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Dodger Serial killer : Leland Beaumont
Age: 47 Inscrit le: 04 Mar 2007 Messages: 1205 Localisation: Paris
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Posté le: Lun Jan 11, 2016 6:01 pm Sujet du message: |
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Hé ben ! Ce n'est pas avec les avis de Hoel et du Juge, dont je trouve souvent les goûts proches des miens aujourd'hui, que je vais avoir envie de me plonger dans ce roman...
Je me disais que j'allais essayer tout de même de rattraper mon retard pour pouvoir participer au prix PP de cette année, sachant que je n'ai lu qu'un roman sur les six. Ce qui est sûr, vu que je n'aurai de toute façon pas le temps de lire les cinq, c'est que je ferai l'impasse sur celui-ci. J'ai pu apprécier ce genre de roman il y a quelques années, mais comme Hoel, aujourd'hui, je m'en suis lassé.
P.S.: M'sieur le Juge, c'est marrant quand même d'hésiter entre 4 et 9... Va falloir trouver un juste milieu, nan ? _________________ "Il faut donc avoir de l'âme pour avoir du goût." (Vauvenargues)
http://cannibaleslecteurs.wordpress.com |
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Le Juge Wargrave Ishigami le Dharma
Age: 39 Inscrit le: 17 Oct 2012 Messages: 8733 Localisation: Hexagone
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Posté le: Lun Jan 11, 2016 7:54 pm Sujet du message: |
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Dodger a écrit: |
P.S.: M'sieur le Juge, c'est marrant quand même d'hésiter entre 4 et 9... Va falloir trouver un juste milieu, nan ? |
Ce serait un 6... "assez bon". Mais il faudra que je développe ce qui ne m'a pas plu tout en mettant en avant un certain talent de la part d'auteur pour faire tourner les pages au lecteur.
Ironheart a écrit: | on ne ressent aucun plaisir à lire ce roman |
Voilà, on ne ressent aucun plaisir de lecture. C'est quand même important le plaisir lorsqu'on lit un roman, non ? _________________ La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003). |
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Dodger Serial killer : Leland Beaumont
Age: 47 Inscrit le: 04 Mar 2007 Messages: 1205 Localisation: Paris
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Posté le: Lun Jan 11, 2016 8:06 pm Sujet du message: |
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Le Juge Wargrave a écrit: | Dodger a écrit: |
P.S.: M'sieur le Juge, c'est marrant quand même d'hésiter entre 4 et 9... Va falloir trouver un juste milieu, nan ? |
Ce serait un 6... "assez bon". Mais il faudra que je développe ce qui ne m'a pas plu tout en mettant en avant un certain talent de la part d'auteur pour faire tourner les pages au lecteur.
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Ca me semble assez juste, étant donné ce que tu en dis. C'est vrai que parvenir à finir le livre, le faire même sans se forcer, constitue une réussite à mettre au crédit de l'auteur. Après, ça ne suffit pas... _________________ "Il faut donc avoir de l'âme pour avoir du goût." (Vauvenargues)
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Ironheart Annie Wilkes
Age: 50 Inscrit le: 25 Juil 2007 Messages: 5041 Localisation: Le Gard
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Posté le: Mar Jan 12, 2016 6:52 am Sujet du message: |
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Le Juge Wargrave a écrit: |
Ironheart a écrit: | on ne ressent aucun plaisir à lire ce roman |
Voilà, on ne ressent aucun plaisir de lecture. C'est quand même important le plaisir lorsqu'on lit un roman, non ? |
Tu m'étonnes !!
J'en suis à la moitié et ce qui me surprend c'est que ce roman a été écrit par une femme. Je trouve ça incroyable !
A part ça, il faut noter le beau travail sur la psychologie de Batiza.
Curieusement, dans ce livre assez "bourrin" de par son thème, il y a énormément de finesse de la part de l'auteure dans le traitement des personnages, de leur évolution et de leurs intéractions.
A mains nues est un roman tout en oppositions, en extrêmes. Curieux et déboussolant ! |
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Alice Serial Killer : Patrick Bateman
Age: 44 Inscrit le: 19 Mai 2011 Messages: 554
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Posté le: Mar Jan 12, 2016 9:42 am Sujet du message: |
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Et l'un de ses grands intérêts est de susciter un véritable débat !
