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Polars Pourpres

En polars hilarants

 
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Auteur Message
Athanagor
John Blacksad (modo)


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La Ligne Noire

MessagePosté le: Jeu Jan 26, 2006 10:53 am    Sujet du message: En polars hilarants Répondre en citant

Je tente un nouveau sujet.
On discute sur un forum consacré au polar.
Il y a des gens marrants. Si ! Ne le niez pas, j'ai les noms.
En partant de ces 2 constats, je me dis que vous entendez certainement des blagues, des histoires drôles. Je propose que nous nous les partagions ici-même.
Mais attention : il ne faut pas bêtement les ajouter à la suite les unes des autres, mais il faut les

ADAPTER A LA SAUCE POLAR !

OK ? (oh ouiiii, répondit la foule) Bon, alors je commence puisque je suis déjà là !


Un privé et son assistant vont enquêter sur la disparition d'un groupe de personnes en montagne.
Après quelques heures de conduite, ils se font surprendre par une grosse tempête de neige. Au travers du blizzard, ils aperçoivent une ferme et demandent à la très jolie dame qui leur a ouvert, s'ils ne pourraient pas y passer la nuit.
- Je réalise que c'est une terrible tempête et que je vis seule dans cette énorme maison mais mon mari étant décédé depuis peu, j'ai peur que les voisins parlent derrière mon dos si je vous héberge dans la maison.
- Soyez tranquille ma chère dame dit le privé, nous dormirons dans la grange et serons parti au lever du jour.

La dame était d'accord, ils s'installent dans la grange et au lever du jour, ils reprenaient la route. Ils bouclèrent leur enquète en 2 temps 3 mouvements car il s'est averé que le groupe de personnes disparu était composé de 1 gars et ce dernier était simplement resté sur un télésiège bloqué dans la nuit, et chantant à tue-tête une chanson "quand te reverrais-je, lalali, lalala...".

Mais neuf mois plus tard, le privé reçoit une très surprenante lettre d'un avocat. Ça lui as pris quelque minutes pour comprendre que cette lettre venait de l'avocat de la dame veuve rencontrée neuf mois plus tôt.
Il appelle son assistant et lui demande s'il se souvient de la jolie veuve rencontrée neuf mois plus tôt lors de leur dernière enquête en montagne.
- Oui je m'en souviens ! dit l'assistant.
- Se pourrait-il que tu te sois réveillé au milieu de la nuit. que tu te sois rendu à sa maison et que tu t'es permis de la visiter?
- OUAIS, HUM, OUI répond-il un peu embarrassé que l'histoire se sache.
- Et est-ce que tu te serais servi de mon nom au lieu du tien??
L'assistant devient rouge de honte et dit "Mouaich, écoutez, je m'excuse, c'est vraiment vrai que je l'ai fait mais pourquoi me demandez-vous tout cela?
- J'ai reçu une lettre de son avocat, elle est décédée et j'hérite de tout.
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weisses fleish
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Le Serment des Limbes

MessagePosté le: Jeu Jan 26, 2006 12:21 pm    Sujet du message: Répondre en citant

DERRICK LE FILM

SPOILER ###

Voici pour vous l'intégralité du Derrick porté au cinéma. Il durera 42 minutes comme un épisode de la série... (mais ça parait bien plus long )

** A l’intérieur d’une grande maison bourgeoise **

Une femme vêtue d’une robe grise et d’un collier de perles énormes est agitée. Elle fait les cent pas et fume une cigarette.

« Tap… Tap… Tap… Tap… (bruits de pas) Tap… Tap… Tap… Tap… Fffffuit (bruit de tirage sur la cigarette)… Tap… Tap… Tap… »

Cinq minutes après, un homme entre.

« Maman… Ne bouge pas, je te rejoins »

« Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… »

« Oui Grünger, qu’y a-t-il ?
-Je suis désolé mais…
-Je le savais, c’est pour ça que je fais les cent pas. »

L’homme sort une arme de poing.

« Je vais te tuer, maman !
-Non ! Ne me tue pas, je t’en prie !
-Je suis obligé ! J’ai trop de dettes ! »

Il pointe son arme vers elle et tire.

« Pan »

La balle sort du canon et touche la femme en pleine poitrine.

« Tu m’as tuée ! »

« Tap… Tap… Tap… Tap… »

La femme avance vers le fauteuil et tombe. L’homme s’avance.

