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Le Juge Wargrave Ishigami le Dharma
Age: 39 Inscrit le: 17 Oct 2012 Messages: 8733 Localisation: Hexagone
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Posté le: Jeu Sep 21, 2017 8:32 pm Sujet du message: |
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Un Maigret qui vaut le détour :
Mon avis :
Citation: | Il me reste beaucoup de romans et de nouvelles de Simenon à lire (Signé Picpus est mon 17e Simenon) mais je dois dire que jusqu'ici Signé Picpus est mon préféré. A grands renforts de coups de fil et de bière, Maigret dénoue une pelote de laine ô combien emmêlée en partant de rien ou pas grand chose : un buvard sur lequel est inscrit une menace de mort. Problème, la menace est mise à exécution et la voyante est bel et bien morte.
J'ai adoré ce Maigret très rythmé où il se passe tout le temps quelque chose.
Oui, celui-ci est assurément une belle réussite, j'en redemande ! |
_________________ La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003). |
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Janjak Serial Killer : Patrick Bateman
Age: 67 Inscrit le: 25 Juin 2015 Messages: 516 Localisation: Lalinde
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Posté le: Lun Oct 09, 2017 12:45 pm Sujet du message: |
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J'ai aimé
Mon vote sur Polars Pourpres : 8/10
Maigret encore jeune commissaire enquête en Bretagne. Un roman qui se lit vite et avec plaisir, le texte est court, et va à l’essentiel.
Que du bonheur. |
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El Marco Charlie "Bird" Parker (modo)
Age: 45 Inscrit le: 30 Avr 2004 Messages: 11571 Localisation: Alpes-Maritimes
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Posté le: Jeu Oct 12, 2017 7:19 am Sujet du message: |
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Citation: | Mathilde Lacroix déteste sa sœur Poldine, qui le lui rend bien. Et pourtant, elles vivent ensemble depuis tellement d'années que leur haine réciproque est un membre de la famille à part entière. Dans ce microcosme vivent également Emmanuel, le mari de Mathilde et leurs deux grands enfants, Geneviève et Jacques, mais aussi... Sophie, la fille de Poldine, qu'elle a eu avec le mari de sa sœur ! La grande maison familiale n'est que complots, murmures, cachotteries, et tout ce petit monde s'épie dans un flot de rancœur et de fiel. Jacques n'en peut plus et songe à partir. Geneviève, petite chose fragile, confite en dévotion, tombe malade, s'en remet à la Vierge Marie et pressent qu'elle mourra le 25 mai prochain... |
Mon commentaire (ancien) :
Citation: | Quelque part entre le drame et le roman policier, un ouvrage puissant datant des 1938. Une ambiance lourde, moite, saturée de touffeur, où de vieux démons familiaux viennent hanter les habitants de la maison. Comme il est écrit page 45 : « C’était le ton de la maison : des voix dures, des regards sans indulgence et toujours des sous-entendus ». Même si le style a vieilli, la satire demeure acerbe et la manière qu’a Georges Simenon de dépeindre ses contemporains reste pénétrante. |
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El Marco Charlie "Bird" Parker (modo)
Age: 45 Inscrit le: 30 Avr 2004 Messages: 11571 Localisation: Alpes-Maritimes
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Posté le: Jeu Oct 12, 2017 7:21 am Sujet du message: |
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Citation: | Seule Edmonde, sa secrétaire, connaît le terrible secret qui ronge l'industriel Joseph Lambert. Elle était dans la voiture. Elles sait pourquoi Lambert, distrait, a laissé le véhicule rouler au milieu de la chaussée. Et quel drame atroce a résulté d'un moment d'égarement sensuel...
