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norbert Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47 Inscrit le: 18 Avr 2007 Messages: 11680 Localisation: Rhône-Alpes
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Posté le: Ven Mai 01, 2015 1:15 pm Sujet du message: Le Chemin s'arrêtera là - Pascal Dessaint (Rivages) |
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Le Chemin s'arrêtera là, le nouveau roman de Pascal Dessaint, a été publié en février chez Rivages.
Succédant à L'Homme qui a vu l'homme de Marin Ledun l'an dernier, il vient d'être récompensé par le Prix Jean Amila-Meckert 2015.
Le livre :
Sur une côte nordiste industrielle et fantomatique, sept personnages survivent au jour le jour, poursuivis par un passé dont la noirceur ne les empêche pas de faire preuve de courage.
Mais qui sont ces laissés-pour-compte de notre époque, qui semblent camper dans un temps suspendu davantage que vivre comme tout un chacun ?
Des êtres qui, derrière l'apparence de normalité qu'ils essayent de préserver, ont été broyés ou souillés, à l'image du pays qu'ils habitent, marqué par les stigmates d'une industrie lourde moribonde et d'une nature qui reprend ses droits, de plus en plus inquiétante.
« Ses phrases sont belles, précises, amples, imagées, musicales, sèches, surprenantes. Son style n'est pas sans rappeler celui d'Hugues Pagan, grand écrivain dont on rêve qu'il se remette à sa table de travail...
Il renoue ici avec sa veine très noire et brillante et livre un roman choral sur des gens de la côte nordiste laissés au bord de tout, et finalement bouffés par leurs pulsions animales. C'est un roman de l'époque, plus noir que polar, qui affirme la dimension sociale du genre. Ce sont des vies écorchées, rayées de la carte mais qui respirent encore un peu...
Le retour du ciel bleu n'est pas pour demain, celui d'un grand écrivain, c'est maintenant. »
Eric Libiot - L'EXPRESS
>> Le site de l'auteur : www.pascaldessaint.fr
L'auteur :
Pascal Dessaint dépeint la fragilité des êtres et la confusion des sentiments, sur fond de questions sociales et environnementales. Originaire du Nord, dont l'ambiance imprègne une partie de son oeuvre, il a remporté de nombreux prix (Prix Mystère de la critique 1997 et 2008, Grand Prix de littérature policière 2000, Prix du roman noir français 2006).
_________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy
Dernière édition par norbert le Ven Mai 01, 2015 1:49 pm; édité 2 fois |
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Le Juge Wargrave Ishigami le Dharma
Age: 39 Inscrit le: 17 Oct 2012 Messages: 8733 Localisation: Hexagone
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Posté le: Ven Mai 01, 2015 1:19 pm Sujet du message: |
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Très tentant ! _________________ La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003). |
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Ssarlotte Serial killer : Le Poète
Age: 39 Inscrit le: 01 Jan 2013 Messages: 2185 Localisation: St Maur des Fossés
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norbert Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47 Inscrit le: 18 Avr 2007 Messages: 11680 Localisation: Rhône-Alpes
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Posté le: Ven Mai 01, 2015 1:38 pm Sujet du message: |
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Les critiques son très bonnes, il paraît que c'est à la fois très sombre, et très émouvant. _________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy |
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Hoel Patrick Kenzie (modo)
Age: 36 Inscrit le: 06 Oct 2005 Messages: 11460 Localisation: Au bout du monde
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Posté le: Sam Mai 02, 2015 5:08 pm Sujet du message: |
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Il vient de recevoir le Prix Jean Amila-Meckert 2015 succédant au palmarès à Marin Ledun pour L'homme qui a vu l'homme.
EDIT : Ah oui, c'était déjà annoncé plus haut. Paye ton faux scoop. _________________ Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire... J'ai la certitude d'être encore heureux.
Jules Renard (1864-1910)
http://hanniballelecteur.wordpress.com/ |
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norbert Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47 Inscrit le: 18 Avr 2007 Messages: 11680 Localisation: Rhône-Alpes
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Posté le: Sam Mai 02, 2015 5:15 pm Sujet du message: |
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Hoel a écrit: | Il vient de recevoir le Prix Jean Amila-Meckert 2015 succédant au palmarès à Marin Ledun pour L'homme qui a vu l'homme.
