Jean-Christophe Grangé — Polars Pourpres

[norbert]

Véritable phénomène d'édition et succès international depuis sa parution aux USA en janvier, La Fille du train de Paula Hawkins vient de paraître chez Sonatine, dans une traduction de Corinne Daniellot.






Le livre :

Mieux qu'un thriller exceptionnel, un piège paranoïaque et jubilatoire.
Lisez-le, vous comprendrez pourquoi.

Depuis la banlieue où elle habite, Rachel prend le train deux fois par jour pour aller à Londres.
Le 8 h 04 le matin, le 17 h 56 l’après-midi.
Chaque jour elle est assise à la même place et chaque jour elle observe, lors d’un arrêt, une jolie maison en contrebas de la voie ferrée.
Cette maison, elle la connaît par cœur, elle a même donné un nom à ses occupants qu’elle voit derrière la vitre.
Pour elle, ils sont Jason et Jess.
Un couple qu’elle imagine parfait, heureux, comme Rachel a pu l’être par le passé avec son mari, avant qu’il ne la trompe, avant qu’il ne la quitte.
Rien d’exceptionnel, non, juste un couple qui s’aime.
Jusqu’à ce matin où Rachel voit un autre homme que Jason à la fenêtre.
Que se passe-t-il ? Jess tromperait-elle son mari ?
Rachel, bouleversée de voir ainsi son couple modèle risquer de se désintégrer comme le sien, décide d’en savoir plus sur Jess et Jason.
Quelques jours plus tard, c’est avec stupeur qu’elle découvre la photo de Jess à la une des journaux.
La jeune femme, de son vrai nom Megan Hipwell, a mystérieusement disparu…

Numéro un des ventes en Angleterre et aux Etats-Unis, critique unanime, droits d'adaptation achetés par Steven Spielberg : ce premier roman est LA révélation de l'année.



« Un suspense formidable qui m'a tenu éveillé jusqu'au bout de la nuit ! »
STEPHEN KING

« Préparez-vous à être ensorcelé, à devenir obsessionnel. La Fille du train est le genre de livre que vous allez conseiller à tous ceux que vous connaissez pour avoir le plaisir de partager cette obsession. »
LAURA KASISCHKE



>> Le site de l'auteur : http://paulahawkinsbooks.com/




L'auteur :

Paula Hawkins a vécu au Zimbabwe, en France et en Belgique.
Journaliste à Londres, La Fille du train est son premier roman.



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« Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy

[Ssarlotte]

Résumé intéressant. Si je peux, je le lirai.
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http://destinationpolar.blogspot.fr/

[Ssarlotte]

Suggéré à la bibli.
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http://destinationpolar.blogspot.fr/

[norbert]

>> Le Cercle Polar #160 nous parle de La Fille du train de Paula Hawkins, et il est à écouter ici

[Ironheart]

Alors là, voilà un thème qui me parle !

Merci Norbert pour avoir mis l'accent sur ce roman.o)
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“Si vous possédez une bibliothèque et un jardin, vous avez tout ce qu'il vous faut".
Cicéron.

[norbert]

[Ironheart]

C'est ce que je fais en général mais en ce moment, j'ai un petit coup de mou !
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“Si vous possédez une bibliothèque et un jardin, vous avez tout ce qu'il vous faut".
Cicéron.

[Emil]

J'ai écouté l'émission puis direction la librairie pour commande !
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La seule chose que l'on puisse décider est quoi faire du temps qui nous est imparti - JRR Tolkien

[norbert]

[Emil]

Et oui je sais mais J'habite une petite ville ou il y a deux librairies qui se battent contre l'espace culturel en périphérie, donc pas de moyens pour avoir du stock hélas. Mais je préfère commander et attendre
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La seule chose que l'on puisse décider est quoi faire du temps qui nous est imparti - JRR Tolkien

[norbert]

Ah, c'est bon, ça !
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« Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy

[eric]

L’accroche du livre est irrésistible : Rachel prend chaque jour le train pour se rendre à son travail à Londres. Chaque jour elle regarde les maisons devant lesquelles elle passe et elle remarque une maison en particulier dans laquelle elle voit régulièrement un couple. Elle les regarde et imagine leur vie. La vie d’un couple idéal. D’un couple parfait. Jusqu’au jour où elle voit quelque chose qui la choque… Et elle décide d’intervenir... D’entrer dans la vie de ces parfaits inconnus…

Dès le début du roman, ou presque, on sait que Rachel est alcoolique. Elle sait donc qu’elle oublie des choses, qu’elle n’est pas fiable… C’est là l’intérêt principal du roman.

Mais les personnages ne sont pas vraiment intéressants. Le personnage principal agit parfois avec stupidité (et elle le reconnaît). Et les autres personnages féminins dans ce roman s’expriment étonnamment de la même manière : leur « voix » ne se distingue pas de celle de Rachel. De ce point de vu là, le roman est une déception.

L'histoire est raconté par le biais de différents points de vue. Mais ils ne sont pas tous présentés dans la même chronologie. Le suspense fonctionne donc par rétention d’information. C’est un procédé qui m’apparaît facile et surtout pas tout à fait « honnête ».

Le moment où le lecteur découvre qui est le/la meurtrier(ère) est par contre très bien rendu. Mais le final est d’une platitude… Il n’y a pas ce dernier retournement de situation ou révélation que tout le tapage fait autour de ce bouquin semble promettre.

Les personnages sont beaucoup trop manichéens.

J’ai entendu beaucoup de comparaisons avec les films de Hitchcock et il paraît que les droits ont été achetés pour en faire (justement) un film. Autant d’arguments pour « justifier » de la qualité du produit et nous donner envie de l’acheter. J'ai l'impression de m'être fait avoir parce que, d'après moi, le livre n'est pas à la hauteur des éloges que j'ai entendus et lus. C’est franchement une déception.

Je pourrais continuer sur ce que ce livre délivre comme message/point de vue sur les hommes et les femmes. Tout un tas de clichés (même si je n'oublie pas que les clichés sont, à l'origine, des vérités). On revient sur le manichéisme.

Je ne comprends pas l’engouement médiatique. Mais je dois reconnaître que ça se lit vite et que ça permet de passer le temps. Mais ça n’est pas du niveau d’un bon Hitchcock.

[Ironheart]

Je l'ai presque terminé alors je ne peux pas encore parler de la fin mais simplement du déroulement.

Effectivement, comme l'a écrit Eric, l'idée initiale est vraiment bien trouvée et le suspense est addictif.
Par contre, je ne suis pas trop d'accord concernant les personnages : l'auteure nous brosse le portrait de trois femmes qui pour une fois, sont loin d'être des wonder women. Alcoolique, infidèle, droguée, menteuse, peureuse, irresponsable, autant de travers qui les caractérisent et qui ne font pas d'elles des personnes lisses et parfaites qu'on envie.

Les hommes, par contre, sont nettement moins travaillés et réduits à leur physique et à leur caractère violent et/ou doux.

Quant au procédé narratif malhonnête, il m'a moins choquée que dans Glacé ou Nymphéas noirs.

L'écriture est très simple, voire simpliste et ne ravira pas les amoureux de la littérature mais ce n'est pas forcément ce que l'on cherche dans ce type de roman qui a pour but essentiel de faire tourner les pages à toute allure.

[Le Juge Wargrave]

[Ironheart]

Oups, gros lapsus de ma part ! Je ne voulais pas écrire Glacé mais "une putain d'histoire" !
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“Si vous possédez une bibliothèque et un jardin, vous avez tout ce qu'il vous faut".
Cicéron.