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MiKa Meurtrier
Age: 43 Inscrit le: 30 Mar 2008 Messages: 476 Localisation: Bois Guillaume (76)
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Posté le: Jeu Jan 14, 2010 4:11 pm Sujet du message: |
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Inka a écrit: | Je ne pense pas Fredo... je l'ai reçu de la part de l'éditeur mais je n'avais pas une jolie présentation ! |
Tout pareil !
Ouais, vous êtes de sacrés veinards ! |
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Fredo Michael Myers
Age: 48 Inscrit le: 10 Avr 2004 Messages: 8982 Localisation: Paris
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Inka Meurtrier
Age: 63 Inscrit le: 16 Fév 2006 Messages: 486 Localisation: Puteaux
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Posté le: Sam Jan 16, 2010 3:52 pm Sujet du message: |
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J'ai bien aimé la lecture de ce livre, Fredo, il devrait te plaire ! Je n'ai pas regardé toutes les vidéos, mais la plupart oui ! c'était très intéressant, pouvant mettre un visage sur les personnages... |
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Memess Serial Killer : Patrick Bateman
Inscrit le: 09 Mar 2007 Messages: 920
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Laurent.V Meurtrier
Age: 54 Inscrit le: 21 Oct 2008 Messages: 498 Localisation: Nantes
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Posté le: Mer Jan 20, 2010 9:25 pm Sujet du message: |
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Une très bonne critique : Le Vent Sombre
Citation: | Goûtez aux joies du digi-roman en suivant la traque du Monstre, le meurtrier le plus abject de l'histoire de l'humanité, classé au niveau 26 sur l'échelle des criminels du FBI, qui ne comporte pourtant que 25 échelons. Retrouvez à intervalles réguliers sur le web des passages vidéo prolongeant les éléments du livre.
Amis lecteurs du Vent Sombre, je vous sens prêts à expérimenter avec moi le digi-roman, croisement improbable de la carpe (thriller livre) et du lapin (thriller cinéma), grâce à la magie définitive de votre offre triple-play. Anthony E. Zuiker est connu en France comme le créateur de l'increvable série scientifico-policière C.S.I. [1], déclinée en trois franchises de saveurs et intérêt inégaux : les addictives cinq premières saisons de Las Vegas plus quelques épisodes forts, mais isolés pour les cinq suivantes, la très prenante et noire première saison de New York, malheureusement corrigée vers l'assez fade et banal ensuite. Enfin les très médiocres huit saisons de l'hilarant Miami où, dans un univers factice et saturé de filtres photos, David Caruso / Horatio Caine, aussi bon acteur que Johnny et Létichia dans une pub Optic 2000, n'en finit pas de retirer et de remettre ses lunettes de soleil.
métro Fort de son expérience d'homme de télé, Zuiker entend donc donner au monde, qui n'avait rien demandé, le digi-roman (digi-novel en amerlocain). Level 26, c'est l'irruption dans le cours du texte de fragments filmés, une sorte de lasagne polardière, de suspense mille-feuillesque. Vous trouvez un code dans le livre, zou, vous filez sur le net au site que l'on vous a indiqué, vous remplissez les formalités d'identification, vous posez votre code dans la boite réservée à cet effet et un extrait vidéo vous est délivré.
Avant de dire si Level 26 et son procédé sont une révolution dans l'art de lire ou un foireux pet marketing, laissez-moi vous faire pénétrer un instant dans l'intimité (non, ce n'est pas sale) du lecteur que je suis dès que je revêts l'uniforme ténébreux du Vent Sombre. Ayant retiré mon livre à la Poste lundi soir (très beau packaging, le bouquin est gainé de blanc avec une fermeture éclair que nous devons réellement ouvrir, comme le méchant Sqweegel) je le laisse de côté jusqu'au lendemain midi où je grignote quelques pages en même temps que mon maigre repas maigre [2]. Damned, en quelques minutes je suis déjà arrivé à la première incitation à me connecter ! Je cherche des yeux un ordinateur mais, manque de chance, c'est un des rares moments de la journée où je suis dans un endroit qui en est dépourvu. Zut, crotte, fouchtra, je me dépêche de regagner mon bureau (un étage à remonter) et je me branche donc sur le site pour contempler une vidéo plutôt... bof, j'en recause plus loin.
