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TaiGooBe Serial killer : Leland Beaumont

Age: 64 Inscrit le: 11 Aoû 2009 Messages: 1014 Localisation: The Pink City

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Hoel Patrick Kenzie (modo)

Age: 36 Inscrit le: 06 Oct 2005 Messages: 11587 Localisation: Au bout du monde

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Posté le: Ven Sep 15, 2023 8:57 am Sujet du message: |
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Toi, t'as pas dû regarder les derniers messages avant de poster.
Mais merci pour l'info. Y a le sommaire en plus dans le lien, que j'avais failli poster ici hier. _________________ Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire... J'ai la certitude d'être encore heureux.
Jules Renard (1864-1910)
http://hanniballelecteur.wordpress.com/ |
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TaiGooBe Serial killer : Leland Beaumont

Age: 64 Inscrit le: 11 Aoû 2009 Messages: 1014 Localisation: The Pink City

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Posté le: Ven Sep 15, 2023 9:23 am Sujet du message: |
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Oui, effectivement, pardon, cela faisait un moment que je n'étais pas venu sur le forum et j'ai perdu quelques automatismes, pour le coup vous avez le sommaire un prime  _________________ debout toujours ! |
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Le Juge Wargrave Ishigami le Dharma

Age: 39 Inscrit le: 17 Oct 2012 Messages: 8852 Localisation: Hexagone

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Posté le: Lun Sep 18, 2023 8:10 pm Sujet du message: |
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Pardon pour mon ignorance mais cette revue peut-elle s'acheter à l'unité et si oui où ?
EDIT : a priori, toutes les infos sont là : https://www.blog813.com/page-5641593.html#commande _________________ La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003). |
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Hoel Patrick Kenzie (modo)

Age: 36 Inscrit le: 06 Oct 2005 Messages: 11587 Localisation: Au bout du monde

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Posté le: Mar Sep 19, 2023 10:28 am Sujet du message: |
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Oui, tu peux acheter une ou plusieurs revues sans être adhérent.
Quand tu es adhérent, tu reçois automatiquement les revues. _________________ Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire... J'ai la certitude d'être encore heureux.
Jules Renard (1864-1910)
http://hanniballelecteur.wordpress.com/ |
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Le Juge Wargrave Ishigami le Dharma

Age: 39 Inscrit le: 17 Oct 2012 Messages: 8852 Localisation: Hexagone

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Posté le: Mer Sep 20, 2023 8:43 am Sujet du message: |
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Résumé :
Citation: | Un inconnu s’arrête dans une station-service perdue au fin fond de la Pennsylvanie, au volant d’une Buick Roadmaster, un magnifique modèle des années 1950… qu’il abandonne là avant de disparaître. Alertée, la police vient examiner le véhicule, qui se révèle entièrement factice et composé de matériaux inconnus. Vingt ans plus tard, la Buick est toujours entreposée dans un hangar de la police d’État, et rien n’a filtré des phénomènes surnaturels qui se produisent à son entour, et qu’elle semble provoquer. Un homme veut cependant savoir la vérité : Ned Wilcox, le fils du policier initialement chargé de l’enquête, mort depuis dans un mystérieux accident. Et si rouvrir les portières de la mystérieuse automobile revenait à ouvrir les portes de l’horreur ? |
Mon avis :
Citation: | Ayant passé tout l'été (ou presque) en compagnie de Stephen King (enfin... de ses livres), j'ai voulu me frotter à ce Roadmaster, pourtant si mal noté par ici.
600 pages en poche, on est dans la moyenne de ce que fait l'immense auteur américain. C'est parti, j'entame cette lecture le cœur vaillant.
Et la première impression est bonne, la première moitié se lit sans difficulté et même avec un plaisir certain. L'histoire, assez déjantée, d'un Buick Roadmaster qui n'en est pas une, des phénomènes inexpliqués du type éclairs violets qui jaillissent de l'engin, des animaux qui disparaissent en sa compagnie, des... choses qui en sortent, bref, du pur fantastique (pas ma tasse de thé) à la sauce King (MA tasse de thé).
Et puis le sentiment de lassitude, doucement (mais sûrement) s'installe. Les scènes sont répétitives, le schéma s'use et le lecteur enjoué que je suis commence à ronger son frein. J'ai mis une éternité à finir Roadmaster. Et pourtant j'en garde, paradoxalement, un bon souvenir. Parce que cette "voiture qui n'en est pas une" n'est finalement qu'un pan de l'histoire. Ce qui est tout aussi intéressant si ce n'est plus, c'est la vie de ce poste de police (la Compagnie D), chamboulé par l'arrivée de la "bête" mais qui va consciencieusement garder son secret pendant des décennies. On s'attache aux personnages et notamment au petit dernier, le jeune Ned Wilcox, dont le père Curtis (ancien pilier de la Compagnie D) est décédé récemment et tragiquement.
Bref, Roadmaster pèche par ses longueurs et son schéma narratif répétitif mais paradoxalement je l'ai trouvé marquant et je sais avec certitude qu'il fait partie de ces titres dont il me restera beaucoup de souvenirs. |
_________________ La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003). |
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Le Juge Wargrave Ishigami le Dharma

