Jean-Christophe Grangé — Polars Pourpres Index du Forum Jean-Christophe Grangé — Polars Pourpres
http://rivieres.pourpres.free.fr - http://polars.pourpres.net
 
 FAQFAQ   RechercherRechercher   Liste des MembresListe des Membres   Groupes d'utilisateursGroupes d'utilisateurs   Google MapGoogle Map   S'enregistrerS'enregistrer 
 ProfilProfil   Se connecter pour vérifier ses messages privésSe connecter pour vérifier ses messages privés   ConnexionConnexion 
Polars Pourpres

Bleus, Blancs, Rouges - Benjamin Dierstein (Flammarion)

 
Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet    Jean-Christophe Grangé — Polars Pourpres Index du Forum -> D'autres auteurs de polars et de thrillers à découvrir...
Voir le sujet précédent :: Voir le sujet suivant  
Auteur Message
norbert
Serial killer : Hannibal Lecter


Age: 48
Inscrit le: 18 Avr 2007
Messages: 11785
Localisation: Rhône-Alpes

Le Serment des Limbes

MessagePosté le: Jeu Fév 20, 2025 7:24 am    Sujet du message: Bleus, Blancs, Rouges - Benjamin Dierstein (Flammarion) Répondre en citant

À mi-chemin entre une version française d'Ellroy et de David Peace, sa formidable trilogie Échos des années grises (La Sirène qui fume, La défaite des idoles et La Cour des mirages), avec pour toile de fond la fin de règne de la Sarkozie, m'avait impressionné et révélait déjà un nouveau grand nom du roman noir français.
Or Benjamin Dierstein est de retour avec le 1er tome d'une nouvelle trilogie, Bleus, Blancs, Rouges, qui vient de paraître chez Flammarion sous la direction d'Aurélien Masson.






Le livre :

Printemps 1978 : les services français sont en alerte rouge face à la vague de terrorisme qui déferle sur l’Europe.
Marco Paolini et Jacquie Lienard, deux inspecteurs fraîchement sortis de l’école de police et que tout oppose, se retrouvent chargés de mettre la main sur un trafiquant d’armes formé par les Cubains et les Libyens et répondant au surnom de Geronimo.
Traumatisé par la mort d’un collègue en mai 1968, le brigadier Jean-Louis Gourvennec participe à la traque en infiltrant un groupe gauchiste proche d’Action directe.
Après des années d’exil en Afrique, le mercenaire Robert Vauthier revient en France pour régner sur la nuit parisienne avec l’appui des frères Zemour. Lui aussi croisera le chemin de Geronimo.
Quatre destins qui vont traverser les années de plomb, les coups fourrés politiques et les secousses de la Françafrique.

Le premier tome d’une saga historique entre satire politique, roman noir et tragédie mondaine, dont les personnages secondaires ont pour nom Valéry Giscard d’Estaing, Pierre Goldman, Jacques Mesrine, Jean-Bedel Bokassa, Alain Delon, Tany Zampa ou Omar Bongo.



« Un récit passionnant. »
- TMV

« Ce premier tome d'une trilogie trépidante sur la fin des années 70 à Paris fait de Benjamin Dierstein le digne descendant de James Ellroy, entre roman noir furieux et western urbain en technicolor. »
- Libération

« Une bourrasque romanesque. »
- Le Figaro



> Lire les premières pages



L'auteur :

Benjamin Dierstein est né à Lannion. Il travaille dans le milieu de la musique électronique à Rennes. Enfant des cités HLM bretonnes, biberonné à Ellroy, Peckinpah et Cimino, il dirige actuellement le label de musiques électroniques Tripalium Corp. Entre deux afters, il couche sur papier des histoires tordues et survoltées, remplies de personnages tourmentés par leurs obsessions. La Sirène qui fume, La Défaite des idoles et La Cour des mirages forment la trilogie "Échos des années grises", qui prend place entre 2011 et 2012, avec pour toile de fond la fin de règne de la Sarkozie.



_________________
« Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Visiter le site web de l'utilisateur  
norbert
Serial killer : Hannibal Lecter


Age: 48
Inscrit le: 18 Avr 2007
Messages: 11785
Localisation: Rhône-Alpes

Le Serment des Limbes

MessagePosté le: Jeu Fév 20, 2025 7:45 am    Sujet du message: Répondre en citant

Ayant déjà lu cet auteur talentueux, ça promet du lourd... au sens propre comme au figuré : ce 1er tome fait 800 pages (comme La cour des mirages, le 3e volet de sa trilogie précédente) ! Smile
_________________
« Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Visiter le site web de l'utilisateur  
Hoel
Patrick Kenzie (modo)


Age: 36
Inscrit le: 06 Oct 2005
Messages: 11559
Localisation: Au bout du monde

Le Vol des Cigognes

MessagePosté le: Jeu Fév 20, 2025 9:44 am    Sujet du message: Répondre en citant

Je ne sais pas vous mais moi les bouquins qui se passent dans les hautes sphères politiques, c'est à petite dose.
On entend déjà ces histoires à longueur de temps (presse, radio, TV...), quand je lis un roman, c'est pour sortir de ça, voyager dans l'espace, dans le temps, découvrir autre chose, etc.