ça sera ma prochaine lecture après le chantier en cours ! |
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Hoel Patrick Kenzie (modo)
Age: 36 Inscrit le: 06 Oct 2005 Messages: 11460 Localisation: Au bout du monde
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Posté le: Mar Jan 12, 2016 10:41 am Sujet du message: |
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Ironheart a écrit: | J'en suis à la moitié et ce qui me surprend c'est que ce roman a été écrit par une femme. Je trouve ça incroyable ! |
Pareil. Je me suis dit ça à plusieurs moments de ma lecture aussi.
Ce côté bourrin, violent, tout plein de morts, de sexe trash et d'hémoglobine, c'est vrai qu'on imagine plus ça venant d'un mec que de
_________________ Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire... J'ai la certitude d'être encore heureux.
Jules Renard (1864-1910)
http://hanniballelecteur.wordpress.com/ |
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Fab Serial killer : Le Poète
Age: 48 Inscrit le: 09 Avr 2011 Messages: 2418 Localisation: Brest même
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Posté le: Mar Jan 12, 2016 11:37 am Sujet du message: |
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j'en termine quasiment et c'est très étonnant. moi non plus je ne peux pas dire que je prenne du plaisir à le lire mais je ne peux pas m'empêcher de tourner les pages et de vouloir savoir la suite. On se pose les mêmes questions que Batiza,on veut savoir.
concernant la violence c'est pareil c'est paradoxal. c'est beaucoup moins gore,sanglant et démonstratif que les derniers Grangé ou Chattam (ou d'autres que j'ai lu) mais cette violence très froide,très clinique,souvent éludée marque encore plus énormément parce qu'elle est terriblement crédible et réaliste.
je ne peux pas dire que j'aime mais c'est un sacré bouquin et une sacrée expérience de lecture comme j'ai rarement connu.du coup le tour de force de Paola Barbato en est même encore plus fort
rhhaaaa je devance déjà ce que je vais en dire _________________ À chaque décision que nous prenons, nous créons un nouvel avenir. Et, ce faisant, nous détruisons tous ceux que nous aurions pu avoir à la place.
Lou Berney November Road |
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Ironheart Annie Wilkes
Age: 50 Inscrit le: 25 Juil 2007 Messages: 5041 Localisation: Le Gard
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Posté le: Mar Jan 12, 2016 1:01 pm Sujet du message: |
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Hoel a écrit: |
Ce côté bourrin, violent, tout plein de morts, de sexe trash et d'hémoglobine, c'est vrai qu'on imagine plus ça venant d'un mec que de
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Ah bon, y'a du sexe trash en plus ?
Chouette, manquait plus que ça !
Merci pour la photo ! Oh le contraste !
Alice, curieuse d'avoir ton retour. |
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norbert Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47 Inscrit le: 18 Avr 2007 Messages: 11680 Localisation: Rhône-Alpes
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Posté le: Mar Jan 12, 2016 1:58 pm Sujet du message: |
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Fab a écrit: |
concernant la violence c'est pareil c'est paradoxal. c'est beaucoup moins gore,sanglant et démonstratif que les derniers Grangé ou Chattam (ou d'autres que j'ai lu) mais cette violence très froide,très clinique,souvent éludée marque encore plus énormément parce qu'elle est terriblement crédible et réaliste. |
Voilà, c'est exactement ce que j'ai ressenti. Et le fait que la plupart des scènes de violence ne soient pas décrites et détaillées précisément ou avec complaisance, mais suggérées car éludées au dernier moment par l'auteur, je trouve que c'est précisément ce qui les rend encore plus marquantes et terrifiantes, puisque laissant libre cours à l'imagination du lecteur.
Ce n'est pas donné à tout le monde de réussir à tenir l'équilibre sur cette ligne délicate, à suggérer plutôt qu'à démontrer - j'avais d'ailleurs remarqué l'an dernier qu'Antonin Varenne y parvenait lui aussi très bien lors de certains passages de Trois mille chevaux vapeur, et même si le contexte était évidemment très différent.
Fab a écrit: | je ne peux pas dire que j'aime mais c'est un sacré bouquin et une sacrée expérience de lecture comme j'ai rarement connu.du coup le tour de force de Paola Barbato en est même encore plus fort
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Je suis encore une fois d'accord. D'ailleurs, je trouve que, justement, la "patte féminine" dans À mains nues se retrouve sans doute dans la finesse d'analyse dont Barbato fait preuve pour ciseler la psychologie de ses personnages, et de l'empathie qu'elle arrive malgré tout à créer chez le lecteur pour eux - et bien sûr en particulier pour Davide.