EDIT : Ah oui, c'était déjà annoncé plus haut. Paye ton faux scoop. |
_________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy |
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norbert Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47 Inscrit le: 18 Avr 2007 Messages: 11680 Localisation: Rhône-Alpes
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Posté le: Sam Mai 16, 2015 5:39 am Sujet du message: |
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>> La chronique de Jean-Marc Laherrère sur son blog Actu du Noir :
Citation: |
Le bout du chemin
Avec Le Chemin s’arrêtera là, Pascal Dessaint reste dans le Nord.
Quelque part sur la côte nord Atlantique, un port industriel en activité et de usines qui tournent au ralenti.
Dans les dunes vivent (survivent) ceux qui ont fait les frais de l’arrêt d’une grande partie de l’activité.
Michel est resté dans la maison de l’éclusier avec son neveu Louis, même si on n’a plus besoin de ses services.
Sa sœur, la mère de Louis est morte quand il avait six ans, en rentrant chez elle, après une dispute avec Michel.
Jérôme, retraité, survit et s’occupe de sa mère mourante dans une maison peu à peu détruite par le sable et le sel.
Cyril, chômeur, vit avec sa fille Mona dans une caravane qu’il ne peut plus bouger depuis qu’il a vendu sa voiture.
Wilfried pêche, dès qu’il peut, pour échapper à une famille étouffante.
Gilles sèche les cours pour essayer de voir « son » faucon chasser les pigeons.
Entre tous ces hommes et femmes, des secrets, plus ou moins tordus, des haines pas toujours déclarées …
Et tout ne pourra que mal finir.
Autant avertir le futur lecteur : Si vous avez envie de rigoler et de vous détendre, choisissez un autre roman !
C’est noir, très noir, glauque, désespéré et désespérant.
Portrait sensible d’une zone industrielle à l’abandon, avec des êtres qui se retrouvent dans le même état que les anciens bunkers et les maisons plantées là par hasard : bouffés par le sel, recouverts par le sable, usés par le vent …
Eux aussi sont usés, rongés.
Les vieux n’attendent plus rien, ressassent un passé perdu où, malgré la pollution et la dureté du travail, il y a avait une activité, un collectif.
Maintenant plus rien, les jours se ressemblent, les valeurs se perdent, l’empathie disparaît.
Et c’est comme cela qu’on fabrique des monstres ordinaires.
Pas des monstres à l’américaine, brillants croquemitaines incarnations du Mal dans toute sa grandeur satanique.
Non des monstres ordinaires, façonnés par la désillusion, la perte de repères, l’inculture, la solitude, la bêtise, la misère… et la méchanceté.
Mais des monstres tout aussi effrayants, sinon plus tant ils nous sont proches.
Ces paumés, ces sans illusions, résultats de politiques industrielles reposant sur les seuls critères financiers, nous ne les voyons jamais, nous ne les entendons jamais.
Ils sont juste des chiffres aux infos, des chiffres de suppression d’emplois.
Pascal Dessaint leur donne la parole, à tour de rôle, et ce n’est guère réjouissant.
Pour ne pas vous faire fuir, il faut ajouter qu’il y a quand même quelques rayons de soleil : le passage d’un bateau impressionnant, un café partagé, l’apparition d’un phoque, le vol d’un faucon.
Et puis, il y a les jeunes qui peuvent encore espérer malgré la violence qu’ils subissent.
Des jeunes encore capables de rire et d’aimer.
Malgré tout.
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>> La chronique de Yan sur son blog Encore du Noir :
Citation: |
Sur le littoral désolé d’un Nord qui n’en finit pas de se désindustrialiser, le long d’une portion de digue sur laquelle, entre friches industrielles, centrale nucléaires et vieux blockhaus évoluent une galerie de personnages en perdition.
Chômeurs, ouvriers, adolescents coincés dans un monde étriqué… chacun porte ses sombres secrets, ses remords, son ressentiment et, parfois, ses espoirs, déçus ou encore vivaces.
Sur ces lieux ouverts sur la mer et pourtant complètement enclavés où la nature reprend peu à peu ses droits, Pascal Dessaint donne la parole à chacun des protagonistes, tisse peu à peu l’histoire de ces vies effilochées et fait apparaître progressivement à travers cette polyphonie des voix et des destins, l’enchaînement des actes inavouables et de leurs conséquences qui finissent de les amener là où ils sont.
Humains, trop humains, mais peu à peu privés par les grandes logiques économiques qui président à la destiné de leur région et de leurs vies, et de ce qui faisaient d’eux des êtres avec une existence sociale réelle, une partie d’entre eux, à l’image de cette nature inquiétante qui recommence à proliférer, s’ensauvage et se coule dans la dune, dans la digue… au propre comme au figuré.
