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Cormac McCarthy polar ou pas polar ?
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holden
Serial killer : Hannibal Lecter


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Le Serment des Limbes

MessagePosté le: Mar Juil 10, 2007 1:34 pm    Sujet du message: Cormac McCarthy polar ou pas polar ? Répondre en citant

Qui en a lu ? ici bas sur ce forum Smile
Et pour les connaisseurs, savez vous si son roman americain The Road doit etre traduit en france ? Et quand Very Happy
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holden
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Le Serment des Limbes

MessagePosté le: Mer Juil 11, 2007 10:31 am    Sujet du message: Cormac McCarthy polar ou pas polar ? Répondre en citant

et pour james carlos blake ? Very Happy
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El Marco
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Les Rivières Pourpres

MessagePosté le: Mer Juil 11, 2007 10:34 am    Sujet du message: Répondre en citant

Ca me rappelle que j'ai Méridien de Sang de Cormac McCarthy dans ma pile de livres à lire, et ce depuis des mois et des mois, et que je ne l'ai toujours pas lu. Rolling Eyes
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holden
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Le Serment des Limbes

MessagePosté le: Mer Juil 11, 2007 10:37 am    Sujet du message: Répondre en citant

El Marco a écrit:
Ca me rappelle que j'ai Méridien de Sang de Cormac McCarthy dans ma pile de livres à lire, et ce depuis des mois et des mois, et que je ne l'ai toujours pas lu. Rolling Eyes


bah
vas y
chef d'oeuvre garanti
les autres livres te paraitront fades, enfin bon si tu rentres dans l'histoire Very Happy
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terramater
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MessagePosté le: Mer Juil 11, 2007 11:49 am    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour,

J'ai lu "Non, ce pays n'est pas pour le vieil homme - Cormac McCARTHY", C'est un très bon roman. Un excellent polar bien noir comme je les aime. Une course effrénée pendant environ 230 pages et 60 pages pour se poser et réfléchir en compagnie de notre vénérable Shérif, qui égraine le roman de ces pensées d'homme désabusé par la société et le pays dans lequel il vit. Un regard noir sur notre monde et sur la direction qu'il prend.

Laurent
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holden
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Le Serment des Limbes

MessagePosté le: Mar Juil 17, 2007 2:00 pm    Sujet du message: Répondre en citant

yes

mais pas me meilleur pour mezigue Very Happy
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terramater
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MessagePosté le: Mar Jan 08, 2008 12:05 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Sortie de son dernier roman "La route"


L'apocalypse a eu lieu. Le monde est dévasté, couvert de cendres. Un père et son fils errent sur une route, poussant un caddie rempli d'objets hétéroclites et de vieilles couvertures. Ils sont sur leurs gardes car le danger peut surgir à tout moment. Ils affrontent la pluie, la neige, le froid. Et ce qui reste d'une humanité retournée à la barbarie. Cormac McCarthy raconte leur odyssée dans ce récit dépouillé à l'extrême. Prix Pulitzer 2007, La Route s'est vendu à plus de deux millions d'exemplaires aux États-Unis.

L'Express a écrit:

Les routards de l'apocalypse

par François Dufay

Prenez La Route avec Cormac McCarthy, vous ne le regretterez pas. Ce récit de l'errance d'un père et de son fils dans un monde postnucléaire est peut-être le plus beau livre de la star des lettres américaines.

Tel un vieux démiurge en chemise de jean, Cormac McCarthy adore laisser ses personnages, en butte à quelque antique malédiction, courir à leur perte à travers les solitudes métaphysiques de l'Amérique. La Route, son nouveau best-seller couronné par le prix Pulitzer 2007 de la fiction, ne déroge pas à la règle. Ce récit d'une simplicité biblique se distingue toutefois par une innovation de taille: les décors d'ordinaire brûlés par le soleil qu'affectionne le romancier de Santa Fe (Nouveau-Mexique) sont, à présent, recouverts d'un épais tapis de cendres.

Dans ce roman d'anticipation situé dans un futur proche, la planète a en effet été dévastée quelque dix ans plus tôt par une catastrophe innommée, très probablement une guerre atomique. Au milieu de l'enfer gris qu'est devenu le monde, deux rescapés - un père et son fils - poussent un Caddie branlant où ils ont entassé leurs maigres hardes. Dépenaillés comme des per- sonnages de Beckett, «l'homme» et «le petit» - on ne les appellera jamais autrement - battent le macadam des highways mortes, traversent des forêts pétrifiées, pénètrent dans des Pompéi texanes, parsemées de cadavres momifiés dans des poses grotesques.

