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| Auteur |
Message |
jabba
Meurtrier
Inscrit le: 30 Mai 2010
Messages: 371
Localisation: Douai
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 Posté le: Jeu Déc 21, 2017 8:59 pm Sujet du message: |
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Ravi que tu aies apprécié ce livre Norbert.
A reserver à un public averti quand même  |
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Hoel
Patrick Kenzie (modo)
Age: 36
Inscrit le: 06 Oct 2005
Messages: 11461
Localisation: Au bout du monde
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| Posté le: Jeu Déc 21, 2017 9:31 pm Sujet du message: |
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Tant mieux, du coup, il sera lu par beaucoup plus de monde, car un public averti en vaut deux. 
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Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire... J'ai la certitude d'être encore heureux.
Jules Renard (1864-1910)
http://hanniballelecteur.wordpress.com/ |
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norbert
Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47
Inscrit le: 18 Avr 2007
Messages: 11680
Localisation: Rhône-Alpes
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| Posté le: Jeu Déc 21, 2017 11:39 pm Sujet du message: |
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| jabba a écrit: | Ravi que tu aies apprécié ce livre Norbert.
A reserver à un public averti quand même |
Oui effectivement, c'est ce que je disais d'ailleurs.
(Même si je pense que le choc de cette découverte littéraire pourrait être presque salutaire pour certains, coupés du monde depuis trop longtemps...)
@ Hoel :
Heureusement que je sais que tu connais par coeur le chemin de la sortie... Ce qui m'étonne le plus en fait c'est qu'on t'autorise l'entrée quand il s'agit de sortir une vanne comme ça !
_________________
« Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy |
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Emil
Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 42
Inscrit le: 16 Mai 2011
Messages: 2520
Localisation: Normandie
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| Posté le: Ven Déc 22, 2017 8:25 am Sujet du message: |
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 Norbert !
J'avais déjà très envie de le lire, mais là avec ton petit commentaire bien efficace ...
Tu es terrible !
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La seule chose que l'on puisse décider est quoi faire du temps qui nous est imparti - JRR Tolkien |
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norbert
Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47
Inscrit le: 18 Avr 2007
Messages: 11680
Localisation: Rhône-Alpes
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| Posté le: Ven Déc 22, 2017 2:28 pm Sujet du message: |
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| Emil' a écrit: | Norbert !
J'avais déjà très envie de le lire, mais là avec ton petit commentaire bien efficace ...
Tu es terrible ! |
Je ne vois pas de quoi tu veux parler... 
Je vais tenter de l'étoffer un peu pour voter.
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« Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy |
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norbert
Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47
Inscrit le: 18 Avr 2007
Messages: 11680
Localisation: Rhône-Alpes
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| Posté le: Ven Déc 22, 2017 2:53 pm Sujet du message: |
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>> La chronique de Christian dans 20 Minutes :
| Citation: |
Dans «Comme des rats morts» de Benedek Totth, on ne s'ennuie pas une seconde
POLAR. Les lectures coups de cœur, ça se partage.
Notre communauté vous recommande chaque jour un nouveau livre.
Aujourd'hui, «Comme des rats morts» par Benedek Totth chez Actes Sud (21,80€, 254 p.).
Ma citation préférée :
« Greg lui tend le flingue et la Bouée le pointe aussitôt sur lui. Bien sûr, Greg se contente de faire un sourire narquois, mais les filles sont toutes pâles d’un coup. La Bouée demande à Greg : - Alors, quel effet ça te fait, hein ? »
Pourquoi ce livre ?
■ Il faut lire ce livre car c’est le meilleur polar étranger de 2017 !
■ Parce qu’il y a de la lumière dans cette noirceur : une écriture brutale, sans concession, difficile d’accès au début et puis on se passionne pour ces sales gosses.
■ Parce que la violence, la dope, le sexe, ne sont pas traités comme des actes romanesques dans ce livre.
Il sont des actes instinctifs, inconscients de toute humanité.
Des gosses qui font l’apprentissage de la vie dans la violence.
Vous n’êtes pas obligé de les aimer, mais au-delà de ce chaos, ils restent attachants.
L’essentiel en 2 minutes :
L’intrigue.
Une bande d’ados vit entre les entraînements de natation, le lycée et la dope.
Leur vie se résume à glander devant des pornos et des jeux vidéo et se droguer.
Jusqu’où peuvent mener ces jeux ?
D’abord la mort d’un cycliste… et si justement la mort était aussi un jeu ?
Les personnages.
Il y a Greg, le gosse de riche qui fournit la dope à tout le monde, Dany, le timide, « la Bouée », les deux soeurs Nikky et Vicky, et le narrateur.
Les lieux.
Banlieue d’une grande ville de Hongrie.
L’époque.
Epoque actuelle.
L’auteur.
Benedek Totth est le traducteur de nombreux romanciers en Hongrie.
Comme des rats morts est son premier roman, qui est salué dans toute la presse.
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« Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy |
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norbert
Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47
Inscrit le: 18 Avr 2007
Messages: 11680
Localisation: Rhône-Alpes
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| Posté le: Ven Oct 04, 2019 4:36 pm Sujet du message: |
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Vient de paraître en Babel Noir :
En même temps que le nouveau roman de cet auteur hongrois, La Guerre après la dernière guerre, un thriller post-apocalyptique paru dans la collection Exofictions :
| Citation: |
Dans le huis clos infernal d'une ville ravagée par la guerre nucléaire qui oppose Russie et Etats-Unis, un jeune garçon erre. L'adolescent avait quitté le refuge où il avait trouvé abri avec ses amis pour aller décrocher, par curiosité plus que par compassion, un parachutiste américain blessé, suspendu aux poutres d'une maison éventrée. A son retour, le refuge a été bombardé, tous sont morts et son petit frère Théo a disparu. Flanqué du parachutiste, avec la crainte permanente de rencontrer des soldats ou des mutants irradiés évadés de la "Zone rouge", le narrateur se met en quête de Théo sous les bombardements et les tirs d'armes automatiques.
Roman postapocalyptique sur lequel plane l'ombre tutélaire de Cormac McCarthy, roman d'errance et de nuit, La Guerre après la dernière guerre imagine l'humanité d'après la fin de la civilisation. La cendre a enseveli la ville comme la guerre a enseveli le temps. Reste l'obligation, impérieuse, vitale, de retrouver l'espoir.
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« Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy |
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