toilettes Une très longue après-midi de dur labeur plus tard, un sympathique dîner avec de vieux amis m'attend à onze stations de métro de là. Mince, zut, crotte, palsambleu, au bout de cinq stations (c'est écrit plutôt gros), Level 26 me livre un nouvel indice vidéo et, pour la seconde fois, je suis dans un endroit sans ordinateur (on se demande ce que font le Gouvernement et la RATP). Je commence à paniquer, parce qu'il me reste six stations à parcourir dans ce sens et onze stations dans le sens contraire pour mon retour. Comme tout bon Parisien, j'exècre mes contemporains – surtout dans la promiscuité souterraine du métro – et je me vois mal faire un voyage et demi avec un bouquin à la main, sans pouvoir le lire et devant, à défaut, contempler la morgue de mes semblables. Mais, le critique polardier se doit de ne reculer devant aucun sacrifice et je ferme résolument le livre, bien décidé à attendre mon retour à la VSCave pour décrypter ce nouvel indice filmé...
J'avoue, j'ai craqué au voyage retour, surtout parce que je m'ennuyais, pas par intérêt pour ce que je lisais. Encore deux incitations... C'est d'ailleurs simple : il y a vingt vidéos pour 400 pages. Faites le compte, Level 26 délivre un message de connexion à peu près toutes les vingt pages. Il est tard quand je retire mes oripeaux et je n'ai pas trop envie d'allumer mon ordinateur qui est tellement ventilé que le voisinage d'un aéroport international est d'une douce quiétude à côté. Problème, avant de faire dodo ben moi, je lis, bien à l'abri sous ma couette pour affronter les 10 ou 11° (je vous rassure, Celsius) de ma chambre. Et j'accumule encore deux indices à regarder le lendemain.
au lit La lumière éteinte et Morphée se faisant désirer (non, à nouveau, ce n'est pas sale), je réfléchis à ce curieux procédé qui interdit finalement une véritable immersion du lecteur, au-delà des vingt malheureuses pages entre chaque vidéo. Les plus geeks qui trouveront le procédé génial, il y en aura évidemment, me répliqueront que la vidéo renforce au contraire l'immersion en nous donnant des trucs à entendre et à voir, mais rien de ce que montrera Zuicker ne sera supérieur à ce que je suis capable d'imaginer.
L'exemple de la première vidéo est flagrant. Le texte nous montre le caractère monstrueux de Sqweegel qui, comme 112.484 tueurs en série déjà évoqués au cinéma, à la télé ou dans les livres, adore se filmer accomplissant ses meurtres pour, après, se faire une petite séance super 8 (ça c'est bon coco, le premier tueur en série level 26 avec une Baby Pathé). Le texte nous le dit, et fait bien monter les enchères horrifiques. L'esprit du lecteur n'a plus ensuite qu'à boucher les trous et à envisager le pire, puisque c'est de cela que le monstre est capable. Et là, on nous envoie sur le net pour regarder le film sur lequel le tueur est en train de s'exciter, et c'est un petit navet médiocre, parce que Zuiker ne peut évidemment pas montrer ce que suggéraient ces mots et encore moins ce que moi, lecteur, j'ai dans la tête... Au lieu de cela, on nous donne à voir une insipide et esthétisante scène télévisuelle que même la censure de TF1 ne trouverait pas déplacée [3].
Le pire cependant reste à venir, comme nous allons le voir, car Level 26 est d'abord une expérience d'anti-lecture > |
Et son avis sur le digi-roman.
Citation: | Je suis de cette espèce qui pense que nous construisons en grande partie le bouquin que nous sommes en train de lire. Avec des images mentales qui nous sont très personnelles, mais aussi à coup d'interdits ou de préoccupations morales particulières, notre expérience du roman est unique et ce n'est que dans une toute petite mesure qu'elle est partageable.
Michael Ironside dans le rôle de Riggins En me branchant sur le site Level26.com le mercredi matin, je savais fort bien ce que j'y trouverai. Une personnification des personnages qui allait m'être imposée par les auteurs, détruisant cette liberté qui rend la lecture irremplaçable.