Et c’est bien ce sentiment d’abandon qui prévaut dans le roman de Pascal Dessaint.
Des êtres abandonnés, dans un pays abandonné et qui finissent eux aussi par baisser les bras et s’abandonner à leur tour.
Et ce sont naturellement ceux qui tentent de garder encore la tête hors de l’eau ou qui n’ont pas épuisé leurs réserves d’espoirs – femmes, enfants – qui en font les frais.
Livre d’une extrême noirceur, Le Chemin s’arrêtera là n’est toutefois pas dénué de poésie et même, aussi fugaces soient-elles, de quelques lueurs d’espoir.
Menée avec beaucoup de sensibilité et ponctuée d’images fortes et poignantes, l’histoire qui se met en place et dont les personnages emboîtent peu à peu les pièces du puzzle qu’elle est devenue en même temps qu’explosaient ces vies que chacun d’entre eux nous conte, est saisissante.
Pascal Dessaint se fait là le chantre d’un monde livré à lui-même et montre ce que personne ne veut plus voir ; ceux que l’on laisse au bord du chemin, que l’on pousse sous le tapis mais qui continuent pourtant de s’y agiter, que ce soit pour s’enfoncer un peu plus ou pour s’en extraire.
Ça n’est pas toujours très joli, mais Dessaint y confère incontestablement une certaine beauté.
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_________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy |
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norbert Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47 Inscrit le: 18 Avr 2007 Messages: 11680 Localisation: Rhône-Alpes
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Posté le: Jeu Juin 11, 2015 4:11 pm Sujet du message: |
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>> La chronique de Laurent Greusard pour le webzine K-libre :
Citation: |
Ces chemins qui ne mènent nulle part
Ce n'est pas forcément la métaphore qui joue sur le titre de ce nouveau roman de Pascal Dessaint car le chemin est avant tout une donnée géographique.
Si le chemin s'arrête c'est parce que l'on arrive au bout de la route, lorsque la mer rejoint la terre.
Géographique aussi puisque l'écrivain décrit avec soin le no man's land, finalement peuplé, qui sépare l'étendue d'eau et la ville, lorsqu'il ne reste que quelques digues, des terres polluées que recouvrent un peu de sable.
La géographie est là, aussi, dans les détails d'une vie brisée, d'une civilisation mourante, d'une société déchirée : centres commerciaux sales, arrêts de bus perdus au milieu de nulle part, bunkers de bords de plage, camping-cars échoués qui servent de domicile.
Le Chemin s'arrêtera là, c'est aussi de manière plus imagée, la façon dont Pascal Dessaint décrit, de manière sensible, sans cacher les mauvais côtés, ces êtres déclassés qui, eux aussi, ont été mis à l'écart de la "vraie vie", de la consommation.
Il y a ceux qui vivent sur la plage ou dans les dunes, qui essaient de pêcher pour améliorer l'ordinaire, qui galèrent avec une mobylette et une remorque, et ceux qui sont juste de passage, pour un dimanche, un bronzage ou un pique-nique.
Pascal Dessaint s'intéresse à quelques personnages qui vivent là, échoués, de petits boulots, de petites arnaques.
Ils n'ont pas de culture, surnagent comme ils peuvent, s'expliquent avec les poings ou des tenailles lorsqu'ils n'ont plus de mots et s'arrangent avec la vie comme elle vient.
C'est ainsi que quand sa fille tue à coups de fer à repasser sa maîtresse, l'homme ne se plaint pas, cache le cadavre et couche avec sa fille pour compenser.
L'auteur tisse ainsi, autour de quelques personnages, une trame lâche et dense à la fois.
Lâche parce qu'elle passe d'un acteur à l'autre et dense parce qu'elle les reconstitue dans toute leur densité d'hommes (y compris ceux qui ne seront que des silhouettes comme un patron de magasin).
Nous sommes dans une version moderne que n'aurait pas renié Louis-Ferdinand Céline, là où la grandeur possible et l'abjection se côtoient, où la crise économique a détruit les solidarités, où certains vivent au jour le jour, comme des animaux, parce que personne ne leur a laissé d'autre choix, sans conscience ni remords, mais parce qu'ils ont profité de l'occasion.
Ils sont fragiles mais deviennent féroces en en croisant d'autres encore plus fragiles.