Elle ne dira rien. Quant à Joseph, c'est en vain qu'il cherchera le réconfort auprès de Nicole, sa femme, avec qui il n'a jamais eu de contact réel, ou de la facile Léa, sa maîtresse occasionnelle. Pas plus qu'à son frère, qui dirige avec lui l'entreprise familiale, il ne peut leur dire la vérité. |
Mon commentaire (ancien) :
Citation: | Une très habile et noire plongée dans l'âme d'un Joseph Lambert détruit par l'accident qu'il a provoqué. Comme d'habitude chez Georges Simenon, une grande économie de moyens pour une profusion de sentiments mêlés et de psychologies écorchées. |
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El Marco Charlie "Bird" Parker (modo)
Age: 45 Inscrit le: 30 Avr 2004 Messages: 11571 Localisation: Alpes-Maritimes
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Posté le: Jeu Oct 12, 2017 7:23 am Sujet du message: |
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Citation: | Charles est bouleversé lorsqu'il apprend le monstrueux secret de la fortune d'Henri, son beau-frère. Il se barricade dans le grenier pour y réfléchir et ni les appels de sa femme, ni les suppliques de ses filles ne le feront le quitter. Seule la certitude de tenir son beau-frère à sa merci pourra le convaincre de sortir... |
Mon vote (ancien) :
Citation: | Toujours un plaisir pour moi de (re)découvrir la plume de Georges Simenon. Une écriture dense et sombre, où la part est faite belle aux jalousies, rancœurs et autres complots familiaux. Un récit court et dans la lignée des autres ouvrages de l'auteur, dont je retiens particulièrement l'ultime phrase, cassante et impitoyable, qui achève ce roman de manière mémorable. |
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El Marco Charlie "Bird" Parker (modo)
Age: 45 Inscrit le: 30 Avr 2004 Messages: 11571 Localisation: Alpes-Maritimes
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Posté le: Jeu Oct 12, 2017 7:28 am Sujet du message: |
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Citation: | II avait lâché le journal, qui s'était d'abord déployé sur ses genoux puis qui avait glissé lentement avant d'atterrir sur le parquet ciré. On aurait cru qu'il venait de s'endormir si, de temps en temps, une mince fente ne s'était dessinée entre ses paupières. Est-ce que sa femme était dupe ? Elle tricotait, dans son fauteuil bas, de l'autre côté du foyer. Elle n'avait jamais l'air de l'observer, mais il savait depuis longtemps que rien ne lui échappait, pas même le tressaillement à peine perceptible d'un de ses muscles. |
Mon commentaire (ancien) :
Citation: | J’avais adoré le film de 1971, et ça n’est que maintenant que je découvre le roman à l’origine. A mon goût, un chef-d’œuvre. Une langue sèche et puissante, une psychologie absolument phénoménale, et un final d’une rare efficience. La lente déchéance d’un amour qui, façon Eros et Thanatos, demeure tapi sous les aigreurs d’un vieux couple à la relation usée par le temps. Un sublime cri d’espoir et de passion, les deux emmêlés au point qu’il est difficile de dire lequel l’emporte sur l’autre. |
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Le Juge Wargrave Ishigami le Dharma
Age: 39 Inscrit le: 17 Oct 2012 Messages: 8733 Localisation: Hexagone
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Posté le: Jeu Oct 12, 2017 1:25 pm Sujet du message: |
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Merci El Marco pour ces avis.
N'hésite pas à relier les fiches PP concernées à ce topic. _________________ La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003). |
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El Marco Charlie "Bird" Parker (modo)
Age: 45 Inscrit le: 30 Avr 2004 Messages: 11571 Localisation: Alpes-Maritimes
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Posté le: Jeu Oct 12, 2017 5:09 pm Sujet du message: |
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Le Juge Wargrave a écrit: | N'hésite pas à relier les fiches PP concernées à ce topic. |
Je n'hésitais absolument pas. |
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Le Juge Wargrave Ishigami le Dharma
Age: 39 Inscrit le: 17 Oct 2012 Messages: 8733 Localisation: Hexagone
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Posté le: Jeu Oct 12, 2017 6:04 pm Sujet du message: |
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Super !