Je ne m'attendais évidemment pas à tomber sur un cast aussi connoté Hollywood (cinéma et télévision) : Michael Ironside en Riggins, Glenn Morshower en méchant Wycoff ou encore Bill Duke en détective Mitchell, tandis que le reste de la distribution a fait au moins une fois une apparition dans l'une des séries de Zuiker. Morshower joue les seconds rôles dans un grand nombre de shows outre-Atlantique ; on l'a vu dans 24, Shark, Friday night lights [1] ou encore Alias, Bones, Criminal Minds, etc. Quant à Ironside, on ne le présente même pas. Donc, non seulement les concepteurs de Level 26 m'imposent de l'extérieur les physiques et les comportements des personnages, mais ils leur donnent aussi les traits de comédiens juste entrevus ou très connus, un décor standardisé, une « couleur » et une atmosphère aux scènes, c'est-à-dire qu'ils confisquent pratiquement en totalité ce qui fait toute la joie de la lecture : l'imaginaire du lecteur. Et pour le remplacer par quoi ? Une bouillie assez semblable à ce que déversent à longueur de journée les téléviseurs du monde entier [2].
Morshower dans le rôle de Wycoff Après avoir consulté deux autres extraits et m'être aperçu qu'ils n'apportaient strictement rien à la compréhension de la très médiocre histoire qui m'était racontée par le livre, j'ai décidé de suspendre mes visites au site Level 26.com (et d'éventuellement tout faire d'un coup, une fois le roman terminé). Ce qui permet d'ouvrir un nouvel aspect de la discussion.
Le livre est bâti pour accueillir ces séquences (chapitres très courts, intrigue minimale et cousue de fil blanc, vocabulaire limité, psychologie archétypique des personnages) qui se révèlent ne servir à rien, puisque Duane Swierczynski (qui est le porte-plume de Zuiker) est bien obligé de tenir compte des lecteurs qui ne regarderont pas les vidéos. Il doit donner dans l'écrit suffisamment pour suivre, ce qui fait que les passages sur le site Level 26 sont soit inutiles, soit redondants avec le livre, à un moment donné. Par exemple, une vidéo nous montre, en milieu de bouquin, Constance expliquant à Dark comment elle a trouvé une erreur faite par Sqweegel. Ne pas voir ce passage n'a aucune incidence sur le déroulement du roman, d'autant que Swierczynski en reprend l'intégralité, sous forme littéraire, quelques chapitres plus loin.
Récapitulons donc. Le digi-roman oblige à interrompre sa lecture toutes les n pages et à foncer sur un ordinateur, pour voir des séquences que l'on croirait extraites d'une mauvaise série télé, qui n'apportent rien à l'histoire et confisquent notre imaginaire. A quoi cela sert-il ? Bonne question, je n'ai pas de réponse [3].
Cette « évolution » pourtant me semblait assez prévisible, quand on constate comment certains romans industriels balisent déjà le cheminement de leurs lecteurs. Level 26 est, à mon sens, la plus basique et la moins inventive utilisation que l'on pouvait attendre d'un mix entre écrit classique et multimédia, celle d'un mode culturel dominant qui impose ses codes. Je suis certain qu'une écriture particulière au Web émergera un jour, respectueuse de l'intelligence et de la sensibilité des lecteurs, s'il en existe encore. Sûrement pas dans la suite annoncée des aventures de Dark, prévue sur un modèle collaboratif (web 2.0, quand tu nous tiens), où l'expression de la majorité (nourrie au jus de chaussette du thriller et de la télé amerlocaine) prévaudra. Un cauchemar... |
Laurent. |
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Hoel Patrick Kenzie (modo)
Age: 36 Inscrit le: 06 Oct 2005 Messages: 11460 Localisation: Au bout du monde
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Posté le: Mer Jan 20, 2010 9:28 pm Sujet du message: |
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Je vois qu'on a les mêmes fréquentations Laurent !
J'ai lu ces articles hier soir et j'ai hésité à les poster ici-même, comme quoi... _________________ Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire... J'ai la certitude d'être encore heureux.
