Jean-Christophe Grangé — Polars Pourpres

[El Marco]

Las de supporter la puanteur du cadavre de sa mère qu'il a conservé pour toucher les allocations, le jeune Bill Roberts braque en face de chez lui la cabane d'un marchand de pétards. La cavale qui s'ensuit est une succession d'imprévus mortels où Bill s'adapte dans un environnement radicalement transformé par la fuite. Le pote sympa se transforme en allumé dangereux. Une mare tranquille devient, la nuit, le plus effroyable des marais et le plus simple des flics se découvre des instincts de prédateur... Tout plutôt que de se laisser prendre ! Le visage totalement déformé par des morsures de serpents, Bill croise la route d'un cirque itinérant spécialisé dans les monstres...

[El Marco]

Mon avis paraitra demain sur Polars Pourpres.

J'en profite juste pour pousser un mini coup de gueule contre la quatrième de couverture. Le personnage principal n'a pas le visage bouffi par des morsures de serpents mais par des piqûres de moustiques. De même, les différents éléments annoncés (la cavale, le copain qui devient "un allumé dangereux", la lutte contre le policier... ) ne durent que quelques pages. A mon humble avis, le résumé aurait gagné à être fait par quelqu'un ayant lu le livre en entier.

Et dans la série "les phrases qui vous ont marqués", en voici deux bien marrantes :

[holden]

eh eh eh
rue toi sur la serie hap et leonard de lansadale
il y a des tas de phrases percutantes
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lisez ce vous voulez . . .

http://unwalkers.com

[El Marco]

Mon avis sur Un Froid d'enfer est disponible sur Polars Pourpres.