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norbert Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47 Inscrit le: 18 Avr 2007 Messages: 11680 Localisation: Rhône-Alpes
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Posté le: Sam Juin 09, 2007 3:09 pm Sujet du message: Sévices - Ted Lewis (Rivages/Noir) |
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Voici le plus beau et le plus dur roman noir qu' il m' ait été donné de lire jusqu' à maintenant, un immense chef d' oeuvre à découvrir absolument, par l' auteur de "PLENDER" (récemment adapté au cinéma sous le titre "Le Serpent"):
Tout va bien dans la vie de Georges Fowler jusqu' à ce que son épouse, Jane, et lui ne découvrent que certains de leurs collaborateurs, les Sheperdson entre autres, travaillant tous pour eux, leur mentent, et les volent.
Leurs activités, totalement illégales, leur a permis de réussir dans l' industrie du porno. Ils vont même jusqu' à tourner des snuff-movies plutôt étonnants.
Lorsque les Fowler débutent leur enquête, ils ne se doutent pas qu' ils vont se lancer dans une aventure qui va les mener dans les strates les plus noires de la société.
Ils vont constater qu' ils ne peuvent plus se fier à personne, y compris ceux en qui ils avaient toujours eu confiance.
Georges Fowler va donc régler les problèmes à sa manière, seul.
Traduit de l' anglais par Jean Esch.
Dernière édition par norbert le Sam Mai 14, 2016 4:37 pm; édité 3 fois |
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Inka Meurtrier
Age: 63 Inscrit le: 16 Fév 2006 Messages: 486 Localisation: Puteaux
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Posté le: Sam Juin 09, 2007 3:55 pm Sujet du message: |
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Là, tu m'as fait craquer ! je viens de le commander sur PM ! merci !!! j'ai hâte de l'avoir !! |
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norbert Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47 Inscrit le: 18 Avr 2007 Messages: 11680 Localisation: Rhône-Alpes
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Posté le: Sam Juin 09, 2007 4:27 pm Sujet du message: |
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PREFACE par l' écrivain anglais Robin Cook.
"Sévices est un roman aussi direct que bouleversant. La force de al première scène, dans laquelle un groupe de truands, conduits par un chef psychopathe, torture à mort un autre truand suspecté d' être un indicateur (de fait, la chasse aux indics et aux traîtres, que ce soit chez les gangsters ou chez les policiers se retrouve dans tout le roman) souligne la haine de l' auteur vis-à-vis de toutes les formes de dénonciation; et le roman dans son ensemble, qui jamais ne relâche sa pression pendant le moindre paragraphe, produit sur le lecteur une impression tout aussi forte que le précédent, Get Carter.
Ted Lewis est mort d' alcoolisme en 1976, alors qu' il n' avait qu' une quarantaine d' années; sa mort représenta une perte majeure. Car, dans le domaine du roman noir contemporain en Grande-Bretagne, il fut, pour ma génération du moins, le précurseur de la renaissance du genre. A tel point que, dans Sévices, son portrait d' un tueur décrit à la première personne a sur le lecteur un effet hallucinatoire que ce dernier mettra du temps à oublier... s' il parvient à l' oublier un jour.
Ici, il faut signaler que si Lewis n' est pas aussi célèbre dans son propre pays qu' il le mériterait de l' être, c' est parce que, à l' époque où il écrivait (j' epère, je pense que la situation s' est améliorée depuis) , plus un roman était bien écrit, plus il était noir et direct, plus il risquait de déranfer la sensibilité des éditeurs délicats dont la soumission aveugle (et donc la peur de déplaire) aux goûts de la classe moyenne (qui par dessus tout redoute la réalité dans la littérature, et tout ce dont on ne peut pas parler dans un salon) était répandue chez beaucoup d' entre eux. Cette volonté castratrice rabaissait la plupart des oeuvres de fiction anglaises au niveau de l' audace affectée, et, bien entendu, trompait les responsables éditoriaux dans leur jugement commercial; un jugement qui, soit dit en passant, était parfois ridiculement voire spectaculairement, erroné. Pour prendre un exemple typique, la réaction de mon 1er éditeur à la lecture de Ipcress, danfer immédiat de Len Deighton fut: "Intéressant, mais c' est pure imagination évidemment...Ca n' interessera pas le lecteur moyen..."
Autre conséquence de cette attitude, quand par hasard un jeune directeur de collection ambitieux dans une grande maison d' édition prenait le risque d' accepter des romans comme ceux de Lewis, ses supérieurs, à l' étage au-dessus, en ne levant pas le petit doigt pour les promouvoir, faisaient tout leur possible, de manière insidieuse, pour les saboter.
