Jean-Christophe Grangé — Polars Pourpres

[norbert]

Après le succès de La Rivière des disparues, adapté en série pour HBO Max, l'Américaine Liz Moore nous est revenue avec un nouveau roman, Le Dieu des bois, traduit par Alice Delarbre et paru en mars dernier chez Buchet/Chastel.
Best-seller aux Etats-Unis où il a notamment été recommandé par Barack Obama, Jimmy Fallon et Stephen King, il a été récompensé en France par le Grand Prix Policier des lectrices de Elle 2025.






Le livre :

« Un roman impossible à lâcher » Stephen King

Si vous vous perdez, asseyez-vous et criez !

Au camp Emerson, niché au cœur des Adirondacks, c’est l’une des règles d’or. Établie par la puissante famille Van Laar, qui habite les lieux, cette colonie de vacances pour adolescents a pour vocation de leur apprendre à survivre dans les bois, en toute sécurité.

Été 1975, une jeune fille manque à l’appel : Barbara Van Laar, la seule héritière des propriétaires. Au milieu des arbres, aucun cri ne perce le silence, mais les interrogations fusent : la monitrice, les autres campeuses, le personnel et, bien sûr, la famille. Cette disparition ravive un drame ancien : quinze ans plus tôt, le fils des Van Laar s’est lui aussi évanoui dans la nature après une sortie en forêt avec son grand-père.

Liz Moore promène son lecteur entre passé et présent avec une habileté saisissante. De découvertes en fausses pistes, elle nous tient en haleine sans jamais laisser retomber la tension dramatique, nous guidant à travers ces mystères aussi profonds que les bois.

« Un joyau rare, un thriller immersif et fascinant. » Paula Hawkins



« Liz Moore est la nouvelle star américaine du suspense avec un polar forestier et féministe, aussi brillant que prenant : addictivement vôtre... »
- ELLE

« Liz Moore a un sens du suspense magistral. »
- Olivia de Lamberterie, Télématin

« Une pépite à lire d'urgence. »
- Le Parisien

« C’est le livre qui met Barack Obama et Stephen King d’accord. Liz Moore, dont c’est le troisième roman, manie le suspense avec une telle virtuosité que l’on tourne les pages comme sous hypnose. »
- Le Nouvel Obs

« Comme Le Maître des illusions de Donna Tartt, Le Dieu des bois transporte le lecteur si profondément dans ce monde privilégié et déconnecté qu’on en oublie sa propre existence. Il est impossible de résister au charme envoûtant de la plume de Liz Moore. »
- Washington Post

« Liz Moore nous livre autant d’informations qu’elle en retient, développant une intrigue aux strates vertigineuses. Entrez dans ces bois, vous ne le regretterez pas. »
- The Times

« Le Dieu des bois de Liz Moore a fait un tabac aux États-Unis. Un succès mérité pour cet ouvrage qui tient à la fois du thriller, du roman historique et du récit d'émancipation féminine. »
- Les Echos

« Un thriller littéraire de haute volée. »
- The Guardian



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L'auteur :

Liz Moore vit à Philadelphie où elle enseigne à Temple University. Elle est également l’autrice de La Rivière des disparues, adapté en série télévisée. Best-seller aux États-Unis avec plus de 800 000 exemplaires vendus, Le Dieu des bois a été traduit dans 25 langues et figure parmi les romans favoris de Barack Obama.




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« Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy

[norbert]

Mine de rien, le Grand Prix Policier des lectrices de Elle est un bon baromètre puisqu'il a récompensé beaucoup de ceux qui sont devenus des grands noms du polar : Fred Vargas, Harlan Coben, Dennis Lehane, Mo Hayder, Indridason, Caryl Férey, Lisa Gardner, Jussi Adler-Olsen, Gillian Flynn, Ian Manook, Olivier Norek, Franck Bouysse, Dolores Redondo, Tana French, Camilla Grebe et S. A. Cosby, entre autres.

Et comme, en plus, Le Dieu des bois est aussi un coup de coeur de mon libraire qui continue de le recommander 11 mois après sa parution, il a fini par attirer mon attention : dans ma liste d'achats prévus et ma présélection pour le Prix PP 2025 !





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« Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy