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l'homme qui aimait les arbres

 
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Cthulhu
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Les Rivières Pourpres

MessagePosté le: Dim Mar 11, 2007 3:19 pm    Sujet du message: l'homme qui aimait les arbres Répondre en citant

une autre nouvelle, en espérant que plus de monde la lira, et que certains laissent des comentaires, cette fois...

L’homme qui aimait les arbres.


Depuis qu’il avait tué sa femme, Timothée adorait les arbres.
Il s’en était rendu compte petit à petit, en voyant le pommier dans le fond du jardin grandir. Un petit arbre, certes, mais il l’aimait. A vrai dire, beaucoup plus que sa compagne avec qui il déjeunait en compagnie de deux amis dans le jardin, profitant de l’ombre offerte par l’arbre. Il savait que sans cette fameuse nuit, il ne serait pas là, à manger tranquillement des brochettes et des saucisses. Cette fameuse nuit durant laquelle un pommier avait pris la place de sa femme.

Il fit la plus grosse erreur de sa vie dix ans auparavant, un certain jour de mai dont il ignorait la date exacte. Il épousa Marie Scarletti. Il l’aimait, à l’époque, de ça il en était certain. Mais ce dont il était également certain, était que leur relation s’était rapidement dégradée, notamment au cours des trois premières années de mariage. Marie lui montrait petit à petit son vrai visage, celui d’une femme exécrable, capricieuse, possessive, et qu’il ne désirait que de moins en moins.
Cinq ans après leur mariage, ils ne s’entendaient plus du tout, les disputes éclataient de manière régulière – à chaque fois qu’ils échangeaient quelques paroles. Chacun se méfiait de l’autre, et Marie était devenue par-dessus le marché une vraie fouineuse. Il la surprit plusieurs fois à farfouiller dans ses vêtements, ses affaires, à écouter les messages sur son téléphone, dans le but de prouver ce qu’elle avançait – à savoir qu’il la trompait ce qui, à l’époque, n’était pas encore le cas. Son attitude le mettait hors de lui, et certaines disputes d’une rare violence éclatèrent. Ils se frappaient quelques fois, s’insultaient tous les jours. Ils dormaient dans deux pièces différentes, chacune à l’autre bout de la maison.
Au bout de sept années de vie commune, il ne la supportait plus. Il la haïssait littéralement. Et c’était largement réciproque.

Alors à quoi tenait exactement leur relation ? A rien. Au seul et fictif lien du mariage. Et là était tout le problème pour Tim. Marie refusait le divorce, pour des raisons qui lui échappaient. Pourtant tout plaidait en sa faveur. Ils se détestaient mutuellement, et ne pouvaient passer une journée sans s’insulter. Mais sa folie à elle allait beaucoup plus loin. Il le comprit un jour relativement calme durant lequel il put parler sans se faire renvoyer paître. Elle était certes possessive, cela il le savait. Mais il se rendit compte qu’elle voulait littéralement le détruire.
_ Tu m’aimes ?
_ Non.
_ M’as tu jamais aimé ?
_ Peut-être.
_ Tu me détestes ?
_ Oui.
_ Est-ce que tu aimerais me voir mort ?
_ Parfois.
_ Alors pourquoi refuses-tu le divorce ? Cela mettrait un terme à toutes ces sottises…
_ Je vais te dire pourquoi, répondit-elle en plantant son regard mauvais dans le sien. Tout simplement parce que tu souffres bien plus de ma présence que je ne souffre de la tienne. Et je veux te voir souffrir. Tout le restant de ta putain de vie. Tu resteras avec moi jusqu’à ta mort, parce que je m’arrangerai pour pas claquer avant toi, si tu veux savoir, que tu le veuille ou non. Si tu demande le divorce, je m’y oppose, je prend un avocat et je te jure qu’il te coûtera bien plus que ce que tu n’as jamais gagné ! Et tu ne pourras aller ailleurs, tu n’as personne d’autre que moi, et cette maison est la mienne, tu ne peux aller nulle part. Tu es condamné !