Pourtant il suffit de le lire pour s' apercevoir que Lewisfut un des 1ers écrivains anglais dans les années 60 à siuvre Chandler au pied de la lettre: "Le roman policier vide la vilence de son vase posé sur une étagère pour la déverser dans la rue d' où elle vient.", et Get Carter est un livre qu' un tas de gens et moi-même considérions à l' époque, et aujourd' hui encore, comme un classique à cet égard outre ses évidentes qualités d' écriture.
Mais sans doute est-il devenu introuvable, épuisé, envoyé au pilon, grâce à cette attitude, proche de la désinformation, qui domine chez cette frange d' éditeurs anglais auxquels je viens de faire référence, et qui semblent fermement convaincus que tant qu' Agatha Christie et P.-D. James se vendent bien, ils ont fait leur travail en toute conscience, en évitant de cracher sur le "Union Jack".
Par conséquent, comme je l' ai dit, un tas d' oeuvres étonnantes et originales ont été ainsi enterrées.
Que d' erreurs! La différence entre ce que les gens on t envie de lire aujourd' hui et ce que lisaient leurs parents il ya 50 ans a évolué de manière aussi radicale que les problèmes auxquels se trouve confrontée la société (ces réalités sociales que la littérature se doit, idéalement, de refléter), et c' est pourquoi de plus en plus de romans noirs écrits aujourd' hui en Angleterre n' ont plus rien à voir avec les 2 auteurs que je viens de signaler.
Quel dommage que Ted Lewis n' ait pas vécu assez longtemps pour assister à cela!
En lisant Sévices, je n' oublie pas que son auteur venait du nor d de l' Angleterre; il est né à Manchester et a suivi pendant 4 ans les cours de la "Hull Art School", sans doute à la même époque que Peter Everett, l' auteur de Negatives, entre autre roman très noir, honteusement sous-évalué en Grande Bretagne, qui fut publié par Cape en 1964 (avec une certaine nervosité si l' on en juge par la couverture incompréhensible) . Ce livre, à l' instar des romans de Lewis, faisait redescendre le meurtre dans la rue, dans les taudis étouffants de Notting Hill; làaussi, la folie et la perversion sexuelle étaient liées au meurtre (les trois inséparables, n' en déplaise aux Lois M' Naghten) comme dans les livres de Lewis.
En ce qui concerne ces villes du nord sur le déclin, économiquement moribondes et déshéritées --New-Castle, Liverpool, Hull et Manchester -- j' en ai connu certaines; exception faite de Londres, ce sont les plus violentes, les plus déprimantes de notre pays, et la force avec laquelle Lewis a su rendre leur atmosphère de désespoir, ses dialogues empreints où bruit la méfiance réciproque, où bout la haine, y compris entre les membres d' une même famille, ou entre des soi-disant amis de longue date, me poussent à me demander dans quelle mesure les histoires sinistres qu' il nous raconte sont, sinon autobiographiques, du moins liées à des gens proches de lui dans la vie, peut-être mêmedes gens de sa famille. Autrement, je ne vois pas comment, o`et pourquoi il les a étidiés de si près.
J' ai connu Ted Lewis... non, ce n' est pas vrai, je me suis seulement assis à côté de lui. Je ne connais personne qui ait jamais connu Ted Lewis... c' était impossible d' arriver à le connaître, même de manière superficielle. Je l' ai rencontré uniquement parce que Get Carter figurait dans la même liste "Jeunes Auteurs" de chez Hutchinson (depuis longtemps disparue) que mon premier roman. De ce fait, Lewis fréquentait lui aussi le pub situé en bas des bureaux de Hutchinson, le "Horse and Groom" dans Great Portland Street, comme nous tous (y compris mon éditeur, Graham Nicol, et le sien). Et pour la même raison, pas uniquement pour la bière, mais pour tenter de leur soutirer quelques livres sterling de plus sur notre à-valoir (aucun de nous n' avait jamais un sou en poche, et moi, de plus, j' avais une petite amie qui me coûtait cher!).
Mais Lewis restait toujours assis à l' extrémité du bar, seul dans son coin, et je ne l' ai jamais vu avec une fille. Généralement, il se tenait penché en avant, dans une posture rappelant vaguement la prière, la tête appuyée sur les bras; et aucun de nous ne put jamais lier connaissance avec lui, car il était soûl en permanence. Il était blond, séduisant, j' aimais bien son visage, et j' aurais volontiers eu une longue conversation avec lui, même une brève, surtout après avoir lu Get Carter.
