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Le Juge Wargrave Ishigami le Dharma
Age: 39 Inscrit le: 17 Oct 2012 Messages: 8733 Localisation: Hexagone
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Posté le: Dim Aoû 04, 2019 10:48 am Sujet du message: |
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Le Juge Wargrave a écrit: | MAJ :
Le Juge Wargrave a écrit: |
- 1945 : OK
- 1946 : OK
- 1947 : OK
- 1948 : OK
- 1949 : OK
- 1950 : OK
- 1951 : OK
- 1952 : OK
- 1953 : OK
- 1954 : OK
- 1955 : manquent 15 titres, faute de résumé
- 1956 : manquent 13 titres, faute de résumé
- 1957 : OK
- 1958 : OK
- 1959 : OK
- 1960 : OK
- 1961 : OK
- 1962 : OK
- 1963 : OK
- 1964 : OK
- 1965 : OK
- 1966 : OK
- 1967 : OK
- 1968 : OK
- 1969 : OK
- 1970 : OK
- 1971 : OK
- 1972 : OK
- 1973 : OK
- 1974 : OK
- 1975 : OK
- 1976 : OK
- 1977 : OK
- 1978 : OK
- 1979 : OK
- 1980 : OK
- 1981 : OK
- 1982 : OK
- 1983 : OK
- 1984 : OK
- 1985 : OK
- 1986 : OK
- 1987 : OK
- 1988 : OK
- 1989 : OK
- 1990 : OK
- 1991 : OK
- 1992 : OK
- 1993 : OK
- 1994 : OK
- 1995 : OK
- 1996 : OK
- 1997 : OK
- 1998 : OK
- 1999 : OK
- 2000 : OK
- 2001 : OK
- 2002 : OK
- 2003 : OK
- 2004 : OK
- 2005 : OK |
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Trois "nouveaux" Série Noire réduisent le nombre de titres manquants à 28. L'étau se resserre !
J'ai les deux derniers dans ma PAL, éditions de 1956 et 1955, j'aime beaucoup les couvertures cartonnées.
_________________ La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003). |
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El Marco Charlie "Bird" Parker (modo)
Age: 45 Inscrit le: 30 Avr 2004 Messages: 11571 Localisation: Alpes-Maritimes
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Posté le: Jeu Aoû 08, 2019 7:39 am Sujet du message: |
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Citation: | Comme voyage d'agrément, c'est plutôt réussi. À Venise où sous les ponts on risque de pousser son tout dernier soupir, Don Micklem vit sur les dents. Par amitié, il s'est lancé dans une course folle et, pour échapper au terrible Natzka, il emploie tous les moyens de transport à part le vélo... et le corbillard. Encore heureux ! |
Mon vote sur Polars Pourpres :
Citation: | … ou comment le millionnaire / milliardaire américain Don Micklem en vient à essayer d’aider un ancien camarade de combat (ils se sont connus pendant un parachutage en Italie lors de la Seconde Guerre mondiale) John Tregarth par l’entremise de l’épouse de ce dernier. Sans le savoir, Micklem va devoir se rendre à Venise et affronter de dangereux sbires pour retrouver un document qui intéresse fortement les services secrets. Des ouvrages de James Hadley Chase, j’en ai lu quelques-uns, et le très bon alterne avec le médiocre. Ici, clairement, on est plutôt dans cette seconde catégorie. Factuellement, ça part plutôt bien : un héros charismatique et malin, quelques acolytes bien sympathiques (les relations avec son domestique, Cherry, sont bien amusantes), et il y a de l’action portée par une écriture simple mais éprouvée et efficace. Après, il y a pas mal de points qui me laissent perplexes. Les ennemis ne sont guère roués en plus d’être assez insignifiants au combat, au point que Micklem et les siens ont souvent trop facilement le dessus sur eux sans que ça ne soit leur métier. En outre, au vu de l’importance des documents à récupérer, les « méchants » (appelons-les ainsi, sans que ça ne soit caricatural, car leur côté malveillant n’est guère impressionnant) ne mettent que rarement en œuvre les moyens (financiers ou humains) pour parvenir à leurs fins, ce qui nuit à la crédibilité. Et puis, il y a cette cinquantaine de pages au cours desquelles Micklem et ses compagnons tentent d’échapper à la traque menée par leurs ennemis : longues, très longues, trop longues. Sans suspense, sans piment, sans frisson. J’ai autant accroché à cet interminable passage que de l’eau plate à un plafond. Bref, dans l’ensemble, indéniablement, ça se laisse lire, mais ça reste peu convaincant. C’est, en quelque sorte, une carte postale écrite et envoyée depuis Venise, mais rédigée à la va-vite histoire d’être expédiée juste avant la levée du facteur. |
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Le Juge Wargrave Ishigami le Dharma
Age: 39 Inscrit le: 17 Oct 2012 Messages: 8733 Localisation: Hexagone
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Posté le: Jeu Aoû 08, 2019 9:11 am Sujet du message: |
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Étonnant le décalage entre ton commentaire où tu parles d'un roman médiocre et ta note, 8/10 (équivalant à "très bon roman")... _________________ La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003). |
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El Marco Charlie "Bird" Parker (modo)
Age: 45 Inscrit le: 30 Avr 2004 Messages: 11571 Localisation: Alpes-Maritimes
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Posté le: Jeu Aoû 08, 2019 10:34 am Sujet du message: |
