Jean-Christophe Grangé — Polars Pourpres

[norbert]

Après Sukkwan Island, Désolations et Impurs, Goat Mountain, le quatrième roman de David Vann, vient de paraître chez Gallmeister, dans une traduction de Laura Derajinsky.
Il termine le cycle romanesque inspiré de l'histoire familiale de l'auteur.




Le livre :

Automne 1978, nord de la Californie.
C'est l'ouverture de la chasse sur les 250 hectares du ranch de Goat Mountain où un garçon de onze ans, son père, son grand-père et un ami de la famille se retrouvent comme chaque année pour chasser sur les terres familiales.
À leur arrivée, les quatre hommes aperçoivent au loin un braconnier qu'ils observent de la lunette de leur fusil.
Le père invite son fils à tenir l'arme et à venir regarder.
Et l'irréparable se produit.
De cet instant figé découle l'éternité : les instincts primitifs se mesurent aux conséquences à vie, les croyances universelles se heurtent aux résonnances des tragédies.
Et le parcours initiatique du jeune garçon se poursuivra pendant plusieurs jours, entre chasse au gibier et chasse à l'homme, abandonné à ses instincts sauvages.

Soutenu par une prose poétique au rythme obsédant et d'une précision absolue, Goat Mountain est le nouveau roman provocant et visionnaire d'un auteur au sommet de son art. Ce livre ambitieux contient en son essence l'humanité tout entière.


« Toutes les qualités d'un conte populaire. Toute la force d'une balle tirée d'un revolver. »
The Economist.

« Un auteur doué d'un talent rare et d'une acuité d'esprit exceptionnelle. »
The Guardian.

« Ce roman dur comme la pierre verra son intensité comparée aux écrits de Cormac McCarthy. »
Publishers Weekly.


L'auteur :

David Vann est né en 1966 sur l'île Adak, en Alaska.
Il est l'auteur de Sukkwan Island, prix Médicis étranger 2010, traduit en dix-huit langues dans plus de cinquante pays, de Désolations et d'Impurs.
La vente de ses livres totalise 300000 exemplaires en France.
David Vann partage désormais son temps entre l'Europe et la Nouvelle-Zélande.
Goat Mountain est son quatrième roman et clôt le cycle romanesque inspiré de son histoire familiale.



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« Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy

[norbert]

>> La chronique de Jeanne Desaubry sur son blog :

[Le Juge Wargrave]

Sorti en poche le 4 octobre dernier :


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La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003).

[Hoel]

Je les trouve vraiment chouettes ces nouvelles couv pour les poches de chez Gallmeister.
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Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire... J'ai la certitude d'être encore heureux.
Jules Renard (1864-1910)

http://hanniballelecteur.wordpress.com/

[Polarbear]

[Le Juge Wargrave]

J'ai pris ce livre hier à la foire du livre de Brive et lors de notre échange, alors que je lui disais que Désolations était un des meilleurs romans qu'il m'ait été donné de lire, l'auteur m'a dit qu'à ses yeux, ses romans les plus aboutis, les "meilleurs" (ce n'est pas le mot utilisé par l'auteur mais le traducteur n'était pas là à ce moment, donc je le traduis comme ça) sont

et

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La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003).

[Polarbear]

Je me suis procuré et dans la collection Totem. Trouvés sur Price Minister. Ils sont magnifiques ! Elle me plait beaucoup cette collection. Hâte de découvrir le contenu.
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"Ce qui compte dans le polar, ce n'est pas le crime, mais le monde dans lequel il se produit." Richard Price

[norbert]

[Polarbear]

Je comprends tout à fait ton point de vue de libraire Norbert, c'est juste que mon mode de consommation ressemble d'avantage à une chasse au trésors. J'aime fouiner, chercher, j'adore les bouquineries, et en même temps je ne souhaite pas me ruiner. Sur internet, PM me procure beaucoup de plaisirs. Je visite les boutiques de différents vendeurs, à la recherche de la pépite. J'aime aussi parcourir les bonnes Librairies. Sur Bordeaux, on en a une excellente, et c'est un réel plaisir d'y aller. Les vendeurs sont des passionnés. Je dois acheter une dizaine de livres neufs par ans. Le reste, c'est le marché de l'occasion.
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"Ce qui compte dans le polar, ce n'est pas le crime, mais le monde dans lequel il se produit." Richard Price

[Fab]

j'achète beaucoup (et quand je dis beaucoup ce n'est pas galvaudé) de neuf mais si je trouve en occasion un titre sur lequel j'ai fais l'impasse mais qui me tentait un peu ben je prends
Pour revenir sur la discussion du numérique, et sauf les SP que tu retrouves à la vente, racheter à quelqu'un son exemplaire c'est un qui a été acheté avant donc on se retrouve dans le cas que tu défendais Norbert
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À chaque décision que nous prenons, nous créons un nouvel avenir. Et, ce faisant, nous détruisons tous ceux que nous aurions pu avoir à la place.
Lou Berney November Road

[Hoel]

J'ai pas osé le dire...
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Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire... J'ai la certitude d'être encore heureux.
Jules Renard (1864-1910)

http://hanniballelecteur.wordpress.com/

[norbert]

[norbert]

[scarabe]

Moi, je trouve que les blogueurs et les journalistes qui revendent les SP (des livres qu'ils ont reçus gratuitement) c'est (y'a pas le smiley qui vomit).
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http://scribouillardelouest.wordpress.com/
http://terredunoir.blogspot.fr/
https://lesarcheos.wordpress.com

[norbert]