J'ai l'impression qu'il y a une tendance un peu sur ces sujets dans le noir français. Y avait Manotti/DOA & JH Oppel, maintenant y a Benjamin Dierstein, Jérôme Leroy, Thomas Bronnec, Marc Dugain, François Médéline, etc.
_________________
Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire... J'ai la certitude d'être encore heureux.
Jules Renard (1864-1910)

http://hanniballelecteur.wordpress.com/
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Visiter le site web de l'utilisateur MSN Messenger
norbert
Serial killer : Hannibal Lecter


Age: 48
Inscrit le: 18 Avr 2007
Messages: 11785
Localisation: Rhône-Alpes

Le Serment des Limbes

MessagePosté le: Jeu Fév 20, 2025 9:57 am    Sujet du message: Répondre en citant

Oui, je vois ce que tu veux dire. Après reste à savoir si la toile politique en question est au coeur de l'intrigue ou fonctionne juste comme une toile de fond.
Par exemple, pour la précédente trilogie de Dierstein, à aucun moment on ne suivait Sarko ou d'autres politiciens, c'est juste que l'intrigue se passait au début des années 2010, qu'il y avait certaines luttes et influences au sein de la police reliées au pouvoir en place, le reste de l'intrigue n'ayant quasi rien à voir.
Et dans ce nouveau polar, ça a l'air d'être avant tout des flics à la poursuite d'un trafiquant d'armes et de réseaux terroristes, mais dans un contexte bien précis.
_________________
« Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Visiter le site web de l'utilisateur  
norbert
Serial killer : Hannibal Lecter


Age: 48
Inscrit le: 18 Avr 2007
Messages: 11785
Localisation: Rhône-Alpes

Le Serment des Limbes

MessagePosté le: Lun Fév 24, 2025 12:23 pm    Sujet du message: Répondre en citant




Le Coup de coeur de Jean-Marc Laherrère sur Actu du Noir :

Citation:
Bleus, blancs, rouges

Attention, énorme claque : Bleus, blancs, rouges de Benjamin Dierstein.


1978, Paris. Marco Paolini et Jacquie Lienard sortent premier et second de l’école des inspecteurs de police. Dans cet ordre parce qu’il est inconcevable qu’une femme sorte première. Paolini corse, archi catho, parent de flics proches du SAC, futur adhérent du même SAC. Lienard, filleule d’un ponte des RG. Ils ne peuvent pas se voir.

Et ils vont être concurrents dans la traque de Geronimo, un fantôme dont on a perdu la trace en 68, soupçonné d’entrainer de futur combattants d’extrême gauche dans les camps libyens et palestiniens. Geronimo qui serait proche de l’ennemi public numéro 1, Jacques Mesrine, autre cible.

Ajoutez Robert Vauthier, ex mercenaire de l’OAS, proche de Giscard et Jean-Louis Gourvennec, flic qui va infiltrer des mouvements qui vont devenir Action Directe. Et en toile de fond Pierre Goldman, Alain Delon, Omar Bongo, Jean-Bedel Bokassa, Khadafi, Mourousi, Nathalie Ménigon, François Mitterrand, Robert Boulin, Carlos … Agitez furieusement et servez bouillant.


Enorme claque donc. Dès l’entame, avec un chapitre hallucinant plein de bruit et de fureur, qui vous plonge dans une nuit de folie en mai 68. Lacrimos, explosions, feux, os brisés, coups de matraque, jets de boulons, peur et haine … 30 pages à fond qu’on lit en apnée. Et ça continue ensuite pendant près de 800 pages.

800 pages denses, passionnantes, intelligentes. 800 pages d’une narration qui ne vous lâche pas sur une seule ligne, 800 pages où la tension ne vous quitte pas, 800 pages et vous n’avez pas une seule fois envie de refermer le livre pour souffler. Sauf pour retarder le moment où ce sera fini. 800 pages qui multiplient les points de vue et ne vous perdent jamais. Où vous passez des magouilles de la Françafrique aux saloperies du SAC, de la guerre des polices à l’assassinat de Boulin, des conversations entre malfrats à celles entre flics, des réunions des groupes d’extrême gauche aux soirées des boites les plus branchées de Paris.