Jules Renard (1864-1910)
http://hanniballelecteur.wordpress.com/ |
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sandrine Témoin
Age: 53 Inscrit le: 20 Jan 2010 Messages: 14 Localisation: liége (belgique )
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Posté le: Jeu Jan 21, 2010 11:31 am Sujet du message: |
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Bonjour la foule ,
L'idée me plait assez je doit dire , il est vrai que je m'imagine plein de chose quand je lis mais j'aime encore bien avec certain livre d'agrementer ma lecture de documentation ...
Alors je recherche sur le net des images de ville, de lieux etc et qlq fois, ça me permet d'avoir la sensation d'y être en réel ...
Voilà une experience qui pour ma part , pourrais etre interressante ...
Est ce qu'il y a un laps de temps pour voir les vidéos ou est ce qu'a partir du moment où on est inscrit sur le site, on peu les voirs à tout moment ?
Par exemple , les regarder toute d'un coup aprés avoir lu le bouquin ? _________________ Certains livres se lisent à la cuisine, d'autres au salon. Un vrai bon livre se lit n'importe où.
[Thomas Chandler Haliburton] |
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Nico Commissaire Niémans (site admin)
Age: 43 Inscrit le: 28 Oct 2002 Messages: 9308 Localisation: Région Parisienne
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Posté le: Jeu Jan 21, 2010 11:33 am Sujet du message: |
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Tu peux tout à fait les regarder en une seule fois à la fin de ta lecture, les vidéos resteront toujours accessibles, autant de fois que tu le souhaites. _________________ Nico - Webmaster de Rivières Pourpres et Polars Pourpres |
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sandrine Témoin
Age: 53 Inscrit le: 20 Jan 2010 Messages: 14 Localisation: liége (belgique )
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Posté le: Jeu Jan 21, 2010 11:34 am Sujet du message: |
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Merci Nico ;o) _________________ Certains livres se lisent à la cuisine, d'autres au salon. Un vrai bon livre se lit n'importe où.
[Thomas Chandler Haliburton] |
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Inka Meurtrier
Age: 63 Inscrit le: 16 Fév 2006 Messages: 486 Localisation: Puteaux
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Posté le: Jeu Jan 21, 2010 2:20 pm Sujet du message: |
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Personnellement je pense qu'il vaut mieux les regarder au fur et à mesure qu'on avance dans la lecture du livre... et ceci pour la compréhension de l'histoire... ça apporte un plus ! |
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Fredo Michael Myers
Age: 48 Inscrit le: 10 Avr 2004 Messages: 8982 Localisation: Paris
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Posté le: Jeu Jan 21, 2010 9:46 pm Sujet du message: |
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sandrine a écrit: | Bonjour la foule ,
L'idée me plait assez je doit dire , il est vrai que je m'imagine plein de chose quand je lis mais j'aime encore bien avec certain livre d'agrementer ma lecture de documentation ...
Alors je recherche sur le net des images de ville, de lieux etc et qlq fois, ça me permet d'avoir la sensation d'y être en réel ...
Voilà une experience qui pour ma part , pourrais etre interressante ...
Est ce qu'il y a un laps de temps pour voir les vidéos ou est ce qu'a partir du moment où on est inscrit sur le site, on peu les voirs à tout moment ?
Par exemple , les regarder toute d'un coup aprés avoir lu le bouquin ? |
Le principe étant que l'histoire soit inter-active fait qu'il faut jouer le jeux dès le début. Donc, comme Inka le fait remarquer, il faut visionner les vidéos en lisant le livre. J'ai lu de ci de là des avis de gens qui râlaient parce qu'ils ne pouvaient pas lire le livre d'une traite dans leur lit (par exemple).
Le principe est de créer une inter action en invitant le lecteur à aller sur le net pour voir des séquences bien précises. Jouons le jeu alors.
Rien d'extra ordinaire dans ces vidéos mais elles s'intègrent véritablement dans l'histoire. _________________ Frédéric Fontès, News & Chroniques sur www.4decouv.com et C'est Culturellement Dingue sur TikTok |
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MiKa Meurtrier
Age: 43 Inscrit le: 30 Mar 2008 Messages: 476 Localisation: Bois Guillaume (76)
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Posté le: Dim Jan 24, 2010 4:52 pm Sujet du message: |
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Lu sur le site de France Info, un nouvel avis sur Level 26 où l'on apprend que Duane Swierczynski a fait bien plus que 'contribuer'.
