Jean-Christophe Grangé — Polars Pourpres

[Nico]

Hello tout le monde,

Deuil Interdit terminé hier soir !
Bon, petite déception pour ce roman.
Les points positifs : un Bosch toujours attachant, qu'on retrouve un peu rouillé alors qu'il réintègre le LAPD, des personnages secondaires déjà aperçus dans d'autres Connelly, un concept d'enquête original a priori (revenir, avec les techniques d'investigations actuelles, sur un meurtre vieux de 16 ans).
Les points négatifs : une intrigue un peu mollassonne, des rebondissements peu nombreux, un coupable peu convainquant.
Bref, Connelly a déjà fait mieux selon moi.

@+,
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Nico - Webmaster de Rivières Pourpres et Polars Pourpres

[barbapapa]

ce qui a de bien avec Nico, c'est que son avis est en général très révélateur, et qu'en plus il dit pourquoi et parce que... ça change des vendeurs de la fnac !!! lololol
a++ et encore merci pour tes appréciations !
barbap'
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Le corps n'est rien. Seul l'esprit compte.

[Fredo]

j'ai lu un truc dans l presse à ce sujet, petite déception aussi de ce coté.
comme le dernier James Patterson avec lex Cross ..
à la longue, faut s'attendre à un moment de lire un opus qui va servir de transition, de passe plat, entre deux romans plus conséquents.
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Frédéric Fontès, News & Chroniques sur www.4decouv.com et C'est Culturellement Dingue sur TikTok

[Nico]

En effet, les critiques du nouveau Bosch ne sont pas excellentes pour l'instant. Voici par exemple La critique du Point, à prendre bien sûr avec toutes les précautions qui s'imposent (Le Point n'est pas non plus une référence littéraire, cf l'article de Patrick Besson sur le style de Grangé...).

Mais bon, cette fois-ci, Le Point va plutôt dans mon sens.

@+,
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Nico - Webmaster de Rivières Pourpres et Polars Pourpres

[Reverdi]

oui les critiques que j'ai lue ont été décues aussi, Los angeles river était plaisant mais sans plus. Michael serait il deja en panne d'inspiration ??
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[Fredo]

peut être quil est temps de passer à autre chose ...
Darling Lilly était pas mal.

bon maintenant dommage que l'on ne puisse pas relire d'aventures de Terry McCaleb
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Frédéric Fontès, News & Chroniques sur www.4decouv.com et C'est Culturellement Dingue sur TikTok

[Reverdi]

bha c'est surement une petite baisse de régime, je suis sur qu'on est déçu parce que c M Connelly, autrement on trouverait ça excellent

SInon l'histoire a l'air bien pour deuil interdit, c'est tellement decevant que ça ?
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[Reverdi]

n'empeche je trouve la pochette americaine nettement plus belle:

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[Reverdi]

une petite critique trouvée sur auteurs.net

par Christine Ferniot, André Clavel,
Lire, juin 2005

Nous suivons leurs héros depuis plusieurs années et ils confirment que leurs romans transcendent le genre. Dans tous les cas, c'est la littérature qui gagne.

Michael Connelly
Depuis 1992 et la parution des Egouts de Los Angeles, Michael Connelly n'a plus quitté la scène du polar. Ancien journaliste spécialisé dans les affaires criminelles, il est fasciné par des écrivains comme Raymond Chandler et installe ses personnages au cœur de la société, choisissant la ville de Los Angeles comme emblème. C'est là qu'il impose Harry Bosch: un policier qui a du mal à respecter la hiérarchie et aux méthodes pas toujours orthodoxes. Dans Wonderland Avenue, en 2003, Bosch quittait la police, prenait sa retraite. En 2004, dans Los Angeles River, on le retrouvait détective privé enquêtant sur la mort de son ami Terry Mc Caleb. Aujourd'hui, dans Deuil interdit, notre homme réintègre la police de Los Angeles et travaille sur les affaires non résolues avec sa collègue, Kiz Rider. Sa nouvelle affaire concerne le meurtre d'une adolescente de seize ans, assassinée durant l'été 1988. Bosch n'a pas changé même s'il tente de se tenir à carreau et d'éviter les gestes de nervosité vis-à-vis de tous les crétins qui veulent sa peau. Le talent de Connelly vient du regard qu'il porte sur une ville comme Los Angeles, cité du crime par excellence, à travers un flic plein de compassion pour les victimes, mais obsédé par la violence au point de céder parfois à sa tentation. On est loin du personnage de policier sûr de lui et dominateur. Bosch souffre de son passé, de la mort de sa mère, assassinée par un tueur en série, de son impossibilité à vivre une liaison sentimentale. Chaque livre le montre plus meurtri, vieillissant et inquiet devant la montée de la criminalité et les meurtres impunis. De temps à autre, Michael Connelly a quitté Bosch pour d'autres personnages récurrents comme Terry Mc Caleb, ancien agent du FBI, opéré à cœur ouvert. Il a également imaginé l'une des plus belles figures de «méchant» dans la littérature noire avec le Poète, qui apparaît dans plusieurs de ses romans. Connelly ne se contente pas d'histoires ficelées, de réflexions sociales bien amenées, il possède une écriture fluide, subtile, et se glisse fraternellement dans la peau de son héros avec ses doutes, ses blessures, son code moral très personnel et sa marginalité. C.F.
Deuil interdit
traduit de l'américain par Robert Pépin, 390 p., Seuil, 22 euros
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[Nico]

Le reproche que je ferais à cette critique, c'est qu'elle concerne davantage la série des Bosch dans sa globalité (dont la qualité n'est plus à prouver) que le tout dernier roman en date (qui est nettement en dessous de la moyenne).

@+,
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Nico - Webmaster de Rivières Pourpres et Polars Pourpres

[Fredo]

J'ai attaqué cette suite et je me régale ! Je dois reconnaitre que le style de Connelly colle au personnage principal et nous aide vachement à nous mettre dans sa peau : l'écriture est méthodique, précise, et c'est ce qui caractérise le perso d'Harry Bosch.

C'est un plaisir de le retrouver dans le département des affaires non résolues !
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Frédéric Fontès, News & Chroniques sur www.4decouv.com et C'est Culturellement Dingue sur TikTok

[Reverdi]

ca a pas l'air si mal, j'espere que c'est violent au moins
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[Fredo]

[El Marco]

[Reverdi]

pas besoin de violence quand je lis un livre de Coelho ou du Dalai lama ok, mais quand c'est un thriller, il faut que ça saigne bien
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