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On ne joue pas avec la mort - Emily St John Mandel (Rivages)
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norbert
Serial killer : Hannibal Lecter


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Le Serment des Limbes

MessagePosté le: Sam Avr 12, 2014 5:01 pm    Sujet du message: On ne joue pas avec la mort - Emily St John Mandel (Rivages) Répondre en citant

Après Dernière nuit à Montréal, un premier roman déjà très remarqué, Emily St John Mandel a fait son retour lors de la dernière rentrée littéraire avec On ne joue pas avec la mort, toujours publié chez Rivages.
Salué par la critique américaine, ce roman a reçu en France le Prix Mystère de la Critique 2014 du Meilleur roman étranger.





Le livre :

Cadre dans une société new-yorkaise, Anton va enfin concrétiser son projet de mariage avec Sophie, violoniste virtuose au caractère instable. Mais la lune de miel sur l'île d'Ischia tourne court, et Sophie rentre seule aux Etats-Unis, tandis qu'Anton attend un mystérieux rendez-vous.
Il a le temps de penser à sa famille de voleurs, à sa cousine qui ne cesse de l'impliquer dans de dangereux trafics, à son désir de mener une vie "normale".
Mais le peut-il ?

Pourquoi a-t-il vu sa vie professionnelle imploser dans les semaines précédant son mariage ?
Pourquoi lui a-t-on enlevé sa secrétaire et ses collaborateurs, et a-t-on relégué son bureau à l'entresol ?
Pourquoi a-t-il accepté de tenir à nouveau un rôle dans la partie mystérieuse que joue sa cousine ?
Sur son île italienne, Anton attend.
Un messager est en route pour lui apporter les réponses...
Mais pas celles qu'il espérait.

Traduit de l'anglais (Canada) par Gérard de Chergé.


« Un parfait équilibre entre introspection et action... Un thriller éminemment réussi. » Washington Post


L'auteur :

Emily St John Mandel a grandi au Canada et vit à New York.
Son premier roman, Dernière nuit à Montréal, a été unanimement salué par la critique.



Revue de presse :

Citation:
« Emily St. John Mandel parvient à créer un univers flou et ambigu, grâce à une construction d'une rare intelligence et à une écriture émouvante et ouatée...
Cette fois, elle accompagne de façon remarquable la désagrégation d'un homme et de son univers, laminés telle une plage pendant les grandes marées. »
Christine Ferniot, Telerama

« On ne joue pas avec la mort, d'Emily St. John Mandel, est le polar le plus étrange lu depuis des lustres... Etrange, parce qu'il ne se réclame de rien, et surtout pas de ce genre par trop codifié, étrange, parce qu'il se dévoile lentement, jusqu'à rester dans un état de suspension (quasi) permanent, étrange, enfin, parce qu'il crée un monde à la fois réel et littéraire, flippant et doucereux.
Il faut sans doute chercher les influences de la romancière canadienne chez Patricia Highsmith ou Vera Caspary, un peu chez Lynch, aussi; dans ces oeuvres qui disent tout sans rien et dans lesquelles flottent des personnages en quête d'identité et de raisons d'être. »
Emmanuel Hecht, L'Express

« Dans le monde du polar, quelques romanciers hors normes brillent d'un éclat particulier, car ils possèdent leur propre musique, affranchie des règles du genre. Les Américains Dashiell Hammet, Donald Westlake ou Robin Cook, par exemple, font partie de ces écrivains d'exception que François Guérif, spécialiste reconnu et éditeur chez Rivages, nomme des " diamants noirs " dans un livre d'entretiens paru au printemps (Du polar, Payot). Et il cite à ce propos une phrase de David Goodis, l'auteur de Tirez sur le pianiste : " Je n'écris pas des romans policiers, j'écris des mélodrames avec de l'action. " La définition conviendrait parfaitement à On ne joue pas avec la mort, le deuxième roman paru en France d'Emily St. John Mandel, une jeune Canadienne de 34 ans, éditée justement par Guérif. Le ton décalé, la mélancolie presque métaphysique, le style bouleversant de ce livre à part sidèrent en menant le lecteur par la main au milieu de ce livre dont les contours apparaissent d'abord flous, à l'opposé des canons réalistes du roman noir classique. »
Yann Plougastel, Le Monde

