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norbert
Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47
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 Posté le: Mer Nov 25, 2009 1:55 am Sujet du message: |
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| El Marco a écrit: | | Parution en poche d'Une tombe accueillante le 15 janvier. |
Excellent polar, que je recommande vivement! 
Dernière édition par norbert le Lun Oct 11, 2010 8:28 pm; édité 2 fois |
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norbert
Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47
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taylor
Serial killer : Leland Beaumont
Age: 46
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| Posté le: Sam Nov 28, 2009 11:39 am Sujet du message: |
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| cool |
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norbert
Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47
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norbert
Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47
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| Posté le: Dim Déc 20, 2009 10:28 pm Sujet du message: |
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| norbert a écrit: | Le 15 janvier 2010 sortira simultanément le nouveau thriller de Michael Koryta La Nuit de Tomahawk:
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La Nuit du Thomahawk est le 1er "stand-alone" de Michael Koryta, qui délaisse le temps d'un roman ses privés fétiches Lincoln Perry et Joe Pritchard, qui étaient les héros de ses précédents thrillers.
Dernière édition par norbert le Mer Sep 08, 2010 4:00 pm; édité 1 fois |
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norbert
Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47
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| Posté le: Lun Déc 21, 2009 11:28 pm Sujet du message: |
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| Citation: | Michael Koryta prêt pour l'envol
C'était son premier voyage à Paris, et il a visiblement apprécié. L'Américain Michael Koryta, 26 ans, faisait étape dans la capitale cette semaine. Accueilli par son éditeur au Seuil, Robert Pépin, il venait présenter son troisième roman, "Une tombe accueillante", la nouvelle enquête du duo Lincoln Perry-Joe Pritchard.
Ce très jeune romancier, que Dennis Lehane semble avoir pris sous son aile, s'affirme déjà comme le symbole d'une nouvelle génération d'auteurs. Respectueux des aînés et des fondamentaux du genre, mais nourri au rock'n roll. Aussi déterminé que l'expriment son regard et son visage sur la photo, il se révèle, en tête à tête, très ouvert et souriant...
Avec vos romans, votre ville prend sa revanche : on parle enfin de Cleveland ?
Michael Koryta. C'est une des rares grandes ville américaines dont la population est en baisse (ndlr. elle a diminué de moitié en 60 ans). Elle a grandi avec ses usines et ses acieries, et son âme a disparu avec cette activité. On y est confronté à une grande pauvreté et aux crimes qui vont avec. J'ai donc deux raisons de situer mes livres à Cleveland. 1. La situation actuelle est mûre pour une série policière, on a tous les ingrédients nécessaires. 2. J'ai un profond attachement pour cette ville. J'y vois tant de beauté, d'histoire, de tradition que ça me vient du coeur.
Quelle genre de beauté ?
La ville est bâtie au bord du lac Erié et le front du lac, qui a été rénové ces dernières années, est magnifique. Les parcs sont parmi les plus beaux du pays. Mon père a grandi dans un quartier très dur, aujourd'hui délabré, qu'un touriste ne trouverait peut-être pas beau, mais où moi je vois de la beauté, parce qu'il me parle du passé. Cleveland est la ville parfaite pour une fiction moderne, parce que le passé vous saute aux yeux à chaque coin de rue, et je n'imagine pas écrire de fiction sans un regard sur le passé.
Vous êtes proche de Dennis Lehane ?
Après mon premier roman, j'ai suivi trois cours avec lui. Je savais que j'avais eu une chance énorme d'être publié aussi jeune : j'avais 20 ans. Mais je savais aussi qu'il fallait que je fasse beaucoup mieux très vite. Dennis est un formateur génial, il me pousse à introduire des personnages plus profonds et plus réalistes. Et surtout, à m'approcher au plus près du réel dans la manière dont les personnages sont affectés par ce qu'ils vivent. Il y a des séries policières où le héros traverse de vrais traumatismes et réapparaît dans le livre suivant en blaguant, relax, comme si rien n'était arrivé... Ce n'est pas possible. La violence que vous traversez vous colle à la peau et vous n'êtes plus le même. Mes personnages récurrents évoluent au fil de la série et Dennis y est pour quelque chose.
Dans "Une tombe accueillante", Lincoln Perry s'en prend plein la tête...
Quand j'ai démarré la série, je savais que j'étais un jeune auteur, que j'allais faire un tas d'erreurs et essayer de me corriger, j'ai voulu créer un détective qui reflète ça. Un jeune enquêteur qui fait des tas d'erreurs, en paie le prix, et cherche constamment à s'améliorer. La clef est de lui adjoindre un mentor, Joe, qui est là pour le guider.
