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Fab
Serial killer : Le Poète
Age: 48
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Localisation: Brest même
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 Posté le: Lun Jan 06, 2014 3:49 pm Sujet du message: |
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je suis en pleine Quête de Robert Lyndon. en générai j'essaie de me tenir à une nouveauté puis un titre plus ou très ancien
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À chaque décision que nous prenons, nous créons un nouvel avenir. Et, ce faisant, nous détruisons tous ceux que nous aurions pu avoir à la place.
Lou Berney November Road |
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norbert
Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47
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| Posté le: Lun Jan 06, 2014 4:01 pm Sujet du message: |
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| Fab a écrit: | | je suis en pleine Quête de Robert Lyndon. en générai j'essaie de me tenir à une nouveauté puis un titre plus ou très ancien |
Tu pourras ainsi enchainé avec "Une terre si froide" (garanti satisfait ou remboursé). 
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« Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy |
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Fab
Serial killer : Le Poète
Age: 48
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| Posté le: Lun Jan 06, 2014 4:06 pm Sujet du message: |
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ok banco!!!
c'est vraiment parce que c'est toi
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À chaque décision que nous prenons, nous créons un nouvel avenir. Et, ce faisant, nous détruisons tous ceux que nous aurions pu avoir à la place.
Lou Berney November Road |
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norbert
Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47
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| Posté le: Lun Jan 06, 2014 4:12 pm Sujet du message: |
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| Fab a écrit: | ok banco!!!
c'est vraiment parce que c'est toi |
Merci !
Cela dit, pourquoi, il ne t'attire pas à ce point ce bouquin ?! Toi qui as en plus aimé la trilogie de Stuart Neville, je suis persuadé que c'est absolument ta came !
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« Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy |
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Fab
Serial killer : Le Poète
Age: 48
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| Posté le: Lun Jan 06, 2014 4:19 pm Sujet du message: |
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parce que c'est encore un peu trop récent dans ma tête,que j'ai le On The Brinks de Millar à lire et que j'aime bien varier le style,l'environnement (urbain ou non) et politique ou non
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À chaque décision que nous prenons, nous créons un nouvel avenir. Et, ce faisant, nous détruisons tous ceux que nous aurions pu avoir à la place.
Lou Berney November Road |
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norbert
Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47
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| Posté le: Lun Jan 06, 2014 4:27 pm Sujet du message: |
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| Fab a écrit: | | parce que c'est encore un peu trop récent dans ma tête,que j'ai le On The Brinks de Millar à lire et que j'aime bien varier le style,l'environnement (urbain ou non) et politique ou non |
Oui mais ne t'inquiète pas, car le fait d'être transporté au tout début des années 1980 et "vivre en direct" cette ambiance en toile de fond de l'enquête ne donne absolument pas le sentiment d'être de "répétition". Quant à On the Brinks, seule sa première partie concerne l'Irlande du Nord, et encore l'essentiel se joue dans la "prison" (pour ne pas dire camp de concentration) de Long Kesh.
Et puis de toute façon tu as déjà topé pour enchainer avec le McKinty !! 
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« Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy |
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Fab
Serial killer : Le Poète
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| Posté le: Lun Jan 06, 2014 4:28 pm Sujet du message: |
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c'est promis,c'est noté je ne faillirais pas à la tâche
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Lou Berney November Road |
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norbert
Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47
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| Posté le: Lun Jan 06, 2014 4:37 pm Sujet du message: |
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| Fab a écrit: | | c'est promis,c'est noté je ne faillirais pas à la tâche |
Tu es un homme de parole et d'honneur, j'aime ça. Et je sais que tu en seras dignement récompensé par ta lecture !
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Le Juge Wargrave
Ishigami le Dharma
Age: 39
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Localisation: Hexagone
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| Posté le: Ven Jan 10, 2014 11:49 am Sujet du message: |
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Alors Hoel, c'est quand que tu donnes le "top départ" ?
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La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003). |
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Hoel
Patrick Kenzie (modo)
Age: 36
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Localisation: Au bout du monde
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| Posté le: Ven Jan 10, 2014 1:22 pm Sujet du message: |
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Il a déjà été donné, vous commencez quand vous voulez.
Perso, j'ai fini hier soir la lettre A, je prépare ma chronique.
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Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire... J'ai la certitude d'être encore heureux.
Jules Renard (1864-1910)
http://hanniballelecteur.wordpress.com/ |
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Le Juge Wargrave
Ishigami le Dharma
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| Posté le: Ven Jan 10, 2014 6:03 pm Sujet du message: |
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| Hoel a écrit: | | Perso, j'ai fini hier soir la lettre A, je prépare ma chronique. |
Ben t'aurais pu le dire, je croyais que c'était une sorte de challenge où l'on commençait, peu ou prou, tous en maintenant... j'ai dû raté un épisode. 
