Posté le: Lun Avr 08, 2013 1:59 pm Sujet du message: Les enquêtes de Fiona Griffith Harry Bingham (P DL Cité)
Disponible depuis le 4 avril aux éditions des Presses de la Cité, dans la collection Sang d'encre, le premier volet d'une trilogie, La mort pour seule compagne, que l'on doit au britannique Harry Bingham.
Citation:
Toute jeune recrue de la brigade criminelle du commissariat central de Cardiff, au Pays de Galles, Fiona Griffith n'est pas particulièrement bien vue de sa hiérarchie ni de ses collègues. Rebelle, à fleur de peau, elle a du mal à communiquer avec les autres… en tout cas avec les vivants, qu'elle ne comprend pas. En revanche, Fiona ressent une forte empathie pour les défunts, qui exercent sur elle une attraction pour le moins étrange. Comme le lui révèle sa première enquête, cette fascination morbide, véritable handicap social au quotidien, s'avère un atout sur une scène de crime. Car face aux cadavres d'une prostituée et de sa fillette, retrouvées sauvagement assassinées dans un squat, Fiona perçoit des choses qu'aucun de ses coéquipiers n'est en mesure de saisir…
Faites parvenir le roman dans le point de vente le plus proche de chez vous avec lalibrairie.com, en cliquant ICI.
Posté le: Mar Avr 09, 2013 9:32 pm Sujet du message:
Il arrive jeudi chez moi, avec Hans Koppel ( Chatiments ), et quelques autres. _________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy
Posté le: Mer Avr 10, 2013 8:19 pm Sujet du message:
Je ne sais pas si Harry Bingham est originaire du Pays de Galles comme son héroïne, mais du coup ce britannique me fait penser à un autre, écossais lui, Gordon Ferris, publié l'an dernier dans la même collection avec La Cabane des Pendus, franchement très bon.
En espérant du coup que Bingham ait au moins le même talent que Ferris, mais si possible plus de succès en France... Même si je ne désespère pas pour autant de pouvoir lire prochainement la traduction d'un autre de ses romans.
_________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy
Posté le: Mer Avr 10, 2013 10:30 pm Sujet du message:
Fredo a écrit:
Norbert, faut voter pour le Ferris sur PP. Il est dans la pile aussi, faut vraiment que je trouve le temps de faire remonter quelques livres qui sont coincés dans la pile...
Promis, le temps que tu les remontes, j'essaie de mon côté de le noter, et même de regrouper ce que j'ai pu en dire ici ou là jusqu'à maintenant, pour y associer un commentaire à peu près digne de ce nom. _________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy
Age: 36 Inscrit le: 06 Oct 2005 Messages: 11460 Localisation: Au bout du monde
Posté le: Jeu Avr 11, 2013 8:30 am Sujet du message:
norbert a écrit:
Je ne sais pas si Harry Bingham est originaire du Pays de Galles comme son héroïne
Même si ça ne changeait rien sur sa fiche Polars Pourpres puisqu'on met Royaume-Uni (et non Gallois ou Écossais...), j'avais un peu trop vite catalogué Bingham comme étant gallois, effectivement.
Après vérification il ne l'est pas.
J'ai trouvé ça sur son site.
Citation:
And why did you choose to write about Wales ?
I'm not Welsh, exactly, but I spent huge chunks of my childhood there - and it's where my mother now lives full-time. Wales is in my blood. I love it.
But if my heart drew me to Wales, my writer's brain did too. Cardiff has this brilliant double-life. It's the capital of Wales, but in a British context it feels like a provincial city. Cardiff itself is relatively new - it expanded massively in the nineteenth century - but Wales is also a place of medieval castles, of ancient battles, the land of Arthur and Merlin. Wales is also intensely urban - the bit that Fiona patrols is all city - but just beyond the coast, you're in remote countryside.
_________________ Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire... J'ai la certitude d'être encore heureux.
Jules Renard (1864-1910)
Posté le: Ven Juin 07, 2013 2:18 pm Sujet du message:
Premier roman et belle entrée en matière pour son auteur. Fiona, l'électron libre, avec ses drôles de pulsions liées à la mort, son caractère revêche et ses intuitions qui font d'elle un personnage très original. Le roman prend son temps pour installer l'ambiance et l'intrigue. C'est une lecture rafraichissante entre deux grosses machines du genre. Un auteur à suivre et le début d'une série à découvrir.
Comme dans Les Lumineuses de Lauren Beukes, un autre excellent roman publié par les éditions des Presses de la Cité dans la collection Sang d'encre, La Mort pour seule compagne, écrit par Harry Bingham met en scène une héroïne hantée par la mort, sauvage, atypique, mais diablement attachante.