Car en fin de compte, sans cette empathie, sans les questions qu'elle parvient à susciter chez le lecteur, le lecteur se moquerait bien de ce qui peut arriver à Davide et, par conséquent, ne se sentirait ni oppressé, ni mal à l'aise à la lecture du roman.
Et c'est là qu'à mon avis la notion de "plaisir de lecture" est paradoxale : pour moi, À mains nues est un roman (très) noir qui se lit comme un thriller.
Or, dans les deux cas, et de manière générale, thrillers et romans noirs ne sont pas des feel good books.
Alors bien sûr - et outre le fait que c'est toujours un plaisir d'être captivé par une histoire, de dévorer un roman pour connaître la suite et la fin du récit - cela dépend aussi évidemment des histoires, des sujet abordés, des personnages mis en scène, et pour ça l'univers des thrillers et romans noirs est tellement vaste que selon les textes on peut avoir accès à tout un panel d'émotions dont le plaisir fait partie (mais aussi la tristesse, la peur, la mélancolie, etc, et même si ce n'est pas forcément antinomiques).
Cependant, de manière générale, ça reste un genre dans lequel le but de l'auteur est de justement parvenir à secouer son lecteur, à l'inquiéter, à le dérouter, et à lui faire vivre une expérience de lecture bien particulière.
Dois-je rappeler ici le "manifeste" de la Série Noire de marcel Duhamel en 1948 ?
Citation: |
« Que le lecteur non prévenu se méfie : les volumes de la "Série noire" ne peuvent pas sans danger être mis entre toutes les mains. L'amateur d'énigmes à la Sherlock Holmes n'y trouvera pas souvent son compte. L'optimiste systématique non plus. L'immoralité admise en général dans ce genre d'ouvrages uniquement pour servir de repoussoir à la moralité conventionnelle, y est chez elle tout autant que les beaux sentiments, voire de l'amoralité tout court. L'esprit en est rarement conformiste. On y voit des policiers plus corrompus que les malfaiteurs qu'ils poursuivent. Le détective sympathique ne résout pas toujours le mystère. Parfois il n'y a pas de mystère. Et quelquefois même, pas de détective du tout. Mais alors ?... Alors il reste de l'action, de l'angoisse, de la violence — sous toutes ses formes et particulièrement les plus honnies — du tabassage et du massacre. Comme dans les bons films, les états d'âmes se traduisent par des gestes, et les lecteurs friands de littérature introspective devront se livrer à la gymnastique inverse. Il y a aussi de l'amour — préférablement bestial — de la passion désordonnée, de la haine sans merci. Bref, notre but est fort simple : vous empêcher de dormir. » (Marcel Duhamel, 1948.)
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_________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy
Dernière édition par norbert le Ven Fév 03, 2023 2:22 am; édité 1 fois |
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norbert Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47 Inscrit le: 18 Avr 2007 Messages: 11680 Localisation: Rhône-Alpes
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Posté le: Mar Jan 12, 2016 2:00 pm Sujet du message: |
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Ironheart a écrit: |
Ah bon, y'a du sexe trash en plus ?
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Non. Comme le reste, c'est évoqué à un moment. Tu verras. _________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy |
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Hoel Patrick Kenzie (modo)
Age: 36 Inscrit le: 06 Oct 2005 Messages: 11460 Localisation: Au bout du monde
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Posté le: Mar Jan 12, 2016 2:41 pm Sujet du message: |
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Non ? Ben je voudrais pas être ton amoureux Norbert. _________________ Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire... J'ai la certitude d'être encore heureux.
Jules Renard (1864-1910)
http://hanniballelecteur.wordpress.com/ |
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norbert Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47 Inscrit le: 18 Avr 2007 Messages: 11680 Localisation: Rhône-Alpes
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Posté le: Mar Jan 12, 2016 2:58 pm Sujet du message: |
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Hoel a écrit: | Non ? Ben je voudrais pas être ton amoureux Norbert. |
Non mais sérieusement, on ne peut pas parler de "scènes de sexe trash" quand celles-ci sont évoquées et non pas décrites. Et encore une fois, comme le nombre de cadavres que tu mentionnes par exemple, il ne faut pas oublier que c'est le contexte, l'histoire du roman qui veut ça. Un tel sujet n'aura pas pu être traité sans.