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La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003). |
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Hoel
Patrick Kenzie (modo)
Age: 36
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Localisation: Au bout du monde
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| Posté le: Sam Jan 11, 2014 11:02 am Sujet du message: |
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C'est pas une course puisque tout le monde va à son rythme. Du coup je vois pas en quoi c'est gênant que chacun commence quand il le souhaite.
Ma chronique sur l'auteur en A sera publiée en début de semaine.
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Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire... J'ai la certitude d'être encore heureux.
Jules Renard (1864-1910)
http://hanniballelecteur.wordpress.com/ |
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Le Juge Wargrave
Ishigami le Dharma
Age: 39
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| Posté le: Sam Jan 11, 2014 11:45 am Sujet du message: |
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J'ai bien compris que ce n'était pas une course Hoel, j'ai parlé de challenge. Bon, je prendrai le train en route s'il y a d'autres participants.
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La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003). |
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Hoel
Patrick Kenzie (modo)
Age: 36
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Localisation: Au bout du monde
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| Posté le: Mar Jan 14, 2014 2:55 pm Sujet du message: |
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A comme Alle, Gérard et son roman Il faut buter les patates (la chronique vient de paraître sur Polars Pourpres).
| Citation: | Dans le cochon tout n'est pas bon
Yves, sorti satisfaire une envie pressante, croit entendre des gémissements. Il trouve son voisin Michel allongé dans la boue à côté de son tracteur, assommé, une vilaine plaie à la tête. Pour les deux agriculteurs, pas de doute, il s'agit d'un avertissement des hommes de Raymond Cloarec, le « roi du cochon », président de la « Coopé », qui veut faire main basse sur les terres des deux paysans pour agrandir son empire. Ces derniers ne veulent pas vendre leur ferme familiale et sont bien décidés à résister à tout prix.
Paru en 2001 chez Baleine, ce second roman de Gérard Alle est sous-titré « polar fermier ». Tout un programme. Ajoutez à cela une citation de Victor Hugo mise en exergue (« Le fait est que les Bretons ne comprennent rien à la Bretagne. Quelle perle et quels pourceaux ! ») et un premier chapitre plantant le décor bien comme il faut et on comprend d'emblée dans quelle ambiance on va être plongés. Dans la boue de la Bretagne profonde, celle où les cochons sont plus nombreux que les habitants et où l'agriculture intensive fait les dégâts que l'on sait.
Un habile saut dans le temps nous fait rapidement comprendre que Michel se morfond en prison, sans qu'on ne sache pour quoi. Retour au présent. Hervé, un jeune qui souhaitait s'installer comme agriculteur, a disparu. C'est louche. Michel et Yves vont partir à sa recherche avec l'aide de Joël, un hippie contestataire fort en gueule.
L'intrigue tient la route, les personnages sont attachants, et comme dans un Poulpe – l'auteur en a d'ailleurs écrit un peu après, Babel Ouest, le seul titre bilingue de la collection, moitié français moitié breton – Gérard Alle en profite pour dénoncer. Ici, la cible est le modèle agricole intensif et tout ce qui va avec : les ravages qu'il a provoqués en Bretagne, pour les hommes comme pour la nature, mais aussi les collusions entre les patrons de l'agrobusiness et les édiles locaux. On dépasse les quotas, on pollue à foison, on nourrit les bêtes aux farines animales... mais tant qu'on crache au bassinet, on est couvert par les huiles, au grand dam des écolos.
Si l'ensemble se lit bien, le lecteur pourra peut-être regretter que les dosages ne soient pas les mêmes du début à la fin. Alors que le roman commence comme un roman noir social, les touches d'humour se font de plus en plus présentes et le récit se termine en comédie loufoque, où certaines situations cocasses feront assurément passer un bon moment de rigolade. L'auteur s'amuse avec la langue française, passant sans mal de descriptions plutôt classiques à une gouaille paysanne. Il parvient même à nous faire l'accent québécois par écrit, ce qui n'était pas gagné d'avance.
Paru il y a une douzaine d'années, Il faut buter les patates entre encore étonnamment en résonance avec l'actualité bretonne. Les manifestants du roman arborent des casquettes et non des bonnets rouges mais pour le reste, les choses n'ont guère changé. Les lecteurs de l'Ouest saisiront les clins d’œil adressés par Gérard Alle, tel ce festival de rock ambitieux créé par un certain Tristan Cloarec pour redynamiser le territoire.
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J'en ai profité pour ouvrir un sujet sur cet auteur que je vous invite à découvrir.
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Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire... J'ai la certitude d'être encore heureux.
Jules Renard (1864-1910)
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Fab
Serial killer : Le Poète
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| Posté le: Mar Jan 14, 2014 4:59 pm Sujet du message: |
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je vais m'attaquer à un B
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Lou Berney November Road |
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