Tout le travail de Pascal Dessaint est d'éloigner les horreurs pour les rendre encore plus fortes et plus présentes, pour qu'elles imprègnent encore plus l'imaginaire du lecteur.
C'est ainsi que le roman déroule les trajectoires noires d'un homme torturé, et d'une femme qui vient de se faire violer et qui court sur la route et se fait écraser par un poids lourd (comme les secrets qui couvent ici et là).
Mais il n'y a chez Pascal Dessaint aucune volonté de noircir ou de donner à voir une humanité dépravée, une sous-population.
Il dépeint juste des gens pour lesquels le chemin de la vie normale s'est arrêté là et qui ont bien dû continuer à avancer sans boussoles, panneaux ou GPS, et qui ont inventé, tant bien que mal, leur survie.
Des hommes et des femmes qui tentent de pêcher dans des eaux que même les poissons ont déserté.
Il y a malgré tout dans ces moments désespérés des éléments d'espoir : un jeune couple qui pourrait s'aimer, une jeune fille qui veut travailler même dans des emplois peu qualifiés, un homme qui s'échine à crépir sa maison même si son crépi disparaît régulièrement.
Il y a, en fait, la vie, la vie rude, cruelle, et cette volonté continue de perdurer, ce dur désir de durer.
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_________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy |
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norbert Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47 Inscrit le: 18 Avr 2007 Messages: 11680 Localisation: Rhône-Alpes
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Posté le: Ven Avr 01, 2016 6:55 am Sujet du message: |
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Prix Jean Amila-Meckert et Prix Sang d'encre 2015, Le Chemin s'arrêtera là de Pascal Dessaint vient de paraître en poche chez Rivages/Noir :
_________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy |
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Le Juge Wargrave Ishigami le Dharma
Age: 39 Inscrit le: 17 Oct 2012 Messages: 8733 Localisation: Hexagone
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Posté le: Sam Avr 02, 2016 9:04 am Sujet du message: |
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Et avec la même couverture, que je trouve très réussie.
Je n'ai plus d'excuses, il faut que je le prenne ! _________________ La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003). |
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Emil Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 42 Inscrit le: 16 Mai 2011 Messages: 2519 Localisation: Normandie
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Posté le: Sam Avr 02, 2016 10:13 am Sujet du message: |
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Le Juge Wargrave a écrit: | Et avec la même couverture, que je trouve très réussie.
Je n'ai plus d'excuses, il faut que je le prenne ! |
Yes, moi aussi ! _________________ La seule chose que l'on puisse décider est quoi faire du temps qui nous est imparti - JRR Tolkien |
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norbert Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47 Inscrit le: 18 Avr 2007 Messages: 11680 Localisation: Rhône-Alpes
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Posté le: Sam Avr 02, 2016 7:00 pm Sujet du message: |
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Je viens justement d'écouter en ligne la conférence des Quais du Polar consacrée aux 30 ans de Rivages/Noir (oui, c'est une innovation cette année, on peut les écouter en direct ou en replay ici pendant tout le mois d'avril je crois), avec Guérif, Hervé Le Corre, Michael Mention et Pascal Dessaint, et celui-ci disait que cette photo lui était brusquement revenue à l'esprit alors qu'il cherchait avec le graphiste de Rivages une idée de couverture.
Elle faisait partie d'une série qu'un photographe et lui avaient pris dans sa région et il en était particulièrement fière. Et c'est vrai qu'elle est très belle. À l'image visiblement du roman, qu'il faudra que je sorte de ma Pal prochainement. _________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy |
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Janjak Serial Killer : Patrick Bateman
Age: 67 Inscrit le: 25 Juin 2015 Messages: 516 Localisation: Lalinde
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Posté le: Sam Avr 02, 2016 7:33 pm Sujet du message: |
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Vous pouvez y aller sans hésitation, c'est un excellent roman pratiquement du même niveau que "les derniers jour d'un homme" |
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Laurent.V Meurtrier
Age: 54 Inscrit le: 21 Oct 2008 Messages: 498 Localisation: Nantes
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Posté le: Dim Juil 28, 2019 10:40 pm Sujet du message: |
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C'est bon roman noir, vraiment noir même si parfois je l'ai trouvé un peu trop poussé dans le misérabilisme.
Il se passe un peu trop d'événements dans une trop petite zone d'action et avec peu de personnages. C'est un peu trop exagéré.
C'est dommage car cela gâche un peu la qualité de ce roman.
Mais cela reste un bon roman comme sait les faire Pascal Dessaint. _________________
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