« Tap… Tap… Tap… Tap… »

« J’étais obligé. »

** Dans le bureau de Derrick **

« Driiiiiiiiiiiiiiiiiiiiing ! Driiiiiiiiiiiiiiiiiiiiing ! Driiiiiiiiiiiiiiiiiiiiing ! »

« Derrick, le téléphone sonne.
-Va décrocher Gérard !
-Non, moi c’est Harry Klein ! Tu confonds avec mon cousin, l’instit ! »

« Driiiiiiiiiiiiiiiiiiiiing ! Driiiiiiiiiiiiiiiiiiiiing ! Driiiiiiiiiiiiiiiiiiiiing ! Driiiiiiiiiiiiiiiiiiiiing ! »

« Pour me faire pardonner je vais décrocher, répond Derrick. »

« Driiiiiiiiiiiiiiiiiiiiing ! Tap… Tap… Tap… Driiiiiiiiiiiiiiiiiiiiing ! Tap… Tap… Tap… Driiiiiiiiiiiiiiiiiiiiing !
-Allô, inspecteur Derrick à l’appareil.
-Allô, j’ai entendu un coup de feu chez le voisin. Vous me donnez combien en récompense ?
-Un coup de feu ? Mon Dieu. Il y a des morts ?
-Je ne sais pas ! J’ai juste entendu un coup de feu.
-J’arrive. »

// Musique de suspense. Les vieux de la maison de retraite retiennent leur souffle //

« J’ai oublié de vous demander votre adresse. »

// Ouf… Quel suspense ! //

« La mienne ?
-Non, celle de vos voisins.
-Ils habitent au 452 Bernstrasse.
-Oh… Mais… C’est la maison des Humlaüte ! La famille la plus riche d’Allemagne. J’arrive tout de suite. »

Derrick raccroche.

« Gérard…
-HARRY !
-Harry… Nous avons une enquête à résoudre. Allons y ! »

« Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… »

« Prenons la voiture, nous y serons plus vite. »

Derrick ouvre la portière.

« Monte Gérard…
-HARRY ! »

** Devant la maison bourgeoise **

« Je… suis… exténué…
-Derrick, je t’avais de ne pas conduire ! Tu aurais pu faire un infarctus en passant la seconde !
-Regarde la maison… Il y a quelque chose de louche.
-Quoi donc ?
-Mais regarde Gérard…
-HARRY ! »

Derrick montre la fenêtre de l’étage du doigt, un rideau bouge.

« Tu as vu ?
-Oui ! Ton doigt est ridé, c’est immonde !
-Mais non, le rideau a bougé… »

// Musique angoissante… Pourquoi le rideau a-t-il bougé ? //

Un homme en jogging arrive.

« Derrick ? Je suis l’homme que vous avez eu au téléphone !
-Ah, je vous présente mon collègue Gérard Klein !
-HARRY !
-Peu importe. Vous avez donc entendu un coup de feu ?
-Oui ! J’étais en train de ramasser les bananes dans mon jardin et j’ai entendu un coup de feu !
-Quel genre de coup de feu c’était ?
-Un coup de feu banal…
-Vous entendez souvent des coups de feu ?
-Oui.
-Quel genre de coup de feu entendez-vous ?
-Des coups de feux banaux !
-Je vois… Gérard…
-HARRY !
-Nous sommes en face d’une histoire dangereuse. »

// Do ré mi (joués au violon). Musique angoissante.//

« Entrons, dit Derrick. Bon, l’homme que j’ai eu au téléphone, vous pouvez partir !
-Et ma récompense ?
-Gérard…
-HARRY !
-Prenez son nom ! Je vais regarder si le rideau bouge encore. »

Derrick lève la tête.

« Vous vous appelez ?
-Hans Gargenturifahrenweitzeitdreizweieins.
-Merci. »

Derrick s’écrie.

« Chut… Le rideau ne bouge plus… Allons sonner… »

// L’épisode dure déjà depuis 35 minutes… Derrick va-t-il réussir à trouver le coupable en 7 minutes ? //

« Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Tap… Diiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiing Doooooooooooooooooooong »

« Bonjour, je suis…
-On a déjà donné ! »

« CLAC ! »

« Nous devrons ruser pour lui parler Gérard…
-HARRY ! »

« Diiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiing Doooooooooooooooooooooooooooong
-Ne fermez plus la porte ! Je suis de la police. Je m’appelle Inspecteur Derrick et voici mon collègue, Harry…
-GERARD ! Euh, non, rien…
-Votre voisin a entendu un coup de feu banal, l’avez-vous entendu ?
-Non, je n’ai pas tué ma mère pour récolter l’héritage et ainsi rembourser d’énormes dettes de jeu…
-Qui a parlé de meurtre ? C’était donc vous !
-Vous ne m’aurez pas ! »

« CLAC ! »

« Mon Dieu… Euh pardon ! Mein Führer, la porte est fermée !
-Si elle est fermée, c’est qu’elle n’est assurément pas ouverte, Derrick !
-Bonne déduction Gérard…
-HARRY !
-Comment allons-nous nous sortir de ce pétrin ?
-J’ai une idée mais je ne suis pas sûr que ça marche !
-Accouche crétin ! Le temps presse ! Oups… Désolé, une montée d’adrénaline : elles sont vraiment excitantes mes enquêtes !
-On peut ouvrir la porte ?
-Es-tu sûr que ça marchera ?
-Essayons… »

// Musique de suspense, les vieux retiennent leur souffle //

Derrick pose la main sur la poignée et la tourne. La porte s’ouvre !

