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norbert
Serial killer : Hannibal Lecter
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 Posté le: Mar Jan 08, 2013 12:36 am Sujet du message: Ceux qui restent - Jane Casey (Presses de la Cité) |
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Séance de rattrapage pour la dernière rentrée littéraire, qui a vu paraître aux Presses de la cité Ceux qui restent, le thriller psychologique d'une jeune auteure irlandaise, Jane Casey, avec qui il faudra vraisemblablement compter à l'avenir.
Ceux qui restent a été récompensé par le Prix du Meilleur Premier Roman aux Crime-Zone Awards 2011, et a été sélectionné pour le Prix du Meilleur Polar aux Irish Book Awards en 2010.
Le livre :
Deux adolescents disparaissent à seize ans d'intervalle sous les yeux d'un seul et même témoin.
Sarah n'était qu'une enfant quand son frère Charlie a disparu ; elle est la dernière à l'avoir vu.
Seize ans plus tard, dans la même ville, le cauchemar de son enfance resurgit : Sarah découvre le corps d'une de ses élèves dans les bois. Alors que les policiers tentent de trouver l'assassin, elle décide de rouvrir en parallèle l'enquête sur la disparition de son frère.
Les deux affaires sont-elles liées ? Sarah est-elle en danger ?
Le premier roman publié en France d'une nouvelle voix du thriller anglais.
L'auteur :
Irlandaise, Jane Casey est née et a grandi à Dublin. Après avoir étudié la littérature anglaise à l'université d'Oxford, elle est devenue éditrice de livres pour enfants. Elle vit désormais à Londres avec son mari, un avocat spécialisé dans les affaires criminelles.
Dernière édition par norbert le Jeu Mai 25, 2023 4:35 am; édité 4 fois |
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norbert
Serial killer : Hannibal Lecter
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| Posté le: Mar Fév 12, 2013 7:03 pm Sujet du message: |
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Par contre, ce roman ne fait pas partie de la série que Jane Casey a créée ensuite autour du personnage de Maeve Kerrigan, si un GM pouvait corriger la fiche PP. 
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« Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy |
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El Marco
Charlie "Bird" Parker (modo)
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| Posté le: Mar Fév 12, 2013 8:20 pm Sujet du message: |
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| C'est fait. |
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norbert
Serial killer : Hannibal Lecter
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| Posté le: Mar Fév 12, 2013 9:23 pm Sujet du message: |
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Merci, Marco !
J'en profite, en attendant de pouvoir donner mon avis (il est dans ma PAL depuis quelques semaines suite à ma "sélection 2012"), pour mentionner quelques unes des chroniques enthousiastes glanées sur le web, ici celle de blue-moon.fr :
| Citation: | Nous voici avec le bon gros pavé, le bon gros thriller psychologique à l’anglaise... pas d’action, une pluie incessante, une atmosphère lourde, fermée en adéquation avec le ciel plombant, des secrets nauséabonds à peine dissimulés par les tentures qui cachent l’intérieur des cottages, et une héroïne bouleversante à laquelle nous allons nous identifier de la première à la dernière page.
Ce qui est assez frappant lorsque commence l’intrigue, c’est que l’on sent dès les premiers paragraphes que la situation est au bord de l’explosion. Sarah a vingt-six ans mais on dirait une vieille fille de quarante ans, avec cette apparence terne de petite souris effacée, la peur qu’elle éprouve devant l’autorité de la chef de l’établissement privé et côté dans lequel elle enseigne.... L’enseignement n’est qu’un moyen de subsister pour elle, absolument pas une vocation, n’appréciant ni les enfants, ni ce qu’elle fait. Dès que la journée est terminée, elle rentre dans l’antre familiale, où elle "soigne" une mère alcoolique qui a sombré des années auparavant, lors de la disparition inexpliquée de Charlie, le grand frère de Sarah, seize ans auparavant...
Le décor est planté dans les dix pages. Tout est dit...
Chaque chapitre est rythmé par une scène en flashback qui raconte toutes les conséquences de ce drame, la famille de Sarah ayant très vite explosé. La jeune femme a une grande vie intérieure, mais est prisonnière des souvenirs de sa mère, passive alors que peu à peu la vie continue, une vie qu’elle regarde sans y participer. Une nouvelle disparition va lui servir d’électrochoc, cette fois-ci, elle va peut-être faire quelque chose !
