Jean-Christophe Grangé — Polars Pourpres

[Hoel]

Parution chez Sonatine d'un polar allemand semble-t-il prometteur.

L'auteur



Né en 1967 en Croatie, Zoran Drvenkar a trois ans lorsque ses parents s’installent en Allemagne. Il réside dans la région de Berlin. Il est romancier, dramaturge et scénariste. Sorry est son premier thriller publié en France.

Le roman



Berlin. Tamara, Frauke, Kris et Wolf se sont connus au lycée. Dix ans plus tard, après une succession de petits boulots, de drames personnels, de défaites diverses et de blessures secrètes, c’est sans trop d’illusions qu’ils abordent la trentaine. Les choses vont néanmoins changer très vite quand ils ont l’idée de créer une agence nommée Sorry, dont l’objet est de s’excuser à la place des autres. Le succès est immédiat, ils aident des hommes d’affaires qui estiment s’être mal comportés envers un salarié, un associé ou une entreprise à alléger leurs remords en allant à leur place chercher le pardon auprès de leurs victimes. Tout va pour le mieux jusqu’au jour où un mystérieux assassin désireux de soulager sa conscience en obtenant l’absolution pour les horribles souffrances qu’il inflige décide de recourir aux services de Sorry. C’est le début d’une longue descente aux enfers pour les quatre amis. Pris dans un piège infernal et mortel, ils n’auront d’autre solution que de découvrir au plus vite l’identité et les mobiles de ce tueur qui les manipule et semble parfaitement les connaître.


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Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire... J'ai la certitude d'être encore heureux.
Jules Renard (1864-1910)

http://hanniballelecteur.wordpress.com/

[Hoel]

Et vous pouvez le gagner grâce à Polars Pourpres et aux éditions Sonatine.



http://polars.pourpres.net/?act=concours&obj=form&concours=sorry

Le concours est en ligne jusqu'au 4 mai au soir.
N'hésitez pas à tenter votre chance ! Bonne chance à tous !
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Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire... J'ai la certitude d'être encore heureux.
Jules Renard (1864-1910)

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[Fab]

acheté mais pas encore lu
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À chaque décision que nous prenons, nous créons un nouvel avenir. Et, ce faisant, nous détruisons tous ceux que nous aurions pu avoir à la place.
Lou Berney November Road

[Fab]

démarré hier soir mais pour le moment j'ai un peu de mal à être pris par l'histoire.ce n'est pas forcément propre à ce livre,cela m'arrive de temps en temps quand j'enchaine plusieurs romans sans coupure
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À chaque décision que nous prenons, nous créons un nouvel avenir. Et, ce faisant, nous détruisons tous ceux que nous aurions pu avoir à la place.
Lou Berney November Road

[Fab]

je ressens un léger mieux mais je n'arrive pas à être vraiment intéressé
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À chaque décision que nous prenons, nous créons un nouvel avenir. Et, ce faisant, nous détruisons tous ceux que nous aurions pu avoir à la place.
Lou Berney November Road

[Fab]

un sujet difficile.j'ai eu beaucoup de mal à entrer dans le récit.je me suis accroché et puis,au bout d'un moment,les éléments s'enchainent pour donner du corps à l'histoire. cette dernière n'est pas en cause (en elle même elle est plutôt bonne) mais c'est surtout la structure et les moyens employés par l'auteur qui m'ont gêné.la façon dont sont employés les flashbacks et le "je" m'ont vraiment embrouillé pendant une bonne partie du livre
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À chaque décision que nous prenons, nous créons un nouvel avenir. Et, ce faisant, nous détruisons tous ceux que nous aurions pu avoir à la place.
Lou Berney November Road

[El Marco]

Sortie en poche le 1er juin.

[taylor]

Quand j’ai lu le quatrième de couverture de ce roman, l’histoire m’a plu par son idée originale : les protagonistes ouvrent une agence dont le but est de s’excuser à la place des autres.

Le succès arrive très vite, les 4 amis achètent une maison et s’installent tous ensemble. Ils profitent de leur nouvelle vie pleine de promesses.

Les ennuis commencent le jour où allant exécuter un contrat, ils tombent sur un cadavre. Le tueur leur demande de s’excuser auprès dudit cadavre. A partir de ce jour, rien ne sera plus jamais comme avant.

L’intrigue est racontée du point de vue de tous les protagonistes : chaucun appréhende l’histoire de manière différente ce qui va les pousser à commettre des actes dont ils ne mesurent pas toujours les conséquences.

On y voit également le point de vue de l’assasin : comment il en est arrivé à tuer des gens ? Pourquoi ? Dans quel but ? Mais également pourquoi avoir contacté l’agence ?

Le rythme est soutenu, il n’y a pas de temps mort et je me suis laissée prendre au jeu.

Je trouve la fin bien trouvée et elle colle parfaitement à l’histoire dans son ensemble.

[Ironheart]

Il est space ce roman quand même.

Déjà, l'auteur utilise souvent la deuxième personne du singulier, il s'adresse à nous, genre "on a gardé les cochons ensemble" et j'ai eu du mal à m'y faire. Au bout de plusieurs chapitres, ça va mieux, j'ai digéré cette familiarité.

L'écriture est particulière et l'ensemble assez atypique. Pas facile de rentrer dans l'histoire, sauvagement saucissonnée.
Mais je suis courageuse, je m'accroche ! o)
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“Si vous possédez une bibliothèque et un jardin, vous avez tout ce qu'il vous faut".
Cicéron.

[norbert]

[voxac30]

[Ironheart]

Oui, tu as raison, Voxac30, ca va mieux, je commence à apprécier (un peu) ma lecture. Mais cette alternance de récits qui se succèdent assez rapidement avec des changements de narration (un coup "je", un coup "tu", un coup "il") est parfois indigeste.
Et les personnages...Ah, parlons-en des perso ! Pas franchement sympathiques sans compter que l'auteur est sacrément avare en descriptions. Pas évident de s'en créer une image mentale ce qui ajoute une difficulté de lecture supplémentaire.
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“Si vous possédez une bibliothèque et un jardin, vous avez tout ce qu'il vous faut".
Cicéron.

[norbert]

Je veux lire les deux romans de Zoran !!!
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« Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy

[El Marco]

Mon avis :