Jean-Christophe Grangé — Polars Pourpres Index du Forum Jean-Christophe Grangé — Polars Pourpres
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Polars Pourpres

Et si on se faisait un ciné???
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Athanagor
John Blacksad (modo)


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La Ligne Noire

MessagePosté le: Mar Oct 10, 2006 8:55 pm    Sujet du message: Répondre en citant

mouna a écrit:
personne n'a vu le parfum???

Je m'associe à ta question !
J'attends des avis avec impatience.......... et mouna Wink
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Elo
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Les Rivières Pourpres

MessagePosté le: Mar Oct 10, 2006 9:13 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je vais tenter d'aller le voir prochainement. Wink
D'après ce qu'on m'en a dit, il vaut le coup.
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Hoel
Patrick Kenzie (modo)


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Le Vol des Cigognes

MessagePosté le: Sam Oct 14, 2006 11:03 pm    Sujet du message: Le parfum Répondre en citant

Je reviens du ciné ou je suis allé voir Le Parfum. Je n'avais pas lu le livre et ne peut donc pas comparer. J'ai trouvé le film plutôt pas mal, mais je n'ai pas aimé la fin, j'ai trouvé sans trop en dire pour ceux qui ne l'ont pas vu que c'était "trop". Ceux qui ont vu comprendront.
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Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire... J'ai la certitude d'être encore heureux.
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Clairobscure
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Le Vol des Cigognes

MessagePosté le: Lun Oct 16, 2006 10:32 am    Sujet du message: Répondre en citant

Je suis allée voir le Parfum samedi soir et j'ai beaucoup aimé...j'avais lu le livre à sa sortie, il y a donc plusieurs années et je n'avais pas tous les détails en tête.... je ne suis pas du tout déçue car c'est déjà très difficile de mettre en image des mots alors des sensations, encore plus, je pense...J'ai trouvé la performance de l'acteur qui joue Jean-Baptiste Grenouille remarquable ; il était très émouvant...le côté hagard, vide d'expression mais passionné par sa quête était très bien rendu...Je vois de quoi tu parles hoel pour la scène du "c'était trop..."effectivement cela peut être dérangeant...
Néanmoins, je salue encore l'auteur, qui a su écrire un bouquin sur le thème des odeurs, tout en mélant historique, policier, fantastique, avec une histoire qui tient la route ; chapeau ! Laughing
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mouna
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La Ligne Noire

MessagePosté le: Mer Nov 01, 2006 7:29 pm    Sujet du message: Re: Le parfum Répondre en citant

hoel a écrit:
Je reviens du ciné ou je suis allé voir Le Parfum. Je n'avais pas lu le livre et ne peut donc pas comparer. J'ai trouvé le film plutôt pas mal, mais je n'ai pas aimé la fin, j'ai trouvé sans trop en dire pour ceux qui ne l'ont pas vu que c'était "trop". Ceux qui ont vu comprendront.

J'en reviens!!
Très bon film!! Je pense qu'il vaut le (petit) détour! Je suis d'accord avec hoel pour dire que la fin est super space... Je n'ai pas le souvenir d'avoir été dérangée par le bouquin de cette manière.... Mais ce qu'il ya de très bien, c'est que le message général passe très bien... On le comprends le Jean Baptiste Grenouille!! Bref pas mal du tout... La réalisation/mise en scène est parfaite, on capte bien les odeurs!!! Et pour finir, le début est génial!!!!!
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September
Témoin



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Les Rivières Pourpres

MessagePosté le: Sam Nov 04, 2006 5:58 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bonsoir à tous et merci pour vos commentaires intéressants.

