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norbert Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47 Inscrit le: 18 Avr 2007 Messages: 11680 Localisation: Rhône-Alpes
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Posté le: Sam Fév 06, 2016 7:41 am Sujet du message: Que la mort vienne sur moi - J. David Osborne (Rivages) |
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Fondateur de la maison d'édition spécialisée dans le roman noir Broken River Books, qui a notamment édité Gravesend de William Boyle (le fameux n°1000 de la collection Rivages/Noir), J. David Osborne est également l'auteur de Que la mort vienne sur moi, qui vient de paraître en Rivages/Thriller dans une traduction de Pierre Bondil.
Le livre :
Premier roman d'un jeune éditeur américain passionné de littérature noire.
Entre Raymond Carver et Jim Thompson, l'histoire des rêves fracassés de jeunes gens désespérés dans une petite ville de l'Oklahoma.
Arlo et Sepp Clancy vivent dans une petite ville de l'Oklahoma.
Arlo est marié, travaille dans un magasin et rêve à une vie meilleure que l'existence étriquée qu'il mène dans son mobile-home.
Sepp vient de sortir de prison mais, lassé des boulots ingrats, il préfère se livrer au trafic de pilules sur internet.
Lors d'une expédition de pêche au poisson-chat, les deux frères découvrent une tête humaine dans la vase ; ils choisissent pourtant de ne rien dire à la police.
Dans la même ville, Danny Ames, videur dans un club, joue les gros bras pour un caïd local.
Il est à la recherche de son frère qui a disparu.
Sa trajectoire va croiser celle d'Arlo et Sepp Clancy...
Que la mort vienne sur moi est une formidable peinture de l'Amérique profonde, entre Daniel Woodrell, Raymond Carver et Jim Thompson.
« Le meilleur du roman prolétaire. Je lis tout ce que J. David Osborne écrit. Et vous feriez bien d'en faire autant. »
BENJAMIN WHITMER, auteur de Pike
>> Le blog de l'auteur : http://jdobooks.blogspot.fr/
>> Sa page Facebook : https://www.facebook.com/j.osborne.7
L'auteur :
J. David Osborne a grandi dans l'Oklahoma.
Passionné de littérature noire, il a fondé Broken River Books, une maison d'édition consacrée au genre.
Il vit aujourd'hui à Portland, dans l'Oregon.
Que la mort vienne sur moi est son premier roman publié en France.
_________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy
Dernière édition par norbert le Dim Avr 03, 2016 1:46 pm; édité 1 fois |
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norbert Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47 Inscrit le: 18 Avr 2007 Messages: 11680 Localisation: Rhône-Alpes
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Posté le: Sam Fév 06, 2016 7:58 am Sujet du message: |
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>> Le coup de projecteur de Benoît Minville :
Citation: |
Un bon Rivages
Roman noir prolétaire, drame violent de l'Amérique des laissés pour compte, ce roman d'un jeune auteur plaira aux lecteurs de ce nouveau courant de néo-noir qui met le social et la violence dans le même barillet.
On lit ce roman d'une traite, l'auteur en a sous le pied, il faudra le suivre.
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_________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy |
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norbert Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47 Inscrit le: 18 Avr 2007 Messages: 11680 Localisation: Rhône-Alpes
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Posté le: Sam Fév 06, 2016 6:12 pm Sujet du message: |
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>> La chronique de Yan sur Encore du Noir :
Citation: |
Une ou deux boîtes de nuit un peu pourries, quelques rastas blancs issus de familles aisées, beaucoup de mexicains qui bossent au noir, tout un tas de gens qui vivent dans des mobile homes et pour qui partir en vacances revient – pour les plus imaginatifs – à faire un tour sur Google street view…
Bienvenue en Oklahoma.
C’est là, dans une petite ville sans charme, que vivent les personnages que J. David Osborne va faire se croiser.
Avec, au milieu du maelström que l’auteur met en place, deux couples de frères.
D’un côté Sepp et Arlo Clancy, petits blancs pauvres dont le premier sort de prison pour détention de drogue avec intention de la revendre et le second subit les clients du magasin de sport dans lequel il est employé tout en rêvant de pouvoir un jour réussir à s’extraire de sa condition et de la maison mobile dans laquelle il vit avec sa femme, Jen, qui travaille pour un cabinet d’avocats.
De l’autre Danny et Thomas Ames ; le premier s’occupant de la sécurité pour une boîte de nuit et se trouve régulièrement en délicatesse avec la loi, le second étant l’espoir de la famille, jeune homme a priori sage mais qui vient de disparaître.