Il n’avait pas épousé une femme. Il avait épousé un monstre. Un monstre possédé par une folie perverse et destructrice qui le mettait hors de lui. Pourquoi ? Pourquoi lui faire subir cela, alors qu’elle en souffrait également et que tout pouvait s’arranger ? Pour le faire souffrir. Pour le détruire. Ce n’était qu’une folle. Une folle dangereuse.

Quelques mois plus tard, il se mit à sortir avec l’une de ses collègues. Charlotte était l’antithèse absolue de Marie. Et il avait tellement à rattraper… Ils se voyaient de plus en plus tard au bureau, et de temps en temps le week-end. Cette fois, les soupçons de celle qu’il ne considérait plus comme sa femme mais comme un monstre étaient bel et bien fondés. Et ils s’intensifièrent. Charlotte ignorait la vérité sur le mariage de Tim, il lui avait seulement dit qu’il vivait avec sa femme depuis trop longtemps et qu’il souhaitait connaître quelque chose de plus fort, une relation nouvelle, avant de pouvoir la quitter et s’installer définitivement avec sa maîtresse. Charlotte avait du mal à accepter ce rôle d’amante d’un homme marié, mais il répétait sans arrêt que ce n’était qu’une question de temps. Il pensait pouvoir masquer sa relation jusqu’à… Mais jusqu’à quoi, au juste ? Cela ne pouvait finir. Et Charlotte n’attendrait pas indéfiniment.

Une idée commença à germer lentement dans son esprit. Mais si monstrueuse et horrible qu’il essayait de ne pas y penser, il la laissait dans un coin sombre de son esprit, là où restent toutes les idée folles et trop dangereuses pour être formulées. Les idées si noires qu’on n’ose les regarder en face. Jusqu’au jour où Marie tomba sur un message vocal de Charlotte sur le téléphone de Tim.
Lorsqu’il rentra chez lui le soir, sa femme l’attendait dans la cuisine vêtue de son sempiternel tablier de cuisine, comme pour montrer qu’elle était responsable de la maison et qu’elle seule s’en occupait. Elle avait posé sur la table le portable de Tim, un énorme couteau de cuisine et elle arborait un visage rouge de fureur, mais marqué par une étrange fierté :elle avait réussi à le démasquer. Elle gagnait toujours.
Je t’ai eu !
Les cris qui retentirent lors de la dispute – qui ressembla plus à un affrontement qu’à une dispute – furent sans doute entendus par les voisins, voir plus encore. Elle le frappa, il l’insulta, sans tenter de s’expliquer, sans tenter de la raisonner, elle hurla, elle pleura, il la cogna, elle tenta de le frapper avec le couteau à viande.
Il finit la nuit chez Charlotte, sans lui avouer ce qui s’était passé. Et sans lui avouer que sa femme avait juré de tuer la maîtresse de son mari infidèle.

Cette nuit-là, incapable de dormir, Tim décida de regarder cette idée si sombre qu’il avait précautionneusement mis dans un coin de son esprit. Le plan se développa rapidement, décortiquant chaque détail sans effort, au point qu’il en devint obsédant. Le lendemain matin, après une nuit d’insomnie, l’image du meurtre lui apparaissait comme un fantasme, lui procurant un plaisir étrange rien qu’en y pensant. Cette idée l’obsédait au point qu’il ne pouvait se concentrer sur autre chose. Charlotte en vint à lui demander s’il se sentait bien. « Une tête d’illuminé », apparemment.

Deux jours plus tard, de retour chez lui, Tim se mit à creuser un trou dans le fond de son jardin. Marie lui demanda ce qu’il faisait, avec l’acidité habituelle dans sa voix.
_ Je plante un arbre, répondit-il d’un ton neutre.
_ Et bien plante bien.
Ni l’un ni l’autre ne firent allusion à ce qui s’était passé dans la cuisine.
Elle le regarda creuser un instant, enfoncé dans la fosse jusqu’à la taille, puis s’éclipsa. Il suivit du coin de l’œil son ombre disparaître derrière la maison. Elle lui avait laissé une impression étrange. Elle lui avait fait peur. Trop calme, trop pensive. Il devait se dépêcher.