Jane Casey, nouvelle venue dans ce milieu très prolifique du suspense à l’anglaise, utilise des vieilles recettes mais se les réapproprie avec talent. La construction est donc classique avec ces incessants flashbacks qui enrichissent le présent, apportant des explications aux réactions actuelles de l’héroïne, traumatisée, frustrée, profondément blessée qui voit ici un moyen de se racheter... sentiment irrationnel parfaitement perceptible. Sa solitude est terrifiante. Nous comprenons peu à peu ce qui la motive, ce qui l’indigne, une amertume sourde, dévastatrice qui va se transformer en colère, rage et haine...
Sarah est une héroïne complexe, passionnante et inoubliable. Hormis les flashbacks, tout le récit est raconté à la première personne, son ressenti devient le nôtre. Ceux qui restent est un très bon titre, même meilleur que the missing (la disparition), car ce qui importe, ce sont les conséquences d’une telle tragédie sur les proches. Les victimes, ce sont eux !
Nous avons presque l’impression de devenir les voyeurs. Sarah analyse avec mépris tout le cirque médiatique ou encore l’enquête policière qui n’aboutit à rien. Le petit plus vient aussi de l’aspect "romantique". En effet, la romance est au centre du récit et va même jouer un vrai rôle dans l’intrigue.
Donc, romance, atmosphère, montée de la tension, des rebondissements dont certains sont assez bluffant... le résultat devient impressionnant.
Les personnages secondaires sont aussi intéressants que nuancés. Tous vus par les yeux subjectifs de Sarah, ils deviennent différents, suivant les moments paranoïaques ou compatissants de la jeune femme. Ainsi Vickers, le flic qui mène l’enquête, déconcerte à chaque fois notre héroïne qui ne parvient jamais à bien le cerner.
Le genre de roman qu’on adore découvrir ! Et bien sûr un auteur à suivre...
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Et la chronique de Montse sur plume-libre.com :
| Citation: | Dans ce thriller psychologique, nous allons faire la connaissance de Sarah, une jeune institutrice qui vit avec sa mère dépressive et alcoolique. En effet, alors qu’elle n’avait que 8 ans, son frère aîné, Charlie a disparu. Depuis lors, leur mère n’est plus que l’ombre d’elle même et Sarah s’est construite comme elle a pu avec l’absence de son frère, puis de son père et sans pouvoir compter sur sa mère. Leurs relations sont, au fil du temps, devenues exécrables.
Un jour alors qu’elle est partie courir dans les bois, Sarah découvre le cadavre d’une de ses élèves. Cette affaire va réveiller de douloureux souvenirs d’autant plus qu’ayant trouvé le corps et étant le professeur d’anglais de la victime, elle va se retrouver au cœur de l’enquête menée par les policiers.
Jane Casey a choisi de construire son roman en alternant des chapitres sur Sarah aujourd’hui et des chapitres sur Sarah lors de la disparition de son frère Charlie. Ces derniers débutent tous par « Disparu depuis…> ce qui nous permettra de mieux appréhender la vie de Sarah au cours de toutes ces années.
Concernant l’enquête menée pour retrouver le meurtrier de Jenny, nous la découvrirons également via les yeux de Sarah qui, par son statut de professeur, de témoin et de voisine, se retrouvera régulièrement au cœur du sujet. D’autant plus que l’affaire va se révéler beaucoup plus complexe qu’il n’y paraît au premier abord.
Les méthodes des policiers nous seront soigneusement décrites même quand elles ne sont pas forcément orthodoxes. Sans vouloir trop en dire, je pense, notamment, à une scène d’interrogatoire qui fait froid dans le dos et qui nous fait penser que nous sommes bien peu de choses quand on en a après nous. On comprend mieux comment, avec ce genre de méthodes, certains suspects avouent parfois des actes qu’ils n’ont pas commis.
Sans oublier le comportement de la presse à scandales tout simplement odieux.
L’auteure prend son temps pour nous distiller les informations, le coupable se dessine une centaine de pages avant la fin mais le suspens reste entier car le crime semble inexpliqué jusqu’au final.
Un roman sur les conséquences que peuvent produire ces drames atroces sur ceux qui restent, ces victimes « secondaires » dont la vie change à tout jamais. |
| Citation: |
J'aime beaucoup les auteures de thriller britanniques et celle-ci ne fait pas exception à la règle.