Lorsque, lors d’une partie de pêche au poisson-chat, Sepp et Arlo remontent une tête humaine et décident de n’en rien dire à la police, on se doute bien à qui elle appartient.
Comme on se doute que Danny, très remonté, va bien finir par croiser la route des deux frères.
Le tout est de savoir comment tout cela va se passer.
Surtout, J. David Osborne en profite pour tirer le portrait d’une Amérique des marges, abandonnée, paumée, loin des grandes métropoles mais pas non plus très près de la nature.
Une Amérique urbaine faite de trailers parks et de lotissements pas très coquets, de petites villes champignons où cohabitent essentiellement, pour une bonne part de la population, l’ennui et le chômage et donc, partant, la débrouille et les petits business foireux.
Ainsi en va-t-il de ce trafic d’engrais chinois vendu comme une drogue synthétique auquel Sepp participe pour pouvoir – luxe suprême – rouler jusqu’à Dallas pour s’acheter des meubles Ikea.
Par ailleurs, autour de la colonne vertébrale du roman constituée par la recherche de Thomas par Danny et les tentatives, molles ou vaines, de Sepp et Arlo pour accéder à un peu d’aisance et de bonheur, Osborne multiplie les petites scènes et les dialogues saisis à la volée comme autant d’instantanés de la vie de ce prolétariat abandonné dans le trou du cul de l’Amérique et pour lequel le choix se limite à un travail qui ne rapporte pas, aux trafics bancals ou à s’engager dans l’armée.
« Merle se pencha vers Arlo. « Je ne m’engagerais pas, si j’étais vous. »
Arlo grimaça un sourire : « J’en avais pas l’intention.
--J’ai été dans l’armée pendant plusieurs années. Ça remonte à loin. Ils ont voulu m’envoyer au Vietnam. Je me suis déclaré objecteur de conscience. Ils m’ont fichu en prison. Tuer des gens, c’est dégueulasse.
-Tout à fait d’accord.
-Enfin bon. L’armée, elle n’était pas aussi pourrie à l’époque. Il y avait la conscription, une belle merde, ça aussi. Mais comme ce n’était pas par choix que les gars devenaient soldats, il y en avait beaucoup de normaux. »
Tour à tour amusantes ou accablantes, ces tranches de vies forment en fin de compte un roman percutant et, derrière un aspect rentre-dedans pas désagréable, d’une grande finesse dans sa description des personnages, des sentiments qui les animent et de leurs contradictions.
Voilà un auteur qu’il conviendra de suivre de très près.
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_________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy |
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Fab Serial killer : Le Poète
Age: 48 Inscrit le: 09 Avr 2011 Messages: 2418 Localisation: Brest même
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Posté le: Sam Fév 06, 2016 10:07 pm Sujet du message: |
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tu m'as devancé.
acheté hier _________________ À chaque décision que nous prenons, nous créons un nouvel avenir. Et, ce faisant, nous détruisons tous ceux que nous aurions pu avoir à la place.
Lou Berney November Road |
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norbert Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47 Inscrit le: 18 Avr 2007 Messages: 11680 Localisation: Rhône-Alpes
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Posté le: Dim Fév 07, 2016 1:23 am Sujet du message: |
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Fab a écrit: | tu m'as devancé.
acheté hier |
C'est toi qui as vite dégainé !
J'ai hâte de lire ton retour. _________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy |
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Fab Serial killer : Le Poète
Age: 48 Inscrit le: 09 Avr 2011 Messages: 2418 Localisation: Brest même
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Posté le: Dim Fév 07, 2016 9:25 am Sujet du message: |
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c'est ma prochaine lecture _________________ À chaque décision que nous prenons, nous créons un nouvel avenir. Et, ce faisant, nous détruisons tous ceux que nous aurions pu avoir à la place.
Lou Berney November Road |
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norbert Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47 Inscrit le: 18 Avr 2007 Messages: 11680 Localisation: Rhône-Alpes
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Posté le: Mer Fév 10, 2016 12:25 pm Sujet du message: |
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>> Le coup de coeur de Holden sur Unwalkers :
Citation: |
La rentrée dans ce livre n’est pas évidente : construction hachée, style directe, je pense que l’excellent Pierre Bondil a dû souffrir, ou pas car c’est un grand traducteur devant l’éternel.
On peut donc commencer par le louer.