En fin d’après-midi, il avait creusé une fosse circulaire d’environ deux mètres de profondeur, et d’un diamètre de trois mètres. La terre était humide et donc assez meuble. Il avait creusé sans trop de difficultés à l’aide d’une grosse pelle. Celle-ci était à présent fichée devant un gigantesque monceau de terre noire qui s’amoncelait derrière le trou. Heureusement que Marie n’était pas à nouveau sortie, elle se serait demandée pourquoi creuser une telle fosse pour planter un maudit arbre.
Le trou n’avait pas la forme d’un cercueil, comme Tim l’avait d’abord imaginé dans sa nuit d’insomnie, mais il se rendit compte que c’était mieux ainsi. Cette femme ne méritait pas un cercueil. Un simple trou dans le sol suffirait amplement pour pourrir avant de descendre en Enfer.

A dix-huit heures trente, il se rendit en ville, dans un magasin de jardinerie. Il y acheta un petit pommier à mettre en terre de moins d’un mètre de haut qu’il put aisément mettre à l’arrière de sa camionnette, un sac de terreau conseillé par le vendeur, et quelques outils de jardinage.
Dès ses premières pensées folles, il avait su que ce serait un pommier. Maintenant qu’il l’avait acheté, il lui semblait qu’aucun arbre ne pourrait mieux correspondre à ses projets.

Lorsqu’il rentra, la nuit était tombée. Un soir d’hiver froid et sombre.
Il gara la camionnette derrière la maison et, toujours vêtu de ses vêtements de jardinage et de ses bottes en caoutchouc, il monta chercher sa femme. Il eu beaucoup de mal à la faire sortir de la maison :
« Me montrer un arbre ? Pourquoi faire ? Un arbre, c’est un arbre, triple idiot ! Et depuis quand est-ce que tu me demandes mon avis ? »
Elle rechigna cinq minutes, puis capitula. Tim l’y aurait de toute façon traînée de force.
« Attends moi devant la maison, je passe juste le chercher dans la camionnette, j’arrive… »
Il la regarda sortir et se poster à l’angle ouest de la maison. Parfait.

Il descendit par l’escalier au nord, pour sortir derrière la maison, côté jardin. Il mit ses gants de jardinage, et s’empara de la pelle qui avait servi à creuser la future tombe de sa femme. Il longea le mur de la bâtisse sans faire de bruit, en évitant de marcher sur les graviers. Il l’aperçut dans un état proche de la transe. Il arriva derrière elle, lentement, jubilant, et un il se mit à sourire. De toutes ses dents.
Elle se tenait face au portail, appuyée contre l’angle du mur, les mains glissées dans son tablier.
Tu l’as porté toute ta vie, et tu vas mourir avec !
Son pied droit battait le sol d’un mouvement rapide et régulier. Elle l’attendait et perdait patience. Elle devait regretter d’être descendue.
Arrivé à un mètre derrière elle, il put sentir son odeur, entendre sa respiration et voir la légère fumée qui s’échappait de sa bouche à chaque expiration. Tim ressentit un plaisir indicible, qu’il n’avait jamais ressenti auparavant. Un sentiment de toute puissance.
Il serra ses mains en bas du manche de la pelle et la leva au-dessus de sa tête.
« Chérie… »
Elle se retourna.
Il vit son visage défiguré par la surprise, la terreur, l’incompréhension. Par la haine, également. Tous ces sentiments mélangés sur un seul faciès, décomposant ses traits. La bouche déformée en un horrible rictus, les sourcils tournés en accents circonflexes, les yeux exorbités par la peur, et cette pensée, imprimée dans son regard :
Finalement, c’est toi qui m’a eu.

La pelle s’abattit et son tranchant fracassa le crâne.
Il y eu un bruit, comme celui d’une coquille d’œuf qui éclate. Le corps s’affala, tel une masse monstrueuse et sanguinolente, la pelle toujours fichée dans le front.
Tim jouit dans son pantalon. Il ressentait un plaisir suprême, il était en extase. Une décharge d’adrénaline avait traversé son corps. Il éprouvait un sentiment de puissance infinie, de toute puissance. Il avait tué. Il avait ôté la vie. Il était Dieu. Ou du moins son égal. Car sa femme n’était pas un être humain, c’était un monstre. Il était venu reprendre la vie d’une chose qui ne méritait que l’Enfer. Et il aimait ça.