Deux ou trois fois, le père et l'enfant échappent de justesse à des hordes de hors-la-loi cannibales, dont la spécialité est de faire rôtir les nourrissons à la broche. Car le déluge de cendres n'a pas seulement assombri l'univers, il a calciné à jamais le coeur des rares survivants, rendus à leur barbarie première. McCarthy excelle à glacer le sang de son lecteur, à transmettre, en quelques répliques basiques («J'ai peur», «Il faut partir», «D'accord») le désespoir lancinant qui habite les rescapés. Surtout ne pas s'arrêter, ni regretter le monde d'avant, éclatant de couleurs et de douceur: ce serait prendre un risque mortel.

Au fil des bivouacs transis, des nuits passées dans des maisons pillées, les provisions du duo fondent dan- gereusement. Heureusement, chaque fois qu'approche la fin, un trésor providentiel de boîtes de conserve permet à nos héros de prolonger leur atroce balade. Tel un MacGyver de l'ère postnucléaire, le père parvient, avec des matériaux de récupération, à bricoler des outils indispensables à leur survie. Surtout, il s'efforce de faire écran entre l'horreur du monde et son gamin, de lui distiller, à la place de sa mère, qui s'est suicidée, un peu du lait de la tendresse humaine. Au milieu de ce cauchemar vrai, il doit forcément subsister quelque part des «gentils», jure- t-il à l'enfant. Hélas! l'Océan, qu'il lui avait promis bleu azur, quand ils l'atteignent enfin, se révèle couleur d'encre et battu par les vents.

Jamais, pourtant, l'adulte n'aura la force d'abréger les souffrances de son fils avec la dernière balle de son revolver... On le voit, sur le parcours de ces galériens du futur, Cormac McCarthy, en vieux briscard du roman américain, n'a rien fait pour esquiver quelques poncifs - hiver nucléaire, errance sans fin, innocence menacée de l'enfance... Tout cela ne serait-il pas too much, préformaté pour une adaptation hollywoodienne? Mais voilà: la puissance visionnaire de ce page-turner, la justesse sans pathos des dialogues et le maléfice des paysages de cendres ont tôt fait de balayer ces réserves. La peur au ventre, le lecteur prie pour que ces routards de l'apocalypse dégottent une nouvelle ration de poires au sirop, afin que se prolonge leur calvaire, et que ne cesse jamais l'enchantement morbide de la prose de McCarthy. Epure d'un romancier au sommet de son art, cette Route - sorte de jonction improbable de La vie est belle et de Mad Max- dresse le constat saisissant, minimaliste, de notre condition précaire. C'est aussi et surtout, sous la plume d'un père aux cheveux blancs (voir l'encadré ci-dessus), une poignante parabole sur la paternité - ce flambeau transmis de génération en génération, qui, au coeur des ténèbres, parvient à sauvegarder une étincelle de la lumière divine.

Télérama a écrit:

« Les nuits obscures au-delà de l'obscur et les jours chaque jour plus gris que celui d'avant. » Voici donnés l'atmosphère, le décor, la tonalité générale dans laquelle baigne ce grand roman. Donnée aussi, une idée de la scansion singulière et admirable de la phrase de Cormac McCarthy - un rythme qui, joint au mystère dont est emprunt ce récit, à son austère lenteur, à sa lugubre beauté, confère véritablement à La Route la grâce d'un long poème métaphysique, funeste et envoûtant. Un poème tout ensemble initiatique et sépulcral, où se trouvent condensées, cristallisées, dégagées de ­toute tentation d'euphémisme, les obsessions et les hantises de McCarthy, sans cesse revisitées, de livre en livre, depuis plus de quarante ans : la violence des hommes, le rude combat que se livrent en ce monde le Bien et le Mal - la victoire de plus en plus manifeste de celui-ci, la promesse d'éternelle douleur et d'infini chagrin à quoi se réduit le sort de l'espèce humaine.

Laquelle humanité, dans La Route, est plus proche que jamais de l'extinction - même s'il lui reste assez de force pour continuer de nuire, de s'infliger à elle-même souffrances et offenses. Il ne demeure pourtant manifestement plus grand monde à la surface de la terre. On ne sait pas très bien ce qui s'est produit - apocalypse nucléaire ou colère de Dieu ? Quoi qu'il en soit, voici un homme et son jeune fils, seuls. Au fil des « nuits obscures au-delà de l'obscur », des « jours chaque jour plus gris que celui d'avant », ils arpentent un continent désolé, des campagnes ruinées, des villes mortes. L'homme et l'enfant marchent vers le sud -- sans doute les choses ne vont pas mieux là-bas, mais il y fait moins froid. Ils ont faim, ils ont peur.