J'ai également lu le bouquin à sa sortie et, franchement, même si je l'ai trouvé bien écrit, je me rappelle qu'il m'avait profondément choquée et que j'ai éprouvé une impression de malaise. Je m'étais dit qu'il faut être un peu "dérangé" pour imaginer ce genre de récit. Il faut dire que j'étais ado et peut-être plus impressionable que maintenant. Il n'empêche que, des années plus tard, je n'ai pas du tout envie d'aller voir le film même si je suis sûre qu'il doit être bien. C'est dire si j'en garde un souvenir particulier. Peut-être qu'un jour, je sauterai le pas. Question

Bonne soirée et à bientôt.
September
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Elo
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MessagePosté le: Sam Nov 04, 2006 6:06 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je pars dans quelques minutes, pour aller voir ne le dis à personne
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Athanagor
John Blacksad (modo)


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La Ligne Noire

MessagePosté le: Sam Nov 04, 2006 6:08 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bria a écrit:
Je pars dans quelques minutes, pour aller voir ne le dis à personne
Very Happy


Et tu le dis à tout le monde ?
...
...
...
...
...
Désolé... Embarassed
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Elo
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Les Rivières Pourpres

MessagePosté le: Dim Nov 05, 2006 11:07 am    Sujet du message: Répondre en citant

Laughing Laughing Laughing Laughing


Il était très bien ! Wink
Je n'ai pas pu en parler hier soir, je suis rentrée, tout était noir... Rolling Eyes
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Steve-O
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MessagePosté le: Mar Nov 07, 2006 6:20 pm    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai vu hier soir Saw 3 et j'avoue n'être pas (mais alors pas du tout) convaincu par ce troisième opus... Saw avait tout simplement était génial dans le scénario et le principe....Saw 2 était passé à côté bien que cela soit divertissant de voir un second opus...mais le troisième est tout simplement le pire d'Hollywood....

Un scénario tribuchant, qui essaye de tenir tant bien que mal, une idée au combien original du maître/apprenti....et surtout une surenchère dans la violence qui sert à pallier le vide... Je ne suis pourtant pas très critique sur la violence mais là, certaines scènes apparaissent comme ça au milieu pour redonner un peu de punch à l'histoire... Bref on dirait un vélo auquel on change les roues toutes les dix minutes pour qu'il reparte...

En esperant que Saw soit définitivement enterré.... Mad
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Steve-O
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Les Rivières Pourpres

MessagePosté le: Mar Nov 07, 2006 6:24 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Sinon j'ai aussi vu "Le parfum" est je trouve le film sensationnel Laughing pour ne pas dire odorant... Le challenge n'était pas gagné de faire transparaître à l'écran, l'idée de l'odorat... Je trouve que le réalisateur a su parfaitement le faire. Très bon acteur principal et l'histoire est rondement menée entre thriller et poésie...

Ne connaissant Skund que de nom je crois que je vais essayé de lire le live quand j'aurais un peu de temps.....


Sinon voici mon coup de coeur: "Boart" ou le film le plus drôle de l'année....

Oui je suis tombé plusieurs fois, sur cette pub dans des sites internets, puis voilà que Borat obtient le prix du film Grolandais (Festival de la bande de Groland de Canal+)... Et voilà qu'il devient numero un au box office américain passant devant Saw III, Marie Antoinette, Flag our fathers...

Ayant déjà eu une vague approche du personnage sous forme de skecths vus sur le net, me voilà en direction de la salle obsure... Début du générique.........................................................................................................................................................................................................................................Fin du générique..........................................



Oui 1H40 de pures fou-rires..où j'ai parfois eu du mal à reprendre ma respiration... Sacha Cohen qui se cache derrière le personnage de Borat (Un journaliste kazak envoyé aux USA) est un pur génie. Il a reussi à faire un film drôle et hautement intelligent...

En effet pendant plus d'une heure et demi on voit une amérique halluciné découvrir ce personnage venu avec toutes ses coutumes. Là où Cohen est malin c'est qu'il met les gens face à leur hypocrésie... Du club de féministe qui n'ose pas trop réagir quand il tient des propos halluciants sur les femmes par peur de la barrière culturelle à l'amérique profonde qui semble aussi barge que lui, le personnage de Borat semble ouvrir la voie à un genre nouveau.

Quand Mickael Moore essaye tant bien que mal de démontrer aux gens leurs mauvais côtés et les ramener dans le bon chemin, Borat les laisse s'enfoncer dans leur médiocrité...