La suite fut aisée. Il retira la pelle du crâne de Marie, et la lava au jet d’eau. Puis, il prit le cadavre dans ses bras et le transporta jusque devant la fosse. Là, il le laissa tomber, le regardant s’écraser dans la terre au fond du trou avec un bruit sourd. Une large traînée de sang marquait son chemin. Il l’effacerait le lendemain en passant la tondeuse dans le jardin et en nettoyant toutes les surfaces ayant pu rentrer en contact avec du sang. Il aurait plus de mal avec les graviers sur lesquels était tombée sa femme. Il devrait enlever tous les débris d’os et de cervelle.
Puis il monta dans la maison et mis dans un sac de voyage toutes les affaires qu’il avait préalablement listées. Affaires personnelles, vêtements, papiers, argent, tout ce qui aurait été nécessaire à Marie pour partir de la maison pour toujours. Estimant enfin ne rien avoir oublié, il jeta le sac et ses propres habits maculés de sang et de terre dans la fosse. Là, nu, il reprit la pelle et entreprit de reboucher le trou. Il faisait horriblement froid, mais il décida de planter l’arbre dans la nuit. L’air glacé pénétrait ses pores, il était gelé, ankylosé, ivre de froid et de fatigue, son corps nu recouvert de sueur et de terre, mais il planta le pommier, et reboucha la fosse.
Enfin, il jeta la dernière pelletée de terre. Il se releva, contempla son œuvre. Il avait réalisé tout cela dans une crise de frénésie impensable. Nu comme un ver, par deux degrés, il avait rebouché la fosse en pleine nuit. Il était en transe. Encore sous l’effet du plaisir que lui avait procuré le meurtre.
Sa femme gisait à présent sous deux mètres de terre et un pommier. Il se rendit compte que les quelques heures qu’il venait de vivre n’avaient été que pur plaisir. Il n’avait à aucun moment pensé aux raisons qui l’avaient poussé à l’acte. Il n’avait pas fait tout cela pour se libérer de sa femme, ni pour vivre avec Charlotte. Il l’avait fait parce qu’il avait besoin de le faire, c’était un fantasme viscéral qu’il devait réaliser.
Tim remonta dans la salle de bain, se lava, prit deux aspirines et se coucha. Il dormit comme il n’avait jamais dormi. D’un sommeil plat, sans rêve, et s’éveilla le lendemain matin avec l’image d’un arbre à l’esprit.

Il n’appela la police que trois jours plus tard, pour signaler que sa femme avait disparu. On lui envoya deux flics bouseux. Une petite enquête dans la maison et un court interrogatoire les amena où Tim voulait les emmener : Marie, ne supportant plus leurs disputes quotidiennes, s’en était allée s’en laisser de trace. Elle avait fui pour toujours sans prévenir personne, et avait tiré un trait sur sa vie passée. Tim eu du mal à se contenir pendant l’interrogatoire. Il avait préparé toutes ses réponses, mais ne s’attendait pas à ce que les deux couillons tombent si facilement dans le panneau. Tout ce passait avec facilité. Il ne fit aucun effort pour paraître triste, ou même un peu bouleversé. Il rit même beaucoup. Un peu trop, d’ailleurs. Il ne pu résister à l’envie de leur montrer son jardin, et le magnifique pommier qu’il venait d’y planter, en souvenir de sa femme. Tout se termina par une poignée de main, et l’affaire fut classée en quelques jours.

Tim entreprit d’effacer toute trace de présence de sa femme dans la maison. Lorsque Charlotte s’y installa deux semaines plus tard, elle n’aurait pu supposer qu’une autre femme avait vécu ici.
Elle ne sut rien de ce qui s’était réellement passé. Elle posa bien quelques questions, mais Tim les esquivait et se murait dans le silence à chaque fois qu’elle abordait le sujet.
Personne ne saurait jamais. Il reçut seulement quelques lettres de ses anciens beaux-parents qui l’accusèrent d’avoir assassiné leur fille et maquillé cela pour duper les policiers. Ils n’avaient aucune nouvelle d’elle et il n’était qu’un menteur, un assassin, qu’il soit maudit, qu’il aille en Enfer… Tim brûla ces lettres. Les parents de Marie étaient deux fous de quatre-vingts ans qui vivaient dans un hospice d’aliénés. Aucun risque.
Le plus drôle dans cette histoire était qu’à part lui, les seules personnes à soupçonner la vérité étaient deux péquenots atteints de la maladie d’Alzeimer. Il leur envoya un bouquet de fleur à chacun. En guise de condoléances.
Il ne sut pas si cela les aida à supporter leur chagrin, mais lui vécut sans remords, heureux. Et son pommier aussi.


