patoche77 Serial Killer : Patrick Bateman
Age: 60 Inscrit le: 07 Mar 2020 Messages: 861 Localisation: 77 sud
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Posté le: Lun Oct 14, 2024 9:23 am Sujet du message: Soufre – Nicolas Druart (Harper Collins) |
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Pour moi Nicolas Druart est un jeune auteur talentueux dans un style bien particulier qui me sied à merveille avec des romans toujours extravagants .
le pitch
L’Homme-Allumettes… Dites trois fois son nom et priez pour rester en vie.
Cette légende urbaine, le capitaine Antoine Aubert n’y accorde aucun crédit. Mais lorsqu’il hérite du meurtre filmé de deux adolescentes, ses certitudes vacillent. Celui-ci défie toutes les lois de la physique : dans une cabine du téléphérique toulousain, perchée à cinquante mètres au-dessus du vide, l’Homme-Allumettes semble surgir de nulle part.
L’affaire, déjà inédite, prend des proportions vertigineuses quand une youtubeuse célèbre consacre une vidéo sur cette histoire horrifique et que des milliers de personnes réalisent l’invocation pour se faire peur. Car une question primordiale demeure : comment traquer un individu qui a plus de traits communs avec un fantôme qu’avec un être humain ?
mon vote
Avec ce nouveau roman Nicolas Druart a fait ce qu’il sait faire de mieux, du Nicolas Druart.
En l’occurrence Du thriller nerveux, du thriller jeune et inventif qui flirte avec le gore, le surnaturel, l’horrifique dans une intrigue toujours très surprenante et addictive.
J’ai tout lu de ce jeune auteur, me suis fait berner de multiples fois avec ses romans précédents et j ’ai donc commencé la lecture avec le couteau entre les dents me jurant qu’il ne me reprendrait plus, tout en l’espérant tout de même. Mon côté maso qui rassurez vous ne m’inquiète pas du tout puisqu’il débouche sur un plaisir certain de lecture.
En plus, on a le bonheur de retrouver le capitaine Aubert qui avec son équipe avait déjà œuvrer dans un précèdent roman sanguinolent « Cinabre ».
Cette fois notre flic est confronté à une légende urbaine nommé « l’homme allumette » qui a le bon gout d’égorger des jeunes gens quand ceux-ci font appel à lui lors d’un certain rituel. Bien sur les meurtres sont plus que bizarre, voire impossible dans leurs configurations et donc des doutes fantomatiques hantent l’enquête.
Comme d’habitude Nicolas ne se refuse rien comme événements , les protagonistes principaux sont salement malmenés, ce qui fait monter dangereusement notre taux de stress. L’histoire est très actuelle avec en fond les réseaux sociaux et la liberté d’expression qui ne font qu’envenimer l’intrigue. Comme souvent dans la vraie vie .
Un slasher sympathique avec comme terrain de jeu, la fête foraine version sombre très inquiétante et bien sur son lot de surprises effrayantes. Cà rappelle quelques films d’horreur bien connu avec une histoire qui sent le soufre et d’ailleurs …tu souffres.
La fin m’a moins convaincu, mais bon cela reste un roman que j’ai beaucoup aimé ou je me suis fait berner encore pas mal de fois.
Je l’aurais un jour, je l’aurais …
a noter qu'on retrouve la capitaine Aubert dans un de ses romans precedent
mais bon c'est comme vous voulez _________________ Je vais toujours bien.....ou presque |
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