Fiona Griffiths est habitée par une fascination morbide. Contrairement à ce que le titre ou la présentation du roman peut laisser croire (et ce n'est pas un reproche puisqu'au départ, le lecteur peut penser que le livre évoque les enquêtes d'une quelconque médium, ce qui n'est pas le cas ici), Fiona est hantée mais d'une manière totalement terre à terre.
Et quand on apprend à mieux connaitre Fiona tout en découvrant sa vision du monde, le titre en français prend son sens. Et du coup, je le trouve même bien meilleur que le titre original (Talking to the Dead).
Harry Bingham tisse donc entre son personnage et le lecteur une caractérisation que je trouve assez subtile dans sa simplicité. Fiona est différente mais c'est un atout pour la Brigade Criminelle où elle fait ses débuts. Rien de très pesant dans sa condition qui pourrait décrédibiliser l'intrigue. Elle aborde certaines choses avec à la fois une douceur et une froideur qui font d'elle un personnage particulièrement attendrissant et très intéressant.
Quelques minutes avant d'écrire ces lignes, j'ai vu le dixième épisode de la première saison de la série TV Hannibal, qui évoque une chose importante dans l'univers de Fiona. Je ne rentrerai pas dans les détails histoire de ne spoiler ni le roman de Bingham, ni l'épisode de la série concernée. Mais c'est assez fascinant de pouvoir avoir un troisième recul sur l'histoire de Fiona. Je m'explique pour les trois :
Le premier lorsqu'on entame la lecture du livre et que l'on comprend qu'elle n'est pas médium. Rien de surnaturel, juste une sorte d'empathie morbide.
Le deuxième quand on découvre à la fin le « pourquoi du comment ». C'est bouleversant de simplicité et brillant de la part de l'auteur qui explique presque simplement la "malédiction" de son héroïne.
Le troisième avec Hannibal qui remet en lumière l'importance de la perception que l'on a de soi et des autres.
Drôle de mise en abime que de parler de perception et d'imaginaire. Un auteur via son livre nous hante, joue avec nos perceptions, nourrit notre imaginaire et nous donne à la fin de son histoire la clef pour refermer (si on le souhaite) la porte du monde qu'il nous a fait découvrir. Finalement, on peut même prétendre que l'auteur crée une multitude d'éléments contribuant à créer un syndrome spécialement dédié au lecteur qui va ouvrir le livre. Il devient le patient sur lequel le romancier va faire son expérience. Autant d'expériences différentes qu'il y a de lecteurs...
Digression, j'écris ton nom...
Juste pour vous dire que ce premier roman d'Harry Bingham est une belle chose qu'il faut vite en faire l'expérience.
Posté le: Ven Mar 07, 2014 5:13 pm Sujet du message:
Revue de presse :
« Fiona Griffiths fait une entrée remarquée dans l'univers plutôt masculin des héros de polar. La suite de son parcours est attendue avec impatience. »
L'Echo
«Harry Bingham livre là la première aventure de Fiona Griffiths. Vivement la suite : c'est excellent, on adore, on en redemande. »
Midi Libre
« Un scénario raffiné avec ce qu'il faut de sordide. »
Femina (Suisse)
« Bingham a une écriture très fine, presque féminine et l'on pense à l'Ecossaise Denise Mina dont les personnages sont aussi secrets, pas bien vus de leurs collègues mais coriaces. »
La Voix du Nord
Ca y est, les vacances sont là, le flux de bouquins s’est momentanément tari. L’occasion de repêcher quelques romans qui étaient restés sous la pile. Et de découvrir de nouveaux auteurs. Comme l’anglais Harry Bingham et son roman gallois : La mort pour seule compagne.
[...]
Un démarrage classique, bien tricoté, de la qualité british. Avec le petit plus de nous amener à Cardiff, ce qui n’est pas si fréquent. Et puis, petit à petit, on découvre Fiona, on s’attache à ce personnage émouvant dans sa faiblesse. On découvre son histoire, on découvre une famille atypique, on lui découvre des ressources insoupçonnées, on partage ses craintes, ses doutes …
Et on se fait prendre par la double énigme : Celle du meurtre, et celle du passé et du traumatisme du personnage principal. Certes Harry Bingham n’est ni le premier ni le dernier à nous faire ce coup-là. Mais il le fait très bien, avec beaucoup d’empathie et d’émotion, et sans les violons sirupeux. Donc on marche à fond, et le final est à la hauteur des attentes.
Une excellente découverte donc, et un auteur et un personnage qu’on aura, j’espère, beaucoup de plaisir à retrouver.
[...]
