Jean-Christophe Grangé — Polars Pourpres

[El Marco]

Je viens de voir un truc de dingue sur le zapping de Canal +, reprenant un extrait d'un reportage sur le journal télévisé de TF1. Attention, méga spoiler concernant l'intrigue de Peur de Thierry Serfaty !

Spoiler:

Des chercheurs ont mis au point un boîtier permettant de neutraliser la peur chez des souris en stimulant une certaine région de leur cerveau, comme dans le roman de Thierry ! Du coup, la souris qui avait peur de descendre une échelle l'a fait sans la moindre hésitation. Vraiment vertigineux : quand la fiction peut dépasser la réalité...

[Nico]

[El Marco]

Spoiler:

[Mag]

Je viens de le recevoir, sacré roman , je le voyais pas si gros, j'ai hâte !

[Sybil]

Je l'ai entamé, et rien qu'en 60 pages on est déjà totalement happé par l'histoire (bon en fait il a suffit d'un paragraphe ).

Je sens que je vais le dévorer, si la suite est du même acabit je comprend les critiques élogieuses !
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N'est pas mort ce qui à jamais dort.

[AurélieMw]

J'en suis à près de 300 page et c'est un pur régal. Il m'impréssionne même par moment (rebondissements et sujet parfaitement maîtrisés, persos fouillés,attachants et vraiment beaucoup de justesse psychologique....) Pour ma part, j'ai le sentiment que c'est le meilleur de T.Serfaty...
Franchement, un excellent roman jusqu'ici, je tourne les pages à grande vitesse, direction la fin...
Fonce Sybil !!
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Il y a, au cours de l'existence, des rencontres imprévues et singulières, où bien des faits se produisent, en apparence anodins, et qui auront été les dons du destin.[Hector Bianciotti]

[Sybil]

Décidemment Aurélie on lit les Serfaty en même temps
J'avance pas mal aussi (avec Predator en fond c'est terrible...), on pourra peut-être en parler de vive voix la semaine prochaine à Saint-Etienne !
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N'est pas mort ce qui à jamais dort.

[Sybil]

Ca y est je viens de le finir ! Quel roman ! Vraiment génial, mon préféré de M. Serfaty pour le moment !

Le rythme ne faiblit jamais, les explications scientifiques ne sont pas trop pesantes et s'intègrent parfaitement dans le récit.

Le sujet est universel, tout le monde est confronté à la peur (ce qui ressort d'ailleurs très bien dans le livre : les policiers semblent sur ce point à égalité avec les phobiques), dans différentes mesures bien sûr, mais difficile de ne pas se poser des questions sur soi-même à la lecture !

Bon, la fin est un peu frustrante, vivement la suite...
NB : j'adore le "spoiler" de Nico !
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N'est pas mort ce qui à jamais dort.

[AurélieMw]

Ah, Sybil, quelle rapidité !!! Du coup j'ai envie d'y retourner tout de suite, me reste un peu moins de 200 pages...(ca avance, ca avance !)
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Il y a, au cours de l'existence, des rencontres imprévues et singulières, où bien des faits se produisent, en apparence anodins, et qui auront été les dons du destin.[Hector Bianciotti]

[AurélieMw]

[Turtle]

Je viens de finir PEUR aussi Un vrai régal, je l'ai dévoré ... finalement, les grèves ont eu du bon ... mon vote bientôt !
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Turtle's World

[fabien]

J'ai beaucoup aimé le style Serfay dès la lecture du Sang des sirènes.
Je dois avouer qu'avec Peur, le style est encore un cran au dessus par rapport au précédent. Plus de 520 pages de tensions psychologiques. Tout repose sur les épaules de ces flics qui luttent contre la nature humaine ellle-même, et ses émotions. La difficulté devient alors la difficultés de l'auteur. Comment faire ressentir cette tension au lecteur sans trop en Faire?...

Thierry y réussit parfaitement. Il reprend la théorie de la pyramide mentale exposée dans La nuit interdite et en explore une face aprèsavoir mis en place la base. Cette face icidévellopée est la peur. Peut-on lutter contre la peur? Définitivement? Et qu'est-ce qu'un homme sans peur?...
Un style impeccable, une fluidité dans l'écriture et l'intrigue et des personnages attachants et complexes. Tout y est.
Il vaut mieux effectivement avoir lu le précédent pour mieux cerner les clins d'oeil et l'ensemble des tenants et aboutissants de l'histoire quant à l'histoire personnelle de certain personnages.

En conclusion, Thierry nous offre un très bon roman qui se dévore. N'ayez pas peur de le dévorer à votre tour!
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L'enfer existe, et je sais maintenant que son horreur repose en ceci qu'il n'est fait que de lambeaux de paradis
Alec Covin

[Mag]

J'ai commencé les 100 premières pages, quel bonheur de retrouver Erick et sa tigresse de femme, Eva, Laurent et Léa

[AurélieMw]

[Mag]

200 pages, quelle matrise de l'écriture, impressionnant. De roman en roman, à l'image de Franck Thilliez, la progression est fulgurante.