Si Borat est le film le plus drôle de l'année.....il est surement aussi le plus intelligent de ces dernières.
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cabosche
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Le Vol des Cigognes

MessagePosté le: Mer Nov 08, 2006 1:23 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Critique du Dahlia noir trouvé sur le net :

Certains romans ne sont pas faits pour êtres adaptés au cinéma. Tel est le cruel constat qui s'impose à la vision du DAHLIA NOIR, tiré du chef d'oeuvre éponyme de James Ellroy. Pourtant, il avait tout pour fasciner Brian de Palma : jeux de masques, meurtre violent, obsession malsaine du mal... Si la première demi-heure, hautement fidèle, augure du meilleur, tout s'écroule trop rapidement. Il était bien sûr impossible de retranscrire les 500 pages du « Dahlia Noir » dans leur intégralité. Mais cette lecture dense, ravageuse et dérangeante aurait dû au moins être retranscrite via une ambiance, un cheminement psychologique. Or, de Palma ne délivre aucune intention. Les personnages sont trop monolithiques pour surprendre. L'enquête, bâclée, n'a pas cette lenteur poisseuse qui conférait au livre son atmosphère délétère. La victime Betty Short et son destin tragique, source des obsessions des deux flics, n'y existent alors quasiment pas. Le récit n'en apparaît que plus fade et banal. Quant à la révélation finale, elle est traitée comme un épisode de SCOOBY DOO. Beaucoup trop appuyé dans sa mise en scène, son montage, sa musique et son interprétation, LE DAHLIA NOIR apparaît même comme un hommage raté aux films d'antan. Etrangement, seul Josh Hartnett s'en tire merveilleusement. Au final, les amoureux du roman seront irrités. Les autres s'ennuieront ferme.
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mouna
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La Ligne Noire

MessagePosté le: Jeu Nov 09, 2006 8:20 pm    Sujet du message: Répondre en citant

cabosche a écrit:
Critique du Dahlia noir trouvé sur le net :

...Les autres s'ennuieront ferme.



C'était ça! On sent qu'il ya eu un bon livre mais .... c'est pas là... Dommage...
On ira voir autre chose!
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Hoel
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Le Vol des Cigognes

MessagePosté le: Ven Nov 10, 2006 11:18 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Critiques Télérama

Citation:
De Palma rend un hommage glamour au film noir hollywoodien… au risque d’aseptiser le roman d’Ellroy.

Pour
Le Dahlia noir avait un nom : Elizabeth Short. C’était une apprentie comédienne, retrouvée morte, atrocement mutilée, dans un terrain vague de South Los Angeles en janvier 1947. Elle avait 22 ans. La presse lui donna son surnom en référence au Dahlia bleu, film noir (!) écrit par Chandler. Quarante ans plus tard, le romancier James Ellroy signe Le Dahlia noir. Ceux qui l’ont lu parlent d’une expérience singulière : descente au plus profond de la noirceur humaine, attirance macabre pour le mal. Double obsession, en fait. Celle de deux flics pour la jeune femme ; mais aussi, à peine masquée, celle de l’auteur, marqué à jamais par le meurtre, jamais élucidé, de sa mère, quand il avait 10 ans.

Ceux qui n’ont pas lu le livre trouveront largement leur compte dans l’adaptation qu’en offre aujourd’hui Brian De Palma. Il suffit, au fond, de changer d’obsession. Car, tout en respectant les grandes lignes du récit – deux enquêteurs et une poignée de femmes très fatales –, le cinéaste s’intéresse moins aux faits proprement dits qu’à son art : le cinéma. Lequel, on le sait depuis Hitchcock, n’est pas moins innocent que le crime mais paie davantage. Les excès de cinéphilie ont poussé Brian De Palma à des expériences « limite », à l’image de son précédent opus, ridicule et alambiqué, Femme fatale. Ici, l’exercice (de style) est plus cadré : ressusciter le grand Hollywood, travailler sur le genre, donner au film noir une patine sophistiquée, glacée et sexy à la fois.