Un thriller psychologique qui met l'accent, comme son titre l'indique, sur ceux qui restent, après un drame dans leur famille, et toutes les conséquences que cela peut avoir.
Ici, nous découvrons Sarah dont le frère aîné a disparu alors qu'elle n'avait que 8 ans.
A l'aide de flashback, l'auteure va nous apprendre ce qu'a vécu Sarah depuis la disparition de son frère et tous les changements que cela a engendré dans sa famille.
Lorsqu'une des élèves de Sarah disparait et qu'elle retrouve son cadavre dans les bois, c'est toute son histoire qui va également ressurgir.
Toute l'enquête des policiers est également racontée à travers les yeux de cette héroïne totalement paumée.
Pas mal de rebondissements et du suspens font que ce roman est difficile à lâcher une fois commencé.
J'ai passé un très bon moment de lecture avec ce roman.
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Voilà qui n'est pas sans rappeler Ecorces de sang/La mort dans les bois de la brillante Tana French, au moins dans le style d'intrigue et d'atmosphère !
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norbert
Serial killer : Hannibal Lecter
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| Posté le: Mar Fév 12, 2013 9:44 pm Sujet du message: |
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Je complète avec :
>> La chronique de Michel Rossillon, de Radio Mont-Blanc, à écouter ici
>> La chronique de Nordbretagne.fr :
| Citation: | Le soleil de plomb, le vrombissement des abeilles, le bruit régulier de la balle de tennis que tape son frère contre le mur de la maison... Une douce torpeur s’empare de la petite Sarah, 8 ans, qui s’endort pour une petite sieste dans le jardin.
Instinctivement, en se réveillant, la fillette sent que les choses ne sont pas comme elles le devraient. C’est le début d’un abominable cauchemar : Charlie son grand frère de 12 ans a disparu pendant sa sieste. Nous sommes en 1992 et pour la famille de Sarah plus rien ne sera jamais pareil. Le couple de ses parents ne résistera pas à cette épreuve et sa mère la tiendra plus ou moins pour responsable toute sa vie.
Ce roman, qui instaure immédiatement un climat oppressant, est bâti en alternant les événements de 1992 et ceux auxquels Sarah, devenue adulte et professeur dans une école réputée, est confrontée. Une de ses élèves disparait. Elle a 12 ans, comme Charlie à l’époque...
Peu après, elle est retrouvée morte dans les bois, par Sarah elle-même qui y faisait un jogging.
La main terrifiante et glacée du souvenir étreint Sarah qui ne peut manquer de faire un parallèle entre les deux affaires. Autour d’elle : une journaliste opiniâtre avide de scoop, un collègue grossier et collant, un flic un peu trop proche d’elle pour sa tranquilité d’esprit, des voisins qui ont eux aussi connu leur lot de souffrances, sans oublier sa mère qui noit son chagrin dans l’alcool.
Sarah sait qu’elle ne trouvera la paix qu’en découvrant la vérité même si la quête se révèle dangereuse et le prix lourd à payer car quelqu’un est bien décidé à l’empêcher de se libérer de ses démons.
On a tour à tour le coeur serré au récit de l’enfance épouvantable de la petite fille suite à la disparition de son grand frère et des frissons d’angoisse sur son quotidien incertain.
Cet excellent thriller qui maintient une tension permanente est le premier de l’auteur publié en France.
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>> La chronique de Normand Stehner de Lapresse.ca :
| Citation: | Jane Casey est née à Dublin (Irlande) en 1977. Éditrice de livres pour enfants, elle a aussi entamé une carrière de romancière. Ceux qui restent est son premier polar et, le moins qu'on puisse dire, c'est que l'auteure maîtrise déjà à merveille l'art subtil et difficile de créer une bonne tension dramatique et un suspense efficace.
L'héroïne est une jeune enseignante toujours traumatisée par un drame de jeunesse: quand Sarah n'était qu'une enfant, son frère Charlie a disparu et n'a jamais reparu. Seize ans plus tard, elle découvre dans les bois le cadavre d'une de ses élèves, disparue depuis quelques jours.
Plongée dans une nouvelle tempête émotive, placée sur la liste des suspects, Sarah décide de rouvrir l'enquête sur la disparition de son frère et tentera, à ses risques et périls, de découvrir de quelle manière les deux affaires pourraient être liées.