Rivages nous surprend donc avec cet étonnant roman.
Bien noir, on pourrait se dire que l’éditeur prend le train en route en ce qui concerne les polars ricains, collection néonoir ou autres, chez les rednecks, mais que nenni mes saigneurs de livres.
Ce livre est inclassable, surprenant, détonnant, un petit bijou de noir, purement noire comme « Ames ».
Passée la dizaine de pages, on s’habitue au style de l’auteur et de la construction, et cela marche bien, c’est du neuf mon poulet, y a du style, c'est stylé et racé.
De la fin au début la galerie de personnages fracassés est impressionnante.
De plus l’auteur s’amuse avec nous, en nous donnant les clefs de chaque histoire petit à petit, et cela demande un peu d’effort de lecture, réjouissant donc !
C’est violant, amoral, c’est la vie.
Des tribulations des deux frangins Chicanos, à Ames et ses potes, à Molly, au Barman, on passe un excellent moment.
La 4eme de couverture ne ment pas, entre Carver et Jim Thompson, classieux.
Très belle découverte donc et coup de cœur, je regrette de l’avoir lu aussi vite.
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_________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy |
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Fab Serial killer : Le Poète
Age: 48 Inscrit le: 09 Avr 2011 Messages: 2418 Localisation: Brest même
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Posté le: Mer Fév 10, 2016 2:24 pm Sujet du message: |
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je ne sais pas qui chasse sur les terres de qui (et c'est bien normal qu'un éditeur crée des tendances qui sont suivies) mais ça démarre vraiment comme un Néonoir de chez Gallmeister. _________________ À chaque décision que nous prenons, nous créons un nouvel avenir. Et, ce faisant, nous détruisons tous ceux que nous aurions pu avoir à la place.
Lou Berney November Road |
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holden Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 56 Inscrit le: 02 Avr 2007 Messages: 3669 Localisation: restons pragmatique
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Posté le: Ven Fév 12, 2016 11:49 am Sujet du message: |
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juste le démarrage, mais c'est la mode ^^ _________________ lisez ce vous voulez . . .
http://unwalkers.com |
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norbert Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47 Inscrit le: 18 Avr 2007 Messages: 11680 Localisation: Rhône-Alpes
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Posté le: Sam Fév 13, 2016 4:54 am Sujet du message: |
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>> La chronique de Christophe Laurent, de Corse Matin, sur The Killer inside me :
Citation: |
Que la mort vienne sur moi : le prolétariat de l'Oklahoma se met sur la gueule
On se fait passablement chier dans l'Oklahoma.
JimThompson nous le disait déjà.
Et ça n'a guère changé en 2016 avec le premier roman de J. David Osborne, Que la mort vienne sur moi.
Dans cette petite ville, pas loin d'Oklahoma City et de Tulsa, Danny Ames est un des blacks chargés de la sécurité du club local.
Les soirs de musique techno, il fait régner l'ordre.
Avec flingue à la ceinture et gilet pare-balles, parce qu'on n'est jamais trop prudent dans ce coin.
Prudent, son frère, Thomas, qu'il voyait devenir instit', ne l'a peut-être pas été : cela fait deux jours qu'il ne donne pas de nouvelles.
Le soir, parce qu'il habite toujours chez maman, Danny tente de calmer sa mère.
Avant de partir à la recherche de Thomas, accompagné d'un psychopathe, nommé Beck.
Autre fratrie, celle d'Arlo et de Sepp.
Le premier, marié avec une secrétaire d'avocat, bosse dans un magasin d'articles de sports.
Sepp, lui, en a marre de se crever le cul à livrer des meubles.
Et même s'il sort à peine de taule, il tente le diable en vendant des pilules d'engrais chinois, sympathiques hallucinogènes que les défoncés de tous bords vont forcément s'arracher.
Un jour, à la pêche au poisson-chat, les deux frères vont débusquer un cadavre à peine croqué par la faune aquatique...
Embrouilles à venir.
J. David Osborne est un autre de ces grands raconteurs de l'Amérique des paumés.
Mais ce n'est pas le sud.
Même si le Texas est tout proche.
Ce n'est pas une ambiance d'évangélistes non plus.
C'est plus l'Amérique des mobiles home, des Walmart, des petits boulots de merde, des calibres en circulation plus ou moins libre.
A l'image de ce qu'on retrouve par exemple chez Franck Bill.
Un pays aussi d'où l'on ne s'extrait pas de son rang social.
