures, il va se rendre compte, petit à petit, que c'est bel et bien une vie qu'il vient d'ôter. La vie d'une toute jeune ado qui, malgré peut-être ses difficultés à elle aussi, aurait pu grandir, mûrir, devenir une jeune femme séduisante, une mère. Et une femme aussi. Peut-être pas celle de son fils, ni même la sienne, puisqu'il compte bien tout faire pour tenter d'annuler son propre divorce... mais John comprend très vite qu'il vient de commettre l'irréparable. Par erreur. Une simple, une seule, une terrible erreur.
Mais qui risque bien de l'entraîner, en à peine quelques jours, et s'il ne se bat pas de toutes ses forces, en prison. Là où plus jamais il ne pourra voir son fils. Là où plus jamais son ex-femme ne voudra ne serait-ce que lui rendre visite.
La prison, l'enfer.

Je ne suis certainement pas prêt d'oublier John Moon, ni d'ailleurs ce magnifique mais terriblement sombre roman.
D'une beauté fraîche et éclatante, tout comme la nature environnante, personnage à part entière de ce roman noir typiquement américain, dans la pure veine de ce qu'on appelle aujourd'hui le « nature writing », ce premier coup d'éclat de Matthew F. Jones donne terriblement envie de pouvoir lire un jour ce qu'il a écrit par la suite - c'est-à-dire depuis maintenant près de dix-sept ans...

Mais dans tous les cas, on ne peut être surpris d'apprendre qu'il est déjà en cours d'adaptation pour le cinéma. Espérons seulement que le metteur en scène et que la production suivent. Non pas forcément pour en faire un « blockbuster », mais au moins pour que toute la beauté et le lyrisme de l'écriture impressionniste de Jones puisse être retranscrite; ainsi que la simplicité, le courage et la force mêlés de ses personnages. Et pour leur destin ô combien tragique, aussi, pour la plupart.

Et sans même compter cette macabre atmosphère de putréfaction qui se développe au fur et à mesure que ce noir récit se déroule, implacablement.

Un mélange à la fois fort, puissant, entêtant, dérangeant même, et s'il est parfaitement rendu par l'extraordinaire vivacité de la nature, remarquable décor qu'arrive étonnamment bien à dépeindre Matthew F. Jones, et où chaque fleur, chaque plante, chaque arbre, chaque animal ou insecte est nommé très précisément par l'auteur.

C'est d'ailleurs précisément la seule et éventuelle raison pour laquelle Une semaine en enfer n'est peut-être pas le roman noir le plus abordable - en tout cas au premier abord - pour certains lecteurs, qui risqueraient alors de passer notamment à côté de son caractère à la fois venimeux et pourtant terriblement moral. Mais même malgré cela, et de toutes façons, on ne peut tout de même que se féliciter que ce petit chef d'œuvre du Noir américain - pourtant pas si vieux ! - ait pu enfin trouver un éditeur courageux en France pour le publier dix-sept ans après sa sortie outre-Atlantique... Mais après tout, mieux tard que jamais.

Car non seulement cet éditeur, qui est une éditrice, l'aura extirpé d'on ne sait où il était resté enfoui jusque là, mais aussi parce qu'elle lui aura trouvé quand même, et malgré l'avalanche incessante de nouveautés qui inondent chaque semaine les rayons des librairies, une petite place dans une décidément grande collection, elle aussi ressuscitée, et dont tout amateur de littérature policière, quelque soient ses fascinantes variantes, devra désormais surveiller de près les prochaines publications.



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norbert
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MessagePosté le: Lun Avr 01, 2013 7:25 pm    Sujet du message: Répondre en citant

En plus court, voici ce que je voulais dire sur cette pépite et que j'ai posté sur PP :


Citation:
Tel un petit diamant brut et noir resté enfoui durant 17 ans, ce premier roman foudroyant de Matthew F. Jones balance une claque monumentale au lecteur qui ose s'y plonger.
L'auteur nous offre une inoubliable parabole, d'une cruauté d'autant plus terrible qu'elle est parfaitement réaliste, sur la condition humaine de certains prétendus "losers" qui, au final, n'en ont que les apparences et se révèlent être avant tout des hommes, avec de vraies valeurs.
Une sombre tragédie, mais d'une beauté à couper le souffle.

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MessagePosté le: Mar Oct 14, 2014 6:48 am    Sujet du message: Répondre en citant

Sortie poche le 16 octobre en Folio Policier :


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Ssarlotte
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MessagePosté le: Mar Oct 14, 2014 7:01 am    Sujet du message: Répondre en citant

J'avais lu ce livre et l'avais moyennement aimé :

Mon avis sur PP :
Citation:
Un roman noir que je n'ai pas véritablement apprécié. Trop de descriptions de la nature, un rythme saccadé.


Ma chronique : http://destinationpolar.blogspot.fr/2013/11/une-semaine-en-enfer-de-matthew-f-jones.html
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MessagePosté le: Mar Oct 14, 2014 7:09 am    Sujet du message: Répondre en citant

C'est vrai qu'en tant que roman noir rural américain, comme beaucoup celui-là s'inscrit dans la veine de ce qu'on a appelé plus tard le "nature writing". Je me souviens aussi de ces descriptions où chaque plante, herbe, arbuste a un nom spécifique. Mais je me souviens surtout de l'ambiance quasi-putride de cette tragédie, de cette atmosphère si particulière, et de cette fin si cruelle(ment humaine).
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Le Juge Wargrave
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MessagePosté le: Mar Mar 31, 2015 10:39 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ton avis Norbert m'a poussé à me le prendre en poche.
J'espère partager ton enthousiasme ! Smile
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La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003).
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norbert
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MessagePosté le: Mer Avr 01, 2015 3:16 am    Sujet du message: Répondre en citant

Le Juge Wargrave a écrit:
Ton avis Norbert m'a poussé à me le prendre en poche.
J'espère partager ton enthousiasme ! Smile


C'est une lourde responsabilité que tu me donnes là !... J'espère que tu apprécieras ta lecture ! Smile
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MessagePosté le: Jeu Juin 13, 2019 12:02 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Quatre ans après son achat, je l'ai enfin lu. Mon avis :

Citation:
Un roman noir désespéré, entre nature writing et hard boiled. Ou quand le destin s'acharne sur un pauvre type, pas bien aidé par les aléas de la vie...
Quelques belles scènes dans la description des paysages et des sentiments.
Au final un bon roman mais à qui il manque quelque chose pour en faire une lecture remarquable et marquante durablement
.

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MessagePosté le: Dim Juin 16, 2019 12:37 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Au final je suis assez proche de ton avis et en relisant le mien, je me suis rendu compte que je m'étais un peu enflammé quand même..
Du coup, j'ai baissé ma note à 8, qui me semble plus pertinente maintenant.
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