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Juste une coquille. |
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norbert Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47 Inscrit le: 18 Avr 2007 Messages: 11680 Localisation: Rhône-Alpes
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Posté le: Jeu Aoû 08, 2019 12:14 pm Sujet du message: |
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El Marco a écrit: | J’ai autant accroché à cet interminable passage que de l’eau plate à un plafond. |
J'adore cette métaphore, chapeau ! _________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy |
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Hoel Patrick Kenzie (modo)
Age: 36 Inscrit le: 06 Oct 2005 Messages: 11460 Localisation: Au bout du monde
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Posté le: Jeu Aoû 08, 2019 12:27 pm Sujet du message: |
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C'est vrai que l'eau pétillante adhère davantage, surtout la Badoit Rouge. _________________ Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire... J'ai la certitude d'être encore heureux.
Jules Renard (1864-1910)
http://hanniballelecteur.wordpress.com/ |
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norbert Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47 Inscrit le: 18 Avr 2007 Messages: 11680 Localisation: Rhône-Alpes
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Posté le: Jeu Aoû 08, 2019 12:32 pm Sujet du message: |
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_________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy |
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Le Juge Wargrave Ishigami le Dharma
Age: 39 Inscrit le: 17 Oct 2012 Messages: 8733 Localisation: Hexagone
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Posté le: Jeu Aoû 08, 2019 7:19 pm Sujet du message: |
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Je ne sais pas si cela a été dit dans ce topic mais le n°1000 de la S.N. a été republié en 1995 sous le numéro 2391, il s'agit du fameux 1275 âmes de Jim Thompson, a priori avec la même traduction de Marcel Duhamel.
Du coup j'ai refait mes comptes pour savoir combien de S.N. j'avais lu à ce jour, et j'en suis à 38 (si je tiens compte du doublon cité précédemment) sur les 2945 publiés à ce jour (dernier titre sur la fiche wiki Le Dernier murmure de Tom Piccirilli, sorti en juin dernier), soit 1,29% ! _________________ La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003). |
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Le Juge Wargrave Ishigami le Dharma
Age: 39 Inscrit le: 17 Oct 2012 Messages: 8733 Localisation: Hexagone
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Posté le: Lun Aoû 12, 2019 2:05 pm Sujet du message: |
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Le Juge Wargrave a écrit: | MAJ :
- 1945 à 1954 : OK
- 1955 : manquent 4 titres, faute de résumé
- 1956 : manquent 8 titres, faute de résumé
- 1957 à aujourd'hui : OK. |
Plus que 12 titres (après validation des derniers titres soumis à la base).
Pour le n°322, Entre le Gorille et les Corses d'Antoine Dominique (pseudonyme de Dominique Ponchardier), un site indique que c'est le même titre que Le Gorille et les Corses (Plon, 1981) mais j'ai un doute donc je vais essayer d'avoir une confirmation. Si quelqu'un sait, merci de me le dire ici.
Pour les 11 autres titres manquants, j'ai eu beau chercher et chercher encore sur le Net (résumé en anglais compris), je n'ai pas trouvé de quoi faire un résumé convenable pour la fiche PP... _________________ La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003). |
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Hoel Patrick Kenzie (modo)
Age: 36 Inscrit le: 06 Oct 2005 Messages: 11460 Localisation: Au bout du monde
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Posté le: Mar Aoû 13, 2019 5:23 pm Sujet du message: |
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Merci pour le boulot accompli ! _________________ Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire... J'ai la certitude d'être encore heureux.
Jules Renard (1864-1910)
http://hanniballelecteur.wordpress.com/ |
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Le Juge Wargrave Ishigami le Dharma
Age: 39 Inscrit le: 17 Oct 2012 Messages: 8733 Localisation: Hexagone
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Posté le: Mar Aoû 13, 2019 5:38 pm Sujet du message: |
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De rien, avec plaisir ! _________________ La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003). |
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El Marco Charlie "Bird" Parker (modo)
Age: 45 Inscrit le: 30 Avr 2004 Messages: 11571 Localisation: Alpes-Maritimes
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Posté le: Sam Aoû 17, 2019 7:45 am Sujet du message: |
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Citation: | Les fleurs du mal trouvent pour s'épanouir un climat propice sous la lumière crue et implacable du Mexique.