« La révélation de l'année... Une jeune Canadienne trentenaire, dont le premier roman Dernière nuit à Montréal (2012) avait déjà surpris par son univers onirique, confirme que nous tenons un auteur magique. Prix Mystère de La Critique 2014. »
Hors-Série Le Monde Spécial Polar, N°1 des 20 meilleurs polars depuis septembre 2013.

« L'impression de connaître cet univers littéraire. Lecture douce, agréable, sans surprise mais avec émotion. Après tout, on a déjà des histoires de disparitions. Et puis, sans prévenir, ça arrive. Piège, chausse-trappes et cocasseries. On est conquis. Il faut lire Emily St John Mandel. Un an après Dernière nuit à Montréal (reparu en Rivages/Noir), l'automne dernier offrait avec On ne joue pas avec la mort un nouveau suspense psychologique de haut vol. (...)
Commencé sur des airs de Ruth Rendell ou de Patricia Highsmith (soit la fine fleur du genre), On ne joue pas avec la mort s'installe ensuite entre George Orwell, David Lynch et la manipulation barbouzarde. C'est un roman poétique et cynique, une intrigue puissante où le thème de l'immigration clandestine fait écho à l'actualité de notre monde. Un polar à suspense qui vaut infiniment mieux que son titre. »
Hubert Artus, Lire Spécial Polar, les 10 meilleurs polars parus depuis septembre 2013.







Dernière édition par norbert le Sam Avr 19, 2014 7:31 pm; édité 1 fois
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norbert
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MessagePosté le: Dim Avr 13, 2014 12:40 pm    Sujet du message: Répondre en citant




Quelle merveille !
Commencé hier, je l'ai finalement lu d'une traite jusqu'à deux heures du matin, impossible de décrocher de cette intrigue passionnante qui se dévoile peu à peu, comme les personnages, dans une construction absolument brillantissime qui ménage un suspense psychologique d'une rare finesse. Les personnages sont éblouissants de justesse, fascinants, avec leurs failles et leurs doutes. On devine qu'Emily St John Mandel a réalisé un véritable travail de dentelière pour que tout dans son texte soit si juste, si naturel, si touchant, si simple en apparence et s'enchaîne avec tant de fluidité. Subtile réflexion sur l'identité, les relations familiales et l'immigration clandestine, elle nous livre avec On ne joue pas avec la mort un roman en état de grâce.
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norbert
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MessagePosté le: Mar Avr 22, 2014 6:09 pm    Sujet du message: Répondre en citant

>> La chronique de Laurent Greusard sur K-libre :

