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Ironheart Annie Wilkes
Age: 50 Inscrit le: 25 Juil 2007 Messages: 5041 Localisation: Le Gard
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Posté le: Jeu Fév 07, 2019 6:01 pm Sujet du message: |
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Absolument !
En ce qui me concerne, je confirme ne pas être Matthieu Biasotto et n'avoir aucun lien avec lui (et croyez bien que je le regrette ! ) _________________ “Si vous possédez une bibliothèque et un jardin, vous avez tout ce qu'il vous faut".
Cicéron. |
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charlice Serial Killer : Patrick Bateman
Age: 62 Inscrit le: 04 Oct 2013 Messages: 522 Localisation: PAU
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Posté le: Jeu Fév 07, 2019 9:55 pm Sujet du message: |
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C'est pas moi non plus
Je tiens la facture du téléchargement à votre disposition _________________ Promis, ce soir je ne lis pas et me couche plus tôt. |
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norbert Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47 Inscrit le: 18 Avr 2007 Messages: 11680 Localisation: Rhône-Alpes
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Posté le: Ven Fév 08, 2019 6:30 pm Sujet du message: |
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Charlice, sur PP a écrit: |
Un bémol peut-être pour une fin un peu fleur bleue et c'est un petit peu court (266p en version numérique).
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Charlice, j'ai remarqué que dans plusieurs de tes commentaires, tu trouves les bouquins trop courts, y compris pour des romans de près de 400 pages (comme Dégradation de Myers qui d'ailleurs ne fait pourtant pas 270P. comme tu l'écris, à moins que tu aies eu une version abrégée ! ), du coup je me demandais : à partir de combien de pages estimes-tu un livre suffisamment "long" ?! _________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy |
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charlice Serial Killer : Patrick Bateman
Age: 62 Inscrit le: 04 Oct 2013 Messages: 522 Localisation: PAU
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Posté le: Ven Fév 08, 2019 9:29 pm Sujet du message: |
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Très très bonne question Norbert et je te remercie de me l'avoir posée.
En fait la réponse n'est pas simple. Quand je lisais en version papier, le nombre de pages était facilement visible et disons qu'en poche, il me fallait 350 pages mini (exception pour les San-A et des polars genre J.H. Chase).
Depuis qq années, je lis quasi exclusivement en numérique et là c'est plus difficile pour s'y retrouver. J'ai l'impression qu'une page epub n'est pas standard, du coup, depuis quelques temps j'essaie de comparer avec le nombre de pages annoncées (info disponible sur PP) de la version papier et je trouve que c'est loin d'être proportionnel.
Quand je donne 270 pages pour Dégradation, c'est en numérique.
J'essaie aussi de voir le temps que je mets pour lire un livre pour comparer, mais comme je lis plus depuis qq temps, ça fausse mon estimation
Peut-être que la pagination epub fausse mon jugement et que les livres sont plus épais que ce je crois.
Faudrait que j'aille relever en librairie le nombre de pages en version poche (à moins que l'info soit disponible sur le net) d'une sélection de livres pour voir si on peut en tirer un rapport relativement constant, pages papier/pages epub.
Voili, voila, c'est clair non Sinon je peux développer _________________ Promis, ce soir je ne lis pas et me couche plus tôt. |
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norbert Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47 Inscrit le: 18 Avr 2007 Messages: 11680 Localisation: Rhône-Alpes
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Posté le: Ven Fév 08, 2019 10:19 pm Sujet du message: |
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Oui oui, c'est clair, j'imagine qu'une page en numérique n'équivaut pas forcément une page standard. Et puis bon, en général quand on trouve un livre trop court, c'est plutôt qu'on l'a aimé. _________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy |
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charlice Serial Killer : Patrick Bateman
Age: 62 Inscrit le: 04 Oct 2013 Messages: 522 Localisation: PAU
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Posté le: Sam Mai 04, 2019 8:06 pm Sujet du message: |
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j'attaque
_________________ Promis, ce soir je ne lis pas et me couche plus tôt. |
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Le Juge Wargrave Ishigami le Dharma
Age: 39 Inscrit le: 17 Oct 2012 Messages: 8733 Localisation: Hexagone
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Posté le: Sam Fév 03, 2024 11:16 am Sujet du message: |
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Mon avis :
Citation: | J'ai toujours eu quelques réserves avec les romans auto-édités... Mais Matthieu Biasotto a ici balayé rapidement mes réticences, dès les premières pages avec l'accident de moto de Thomas Garnier. On est dans la peau de ce dernier, pourtant plongé dans le coma. Introspection/rétrospection, on se repasse, via un carnet noir tenu par Tomato Ketchup (surnom de Thomas lorsqu'il était enfant), les derniers jours avant l'accident. On mesure, avec lui, à quel cet homme était un conn***, tant avec les collaborateurs de son entrepris pour qui il voue sa vie, PDG tyrannique qui sniffe de la coke pour tenir le rythme, qu'avec ses proches. Un mauvais père, privilégiant son travail au détriment de son fils. Un mauvais mari, adultère. Bref, un type peu fréquentable, détestable.
Matthieu Biasotto a su, avec une belle justesse, décrire "en creusant les failles de tout un chacun, pour mieux nous questionner, voire nous sermonner..." comme l'a si bien écrit plus bas Jackbauer dans sa critique. C'est exactement cela. La conclusion nous confirme que nous sommes bien dans le registre du roman noir (au passage, la lecture d'Arnaud Romain, livre audio, est très expressive tout au long du roman, lui donnant un relief particulier).
Très bonne découverte, un roman qui fait réfléchir. |
_________________ La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003). |
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