Le général ivrogne Estaban et l'attorney véreux Santchez risquent fort de leur servir d'engrais.
Oui, c'est bien joli les coquelicots, mais c'est un végétal compromettant. Vous oubliez une graine dans un coin du jardin, et quand vous revenez, vous ne voyez que ça.
Ils ont tout recouvert, tout étouffé. Le crime, c'est à peu près pareil une seule faute commise un soir d'égarement et les meurtres se mettent à fleurir à la ronde. |
Mon vote sur Polars Pourpres :
Citation: | … ou comment Ad Connors, écrivaillon à la dérive, en vient à tomber sur le grand amour, puis risquer sa vie et être accusé de plusieurs meurtres, tout ça parce qu’il aura voulu porter secours à la jeune et belle Eleana. Elle a un léger accrochage avec la voiture du général Esteban, et quand ce dernier se montre trop entreprenant dans une chambre d’hôtel, c’est ce brave Ad qui intervient… et tue le militaire. Puis c’est un attorney dont on lui fait porter la culpabilité de l’assassinat. Entre Ad et Eleana, une belle idylle, fiévreuse, brutale, mais éphémère, avant qu’elle ne rejoigne sa famille, à Blue Mound, Missouri, pour épouser un Lautenbach et ainsi s’assurer un confortable train de vie. Reviendra alors de plein fouet une histoire de famille, où le père d’Eleana a disparu depuis fort longtemps. Une écriture sympathique, parfois humoristique (particulièrement dans certains dialogues, ou comme dans ce clin d’œil où le shérif s’appelle… Jim Thompson), parfois ampoulée, mais on se laisse sans mal emporter par la plume de Day Keene. Ad est un personnage agréable, écrivain un peu paumé, qui a refusé d’écrire des histoires pour des magazines afin de se consacrer à une plus imposante histoire… qui ne vient pas. Eleana est pétillante, jeune et désirable, et Day Keene sait rendre palpable ce désir qu’elle suscite. S’il s’agit d’un roman plaisant à lire, l’histoire ne m’a pas beaucoup convaincu. Un peu trop capillotractée et embrouillée, avec un père démissionnaire, un départ précipité, un cirque, un adultère, un retour, trois morts, etc. Tout ça m’a semblé à la fois un peu brouillon, confus, et manquer de cohérence, voire d’harmonie. Et le final, sans grand panache, ne m’a pas plus séduit, puisque c’en était presque une conclusion de whodunit alors que le reste de l’ouvrage était du pur roman noir, sans compter le fait que cet épilogue est à la fois fort classique, sans frisson réel, et ne vient pas apporter cette note de folie ou cette poussée de tension que j’ai désespérément attendue tout au long de l’opus. Bref, un livre sympa, mais ni renversant ni très crédible non plus, où Day Keene, malgré un talent de narration indéniable, en vient à jouer une partition de façon trop scolaire et indolente. |
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El Marco Charlie "Bird" Parker (modo)
Age: 45 Inscrit le: 30 Avr 2004 Messages: 11571 Localisation: Alpes-Maritimes
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Posté le: Dim Sep 01, 2019 7:52 am Sujet du message: |
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Citation: | Ô vous, cochons de parents, infâmes géniteurs, ça va être votre fête ! On vous déquillera tous !