Citation:
La profondeur de la surface des choses

Anton est bien un cadre d'entreprise de notre temps : technophile, un tantinet immature, un peu égocentrique, vivotant sans trop se soucier des désastres que son propre fonctionnement provoque - à un moment du roman, il enverra un ami à rendez-vous mortel. Le sait-il ? Le soupçonne-t-il seulement ? L'indécision demeurera. Mais Anton va se marier même si par deux fois déjà sa fiancée, au dernier moment, a repoussé la date. Alors Anton retourne travailler dans une entreprise où il est mis dans un placard doré qui lui permet de jouer au basket avec des boules de papier et de tromper son ennui e, imaginant des jeux érotiques avec sa secrétaire. Finalement, Anton part en voyage de noces mais il est surtout chargé par sa cousine d'y attendre un inconnu pour lui remettre un petit paquet, même si pour ce faire, il ne doit pas revenir de son propre voyage de noces !
La vie d'Anton peut vous sembler étrange. C'est pourtant le thème et l'intrigue de ce nouveau roman d'Emily St. John Mandel. En 1988, Paul Auster avait introduit des préoccupations post-modernes dans le roman noir avec sa "Trilogie new-yorkaise". Aujourd'hui, cela contamine de bien belle manière le thriller. Anton vit de magouilles, et lorsqu'il décide de devenir honnête, les choses se déglinguent. Les personnages trompent leur ennui dans l'attente d'événements qu'ils ne maîtrisent pas et dont ils semblent peu se soucier. Le style de l'auteur restitue à merveille ces plages de langueur, ces moments de rien, ces allers-retours dans une réalité si concrète qu'elle en devient abstraite et absurde, jusque dans le dénouement final qui confirme l'amoralité du monde.
Tout le monde se promène lentement sur des plages paradisiaques, savoure des sorties au restaurant. Cet univers aseptisé, où l'on parle d'art et de culture, de facultés prestigieuses, fait d'autant mieux ressortir les morts en hors champ, les trafics d'être humains dans des conteneurs, des réseaux de prostitution qui n'hésitent absolument pas à tuer, toutes ces "saletés" qui font fonctionner le beau monde, mais qu'il est si facile d'oublier, même lorsque c'est son propre gagne-pain. En cela, le nouveau roman d'Emily St. John Mandel est une pure réussite.


>> La chronique de Bad Chili :

Citation:

Le premier roman d’Emily St John Mandel m’avait intéressé sans totalement m'emporter. La faute à une deuxième partie qui m’avait semblé un tantinet longue et redondante. Cette fois par contre, pas de pinaillage, « On ne joue pas avec la mort » est vraiment très bon, de la première à la dernière page.
Il y a presque deux romans en un tant la première et la seconde partie sont différentes. Au début, on rencontre Anton, cadre dans une grosse boîte new-yorkaise. Sans bien que l’on sache pourquoi, l’employé se fait mettre au placard et pendant toute cette partie, on baigne dans un climat de thriller paranoïaque façon « Homeland » en essayant de savoir si l’on doit, ou non, faire confiance à notre héros. Ensuite, on change d’ambiance en se déplaçant sur la côté d’une île italienne où Anton (je ne dirai pas pourquoi) va passer de nombreuses journées à attendre un mystérieux rendez-vous.
Dis comme ça, j’ai bien conscience que l’histoire a l’air sans queue ni tête. Pourtant tout fonctionne et la construction est parfaitement maîtrisée. Le gros plus du bouquin c’est son ambiance totalement envoûtante. Difficile à classer – on pourrait peut-être parler de thriller introspectif – « On ne joue pas avec la mort » confirme le talent et l’originalité de cette auteure canadienne.


>> La chronique de Michel Bélair pour Le Devoir :

Citation:

Ça arrive une fois ou deux par saison et c’est toujours indiciblement perturbant. C’est comme une sorte de choc, difficilement traduisible, fulgurant : la certitude d’être en train de lire une vraie nouvelle voix. Une nouvelle façon de faire surgir le monde sous nos yeux, au détour de chaque phrase. Un cadeau… En voici un gros.
Née en Colombie-Britannique, Emily St. John Mandel est passée par Toronto et Montréal avant de s’installer à New York ; elle n’a même pas 35 ans et son premier roman, traduit l’an dernier en français chez Payot/Rivages - Dernière nuit à Montréal -, a laissé des traces un peu partout. On ne joue pas avec la mort vous frappera encore davantage par sa luminosité, son élégance et son découpage absolument remarquable.

L’histoire d’Anton Wake se déroule pourtant dans une sorte de brouillard : on ne sait jamais trop quand ni où l’on se trouve. Mandel - et son traducteur, ne l’oublions jamais ! - a ce don de nous plonger tout entiers dans un univers complexe de couleurs, de textures et de souvenirs toujours plus ou moins tronqués, flous. C’est là le travail admirable d’une grande écrivaine.

