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JohnSteed Serial Killer : Patrick Bateman
Inscrit le: 08 Aoû 2016 Messages: 978
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Posté le: Jeu Jan 19, 2023 5:37 pm Sujet du message: |
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Poursuite de la trilogie Bowman:
Mon vote : 7/10
Citation: | Trois mille chevaux vapeur avait laissé le lecteur avec Bowman qui accueillait en son ranch, Pete Ferguson et son frère qui désertaient la Guerre de Sécession. Recherché par le Shérif, il doit s’enfuir.
Il va parcourir le sud des Etats-Unis, le Mexique mais aussi l’Eldorado que l’on lui a tout vanté : l’Equateur. Car son périple lui a fait épouser la cause révolutionnaire. Lui qui est en révolte contre tout et tout le monde a vu son côté rebelle et romantique embrasser la Cause. Mais sa vie ne se réalise pas par sa seule volonté mais va se construire au fil des rencontres d’hommes et de femmes de tout horizon : Comanches, marins, hommes politiques, et surtout cette Indienne, Maria, qui va chambouler sa vie.
Un roman introspectif, proposant moins d’actions que Trois mille chevaux vapeur mais plus intime où Antonin Varenne continue de raconter la quête de l’homme : un idéal. |
Mon vote : 9/10
Citation: |
Dernier volet de la Trilogie « Bowman », La toile du monde délaisse l’exploration et la découverte des conquérants du nouveau monde pour revenir sur l’ancien continent, en compagnie d’Aileen. La fille Bowman, journaliste-reporter, est chargée par son journal new-yorkais de couvrir l’Exposition Universelle de Paris en cette année 1900. 1900, cette fin de siècle qui avait mis la lumière sur ce nouveau continent, les Amériques. 1900, prémisse d’un autre siècle qui verra le vieux continent couvert de morts, à feu et à sang (mais ceci est une autre histoire).
A l’instar de ses parents, Aileen n’a pas sa langue dans sa poche et distille sa verve sur cette bourgeoisie parisienne bienséante, fausse et superficielle. Cet esprit bourgeois dont elle aime critiquer dans ses articles sur la Ville des Lumières en tant que journaliste free-lance pour ce journal parisien exclusivement tenu par ses collègues féministes.
Antonin Varenne nous fait parcourir l’Exposition Universelle, nous ouvre les portes des artistes parisiens, ses courants de pensées libertaires, comme une peinture acerbe du « grand » Paris de l’époque. La toile du monde est surtout un puissant espoir en la Femme, au mouvement libertaire et humaniste.
Ce dernier volet développe un esprit moins aventureux que ses deux prédécesseurs. Mais, pour ma part, il est peut-être le plus émouvant et le plus attachant. |
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