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El Marco
Charlie "Bird" Parker (modo)
Age: 45
Inscrit le: 30 Avr 2004
Messages: 11455
Localisation: Alpes-Maritimes
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 Posté le: Jeu Juin 27, 2024 6:44 pm Sujet du message: |
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| Citation: | | Ian, passionné par la ventriloquie, rêve de posséder son propre pantin depuis bientôt trois ans, alors quand son père lui présente une vieille mallette en cuir le jour de son douzième anniversaire et qu'il découvre à l'intérieur une marionnette d'occasion, le jeune garçon trépigne de bonheur malgré l'expression mauvaise du jouet. Très vite, Ian déchante pourtant ; il ne contrôle pas Slappy, qui enchaîne les plaisanteries douteuses, et personne ne veut croire à ses histoires de vieux bout de bois qui parle. Il faudra attendre que Slappy passe à l'action et qu'il tente de réduire en esclavage toute la famille de Ian pour que tous comprennent la gravité de la situation. Ils seront sauvés in extremis par Abigail, une autre poupée despote, qui ne leur offrira qu'un répit de courte durée. |
Mon vote :
| Citation: | Pour son douzième anniversaire, Owen Barker reçoit de son père une étrange marionnette de ventriloque que son précédent propriétaire ne tient surtout pas à récupérer. Pour Owen, ça sera au moins un chouette divertissement qui le changera des incalculables querelles avec sa sœur cadette Molly ou des imbécilités crasses de ses deux cousins, Jonny et Vinny. « Slappy », s’appelle la marionnette. Mais il se pourrait qu’elle soit plus dangereuse qu’elle n’y paraît.
Retour aux fondamentaux pour ce livre de R. L. Stine, avec une histoire très classique mais un traitement efficace. On y retrouve les ingrédients habituels, presque nécessaires et caractéristiques : un jeune ado aux prises avec des phénomènes inexpliqués, des engueulades homériques avec sa sœur (même les pancakes matinaux constituent une source de discorde), un pantin maléfique, une famille qui ne croit pas les dires du héros, etc. Non, vraiment, c’est classique mais ça passe très bien, entre rebondissements plutôt téléphonés mais bien menés, un musée des poupées où se jouent quelques twists, des poupées qui prennent justement un rôle important en fin d’ouvrage, et un épilogue qui parachève habilement l’ensemble. Au final, je pense vraiment que je préfère l’écrivain quand il fait des intrigues attendues mais prenantes que lorsqu’il essaie de sortir de sa zone habituelle et se perd parfois dans des récits trop farfelus.
7/10 |
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