« Brillante idée, Gérard !
-HARRY ! »

L’assassin est derrière la porte, larmes aux yeux.

« Vous m’avez eu Derrick. Arrêtez-moi !
-Après cette enquête minutieuse, le résultat devait être ainsi. »

Derrick passe les menottes à l’assassin et sourit :

« Tu as vu ça Gérard !
-HARRY ! »
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Athanagor
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MessagePosté le: Jeu Jan 26, 2006 1:14 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Quel scénario !!! Je trouve que le spoiler n'est pas assez visible ! C'est dommage, je risque de ne plus avoir l'effet de surpr... rrrrrrrrronnnnnnn pssshhhhiiiiiii rrrrrrrrroooonnnnnnn pppsssshiiiii...
Ah pardon, je m'étais endormi en sursaut ! Wink



Un malfrat un peu benet entre dans un bar mafieux et il demande au barman :
- Vous avez des bananes ?
- Non on a pas de bananes.

- Vous avez des bananes ?
- Non on en a pas.

- Vous avez des bananes ?
- Non, t'es sourd ou quoi !! Si tu me demandes encore si j'ai des
bananes je te cloue la langue au comptoir !!!!

- Vous avez des clous ?
- Non.

- Vous avez des bananes ?
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Athanagor
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MessagePosté le: Jeu Jan 26, 2006 1:45 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Voici ce que pourraient donner les dialogues d'un polar nanard. L'ambiance sera légèrement moins sombre que dans les films policiers qu'on aime !!! Mais bon il en faut pour tous les goûts !!!

L'enquêteur au légiste : Qu'a donné le prélèvement de tissu vaginal sur la victime ?
Le légiste : Des traces de sperme.
L'enquêteur : Du sperme masculin?
Le légiste : C'est le seul que je connaisse.
L'enquêteur : Très bien. Et combien d'autoposies avez vous effectué sur des morts ?
Le légiste : Toutes mes autopsies ont été effectuées sur des morts.

L'enquêteur se retourne alors vers l'accusé pour en savoir un peu plus sur lui : Je vous rappelle que toutes vos réponses doivent être orale : quel est le jour de votre anniversaire ?
L'accusé : Orale.
L'enquêteur : Ahhh non ! Pas de ça avec moi ! Je répète ma question : Quel est le jour de votre anniversaire ?
L'accusé : le 26 janvier
L'enquêteur : Quelle année ?
L'accusé : Chaque année.
L'enquêteur : Vous persistez ? Vous dites ne plus vous souvenir de ce qu'il s'est réellement passé à cause d'une certaine maladie. Cette maladie, affecte-t-elle vraiment votre mémoire ?
L'accusé: Oui.
L'enquêteur : Et de quelle manière cela affecte-t-il votre mémoire ?
L'accusé : J'ai oublié.
L'enquêteur : Vous avez oublié. Pouvez-vous nous donner un exemple de ce que vous avez oublié ?
...
L'accusé après un léger moment de flottement répond : Par exemple, je ne me souviens plus si c'est moi ou mon frère qui est mort durant la guerre.
L'enquêteur : OK, et concernant notre enquête, pouvez nous nous dire si vous avez couché avec la victime à New York ?
L'accusé : Je refuse de répondre à cette question.
L'enquêteur : Avez-vous couché avec elle à Chicago ?
L'accusé : Je refuse de répondre à cette question.
L'enquêteur : Avez-vous couché avec elle à Miami ?
L'accusé : Non.

L'enquêteur se tourne alors vers le légiste afin de terminer son interrogatoire : Avant de faire votre autopsie, avez-vous vérifié le pouls ?
Le légiste : Non.
L'enquêteur : Avez-vous vérifié la pression sanguine ?
Le légiste : Non.
L'enquêteur : Avez-vous vérifié s'il respirait ?
Le légiste : Non.
L'enquêteur : Alors, il est possible que la victime ait été vivante quand vous avez commencé l'autopsie ?
Le légiste : Non.
L'enquêteur : Comment pouvez-vous en être certain ?
Le légiste : Parce que son cerveau était sur mon bureau dans un bocal.
L'enquêteur : Mais la victime ne pouvait-elle quand même pas être encore en vie ?
Le légiste égal à lui même, imperturbable : Si ! Il est possible qu'elle ait été encore en vie et en train d'écrire les dialogues d'un polar nanard quelque part...
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