Un ordinaire roman d'enquête ? Certainement pas. Certes, il y a des mystères, des pistes, des suspects, et l'intrigue criminelle est permanente, très tendue. Pourtant, ce qui nous donne envie de poursuivre la lecture, c'est la vie de Fiona Griffiths. Une vraie Galloise qui s'éloigne de temps à autres de la citadine Cardiff, pour ne pas oublier ses racines. “Voici le véritable Pays de Galles. Le vieux Pays de Galles. Pas celui créé par les Victoriens, tout en charbon, acier, ports et usines. Mais le pays des Celtes. De l'opposition... Opposition à l'envahisseur. Un grand bras d'honneur multiséculaire. Ici, la population parle le gallois, parce qu'elle n'a jamais parlé autre chose...” Profitons-en pour saluer l'écriture impeccable de l'auteur, bien mise en valeur par la traduction de Valérie Malfoy.
Si Fiona reste quelque peu en décalage, la jeune femme est bien plus inspirée que les forces de police de Cardiff dans cette affaire. On la sait plus fragile que d'autres flics, plus sensible à la mort pour des raisons personnelles. En retrait par rapport à sa famille, aussi, et pas seulement parce que son père n'a pas toujours été très net dans ses activités. À la fois, Fiona ne manque pas de maturité ni d'intelligence, mais elle est encore à la merci des troubles qui ont perturbé son passé. L'aspect psychologique alourdit parfois un récit. Ici, à l'inverse, c'est le moteur qui fait avancer l'héroïne, et qui rend le suspense de plus en plus excitant. La nuit qu'elle passe dans un endroit insolite, par exemple, lui permet d'entamer la dernière étape de cette aventure. On espère la retrouver dans des romans à venir, car Fiona est un personnage très attachant.
Tout d’abord une petite mise en garde quant à la 4ème de couverture qui laisse à penser que l’héroïne a des dons paranormaux qui lui permettraient de communiquer avec les morts, ce qui n’est absolument pas le cas. Fiona a bien un rapport particulier avec la mort mais il est tout autre.
C’est d’ailleurs une des énigmes de ce roman, la personnalité de Fiona. Dès le départ, le lecteur a bien du mal à la cerner mais dans le bon sens du terme car notre curiosité est piquée au vif et on a envie d’en savoir plus. Il s’agit d’un personnage complexe et singulier que l’on prend plaisir à découvrir et qui s’avère attachante au fil des pages.
Le roman étant écrit à la première personne, on rentre directement dans ses pensées et elle va nous accompagner à chaque ligne. Très lucide sur elle-même, on se rend très vite compte qu’on a affaire à un personnage particulier qui recèle de nombreuses facettes.
A force de persévérance, elle va se retrouver plongée au cœur de l’enquête qui occupe toute la brigade criminelle de Cardiff. Mais cela ne se fera pas sans heurts, car Fiona prend parfois des libertés qui ne sont pas au goût de ses supérieurs.
Le meurtre de Janet et de sa fille April va entraîner de nombreuses ramifications. Une enquête qui va avancer doucement grâce au travail de fourmi effectué par toute l’équipe : vérifications, enquêtes de voisinage, interrogatoires, etc…
Un roman qui se lit avec plaisir et curiosité et dont le personnage principal est un de ses grands atouts. Et cela tombe bien car La mort pour seule compagne est le premier volet d’une série mettant en scène Fiona Griffiths. Nul doute que je serai au rendez-vous pour le prochain.
La vraie originalité de ce roman, est sa construction... Le récit est raconté à la première personne par notre héroïne qui nous fait part de son ressenti... ou de son non ressenti, elle qui n’est qu’un jeune gratte-papiers effacé du commissariat central de Cardiff. Pour la première fois, elle va participer à une enquête criminelle. En fait, très rapidement (cinq pages suffisent), nous comprenons plusieurs éléments essentiels de la vie de Fiona :
- il manque deux années de son adolescence, dont elle ne veut pas parler,
- elle ne s’est pas intégrée aux autres depuis son arrivée,
- elle a énormément de mal à savoir quelles sont les bonnes expressions, les phrases adéquates, ou les émotions à montrer dans la vie courante et joue avec tout cela, comme une sociopathe qui tenterait de faire "comme tout le monde".
La quatrième de couverture induit en erreur avec cette idée un peu malvenue de nous faire croire qu’il y aurait peut-être des pouvoirs psychiques en cause, comme si Fiona parlait aux morts ! En fait, la réalité est beaucoup plus intéressante que cela mais nous ne saurons vraiment ce qui est arrivé à cette jeune femme que dans les dernières pages du roman. Afin d’éviter de dévoiler l’intrigue, nous en resterons là. Je vous laisse le découvrir...