Je n' y suis jamais parvenu. On pouvait lui parler, mais il ne répondait pas, et quand vous le regardiez, vous n' obteniez en retour que ce regard mystérieux qu' on peut attendre d' une vitre teintée. C' était en 1962, ou 1963, je crois. Ensuite, je suis reparti en Espagne et à Tanger, et je ne l' ai jamais revu.
J' ignore si un des autres de la bande du "Horse" l' a réellement connu. (Je ne l' ai jamais vu aileurs) Mais qu' y a-t-il de plus secret qu' un ivrogne qui ne parle pas?
Ne croyez pas que ces propos sont une critique à l' encontre de Lewis, c' est faux. C' est simplement que j' ai conservé de lui, le souvenir d' un type de 28 ans. Une critique? Loin de là. Lewis évoque plutôt l' image que je me fais de David Goodis, et j' aurais du mal à être plus flatteur.
Mais pour en revenir au début de mon propos, en lisant Sévices, j' ai cru comprendre pour quelle raison son auteur buvait. Comme je l' ai dit, je pense qu' il connaissait de manière intime, peut-être même dangereuse, ces choses dont il parlait. Cela saute aux yeux dans ses romans. Quelle que soit la vérité, il savait restituer le dialogue des truands, jusque dans les moindres intonations.
Aujourd' hui, je ne peux que rendre hommage à son courage qui lui a permis d' écrire ce qu' il a écrit, pendant aussi longtemps, décrivant les horreurs qui l' entouraient en se référant à ses propres horreurs intérieures, avec l' aide de l' alcool si nécéssaire, ou de tout autre arme qui lui permettait de continuer.
En choisissant de regarder la rue droit dans les yeux, au lieu de l' observer à la dérobée derrière un rideau du 1er étage, il a tracé une route en plein coeur de la jungle noire, et pour moi, cela lui aura valu une place parmi les tous premiers, même s' il avait survécu.
Son exemple montre combien l' écriture peut être véritablement dangereuse, quand on s' y consacre comme il faut, et l' écriture de Ted Lewis prouve qu' il ne s' est jamais défilé devant la page blanche.
Non... car pour Ted Lewis, la page blanche était le champ de bataille."
Robin Cook
Le Puech, 5 août 1990. |
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norbert Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47 Inscrit le: 18 Avr 2007 Messages: 11680 Localisation: Rhône-Alpes
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Posté le: Sam Juin 09, 2007 4:29 pm Sujet du message: |
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Inka a écrit: | Là, tu m'as fait craquer ! je viens de le commander sur PM ! merci !!! j'ai hâte de l'avoir !! |
Inka , je suis très sérieux là, si tu pouvais savoir l' énorme claque qui t' attend avec ce bouquin... C' est monumental. Impressionnant. Tout simplement! |
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Fredo Michael Myers
Age: 48 Inscrit le: 10 Avr 2004 Messages: 8982 Localisation: Paris
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Posté le: Dim Juin 10, 2007 1:03 am Sujet du message: |
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Si Ted Lewis est mort d' alcoolisme en 1976, je pense que la date qui figure sur la fiche du livre sur PP n'est donc pas la bonne, non ? (1980)
Je rappelle que la date qu'il faut rentrer lorsque l'on soumet un livre est la date de publication de l'oeuvre originale, pas la date de publication en France.
EDIT : après vérification il semblerait qu'il soit mort en 1982 ... Et la date de GBH est la bonne !
l'erreur vient donc de Robin Cook ! _________________ Frédéric Fontès, News & Chroniques sur www.4decouv.com et C'est Culturellement Dingue sur TikTok |
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norbert Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47 Inscrit le: 18 Avr 2007 Messages: 11680 Localisation: Rhône-Alpes
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Posté le: Dim Juin 10, 2007 2:26 am Sujet du message: |
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Fredo a écrit: | Si Ted Lewis est mort d' alcoolisme en 1976, je pense que la date qui figure sur la fiche du livre sur PP n'est donc pas la bonne, non ? (1980)
Je rappelle que la date qu'il faut rentrer lorsque l'on soumet un livre est la date de publication de l'oeuvre originale, pas la date de publication en France.
EDIT : après vérification il semblerait qu'il soit mort en 1982 ... Et la date de GBH est la bonne !
l'erreur vient donc de Robin Cook ! |
Possible, mais j' en doute. Peut-être une erreur de frappe de l' édition française...