Lincoln, c'est vous ?
Oui, il y a beaucoup de moi dans le personnage. En particulier sa façon de regarder le monde et son sens de l'humour. On ne vient pas du même milieu, mais on se ressemble. Lincoln a grandi dans un quartier difficile, à l'ouest de Cleveland, est entré dans la police et a vu bien plus de crimes violents que moi. J'ai travaillé six ans comme détective, mais sur des enquêtes privées et dans une ville moins dangereuse. Il a aussi perdu ses parents très jeune, alors que moi j'ai encore les miens. Joe, lui, est un mélange de plusieurs personnes, dont le détective qui m'a pris sous son aile, Don Johnson (comme l'acteur de Miami Vice) et aussi mon père : il est très logique, il pousse Lincoln à envisager tous les angles, à réagir avec son cerveau plutôt que ses émotions.
Comment êtes-vous devenu détective ?
Ce métier m'a toujours intéressé. Et c'est une expérience parfaite quand on veut écrire des histoires authentiques. J'ai arrêté en décembre pour devenir romancier à plein temps, mais j'ai vraiment aimé ça. C'est gratifiant de résoudre un dossier de garde d'enfant, par exemple, si le parent qui réclame l'enfant n'est pas à la hauteur et qu'on peut le prouver. C'est aussi ce qui m'a valu ma pire expérience : une affaire où un enfant de 3 ans est mort des suites des négligences de ses parents drogués. J'ai fait le tour des voisins pour reconstituer ses derniers jours et c'était terrible. A New York, Baltimore ou LA, les policiers voient cela tous les jours. Combien de temps pouvez-vous tenir avant que cela vous ronge ? C'est ce dont je parle dans le prochain Lincoln.
Au fond, vous saviez que votre carrière de détective ne durerait pas...
Je l'esperais. Tout dépendait du succès de mes livres. J'aurais pu continuer, mais je n'aurais pas voulu être un enquêteur de police dans un quartier trop difficile. J'ai un oncle et un cousin dans la police à Cleveland. A partir d'un certain niveau, vous devez vous blinder. Mais si vous voulez devenir romancier, vous ne pouvez pas vous permettre d'être insensible. Si j'avais continué, je n'aurais pas pu écrire.
Vous avez aussi enseigné le journalisme...
J'ai travaillé dans un quotidien, gagné quelques prix... J'ai commencé comme journaliste alors que j'étais encore au lycée, de 18 à 23 ans. Après avoir quitté le journal, une école m'a contacté. Je donnais un cours sur le reportage. On ne sait presque plus ce que c'est : les réductions d'effectifs et les fermetures font que le journalisme se résume à une course à l'info. Les journaux ont pourtant les moyens de raconter des histoires en soignant l'écriture, alors que la télé ne le peut pas. J'ai arrêté d'enseigner un an, mais je vais reprendre.
Votre jeune âge, 26 ans, c'est un handicap ?
Il y a des gens que mon livre intéresse parce que je suis jeune, d'autres qui, pour la même raison, le rejettent. C'est simple : JE N'Y PEUX RIEN ! Je ne veux pas vieillir trop vite, je n'ai aucune prise sur mon âge. Tout ce que je peux faire, c'est donner le meilleur de moi-même. Et puis Michael Connelly est une exception avec ses quinze ans de faits divers : moi, j'ai sans doute plus d'expérience que bien des auteurs de polars, avec mes quelques années de journaliste et de détective...
Ou aimeriez-vous en être dans cinq ou dix ans ?
J'aimerais que toute la profession puisse dire : "Waouw, il a fait des progrès ultra-rapides" ! Si en plus ca se traduit dans les ventes, tant mieux. Mais j'ai absolument besoin de m'améliorer. Si je ne meurs pas écrasé par un bus ou dans un accident d'avion, je vais faire ce métier assez longtemps. Et ce qui augmentera mon plaisir, c'est cette quête d'un livre à chaque fois meilleur que le précédent.
Lincoln Perry est là pour longtemps ?
Mon 4e roman est un unitaire, sans Lincoln, qui sortira en France en 2010. Le 5e est avec Lincoln. Et les deux suivants sans. Je veux montrer que je peux faire autre chose que des polars : le 6e est une histoire surnaturelle et le 7e une histoire de gangsters située en Floride durant la Grande Dépression. Je veux élargir au maximum mon champ d'action. Lincoln reviendra.
Il paraît que vous avez besoin d'écrire en musique...
