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Hoel Patrick Kenzie (modo)

Age: 32 Inscrit le: 06 Oct 2005 Messages: 10186 Localisation: Au bout du monde

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Posté le: Mer Oct 11, 2017 5:00 pm Sujet du message: |
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Tombé là-dessus hier...
Citation: | Josée Dayan adapte Fred Vargas pour la 5e fois
La réalisatrice et scénariste française a annoncé au micro de France Inter, lundi 9 octobre, qu’elle allait réaliser l’adaptation TV de Quand sort la recluse, le dernier roman de Fred Vargas, sept ans après le dernier épisode de la collection de France 2.
Source : Livres Hebdo |
_________________ Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire... J'ai la certitude d'être encore heureux.
Jules Renard (1864-1910)
http://hanniballelecteur.wordpress.com/ |
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scarabe Serial killer : Leland Beaumont
Age: 45 Inscrit le: 11 Sep 2009 Messages: 1296 Localisation: Annecy

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Le Juge Wargrave Ishigami le Dharma

Age: 35 Inscrit le: 17 Oct 2012 Messages: 7540 Localisation: Hexagone

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Posté le: Jeu Nov 23, 2017 10:35 pm Sujet du message: |
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Mon avis sur
Citation: | Je crois qu'il n'y a que Fred Vargas pour nous tisser de telles intrigues, abracadabrantesques lorsqu'elles sont résumées en quelques mots mais qui, sous la plume de la dame, deviennent non seulement crédibles mais captivantes.
Et que dire d'Adamsberg et son équipe, dont la cohésion va être mise à mal par le pourtant si attachant Danglard. A chaque opus de la série, on se sent plus proche d'eux, on partage pendant quelques centaines de pages la vie du commissariat pour notre plus grand plaisir (l'épisode du couple de merles résume à lui seul toute la poésie de Vargas et toute la bonté qui émane de l'équipe d'Adamsberg) !
J'ai beaucoup aimé suivre une nouvelle fois ces personnages, ici sur fond de recluse(s) dans la région de Nîmes. Une sombre histoire sortie d'un passé lointain qui va faire ressurgir chez Adamsberg d'épouvantables souvenirs...
Assurément, et une fois de plus, un très bon cru ! |
_________________ La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003). |
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Le Juge Wargrave Ishigami le Dharma

Age: 35 Inscrit le: 17 Oct 2012 Messages: 7540 Localisation: Hexagone

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Posté le: Lun Avr 30, 2018 9:21 pm Sujet du message: |
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Sortie en poche de Quand sort la recluse le 6 juin prochain :
 _________________ La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003). |
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Le Juge Wargrave Ishigami le Dharma

Age: 35 Inscrit le: 17 Oct 2012 Messages: 7540 Localisation: Hexagone

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Posté le: Dim Avr 07, 2019 5:22 pm Sujet du message: |
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Hoel a écrit: | Tombé là-dessus hier...
Citation: | Josée Dayan adapte Fred Vargas pour la 5e fois
La réalisatrice et scénariste française a annoncé au micro de France Inter, lundi 9 octobre, qu’elle allait réaliser l’adaptation TV de Quand sort la recluse, le dernier roman de Fred Vargas, sept ans après le dernier épisode de la collection de France 2.
Source : Livres Hebdo |
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Première partie (sur 2) mercredi soir sur France 2 à 21h.  _________________ La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003). |
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Le Juge Wargrave Ishigami le Dharma

Age: 35 Inscrit le: 17 Oct 2012 Messages: 7540 Localisation: Hexagone

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Posté le: Jeu Avr 11, 2019 6:39 pm Sujet du message: |
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J'ai vu la première partie hier, adaptation très fidèle, tant pour l'histoire, les personnages que l'atmosphère. J'attends la 2e et dernière partie avec impatience. _________________ La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003). |
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El Marco Charlie "Bird" Parker (modo)

Age: 41 Inscrit le: 30 Avr 2004 Messages: 10085 Localisation: Alpes-Maritimes

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Posté le: Lun Avr 22, 2019 5:39 pm Sujet du message: |
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Mon commentaire sur Polars Pourpres :
Citation: | … ou comment le commissaire Adamsberg, par une indiscrétion en regardant l’écran de l’ordinateur de l’un de ses adjoints, en vient à enquêter sur la mort de vieillards dans le Sud de la France, décédés suite à la morsure d’araignées, les recluses. Pour ma part, cela faisait un bail que je n’avais pas lu d’ouvrages de Fred Vargas, et la diffusion de l’adaptation télévisée de cet opus m’a poussé à faire grimper ce roman tout en haut de ma PAL. J’y ai retrouvé l’univers « vargassien » tel que je l’avais encore en tête : des dialogues agréables et ciselés, des personnages denses, et toujours ce goût pour une écriture et un récit qui prend son temps, en père peinard, ce qui permet au lectorat de savourer la gouaille de l’écrivaine et son appétit pour les protagonistes « normaux », ce que j’entends non pas par « communs » ou « banals », mais « crédibles », à des années-lumière des héros de blockbusters littéraires et autres pétarades américaines. Pas mal d’humour et de décontraction dans les liens entre nos policiers, même si (et j’ai dû rater trop de wagonnets pour ne découvrir que maintenant la transformation du bon Danglard en calculateur, craignant une propre faille dans sa famille, au point d’obliger Adamsberg à jouer des poings avec lui). J’ai d’ailleurs beaucoup aimé la plaisanterie – un peu private joke, mais comment ne pas l’avoir vue ou comprise ? – quand Danglard est interrogé à propos de Magellan quand l’acteur qui l’incarne, Jacques Spiesser, joue dans une série du même nom. Il y a également une immense gravité dans l’intrigue, sombre et cruelle, et si la première moitié est bien menée, j’étais dubitatif quant à la suite, sachant que ce n’est pas en soi une histoire farouchement originale. Mais l’autre moitié du roman m’a redonné un coup de fouet, avec ce fragment du passé d’Adamsberg qu’il revoit, et donc cette piste sur laquelle il se lance, bien plus singulière à mes yeux, et où l’on va, à la manière de Mathias sur le terrain à fouiller, découvrir plusieurs strates d’horreur dans ce fait divers, hélas plausible et d’un puissant impact évocateur. De l’humanité aussi, notamment dans les derniers chapitres, dans le lien entre notre commissaire et le tueur, avec une immense symbolique quant à la prison. Même si, à tête reposée, je suis sceptique quant au stratagème employé par l’exterminateur – le « crachat tombé du ciel », beaucoup trop capillotracté - j’ai vraiment beaucoup aimé cet opus malgré quelques bavardages et autres circonvolutions inutiles selon moi, mais on est chez Fred Vargas, et chez personne d’autre, ceci expliquant cette patte narrative. |
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