Sophie Loubière de France Info a écrit: | LEVEL 26 est écrit par la romancière Duane Swierczynski sur une idée originale d’Anthony Zuiker lequel se définit comme un enfant du Net et de la télévision. Il avoue ne pas avoir la patience de lire un roman de 250 pages. Logique qu’il n’ait pas non plus la patience d’écrire son propre livre. Il faut dire que LEVEL 26 a de quoi lasser. Le style est d’une banalité confondante, l’histoire bourrée de clichés et de poncifs. Le profil psychologique des personnages tient sur un timbre poste et l’affrontement entre un méga méchant serial killer et un super génial agent chasseur de tueurs psychopathes a de quoi lasser. Et que dire des personnages féminins sinon qu’ils incarnent au mieux la niaiserie, au pire, la vilaine garce qui mérite punition.
Mais voilà. Zuiker : ça marche. Aguiché par les petites vidéos bien proprettes (la fille qui va se faire massacrer a encore culotte et soutien gorge), on finit par s’intéresser aux frasques de ce fada contorsionniste qui se glisse dans une combinaison blanche, enduit de beurre en plaquettes. On se laisse glisser d’une page à l’autre avec la même concupiscence que lorsqu’on se passe les popcorns pendant la coupure de pub entre deux épisodes des Experts - Las Vegas.
Mais ne soyons pas dupe devant ce nouvel outil de marketing qui a tout d’une bande annonce de la prochaine série télé choc du golden scénariste. |
Source : France Info |
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sandrine Témoin
Age: 53 Inscrit le: 20 Jan 2010 Messages: 14 Localisation: liége (belgique )
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Posté le: Mar Jan 26, 2010 8:01 am Sujet du message: |
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Où que j'aille voir , les avis sont vraiment partagés ...
J'vous donnerais mon avis quand j'l'aurai lu ;o)
bonne journée ! _________________ Certains livres se lisent à la cuisine, d'autres au salon. Un vrai bon livre se lit n'importe où.
[Thomas Chandler Haliburton] |
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Mag Serial killer : Le Poète
Age: 52 Inscrit le: 15 Nov 2005 Messages: 2278 Localisation: Dans le Sud !
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Posté le: Dim Fév 07, 2010 5:41 pm Sujet du message: |
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et bien moi il y avait longtemps que je n'avais été autant captivée par un thriller. C'est tout ce que j'aime que ce soit l'intrigue ou le style. Et je ne parle que de la lecture en elle-même. Pour moi les videos ne sont qu'un "plus" non indispensables à la lecture du roman. J'ai commencé à les regarder mais vers le milieu je voulais tellement avancer que je les ai sautées, je les regarderais après car elle ne sont qu'un complément illustratif de l'intrigue ( ceci dit les acteurs sont vraiment très bien choisis et les scènes bien jouées surtout celles de Sqweegl, vraiment flippant ce type...)
J'ai vraiment hâte de lire la suite prévue pour cette année d'après ce que j'ai pu lire sur le forum de Level 26. |
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Nico Commissaire Niémans (site admin)
Age: 43 Inscrit le: 28 Oct 2002 Messages: 9308 Localisation: Région Parisienne
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Posté le: Dim Fév 07, 2010 5:58 pm Sujet du message: |
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Je l'ai fini hier, et pour ma part mon avis se rapproche malheureusement plus de la critique du Vent Sombre postée plus haut que de l'opinion de Mag ou Inka.
J'ai trouvé que ça manquait complètement d'originalité et que c'était bourré de clichés. En ce qui concerne les vidéos, je trouvais l'idée de départ intéressante mais le peu que j'ai regardé s'apparentait davantage à une série B façon Hollywood Night qu'à un bon thriller (alors que j'étais enchanté à l'idée de retrouver des acteurs connus, comme l'agent Pierce de 24 ou le génial Marshall Flinkman d'Alias).
Bref, grosse déception pour moi. _________________ Nico - Webmaster de Rivières Pourpres et Polars Pourpres |
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