Nous allons donc suivre pas à pas l’enquête du commissariat de Cardiff sur un double meurtre racontée par Fiona, que l’on sent fragile mais emplie d’une détermination obsessionnelle. Loin de faire preuve d’action ou de suspense palpitant, l’intrigue n’est faite que de recoupements, de documents à lire, d’informations à trier patiemment. De témoignages en intuitions, notre jeune héroïne qui compte-tenu de son caractère plus que spécial qui l’oblige à faire cavalier seul, va bien évidemment mettre le doigt sur la solution... en même temps qu’elle testera ses propres limites.
Plus qu’une enquête somme toute classique, c’est l’étrangeté de ce ressenti (dont les émotions mal maîtrisées sous-jacentes sont saisissantes) qui fait tout l’intérêt de cette histoire. Parallèlement, les relations familiales, amicales et sentimentales de cette jeune femme évoluent avec une prudence touchante, ce qui souligne la fragilité de ce caractère en reconstruction. Se dessine alors une personnalité vibrante extrêmement forte revenue de bien loin !
Envoûtant !
>> Sur le site de l'auteur http://harrybingham.com/, on apprend que la chaîne Sky Living a réalisé un premier pilote de 2 heures adapté de La mort pour seule compagne, reprenant le titre VO Talking to the Dead. Evidemment, Harry Bingham espère qu'il y aura une suite. Un extrait est disponible :
Sortie poche le 4 avril prochain chez 10-18 :
_________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy
Dernière édition par norbert le Ven Mar 07, 2014 5:48 pm; édité 1 fois
Posté le: Ven Mar 07, 2014 5:19 pm Sujet du message:
On retrouvera Fiona Griffiths dans le second volet de la série d'Harry Bingham, Jusqu'à ce que la mort les réunisse, à paraître le 20 mars dans la collection Sang d'encre des Presses de la Cité.
Citation:
Octobre 2010.
Dans le congélateur d’une maison de Cardiff dont la propriétaire, Elsie Williams, est morte de vieillesse, des déménageurs découvrent une jambe.
Rapidement, une analyse ADN révèle que c’est celle d’une étudiante, Mary Langton, disparue cinq ans plus tôt.
L’enquête est confiée à Fiona Griffiths, jeune inspectrice de police, qui, atteinte du syndrome de Cotard, ressent une forte connexion avec les défunts.
Quelques jours plus tard, une main étonnamment fraîche est découverte au bord du lac artificiel asséché de Llanishen.
Celle-ci appartient à un certain Ali el-Khalifi, un Anglo-Marocain disparu depuis peu, qui assurait des cycles de conférences à l’école d’ingénieurs locale.
Bientôt des similitudes entre les deux meurtres sont constatées.
Mais quel est le lien qui unissait véritablement les deux victimes ?
Alors que le passé de « danseuse exotique » de Mary Langton semble dessiner la piste d’un meurtre sexuel, Fiona, elle, a une tout autre idée en tête...
_________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy
Posté le: Dim Mar 09, 2014 6:16 pm Sujet du message:
Il est possible que la couverture du second opus Jusqu'à ce que la mort les unisse soit modifiée au profit d'un visuel moins sombre et plus lisible :
EDIT : Par contre, sur PP on dirait que la fiche est validée (il y a les liens Amazon et Fnac), mais par contre lorsqu'on tape ici le titre entre les balises correspondants, aucun résultat n'apparaît...
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Dernière édition par norbert le Jeu Mar 13, 2014 1:28 am; édité 1 fois
Posté le: Mar Mar 11, 2014 11:25 am Sujet du message:
Effectivement, je ne savais pas que c'était possible. Par contre, sur la page d'accueil de PP, impossible de trouver via le moteur de recherches. _________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy
Age: 36 Inscrit le: 06 Oct 2005 Messages: 11460 Localisation: Au bout du monde
Posté le: Mar Mar 11, 2014 3:56 pm Sujet du message:
Au moment de la création de la fiche, il faut mettre ce symbole ( ' )et non celui-ci ( ’ ) pour que ce petit "bug" n'arrive pas.
J'ai modifié, du coup il apparaît dans ton post précisant qu'il n'apparaît pas. _________________ Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire... J'ai la certitude d'être encore heureux.
Jules Renard (1864-1910)
Posté le: Mar Mar 11, 2014 5:03 pm Sujet du message:
Hoel a écrit:
Au moment de la création de la fiche, il faut mettre ce symbole ( ' )et non celui-ci ( ’ ) pour que ce petit "bug" n'arrive pas.
J'ai modifié, du coup il apparaît dans ton post précisant qu'il n'apparaît pas.
Décidément, ça devient de plus en plus compliqué, surtout que sur mon netbook, je n'ai que ce symbole ( ' ) de disponible...
Ben d'ailleurs, maintenant que je l'écris, on dirait bien que ce symbole est le bon...
WTF ?!! C'EST GRAVE DOCTEUR ?!!! _________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy
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