Age: 39 Inscrit le: 17 Oct 2012 Messages: 8852 Localisation: Hexagone

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Posté le: Lun Aoû 26, 2024 8:08 am Sujet du message: |
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Mon avis :
Citation: | Parues à l'origine dans le recueil Brume, j'ai relu ces deux nouvelles aux accents clairement fantastiques.
Dans la première ("La Ballade de la balle élastique"), la plus longue, on suit (par l'intermédiaire de son ancien éditeur) la descente aux enfers de Reg Thorpe, écrivain atteint de paranoïa aigüe et "adepte" de ce que l'on appellerait aujourd'hui complotisme. Toute la Terre s'est liguée contre lui afin de s'en prendre à son Fornit, Rackne, sorte de lutin vivant dans sa machine à écrire et qui lui insuffle son génie. C'est très prenant et très réussi.
La deuxième nouvelle ('L'Homme qui refusait de serrer la main"), bien plus courte, raconte l'histoire d'un homme revenu d'Inde et persuadé d'être frappé d'une malédiction, ce qui l'empêche de serrer des mains... Je garderai en tête cette partie de cartes qui se termine de façon abrupte...
Un recueil au format Librio très agréable à lire, assez représentatif de l'œuvre du King. |
_________________ La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003). |
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JohnSteed Serial killer : Leland Beaumont

Inscrit le: 08 Aoû 2016 Messages: 1035

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Posté le: Mar Mar 25, 2025 1:59 pm Sujet du message: |
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Mon vote : 7/10
Citation: | Mike Noonan est un auteur au succès littéraire grandissant. Chacune de ses parutions, au rythme d’une publication annuelle, connaît un engouement pour le public. Mais, depuis la mort de sa femme, Johanna, ce quarantenaire se morfond dans la peine et la douleur de ce drame, sans que son entourage, et notamment son agent littéraire, ne soupçonne sa tristesse. Il faut dire que sa situation financière lui permet de se retirer dans ses différentes propriétés, et ses réserves de livres gardés précieusement dans son coffre à la banque lui permettent de délivrer en temps sa création à son agent. Mike tombe doucement sûrement en dépression, et est confronté au syndrome de la page blanche. Plus d’envie d’écrire, aucun désir ne l’anime à raconter des histoires. Peu à peu, les pensées tristes laissent la place à des cauchemars avec toujours au cœur de ceux-ci, sa femme Johanna. Et puis d’autres personnages et lieux étranges viennent hanter ses rêves et ses nuits. Et notamment, la demeure appelée Sara Laughs. Comme la célèbre demeure de Manderley immortalisée par Daphné du Maurier dans son livre Rebecca, adapté en film par Alfred Hitchcock, Sara Laughs possède un étrange pouvoir d’attraction et d’emprise sur Mike.
Après 4 années à faire son deuil, Mike décide retourner habiter à Sara Laughs. De suite, il va ressentir d’étranges et mystérieuses présences invisibles, et des signes fantomatiques, en réponse à ses différents questionnements. Si ses cauchemars continuent, il se remet étrangement à écrire. Mais Mike découvre que sa femme lui cachait certaines choses : après plusieurs années de tentatives, elle était enceinte ; qu’elle écrivait sur les anciennes histoires locales ; qu’elle avait démissionné de toutes ses associations caritatives ; et qu’elle avait peur de Sara Laughs…
Si ces troublants cachoteries de sa femme l’a complétement anéanti, Mike fera une rencontre aussi troublante que salvatrice : Kira, enfant de 5 ans, qu’il sauve d’un éventuel tragique accident. Kira, comme le prénom que sa femme et lui avait choisi pour leur éventuel enfant. Un signe ? Et ces messages écrit par les lettres magnétiques ; « sauve-là ». Un ordre de sa femme ? Mike décide de suivre cette exigence et mettra tout en œuvre pour que Kira puisse rester avec sa mère, l’attirante et séduisante Mattie, et la sauver des griffes de son grand-père, Max Devory, tentant d’en prendre la garde…
Avec moi, Stephen King, ça passe ou ça casse. Difficile d’avoir un compromis. Et j’adhère rarement à ses histoires fantastiques et d’horreur. J’ai failli abandonner la lecture de Sac d’os, après 120 pages (sur les 720 que compte l’édition poche) tant les lamentations m’étaient insupportables sur la longueur. Passé ce douloureux moment, j’avoue avoir pris plaisir à lire ses histoires de revenants, de maison hantée et de fantôme de l’être aimé qui, malgré la séparation corporelle, vient apporter son aide et sa protection. Et plus que tout c’est cette approche romantique de l’histoire avec cette petite fille, Kira, qui m’a le plus touché et a sauvé des longueurs de cette histoire fantastique. |
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