Anton a tissé autour de lui un monde d’apparences qui se met à se désagréger, une fausse pelure après l’autre, sous nos yeux. On le verra quitter sa femme en plein voyage de noces, perdre son emploi et même mourir officiellement… sans toutefois y croire tout à fait. Avec lui, le lecteur se retrouvera nulle part à ne pas savoir exactement ce qui se trame sous le soleil d’Ischia, dans la baie de Naples, comme sous les ponts de Brooklyn dans l’entrepôt de Waker-Récupération de matériaux architecturaux.
Avec lui aussi on verra prendre forme, une touche à la fois, dans le désordre, le portrait d’ensemble, pour ne pas dire le foutoir sans nom dans lequel est plongé jusqu’au cou le trop faible et néanmoins très attachant Anton Waker.

Un livre admirable à lire tout autant pour son style lumineux que pour l’odeur de conteneurs empilés et de marées bleutées qui s’en dégage…


>> La chronique de Jean-Marc Laherrère sur Actu-du-Noir :

Citation:

Anton attend ...

Décidément, la rentrée nous gâte. Après une dernière nuit à Montréal remarquée Emily St. John Mandel revient avec un autre roman étrange et intrigant : On ne joue pas avec la mort.

Anton, jeune new yorkais, est en voyage de noce dans un village italien avec Sophie, une violoniste virtuose au caractère instable. Contre toute attente, il décide de rester et de ne pas rentrer avec elle. Et attend. A New York, une agente du FBI enquête sur Anton, ses parents et sa cousine Aria. Pourquoi avant de partir Anton avait-il été mis au ban de son entreprise ? Dans quels trafics trempe Aria ? Qu’attend Anton dans l’ile d’Ischia ? Et quel est le rôle d’Elena, son ancienne secrétaire ? Autant de questions qui ne trouveront leur réponse que petit à petit.

J’ai relu ce que j’avais dit à propos de Dernière nuit à Montréal, et je pourrais en reprendre une bonne partie ici. Une fois de plus, de façon très fine et subtile l’auteur met en scène des personnages sans attaches, sans racines, capables de quitter un lieu du jour au lendemain pour s’installer ailleurs. Un ailleurs avec lequel ils ont de nouveau des liens assez lâches.
On pourrait même dire qu’ici, les racines sont plus des freins ou des poids qu’autre chose : Ils sont en particulier la malédiction d’Anton qui veut échapper à sa famille et à ses activités, et d’Elena qui veut absolument quitter son grand nord natal.

Intéressant de voir, en opposition à des auteurs de polar traditionnellement très attachés à un lieu, une ville, une terre (on ne compte plus les couples enquêteur/ville), où les personnages se définissent en grande partie par leur appartenance à des clans, des familles, des classes sociales ou des lieux d’histoire, comme Emily St. John Mandel écrit des polars flottants comme des ballons gonflés d’hélium, dérivant au gré des vents.
Mais je vais redescendre sur terre, pour vous dire qu’au-delà de ces considérations, il convient de souligner l’habileté de la construction, la maîtrise du suspense et de l’intrigue et la finesse dans la description des personnages. Souligner également comment l’écriture jamais appuyée est en accord avec le discours, même dans les moments les plus dramatiques, et il y en a.
Une vraie réussite, qui ne ravira certes pas les amateurs de thrillers pleins d’action, de baston, de sang et de larmes, mais qui séduira certainement tous ceux qui prendront la peine de rentrer dans son monde original et envoutant.
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Ssarlotte
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MessagePosté le: Mar Avr 22, 2014 6:11 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je l'ai emprunté à la bibliothèque, c'est pour bientôt !
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norbert
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MessagePosté le: Mar Avr 22, 2014 6:37 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Tu m'en diras des nouvelles ! Personnellement, j'ai adoré, autant l'histoire que l'écriture merveilleuse de St John Mandel et sa construction remarquable.
Pour moi, c'est un roman qui s'adresse à un large public et qui peut plaire autant aux amateurs de suspense psychologique ou de romans noirs qu'à ceux qui aiment tout simplement les histoires fortes et touchantes avec des personnages qui crèvent le papier.
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norbert
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Le Serment des Limbes

MessagePosté le: Mar Avr 22, 2014 8:17 pm    Sujet du message: Répondre en citant

>> Michel Abescat et Christine Ferniot parlent de On ne joue pas avec la mort de Emily St John Mandel dans le Cercle Polar #128 à réécouter ici.