Et c'est ainsi que quelques charmants adolescents organisent l'élimination systématique de leurs vieux. Ca marche comme un service d'entraide sociale. Mais certains " pères-flics " peuvent avoir la viande coriace. |
Mon vote sur Polars Pourpres :
Citation: | … ou comment Charles Livingston, impresario dans le milieu du théâtre, et Floyd Breed, guide chasse et de pêche, en viennent à unir leurs forces tandis que se multiplient des meurtres perpétrés par de jeunes et mystérieux assassins, ces deux hommes pensant qu’il s’agit là de l’œuvre de… leurs enfants. Un synopsis alléchant – quoique trop tôt dévoilé, ce qui gâche un peu le suspense, et traité de manière sobre et alerte. La plume de Burt Hirschfeld est très plaisante à lire, glissant quelques passages humoristiques et légèrement crapuleuses, notamment lorsqu’il s’agit de Charles, toujours prompt à se laisser conquérir par de belles et jeunes naïades prêtes à tout pour s’assurer le maximum de chances d’une carrière artistique. Si l’idée de départ est vraiment bien trouvée, avec cette escouade, un peu dilettante certes, mais sacrément opiniâtre et mortelle, d’ados décidés à exterminer leurs propres géniteurs, il manque un je ne sais quoi à l’ouvrage pour emporter totalement mon adhésion. Peut-être est-ce le côté très concis du roman qui a muselé l’auteur et l’a empêché de développer la dimension psychologique des criminels, ce qui les a poussés à ainsi se lancer dans une croisade mortifère, ce qui a pu ainsi cristalliser tant de haine pour qu’ils se jettent à cœur perdu dans ces expéditions punitives. |
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El Marco Charlie "Bird" Parker (modo)
Age: 45 Inscrit le: 30 Avr 2004 Messages: 11571 Localisation: Alpes-Maritimes
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Posté le: Sam Oct 12, 2019 7:47 am Sujet du message: |
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Citation: | C'était un beau garçon qui tuait les très jeunes filles après les avoir violées. Un jour, il eut le grand tort de vouloir s'attaquer à une mignonne japonaise sourde et muette. Il ignorait que, dans l'ombre, de preux chevaliers au rabais veillaient sur sa vertu. |
Mon commentaire sur Polars Pourpres :
Citation: | … ou comment Roy Morgan, beau gosse tueur à gages et karatéka, mû par une violente pulsion pédophile, en vient à se jeter sur la jeune et belle Yumi Kobota, avant que le chaos ne se déclenche suite à cette agression. Pour une fois, je suis très heureux qu’un résumé de quatrième de couverture soit aussi faux, de même que le titre, ce qui m’a permis d’être rapidement surpris par le déroulé du récit, où il n’est nullement question de la mort de Yumi ni de « preux chevaliers » (que l’on pouvait comprendre comme étant des samouraïs ou des yakuzas avec un peu d’ironie). La terrible rencontre entre ce pervers de Morgan, assassin à la solde d’une mafia, et de la sourde-muette Yumi va engendrer à la fois une série de morts chez les mafieux et une enquête menée par deux policiers : Ohara, d’origine japonaise (mais que tout le monde pense, de prime abord, être irlandais si l’on pense que son nom s’écrit O’Hara) et Washington, un Noir assez décontracté et costaud. Un duo de limiers assez frais et qui se complètent l’un l’autre, Washington faisant son entrée au sein du service « Vols – Homicides ». La plume de Nan Hamilton est très agréable, aucun mot de trop, et une enquête menée à toute allure, riche en péripéties, qui préserve de purs instants de grâce (la rencontre entre Ohara et Yumi où cette dernière s’exprime par de simples gestes en raison de son double handicap, le cérémonial du suicide plus loin dans le roman, etc.), d’éphémères incursions dans la culture nippone (notamment lorsque Ohara est aux côtés de son épouse) et de très brefs passages laissant à voir le sort des Américains d’origine nippone lors ou juste après la Seconde Guerre mondiale. Pas mal de noirceur malgré la présence de salvateurs traits d’humour, notamment dans la relation entre les deux enquêteurs, de l’humanité également (par exemple dans les ultimes chapitres lorsqu’il s’agit de parler de la mère de Yumi, Hana) et des rebondissements quant à l’identité de l’assassin, sans jamais tomber dans la surenchère stérile d’effets faciles. Donc, beaucoup de sobriété pour une efficacité exaltée, une idée de départ alléchante et un traitement fort convaincant. Une réussite. |
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Le Juge Wargrave Ishigami le Dharma
Age: 39 Inscrit le: 17 Oct 2012 Messages: 8733 Localisation: Hexagone
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Posté le: Sam Oct 12, 2019 11:27 am Sujet du message: |
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Citation: | Rescapé des camps de la mort à 20 ans, Lucien Perrain a reconstruit sa vie. Il possède une entreprise florissante et adore son petit-fils qui symbolise, pour lui, sa victoire sur la mort. Jusqu'au jour où le garçon est enlevé. Pas question pour Lucien Perrain de payer la rançon exigée par les ravisseurs. Il s'est juré, en sortant des camps, que plus personne n'aurait de pouvoir sur lui. L'attaque étant la meilleure des défenses, Lucien va montrer les dents. Il prend l'offensive, quitte à entreprendre un voyage au fond de la mémoire qui pourrait bien le mener, de nouveau, en enfer. |
Mon avis :
Citation: | Un brin déçu par ce court roman dont j'attendais peut-être trop. J'ai trouvé le parallèle entre l'expérience des camps et l'enquête pour retrouver le petit-fils maladroite, les traits d'humour peu pertinents et les révélations finales qui tombent à plat car prévisibles et surtout parce que je n'avais pas accroché jusque-là. Dommage car le personnage central, le grand-père rescapé des camps, est plutôt réussi et attachant.
J'essaierai un autre roman de Joseph Bialot pour voir ce que ça donne. |
_________________ La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003). |
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