_________________ La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003). |
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El Marco Charlie "Bird" Parker (modo)
Age: 45 Inscrit le: 30 Avr 2004 Messages: 11571 Localisation: Alpes-Maritimes
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Posté le: Jeu Oct 12, 2017 6:56 pm Sujet du message: |
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Sauf erreur de ma part, c'est désormais fait pour tous ses ouvrages. |
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Le Juge Wargrave Ishigami le Dharma
Age: 39 Inscrit le: 17 Oct 2012 Messages: 8733 Localisation: Hexagone
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Posté le: Jeu Oct 12, 2017 7:33 pm Sujet du message: |
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Bis ! _________________ La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003). |
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El Marco Charlie "Bird" Parker (modo)
Age: 45 Inscrit le: 30 Avr 2004 Messages: 11571 Localisation: Alpes-Maritimes
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Posté le: Dim Oct 15, 2017 5:36 pm Sujet du message: |
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Citation: | Vendredi 7 novembre. Concarneau est désert. L'horloge lumineuse de la vieille ville, qu'on aperçoit au-dessus des remparts, marque onze heures moins cinq. C'est le plein de la marée et une tempête du sud-ouest fait s'entrechoquer les barques dans le port. Le vent dans les rues, où l'on voit parfois des bouts de papier filer à toute allure au ras du sol. Quai l'Aiguillon, il n'y a pas une lumière. Tout est fermé. Tout le monde dort. Seules les trois fenêtres de l'Amiral, à l'angle de la place et du quai, sont encore éclairées... |
Mon commentaire sur Polars Pourpres :
Citation: | A mes yeux comme à ceux des autres lecteurs de Polars Pourpres, un très bon roman de Georges Simenon, comme tant d’autres. D’entrée de jeu, j’ai été happé par le style si sec et, en même temps, si raffiné. Quelques mots habilement choisis, emboîtés dans une syntaxe simple mais prenante. Aucune emphase pathétique, aucune recherche du bon mot juste pour le mérite d’exister : une véritable poésie en prose. A cet égard, le premier chapitre décrivant Concarneau esseulée, est presque un modèle du genre, au même titre que la manière dont l’auteur décrit la manière, insidieuse, dont la peur gagne peu à peu la ville. Une intrigue très intéressante, riche, avec ce petit jeu de massacres, avec armes à feu et empoisonnement, parmi les figures locales, la présence angoissante de ce chien jaune, toujours là quand se produit un drame, et où l’on remonte, lentement mais sûrement, vers l’hypocentre d’une vengeance fort crédible. Toute la personnalité de Maigret transparait ici, à la fois intuitif, parfois bougon lorsque cela ne va comme il le souhaite, patient et, finalement, d’une immense humanité – avec une double preuve de cette philanthropie dans les ultimes pages. Un petit bijou d’intelligence et de justesse, avec une retenue qui ne bâillonne absolument pas une indéniable maestria des mots. |
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Le Juge Wargrave Ishigami le Dharma
Age: 39 Inscrit le: 17 Oct 2012 Messages: 8733 Localisation: Hexagone
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Posté le: Lun Oct 16, 2017 12:29 pm Sujet du message: |
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Quel bonheur de lire du Simenon ! Encore une très bonne lecture avec :
Résumé :
Citation: | Élie Nagéar doit se cacher après avoir assassiné, pour le voler, un très riche Hollandais dans un train. Il se réfugie dans la pension pour étudiants que tient Mme Baron, la mère de sa maîtresse, à Charleroi. C'est dans la cuisine qu'il passe le plus clair de son temps, à guetter les autres locataires, de plus en plus soupçonneux... |
Mon avis :
Citation: | Des palaces bruxellois à l'île de Ré, en passant par le train Bruxelles-Paris où a lieu le meurtre et surtout cette pension pour étudiants dans les rues glaciales de Charleroi, Georges Simenon nous emmène dans les pas d'Elie Nagéar, citoyen turc, symbole de la déchéance et de l'inconscience, semi-dément qui se cache des autorités.
Remarquable roman psychologique, Le Locataire marque par cette tension omniprésente et paradoxale, tant l'assassin fuyard ne semble comprendre la gravité de son geste, à mesure que les autorités découvrent qui est l'assassin. Le cadre de la pension de Charleroi est aussi très prenant, on se voit au milieu des protagonistes, en train de partager le dîner avec eux dans cette cuisine chauffée, sorte de refuge pour Nagéar comme pour les autres pensionnaires, tant le froid pèse au dehors, comme pèse de plus en plus le soupçon sur Nagéar.
Comme d'habitude, l'immersion est immédiate et complète grâce à une écriture toujours précise et pertinente, et la lecture est fort plaisante.