Or, en plus, on sait que malheureusement ça existe. C'est une réalité, et pas uniquement le fruit de l'imagination perverse d'un écrivain. C'est ça aussi qui fait froid dans le dos. _________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy |
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Le Juge Wargrave Ishigami le Dharma
Age: 39 Inscrit le: 17 Oct 2012 Messages: 8733 Localisation: Hexagone
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Posté le: Mar Jan 12, 2016 7:32 pm Sujet du message: |
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Hoel a écrit: | Non ? Ben je voudrais pas être ton amoureux Norbert. |
Tu m'as fait trop rire Hoel ! _________________ La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003). |
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Le Juge Wargrave Ishigami le Dharma
Age: 39 Inscrit le: 17 Oct 2012 Messages: 8733 Localisation: Hexagone
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Posté le: Mar Jan 12, 2016 7:43 pm Sujet du message: |
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norbert a écrit: | l'empathie qu'elle arrive malgré tout à créer chez le lecteur pour eux - et bien sûr en particulier pour Davide.
Car en fin de compte, sans cette empathie, sans les questions qu'elle parvient à susciter chez le lecteur, le lecteur se moquerait bien de ce qui peut arriver à Davide et, par conséquent, ne se sentirait ni oppressé, ni mal à l'aise à la lecture du roman. |
Sans enlever à l'auteur ce talent particulier de nous "accrocher", il est tout de même difficile de ne pas ressentir dès le début de l'empathie vis-à-vis de cet adolescent qui n'a rien fait de mal et qui subit de plein fouet cette violence gratuite pour le plaisir malsain de quelques-uns.
Par contre, au cours de la lecture, je me suis détaché de ce personnage qui devient de plus en plus
Norbert a écrit: | outre le fait que c'est toujours un plaisir d'être captivé par une histoire, de dévorer un roman pour connaître la suite et la fin du récit |
Ce qui m'a fait avancer rapidement dans ma lecture c'est avant tout de comprendre où l'auteur voulait en venir et de pouvoir passer à autre chose, écoeuré de toute cette violence. Je sais que la plupart des lecteurs ont eu envie de savoir ce qui allait arriver à Davide mais ce ne fut pas vraiment mon cas. Comme je l'ai dit en revanche, j'ai été bluffé par la toute fin à laquelle je ne m'attendais pas du tout.
norbert a écrit: | Dois-je rappeler ici le "manifeste" de la Série Noire de marcel Duhamel en 1948 ?
Citation: |
« Que le lecteur non prévenu se méfie : les volumes de la "Série noire" ne peuvent pas sans danger être mis entre toutes les mains. L'amateur d'énigmes à la Sherlock Holmes n'y trouvera pas souvent son compte. L'optimiste systématique non plus. L'immoralité admise en général dans ce genre d'ouvrages uniquement pour servir de repoussoir à la moralité conventionnelle, y est chez elle tout autant que les beaux sentiments, voire de l'amoralité tout court. L'esprit en est rarement conformiste. On y voit des policiers plus corrompus que les malfaiteurs qu'ils poursuivent. Le détective sympathique ne résout pas toujours le mystère. Parfois il n'y a pas de mystère. Et quelquefois même, pas de détective du tout. Mais alors ?... Alors il reste de l'action, de l'angoisse, de la violence — sous toutes ses formes et particulièrement les plus honnies — du tabassage et du massacre. Comme dans les bons films, les états d'âmes se traduisent par des gestes, et les lecteurs friands de littérature introspective devront se livrer à la gymnastique inverse. Il y a aussi de l'amour — préférablement bestial — de la passion désordonnée, de la haine sans merci. Bref, notre but est fort simple : vous empêcher de dormir. » (Marcel Duhamel, 1948.)
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Si l'on était pointilleux on répondrait "Barbato est à la Série Noire ?" Mais, plus sérieusement, et bien que je n'ai pas lu tous les titres de la Série Noire des débuts, je pense que l'ultra-violence d'A mains nues dépasse largement tout ce qui a pu être publié à la Série Noire sous l'ère Duhamel. _________________ La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003). |
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chouchou Serial Killer : Patrick Bateman
Age: 53 Inscrit le: 01 Mar 2014 Messages: 768
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Posté le: Mar Jan 12, 2016 7:57 pm Sujet du message: |
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MOLOCH, à l'époque, je l'avais trouvé violent... _________________ Celui qui affronte les monstres devra veiller à ce que, ce faisant, il ne devienne pas lui-même un monstre. |
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