Toujours est-il que le récit n' a pas une seule ride, au contraire, et ce livre a une puissance, un style et un dénouement (aaah, ce dénouement de folie!!! ) stupéfiants. IL FAUT LE LIRE POUR LE CROIRE! |
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holden Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 56 Inscrit le: 02 Avr 2007 Messages: 3669 Localisation: restons pragmatique
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Posté le: Mar Juin 12, 2007 8:27 am Sujet du message: |
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je vais fair les bouquinistes et gibert joseph |
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norbert Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47 Inscrit le: 18 Avr 2007 Messages: 11680 Localisation: Rhône-Alpes
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Posté le: Mar Juin 12, 2007 1:12 pm Sujet du message: |
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holden a écrit: | je vais fair les bouquinistes et gibert joseph |
Si tu n' arrives pas à le trouver d' occasion, même sur PM ou autres, franchement n' hésite pas à le commander neuf en poche(8.5€environ) car il les vaut TRES LARGEMENT!
En plus, c' est exactement le genre de bouquins que l' on garde précieusement dans sa bibliothèque pour pouvoir le relire de temps en temps!
Que tous ceux qui avaient été bluffés par "Shutter Island" par exemple lisent "Sévices" de toute urgence, c' est monumental, avec un dénouement incroyable et absolument imprévisible à couper le souffle, vertigineux, dont il est impossible de ressortir indemne!!!
Même une fois le livre fini, il continue de nous hanter longtemps après, tellement on en ressort essoré, et presque traumatisé!!!...
UN PUR CHEF D' OEUVRE A DECOUVRIR ABSOLUMENT!!! |
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holden Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 56 Inscrit le: 02 Avr 2007 Messages: 3669 Localisation: restons pragmatique
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Posté le: Mar Juin 12, 2007 1:43 pm Sujet du message: |
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jeudi je suis sur lyon
je suis sur que je vais le trouver |
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holden Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 56 Inscrit le: 02 Avr 2007 Messages: 3669 Localisation: restons pragmatique
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Posté le: Mar Juin 12, 2007 1:45 pm Sujet du message: |
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Librairie Page Et Plume
87000 Limoges
9.45 (61.99 FRF)
Réserver
Mille Pages
94300 Vincennes
9.45 (61.99 FRF)
Réserver
sinon dispo là |
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holden Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 56 Inscrit le: 02 Avr 2007 Messages: 3669 Localisation: restons pragmatique
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Posté le: Jeu Juin 21, 2007 3:26 pm Sujet du message: |
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je l'ai trouvé a la fnac de lyon
je l'attaque bientôt
A+ pour la notation |
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Nico Commissaire Niémans (site admin)
Age: 43 Inscrit le: 28 Oct 2002 Messages: 9308 Localisation: Région Parisienne
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Posté le: Jeu Juin 21, 2007 3:28 pm Sujet du message: |
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Je vais essayer de me le trouver également, j'avais beaucoup aimé Plender et j'aimerais bien lire un autre Ted Lewis. _________________ Nico - Webmaster de Rivières Pourpres et Polars Pourpres |
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norbert Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47 Inscrit le: 18 Avr 2007 Messages: 11680 Localisation: Rhône-Alpes
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Posté le: Jeu Juin 21, 2007 3:31 pm Sujet du message: |
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holden a écrit: | je l'ai trouvé a la fnac de lyon
je l'attaque bientôt
A+ pour la notation |
Je languis vraiment que tu commences à le lire et que tu reviennes ici donner ton avis!!...
J' espère qu' à nous deux on puurra en convaincre bien d' autres de découvrir ce bijou noir!...
Du même auteur je viens de finir:
qui est aussi un superbe roman noir, dans la lignée parfaite de Jim Thompson ou David Goodis. L' écriture de Ted Lewis me fascine tellement elle est épurée, directe et formidablement puissante... |
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norbert Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47 Inscrit le: 18 Avr 2007 Messages: 11680 Localisation: Rhône-Alpes
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Posté le: Jeu Juin 21, 2007 3:57 pm Sujet du message: |
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Nico a écrit: | Je vais essayer de me le trouver également, j'avais beaucoup aimé Plender et j'aimerais bien lire un autre Ted Lewis. |
Nico, si tu as aimé PLENDER tu vas halluciner avec SEVICES car c' est à peu près le même exercice de style (la narration alternée, mais pas entre 2 personnages cette fois mais entre 2 périodes, et le résultat est une pure merveille!), mais SEVICES a tout simplement l' étoffe d' un grand chef d' oeuvre, tellement il est puissant, original, bouleversant et vertigineux.... |
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Mag Serial killer : Le Poète
Age: 52 Inscrit le: 15 Nov 2005 Messages: 2278 Localisation: Dans le Sud !
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Posté le: Jeu Juin 21, 2007 4:19 pm Sujet du message: |
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Quand Norbert et Holden s'y mettent , je résiste pas je vais voir si je le trouve..
Edit :trouvé sur PM à 4.50 euros, mon premier Ted Lewis, j'ai vu "Le Serpent" au ciné et j'avais beaucoup aimé. |
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