Citation:
Le précédent roman d’Emily St John Mandel, Dernière Nuit à Montréal, décrivait la cavale sans retour d’une femme en perdition. On ne joue pas avec la mort repose sur les épaules d’un homme, Anton, dans un monde qui s’effrite chaque jour un peu plus. Sa lune de miel à Ischia tourne court lorsque Sophie, sa nouvelle épouse, rentre seule à New York. Dans son métier, rien ne va plus : on l’a relégué à l’entresol dans un bureau vide. Et du côté de la famille, la situation est pire encore. Alors qu’il refuse de continuer à vendre des faux papiers, sa cousine lui demande d’accepter une dernière affaire.

Anton est l’image pétrifiée d’un homme qui ne sait plus vers qui se tourner. Alors, il attend, immobile, en contemplant la mer et la baie de Naples. Dans ce livre extrêmement attachant, mystérieux, tout semble flotter et l’auteur tire les ficelles de la chronologie, joue avec les codes du roman noir. Elle réussit par son écriture pointilliste à tenir son lecteur jusqu’à la dernière page, pour le surprendre encore.




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Hoel
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MessagePosté le: Jeu Mai 15, 2014 1:46 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Une nouvelle d'Emily St. John Mandel est offerte ces jours-ci pour l'achat de deux Rivages/Noir. Wink
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Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire... J'ai la certitude d'être encore heureux.
Jules Renard (1864-1910)

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Ssarlotte
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MessagePosté le: Dim Mai 18, 2014 4:43 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ssarlotte a écrit:
c'est pour bientôt !


C'est pour tout de suite !
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MessagePosté le: Lun Mai 19, 2014 8:06 pm    Sujet du message: Répondre en citant

J'en suis aux deux tiers du livre et je ne suis pas vraiment emballée. J'espère que le dernier tiers va me tenir éveillée !
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MessagePosté le: Lun Mai 19, 2014 8:49 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Dommage que la magie du récit n'ait pas fonctionné avec toi...
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MessagePosté le: Lun Mai 19, 2014 8:51 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je ne désespère pas, il me reste encore 70 pages Wink
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Le Juge Wargrave
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MessagePosté le: Mar Mai 20, 2014 6:35 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Alors Ssarlotte, les 70 dernières pages ont-elles confirmé ton ressenti ?
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La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003).
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MessagePosté le: Mar Mai 20, 2014 9:02 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Oui. Je ne suis pas vraiment enthousiasmée par ce roman. Chronique à venir d'ici la fin de la semaine normalement.
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MessagePosté le: Dim Juin 01, 2014 7:36 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Mon avis :
Citation:
Une intrigue très originale, une qualité d'écriture certaine. C'est un bon roman mais je n'ai pas énormément accroché.


Ma chronique : http://destinationpolar.blogspot.fr/2014/06/on-ne-joue-pas-avec-la-mort-de-emily-st.html
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Le Serment des Limbes

MessagePosté le: Dim Juin 01, 2014 10:52 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Hoel a écrit:
Une nouvelle d'Emily St. John Mandel est offerte ces jours-ci pour l'achat de deux Rivages/Noir. Wink


Je l'ai ! Emilyyy !! Very Happy

Belle couverture pour cet opuscule hors-commerce, la nouvelle est La Vagabonde, son titre en VO est Drifter et elle a été publiée la première fois en VO en 2012 dans Venice Noir (Venise Noir).

Dans la seconde partie de l'ouvrage, intitulée "Rivages/Noir fait son cinéma", François Guérif a sélectionné 18 films tirés de romans publiés dans la collection, qu'il commente toujours de manière passionnante.
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