Des hommes qu'ils croisent parfois, ils se cachent : ce sont des hordes de barbares, esclavagistes et anthropophages. La nuit, tandis qu'il veille sur le sommeil de l'enfant, l'homme est visité par des visions effroyables - des morts-vivants, une Bête menaçante qui n'a d'égal en monstruosité que celle des Ecritures. Il pense : « Qu'avaient-ils fait ? L'idée lui vint qu'il se pourrait même dans l'histoire du monde qu'il y eût plus de ­châtiments que de crimes mais il n'en tirait guère de réconfort. » L'enfant, lui, accepte stoïquement la situation. Et quand il inter­roge son père, c'est pour vérifier s'ils sont bien, père et fils, « du côté des gentils », et non de celui des brutes, des monstres.

Entre roman d'épouvante et parabole escha­tologique, La Route s'offre à lire aussi comme un roman d'amour - cet amour qui unit l'adulte et l'enfant, et qui peut-être préserve l'homme de glisser vers la barbarie. Ce sentiment, McCarthy lui confère une intensité telle que les ténèbres alentours ne parviendront pas à l'étouffer et l'éteindre.

Nathalie Crom

Telerama n° 3025 - 05 janvier 2008


Laurent.
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holden
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MessagePosté le: Mar Jan 08, 2008 2:24 pm    Sujet du message: Répondre en citant

prix pulliztzer

et je l'ai depuis decembre 2007
yeahhhhhhhhhhh
_________________
lisez ce vous voulez . . .

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Dodger
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Les Rivières Pourpres

MessagePosté le: Mar Jan 08, 2008 7:25 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Quand je lis ces critiques, je retrouve tout ce que j'ai trouvé dans ce roman, en effet... et pourtant, je ne sais pas ce qui me gêne exactement, mais je n'arrive pas à m'enthousiasmer pour cette Route.
A vrai dire, j'ai même fini par m'ennuyer dans le dernier tiers, tant le récit et le ton paraissent monotones, alors même que l'histoire avance vers son inexorable fin. Sans doute est-ce voulu, et l'effet est garanti, mais cela doit-il être au détriment du lecteur ?

De très beaux passages néanmoins dans la description d'un monde à l'abandon, en déréliction, et les plus beaux moments lorsque l'auteur aborde la relation père-fils, superbe.

Mais il reste ce "mais", en suspension, qui m'a gâché le plaisir de la lecture... Si quelqu'un d'autre a ressenti la même chose et parvient à m'expliquer, je suis preneur Wink
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holden
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Le Serment des Limbes

MessagePosté le: Mer Jan 09, 2008 7:59 am    Sujet du message: Répondre en citant

Dodger a écrit:
Quand je lis ces critiques, je retrouve tout ce que j'ai trouvé dans ce roman, en effet... et pourtant, je ne sais pas ce qui me gêne exactement, mais je n'arrive pas à m'enthousiasmer pour cette Route.
A vrai dire, j'ai même fini par m'ennuyer dans le dernier tiers, tant le récit et le ton paraissent monotones, alors même que l'histoire avance vers son inexorable fin. Sans doute est-ce voulu, et l'effet est garanti, mais cela doit-il être au détriment du lecteur ?

De très beaux passages néanmoins dans la description d'un monde à l'abandon, en déréliction, et les plus beaux moments lorsque l'auteur aborde la relation père-fils, superbe.

Mais il reste ce "mais", en suspension, qui m'a gâché le plaisir de la lecture... Si quelqu'un d'autre a ressenti la même chose et parvient à m'expliquer, je suis preneur Wink


je le regarde comme une bonne bouteille et je n'arrive pas à le lire
mais bientôt mon avis Cool
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Les Rivières Pourpres

MessagePosté le: Jeu Jan 10, 2008 6:53 pm    Sujet du message: Répondre en citant

C'est une de mes tentations de janvier avec "la nuit du minotaure" et "le piège de Dante". Je ne connais pas les oeuvres de cet auteur et c'est donc l'occasion pour moi car l'histoire m'intrigue pas mal.
_________________
Au fil de mes lectures
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El Marco
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MessagePosté le: Jeu Jan 10, 2008 7:09 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Pour ma part, j'ai vu que Non, ce pays n'est pas pour le vieil homme était sorti en poche, je pense que je vais me laisser un de ces quatre.
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Dodger
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MessagePosté le: Jeu Jan 10, 2008 7:31 pm    Sujet du message: Répondre en citant

holden a écrit:

je le regarde comme une bonne bouteille et je n'arrive pas à le lire
mais bientôt mon avis Cool


Tu l'as trop attendu, Holden, ne te précipite pas, ce serait dommage que tu sois déçu (sauf si tu as de bonnes raisons de l'être) Wink
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El Marco
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Les Rivières Pourpres

MessagePosté le: Jeu Jan 24, 2008 6:34 pm    Sujet du message: Répondre en citant

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Fredo
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Le Vol des Cigognes

MessagePosté le: Dim Jan 27, 2008 11:32 am    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai vu ce livre en librairie, j'ai presque craquer ...
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