Sans revenir pesamment sur le rêve américain brisé, c'est ce qui frappe dans Que la mort vienne sur moi.
Seul Arlo rêve d'un monde meilleur mais ne sait pas bien comment y arriver, il dit juste " j'ai un budget " et, dans une très bonne scène, voyage à travers Google map..
Au moins a t-il la conscience de son état.
Dans ce petit monde de prolétaires, adeptes de la fumette, la tension est permanente.
Et c'est bien la tension économique qui va déclencher un engrenage criminel.
Roman efficace et poisseux, Que la mort vienne sur moi est servi par une belle langue (merci Pierre Bondil) et d'excellents dialogues.
Bref, une très agréable découverte.
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_________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy |
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Fab Serial killer : Le Poète
Age: 48 Inscrit le: 09 Avr 2011 Messages: 2418 Localisation: Brest même
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Posté le: Lun Fév 15, 2016 1:10 pm Sujet du message: |
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dans un patelin anonyme de l'Oklahoma on retrouve 2 duos de frères. d'un côté Sepp et Arlo Clancy,blancs, le 1er sort de prison et l'autre bosse dans un magasin de sport. de l'autre Thomas et Dany Ames,noirs, le 1er a disparu et l'autre assure la sécu dans une boite de nuit et fait le coup de poing pour quelques billets.
Dany, avec ses méthodes à lui, part à la recherche de son frère. Les Clancy,pendant une partie de pêche au poisson-chat, retrouvent une tête et un corps mais ne disent rien, plus pour éviter des ennuis que pour cacher quelque chose.
Leurs chemins vont forcément se croiser à un moment ou un autre.
Le récit peut paraitre décousu,il y a beaucoup de non-dit,on alterne des "tranches de vie" assez courtes des uns et des autres et même si on se doute très rapidement du fin mot de l'histoire il n'y a pas,au départ, de véritable fil conducteur. ce n'est pas désagréable pour autant.
on les suit eux et d'autres,Merle le barman dont j'ai failli rater la vraie place dans l'histoire, dans leur vie ou surtout leur ennui.
à la fois attachant par moment, la façon dont Arlo et sa femme Jen surmontent leurs difficultés, et terriblement révélateur de cette Amérique entre petits boulots,arnaques et trafics ce Que la mort vienne sur moi est beaucoup plus fin et subtile qu'il n'en a l'air de prime abord.
un auteur à surveiller. _________________ À chaque décision que nous prenons, nous créons un nouvel avenir. Et, ce faisant, nous détruisons tous ceux que nous aurions pu avoir à la place.
Lou Berney November Road |
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norbert Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47 Inscrit le: 18 Avr 2007 Messages: 11680 Localisation: Rhône-Alpes
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Posté le: Lun Fév 15, 2016 1:23 pm Sujet du message: |
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Très certainement ma prochaine lecture. _________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy |
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pierre bondil Victime
Inscrit le: 07 Mar 2016 Messages: 7 Localisation: paris
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Posté le: Lun Mar 07, 2016 9:20 pm Sujet du message: |
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Cela fait plaisir de lire que vous appréciez ce livre. J'ajoute que le lecteur distrait risque de ne pas tout comprendre, mais qu'il devrait quand même apprécier les "tranches de vies" qui rendent la majorité des personnages attachants. Quant aux outrances… chacun en pensera ce qu'il voudra. |
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Alice Serial Killer : Patrick Bateman
Age: 44 Inscrit le: 19 Mai 2011 Messages: 554
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Posté le: Mar Mar 08, 2016 11:04 am Sujet du message: |
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C'est marrant cette couverture qui fait tellement penser aux "Oiseaux de nuit" de Hopper... _________________ Sometimes the obvious occludes the truth. And sometimes things are exactly as they appear.
Saints of NY _ R. J. Ellory |
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norbert Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47 Inscrit le: 18 Avr 2007 Messages: 11680 Localisation: Rhône-Alpes
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Posté le: Mar Mar 08, 2016 11:41 am Sujet du message: |
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pierre bondil a écrit: | Cela fait plaisir de lire que vous appréciez ce livre. J'ajoute que le lecteur distrait risque de ne pas tout comprendre, mais qu'il devrait quand même apprécier les "tranches de vies" qui rendent la majorité des personnages attachants. Quant aux outrances… chacun en pensera ce qu'il voudra. |
Bienvenue ici au fameux traducteur (de ce roman et de bien d'autres) Pierre Bondil ! _________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy |
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