Tim observa les branches osciller sous le vent. Décidément, il adorait les arbres. Mais pas les femmes.
Il s’en était rendu compte petit à petit. Le même processus qui avait touché Marie se mettait en place. Charlotte lui paraissait moins belle, moins séduisante, plus distante, plus froide. A présent, il n’éprouvait plus rien pour elle. Et certaines images venaient depuis peu troubler son sommeil. Une pelle, une fosse, un arbre et une femme.
Il aimait les arbres, pas les femmes. Elles étaient pour lui comme des fleurs dont il pouvait apprécier l’éclat, goûter le charme quelques temps, avant qu’elles ne fanent. Son amour pour elle était un papillon. Il voletait, s’épanouissait, goûtait les fleurs, avant de mourir aussi rapidement qu’il était venu. Son amour pour les arbres était, depuis cette fameuse nuit, un havre de paix éternel. Remplacer sa femme par un arbre avait quelque chose de magique, de fort. Il se rappelait la jouissance, la puissance ressentie… et son fantasme remontait doucement à la surface.

Timothée ouvrit les yeux et les posa sur Charlotte. Non, décidément, il ne l’aimait plus. Elle n’était plus que l’objet d’un désir puissant, sombre, qui montait à l’intérieur de lui. Une simple vie à prendre, à remplacer par une vie végétale, pure… Et une idée lui vint. Claire et lumineuse dans son esprit. Il la regarda. Un sourire éclaira son visage.
Un poirier.
Pour Charlotte, ce serait un poirier.
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El Marco
Charlie "Bird" Parker (modo)


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Les Rivières Pourpres

MessagePosté le: Dim Mar 11, 2007 3:31 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Excellent, Cthulhu, j'ai beaucoup aimé ! N'hésite pas à en soumettre d'autres sur le forum si elles sont toutes aussi chouettes ! Very Happy
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sofy
Serial Killer : Patrick Bateman


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Localisation: Vaucluse

Le Vol des Cigognes

MessagePosté le: Dim Mar 11, 2007 4:41 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Pas mal du tout !! Very Happy Very Happy
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Steve-O
Serial Killer : Patrick Bateman


Age: 39
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Localisation: Somewhere in the cold

Les Rivières Pourpres

MessagePosté le: Dim Mar 11, 2007 5:57 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ouais ...sympa et originale Wink
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Coquelicot
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Messages: 74



MessagePosté le: Dim Mar 11, 2007 8:52 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Très bien! Smile
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Cthulhu
Complice


Age: 33
Inscrit le: 23 Fév 2007
Messages: 194
Localisation: charente

Les Rivières Pourpres

MessagePosté le: Ven Mar 16, 2007 11:56 pm    Sujet du message: Répondre en citant

merci, ça fait plaisir ces compliments.
ce qui serait pas mal, c'est que d'autres personnes viennent lire ces nouvelles, ça me ferait plus d'avis, donc ce serait plus intéressant. j'espère que d'autres viendront faire un saut dans cette rubrique!!! Sad
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spies
Témoin



Inscrit le: 08 Mar 2007
Messages: 12



MessagePosté le: Sam Mar 17, 2007 10:21 am    Sujet du message: bien joué! Répondre en citant

Ca fait du bien une nouvelle comme ça.
L'idée est très bonne et originale.
J'espère que tu continue à écrire car je continuerai à te lire.

A bientôt.
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Black Orchis
Témoin


Age: 46
Inscrit le: 27 Avr 2007
Messages: 42
Localisation: Arras

Le Serment des Limbes

MessagePosté le: Ven Mai 11, 2007 8:33 am    Sujet du message: Répondre en citant

Comme pour tes autres nouvelles, rien à redire !
Idées originales, textes simples, que du bonheur !
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