Une énième réussite de l'auteur prolifique belge. |
_________________ La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003). |
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El Marco Charlie "Bird" Parker (modo)
Age: 45 Inscrit le: 30 Avr 2004 Messages: 11571 Localisation: Alpes-Maritimes
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Posté le: Dim Nov 05, 2017 6:00 pm Sujet du message: |
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Citation: | Quand une cloche, quelque part, sonna deux coups, le prisonnier était assis sur son lit et deux grandes mains noueuses étreignaient ses genoux repliés. L'espace d'une minute peut-être il resta immobile, comme en suspens, puis soudain, avec un soupir, il étendit ses membres, se dressa dans la cellule, énorme, dégingandé, la tête trop grosse, les bras trop longs, la poitrine creuse. Son visage n'exprimait rien, sinon l'hébétude, ou encore une indifférence inhumaine. Et pourtant, avant de se diriger vers la porte au judas fermé, il tendit le poing dans la direction d'un des murs. |
Mon commentaire :
Citation: | Encore une bien belle leçon de littérature policière, avec de magnifiques élans d’humanité. Une intrigue tortueuse, et quand elle vient à se dénouer, on se rend compte, presque piteux, qu’elle était en somme assez simple, ce qui est souvent le cas avec l’auteur. On retrouve le style de Georges Simenon, ténu, avec des phrases simples mais où les mots, habiles, malicieux, s’enchevêtrent à merveille pour des phrases qui constituent autant de petites allégresses pour aime la belle langue. Une histoire qui commence de manière atypique, avec la libération officieuse et organisée d’un condamné à mort pour un double homicide au couteau, afin de savoir ce qu’il va faire et vers qui il va se rendre. Maigret fera la connaissance de Radek, un étudiant d’origine tchèque, ayant particulièrement mal vécu son enfance, atteint de bovarysme et souhaitant faire payer à la société toute entière sa propre condition. Un étonnant face-à-face entre les deux hommes s’esquisse puis se concrétise, tout en psychologie, avec un prédateur manipulateur, imbu de lui-même jusqu’à l’extrême, évoquant des informations susceptibles de le faire tomber, voire d’exhiber des preuves indirectes de son méfait. « Vous n’y comprendrez jamais rien ! » lance-t-il à Maigret, autant par bravade que pour tenter, qui sait, de trouver quelqu’un avec qui partager l’intelligence de son crime. Une étonnante relation entre les deux hommes, faite de ruses, assez ambiguë et qui trouvera son véritable épilogue dans le comportement du policier, par un petit matin glacé de janvier. |
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El Marco Charlie "Bird" Parker (modo)
Age: 45 Inscrit le: 30 Avr 2004 Messages: 11571 Localisation: Alpes-Maritimes
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Posté le: Mer Déc 20, 2017 9:56 pm Sujet du message: |
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Citation: | « Combien de ces mêmes personnages, par des matins pareils à celui-ci, se sont-ils précipités, col relevé et chapeau baissé, dans l'escalier de l'Agence O ? Sur le palier, la jeune fille marque un temps d'arrêt et tire un miroir de son sac. Mais ce n'est pas pour se refaire une beauté. Au contraire, pendant qu'elle se regarde, son visage prend une expression encore plus affolée. »
Série de 14 nouvelles. |
Mon avis sur Polars Pourpres :
Citation: | Il serait inutile de s’appesantir à présenter Georges Simenon, avec ses cent-trois épisodes mettant en scène le commissaire Maigret, cent-dix-sept romans, plus de cinq-cents millions d’ouvrages vendus et presque cent-quatre-vingt-dix adaptations cinématographiques. Et c’est avec plaisir que l’on redécouvre l’œuvre de ce grand monsieur à travers ce recueil de quatorze nouvelles. Leur lien : elles sont toutes en rapport avec l’Agence O, une boîte d’enquêteurs privés. On y compte Torrence, le prétendu chef de l’entreprise, Emile, jeune roux qui est en fait le véritable cerveau, mademoiselle Berthe, la secrétaire ayant le béguin pour Emile, et Barbet, un ancien voleur à la tire qui leur rend bien des services. Ce spicilège est un petit régal, avec des histoires très variées. Une femme qui est persuadée d’avoir vu un cadavre, un homme séquestré qui envoie une lettre à l’agence, une vieille dame qui leur demande de retrouver un homme qui s’est travesti pour intégrer un club de femmes âgées, un docteur qui chercherait à empoisonner une légataire sur le déclin, une morte nageant au milieu de trois bateaux sans que personne ne se rende compte de rien, etc. Des histoires prenantes et efficaces, avec le style si particulier de Georges Simenon : des intrigues finalement simples mais agrémentées de fines analyses psychologiques, où les personnages déploient, pour la plupart, de larges parts d’ombre, le tout composé sur un style narratif tout en fluidité. Les mots coulent simplement, facilement, mais recèlent de petits joyaux littéraires. Car les tragiques manœuvres, les sales agissements et les personnages détestables ne manquent pas au gré de ces divers récits. Tout est finalement résumé dans ces quelques phrases extraites de la nouvelle « Le Ticket de métro » : « On ne sait rien, on ne soupçonne pas encore la vérité et pourtant chacun est empoigné par le sentiment de quelque chose de tragique ». L’humour ne manque cependant pas, par touches salvatrices, notamment dans les relations entre Torrence et Emile, ou dans une certaine causticité dans la peinture des prétendues convenances, notamment quand Emile interroge pour la première fois la brave madame Pitchard dans « Le Club des vieilles dames ».
Une aisance remarquable dans l’étude des rapports humains, qui se double d’énigmes fort intéressantes. Et dire que ces écrits ont été publiés pour la première fois en 1943, avec une prépublication en 1941. Une foudroyante modernité.
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