Oui, et quand l'écriture coule, je ne m'en rends même pas compte. J'essaie de faire coller l'atmosphère de la musique à celle de la scène. Si j'écris de l'action, il me faut de l'énergie ; si c'est une scène triste, plutôt de la musique instrumentale. Pour "Une tombe accueillante", je suis passé de Black Rebel Motorcycle Club à Josh Ritter, un songwriter génial, et Joshua Bell, un violoniste classique né comme moi à Bloomington. J'ai quelques milliers de CD. Ma dernière découverte est un groupe de rock que j'adore, Cage the Elephant (ndlr. en tournée en France en mai et juin). Mon dernier concert, c'était il y a une semaine, en Floride : avec Dennis Lehane, son beau-frère et ma fiancée, on est allés voir Gas Light Anthem.
Où vivez vous ?
J'ai gardé ma maison dans l'Indiana, à la campagne, mais je loue un appartement à Saint-Petersburg, en Floride, depuis janvier, car ma fiancée vit là-bas. Elle dirige l'atelier d'écriture de Dennis, c'est comme cela qu'on s'est rencontrés. Je vis donc entre la campagne et la ville. Et quel que soit l'endroit, j'écris 1500 mots par jour.
A votre avis, pourquoi le polar a-t-il un tel succès ?
C'est d'abord une lecture divertissante. Ensuite, cela parle de gens qui ont un pouvoir absolu, et s'en servent pour faire le Mal. Mais à la fin, la justice passe. Or, de nos jours, on est très soucieux des abus de pouvoir. Les lecteurs cherchent un monde où la justice a le dessus.
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norbert
Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47
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Localisation: Rhône-Alpes
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| Posté le: Mer Jan 06, 2010 8:34 pm Sujet du message: |
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La couv' du poche, déjà dispo sur Amazon :
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norbert
Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47
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Localisation: Rhône-Alpes
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| Posté le: Lun Oct 11, 2010 8:50 pm Sujet du message: |
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 COUP DE COEUR de la FNAC :
| Citation: | Auteur de "La Mort du privé" et de "Et que justice soit faite", Michael Koryta partage son temps entre Bloomington, Indiana, et Tampa, Floride.
Il justifie pleinement le jugement d’un Connelly qui le classe parmi « les meilleurs des meilleurs… tout simplement ».
« Peu après minuit, par une nuit d’octobre sans lune et qu’une pluie fine balayée par le vent rendait encore plus dure, un des hommes que j’aimais le moins au monde fut assassiné dans un champ, près de Bedford, juste au sud de la ville. À l’origine, on crut que le corps avait simplement été abandonné à cet endroit. Qu’Alex Jefferson avait été tué ailleurs et qu’il était peut-être mort avant d’avoir été mutilé. On avait tort. »
Le détective Lincoln Perry ne portait pas Alex Jefferson dans son cœur, et pour cause : ce dernier lui avait volé Karen, sa fiancée. Mais lorsque Karen, endeuillée, le contacte pour lui demander de retrouver le fils d’Alex et lui annoncer la mort de son père, Lincoln accepte de tirer un trait sur le passé. Quatre-vingt mille billets pour une localisation de routine ne se refusent pas.
C’est alors que la situation vire au cauchemar : le fils d’Alex se suicide avec Lincoln pour seul témoin, les enquêteurs font du détective leur suspect numéro 1 et les menaces pleuvent de toutes parts. Il y a décidément quelque chose qui cloche dans la famille Jefferson.
Lincoln n’a plus qu’une issue pour s’en sortir : jouer la course contre la montre, déjouer la surveillance dont il est l’objet et débusquer lui-même le meurtrier.
Dans le monde ténébreux qu’il se prépare à affronter, tous les coups sont permis.
Avec son intrigue savamment charpentée, son rythme extrêmement soutenu et son ton caustique, Une tombe accueillante touche le lecteur au plus profond. |
| Citation: | "Une tombe accueillante" :
A 26 ans seulement, Koryta nous livre déjà le 4è opus des aventures de son duo de détectives privés : deux partenaires que n'aurait pas renié Raymond Chandler !
LAETITIA - FNAC Val d'Europe. |
| Citation: | Digne heritier de Dennis Lehane !
Koryta fait dans le polar noir avec un privé tres charismatique comme personnage recurent; ses intrigues et son style ne sont pas s'en rappeler le tres tres grand Denis Lehane.
Romans urbains a l'ambiance unique, Koryta a un bel avenir...
BENOIT - FNAC Cergy. |
En espérant que les Editions du Seuil nous offrent un nouveau Koryta en 2011 !
Surtout qu'après "La Nuit de Tomahawk", son duo Lincoln Perry - Joe Pritchard est de retour dans son 5e roman !... |
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