Tout cela à un rythme effréné, sans jamais vous perdre, sans jamais lasser. Cerise sur le gâteau, la phrase finale en forme de cliffhanger d’école. C’est déjà fini, j’attends la suite, impatient de replonger pour 800 pages de plus.


_________________
« Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Visiter le site web de l'utilisateur  
norbert
Serial killer : Hannibal Lecter


Age: 48
Inscrit le: 18 Avr 2007
Messages: 11785
Localisation: Rhône-Alpes

Le Serment des Limbes

MessagePosté le: Sam Mar 01, 2025 9:30 am    Sujet du message: Répondre en citant




> La chronique de Michel Abescat dans Le Polar sonne toujours 2 fois, à écouter en podcast sur France Inter :

Citation:
"Bleus, blancs, rouges" : Benjamin Dierstein dissèque la fin des années 70 dans un roman noir et satirique

C'est le premier tome d’une nouvelle trilogie signée Benjamin Dierstein. C'est un roman qui nous plonge dans la France des années 1970, avec ses barbouzes et ses truands, avec un gros travail d'archives dans ce livre de quasiment 800 pages.


800 pages qui se lisent avec passion. Bleus, blancs, rouges est une impressionnante aventure de lecture, une fresque historique, un roman noir, un roman d’espionnage, une satire sociale et politique qui vous agrippe de bout en bout avec un art consommé du page turner.

Benjamin Dierstein s’était fait remarquer avec sa précédente trilogie qui racontait la fin du règne de Nicolas Sarkozy. Cette fois-ci, ce sont les années 1978 à 1984 qui sont sur la sellette et les trois volumes seront publiés très vite. Le deuxième à l’automne et le troisième en début d’année prochaine. Ce premier volume couvre précisément les années 1978 et 1979 quand le mandat de Valéry Giscard d’Estaing commence à sentir le roussi. 760 pages, plus les annexes, une bibliographie de 150 références et une liste de presque 200 personnages.


La période dont traite cette nouvelle trilogie est passionnante

On est à la charnière entre deux mondes, celui des années 70 marquées par la guerre d’Algérie et les bouleversements de 1968 et celui des années 80, celles de Ronald Reagan et de Margaret Thatcher, le triomphe du néolibéralisme auquel les socialistes au pouvoir vont vite se rallier. Comme le dit à sa manière un des personnages dans les dernières pages de ce premier volume, en fêtant la nouvelle année 1980, tout est en train de changer, « c’est fini le délire manichéen, plus personne n’en a rien à foutre de la guerre d’Algérie », « plus personne n’en a rien à foutre des valeurs, ni de la politique. Il faut penser pognon ».


Le roman résonne particulièrement aujourd’hui quand le néolibéralisme apparaît à bout de souffle.

Bleus, blancs, rouges met donc en scène la France en 1978 et 1979. Mais ce sont les dessous pas très chics de l’Histoire qui sont mis en avant. Les coulisses du pouvoir, les arrière-cours poisseuses, les noces du crime et de la politique. L’essentiel est raconté du point de vue des services de police qui constituent sans doute le personnage principal du roman. Du point de vue du monde de la nuit et des affairistes mafieux aussi. À la manière de la fameuse trilogie Underworld USA de James Ellroy dont l’auteur revendique l’influence. Page 283, un personnage d’Ellroy est d’ailleurs glissé, l’espace d’une seconde, dans le récit, le fameux Pete Bondurant.

Bleus, blancs rouges raconte ainsi, sur fond de crise pétrolière, de faillite de la sidérurgie, de montée du chômage, la vague de terrorisme qui déferle sur l’Europe, l’éviction de Bokassa, l’affaire des diamants, la mort de Jacques Mesrine, celle de Pierre Goldman, l’assassinat d’Henri Curiel et le soi-disant suicide de Robert Boulin. Les intrigues se croisent, les personnages fictifs et réels se mêlent inextricablement. Valéry Giscard d’Estaing, Yasser Arafat, Omar Bongo, Alain Delon et Mireille Darc, les frères Zemour, Tany Zampa, les commissaires Broussard et Ottavioli…

Les personnages fictifs sont quatre. Une jeune inspectrice et un jeune inspecteur tout juste sortis de l’école de police, l’une affectée aux Renseignements généraux, l’autre à l’Antigang. Un brigadier infiltré au sein d’un groupe révolutionnaire. Et un ancien du service Action du SDECE, un mercenaire qui tente de faire main basse sur la nuit parisienne. Chacun a sa voix, tous sont complexes et passionnants. Ils interpellent, ils touchent, ils bousculent le lecteur. Ce sont eux qui donnent au roman sa dimension tragique.