Mais l'étau se resserre et une sourde menace se profile à l'horizon. Tous les événements sont racontés du point de vue de Sarah, une belle jeune femme perturbée, mais volontaire, qui, dans un premier temps, subit des événements dramatiques sur lesquels elle n'a pas d'influence. Puis elle décide de prendre son destin en main et de foncer, malgré les obstacles.
Cela nous vaut quelques rebondissements inattendus et un dénouement digne des meilleurs thrillers. Jane Casey est à mettre sur notre liste de nouveaux auteurs à suivre... |
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norbert
Serial killer : Hannibal Lecter
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| Posté le: Sam Oct 12, 2013 8:04 am Sujet du message: |
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Ceux qui restent vient de sortir en poche chez 10-18 :
En même temps que le nouveau roman de Jane Casey, Par le feu, qui inaugure la série des enquêtes de Maeve Kerrigan, aux Presses de la Cité :
| Citation: |
Faire feu de toute femme : tel est le but du tueur sadique qui terrorise Londres. Maeve Kerrigan, jeune recrue de la police, enquête sur cette affaire diabolique.
Le Crémateur. C'est ainsi que les média surnomment le tueur en série qui terrorise Londres. Sa particularité? Rouer de coups des femmes avant de les brûler vives aux abords des parcs de la ville. Il compte déjà quatre victimes à son actif. Alors que la police croit avoir mis la main sur le coupable, un cinquième cadavre est découvert. Le meurtrier court-il toujours ?
Pour le lieutenant Maeve Kerrigan, jeune recrue de la police londonienne chargée d'enquêter sur Rebecca Haworth, la dernière victime, la tâche s'annonce des plus ardues : pas de témoin, des indices partis en fumée, une équipe misogyne qui ne la soutient pas... Tandis qu'une véritable psychose s'empare de la ville, elle décide de fouiller dans le passé de la défunte dans l'espoir de trouver des pistes susceptibles de la mener jusqu'au coupable. Rapidement, elle comprend que Rebecca n'était pas du tout la femme que l'on croyait...
En jouant sur l'alternance des points de vue et les faux-semblants, Jane Casey s'amuse à duper le lecteur qu'elle parvient à tenir en haleine jusqu'à la dernière page.
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Dernière édition par norbert le Jeu Mai 25, 2023 4:42 am; édité 2 fois |
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norbert
Serial killer : Hannibal Lecter
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| Posté le: Dim Aoû 10, 2014 10:53 am Sujet du message: |
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| scarabe a écrit: | | ça fait deux ans que "ceux qui restent" est dans ma PAL mais je n'arrive pas à me décider à le lire. |
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norbert
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| Posté le: Dim Aoû 10, 2014 10:55 am Sujet du message: |
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| scarabe a écrit: | | ça fait deux ans que "ceux qui restent" est dans ma PAL mais je n'arrive pas à me décider à le lire. |
C'est un peu pareil pour moi. Quoique ce n'est pas vraiment que le bouquin ne me tente pas - j'ai même lu plusieurs bonnes critiques à son sujet - mais à chaque fois que j'envisage de l'ouvrir, je trouve tojours un autre bouquin qui me paraît plus urgent à lire.
Pourtant, là ça y est, je me suis décidé à le lire, au moins pour tester l'auteur. J'ai failli même le commencer directement hier soir, mais j'ai préféré finalement me plonger dans le dernier James Carlos Blake - La Loi des Wolfe - paru en mai dernier, avant de le commencer.
Mais Ceux qui restent fera partie des prochains, je l'ai même sorti de ma PAL pour le mettre à côté de moi en attente.
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norbert
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| Posté le: Jeu Aoû 14, 2014 7:28 pm Sujet du message: |
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| scarabe a écrit: | | ça fait deux ans que "ceux qui restent" est dans ma PAL mais je n'arrive pas à me décider à le lire. |
Bon alors, après l'avoir lu - que dis-je : dévoré - je ne peux que te conseiller de le faire remonter très vite dans ta PàL, car en ce qui me concerne, j'ai vraiment passé un excellent moment de lecture.
Je reviendrai en dire plus avec mon petit commentaire, mais c'est un très bon polar, entre drame et suspense psychologique, qu'il est bien difficile de lâcher une fois commencé !
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