Le lecteur ne se perd pas dans cette intrigue aussi dense

La lecture est aisée, addictive, l'intrigue singulièrement maîtrisée, constamment relancée. L’ambiance, évidemment plutôt mascu, chargée un max en testostérone, est électrique, les personnages et l’action sous tension permanente. Benjamin Dierstein a formidablement travaillé le rythme de son écriture, le récit est émaillé de retranscriptions d’écoutes téléphoniques, d’articles de presse, de notes de renseignement. Le roman a du souffle et le texte pulse.

Un livre parfaitement documenté, les évènements, les dates sont respectés. Reste que Bleus, blancs, rouges est une œuvre de fiction. Et d’abord de satire politique. Un art de la caricature. L’auteur y réussit très bien, son humour est ravageur. Il invite à regarder derrière le rideau de fumée de certains récits officiels. En exergue de son roman, il a écrit ainsi : « Rien de ce qui suit ne s’est passé de cette façon. Tout aurait pu se passer de cette façon. Et pourtant, rien. »





> Et la chronique de Christine Ferniot dans Libération :

Citation:
«Bleus, Blancs, Rouges», la France de Giscard découpée au scalpel

Ce premier tome d’une trilogie trépidante sur la fin des années 70 à Paris fait de Benjamin Dierstein le digne descendant de James Ellroy, entre roman noir furieux et western urbain en technicolor.


Benjamin Dierstein avait déjà bousculé ses lecteurs entre 2018 et 2022 avec une trilogie sur la France des années 2011 à 2013. La Sirène qui fume, La Défaite des idoles, La Cour des Mirages (tous publiés en poche chez Points) plongeaient avec délectation dans les mondes très poreux de la politique et du crime au temps de Sarkozy. Les intrigues tenaient bon, le style était sauvage et la documentation rigoureuse sans jamais prendre le pas sur le romanesque. On citait déjà James Ellroy, à juste titre.

Dierstein revient avec une nouvelle trilogie galvanisante dont le premier tome se situe en 1978, en compagnie de Giscard d’Estaing, Pierre Goldman, Jacques Mesrine et même Alain Delon. De l’actualité bien joufflue et des personnalités bien connues qui ne font pas d’ombre aux héros de ce nouveau roman noir politique, social et satirique, de ce grand western en technicolor qui vous secoue sans ménagement.

Il y a des flics bien sûr, de jeunes recrues sorties de l’école de police tel Marco Paolini, grande gueule compétente qui en veut, ou Jacquie Lienard, jeune et belle femme qui sait batailler dans ce monde de mecs à gros bras. Tous cherchent un certain Géronimo : « Un mercenaire d’extrême gauche qui vend son cul aussi bien à Kadhafi qu’au FPLP, et qui serait en train de former des révolutionnaires français à la guérilla en échange de leur soutien à la cause palestinienne. » Un trafiquant de haute volée qui se glisse partout comme une anguille.

Pas bien loin se tient aussi le brigadier Gourvennec qui veut infiltrer les groupes gauchistes et apprend par cœur la Société du spectacle de Guy Debord sans rien y comprendre. Ne pas oublier le mercenaire Vauthier qui préfère les nuits parisiennes bouffies de drogue, d’alcool et de prostituées compétentes. Tout ce petit monde propose une visite guidée d’une France en fin de règne avec la chute de Bokassa en Centrafrique, les diamants de Giscard qui vont précipiter son déclin, les nuits au Palace, les gardes du corps d’Alain Delon et la grande pègre. La fresque vaut le détour, l’écriture est en permanence énervée et la violence souvent insupportable.

A la fin de ce premier volet, Benjamin Dierstein tient son lecteur en laisse. On attend tous la suite en le traitant de voyou mais les coutures sont solides. Il faut bien reconnaître qu’il sait de quoi il parle, ce Breton musicien, car c’est aussi la France d’aujourd’hui qu’il découpe au scalpel. Le sourire en coin, il compose une leçon de politique qui a tout l’air d’un éternel recommencement. Il autopsie le corps de l’Etat et ça ne sent pas la rose.


_________________
« Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Visiter le site web de l'utilisateur  
Montrer les messages depuis:   
Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet    Jean-Christophe Grangé — Polars Pourpres Index du Forum -> D'autres auteurs de polars et de thrillers à découvrir... Toutes les heures sont au format GMT + 1 Heure
Page 1 sur 1

 
Sauter vers:  
Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas éditer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas supprimer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas voter dans les sondages de ce forum


Powered by phpBB © 2001, 2005 phpBB Group
Traduction par : phpBB-fr.com