Le glamour a fui Hollywood pour gagner, un peu, le cinéma indépendant américain et, beaucoup, son cousin asiatique – parangon : Wong Kar-wai. C’est un plaisir que l’on retrouve en contemplant les acteurs réunis par De Palma, ou en admirant sa mise en scène, voyante mais incomparablement élégante (mouvements de grue dans un Los Angeles des années 40 reconstruit en Bulgarie). De nos deux héros policiers, le premier (c’est Josh Hartnett, probablement le plus beau mec en activité à Hollywood) sait que le second (Aaron Eckhart, impeccable gueule rétro) n’est pas clair : amours troubles avec une pépette aguicheuse (Scarlett Johansson, irrésistible en vamp au foyer). Lui-même n’est pas net, s’amourachant d’une héritière (Hilary Swank, la boxeuse de Million Dollar Baby, le charme à l’état pur). Mais n’est-ce pas parce qu’elle lui évoque la morte que Josh s’est épris de la belle Hilary ?

Il faut dire la jouissance à voir ces très jolis êtres faire de très jolies choses – et de moins jolies – et l’ivresse de se perdre dans une intrigue à tiroirs, mais l’effort d’orientation aura sa récompense. Comme d’une petite madeleine hawksienne surgissent nos souvenirs ensommeillés du Grand Sommeil et consorts.
Sauf que les sous-entendus de l’époque, censure oblige, sont ici explicites : lesbianisme, nécrophilie, sadisme et perversions en tout genre s’étalent au grand jour. C’est la « cité du péché » qui corrompt, non sans délice pour le corrompu. C’est le cinéma qui fait de nous des voyeurs jubilants. Les plus belles scènes du Dahlia noir sont les bouts d’essai de la jeune Elizabeth Short : fragments de pellicule en noir et blanc où la jeune actrice aux grands yeux mouillants (émouvante Mia Kirshner, vue dans The L Word) se livre à des cinéastes plus ou moins vicieux. La voix qui l’interroge, c’est celle de Brian De Palma. C’est du cinéma dans le cinéma, et de cette mise en abyme naissent paradoxalement des instants de pure vérité : une fleur fragile que l’on brise, une beauté que la caméra viole. Nous, spectateurs, avons tous tué le Dahlia noir.

Contre
A la limite, on aurait préféré que l’adaptation soit une vraie trahison. La thématique de James Ellroy est bien au rendez-vous, mais curieusement aseptisée. Lire Le Dahlia noir, c’est s’enfoncer dans le mal. Plonger corps et âme dans un monde touffu où la notion d’épaisseur – des personnages, de l’intrigue, de la psyché – colle à la peau. Ici, la complexité poisseuse est affichée plus qu’incarnée. Et sans la chair, caressée ou meurtrie, Ellroy n’a plus de sens.
Si l’on oublie maintenant ce grand écrivain (mais est-ce possible ?), ce Dahlia noir reste un polar très moyen. Platement glamour, rétro à fond, inégalement captivant. Le meilleur se niche peut-être dans le grotesque horrifique, du côté des seconds rôles (mention spéciale à Fiona Shaw). Sinon, on est surpris que Brian De Palma, d’habitude souverain sur la question du rythme, puisse donner cette impression d’un film à deux vitesses : l’une, plombante, qui s’attarde sur des choses superflues, l’autre qui survole soudain l’action en bombardant des infos à peine compréhensibles. Il se dit d’ailleurs que le réalisateur aurait été contraint de mutiler son film d’une demi-heure. Inutile d’aller chercher plus loin.


Je penses que j'irai le voir, histoire de juger par moi-même.
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September
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Les Rivières Pourpres

MessagePosté le: Ven Nov 17, 2006 8:23 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Bonsoir à tous, Very Happy

Je suis allée voir "Black Dahlia" la semaine passée.

Pour la petite histoire, je dois préciser que je n'ai jamais lu le livre et que je viens à peine de commencer à lire Ellroy pour la première fois avec son "Crimes en séries" lequel est composé de Nouvelles. Parmi ces Nouvelles, l'auteur parle de la mort de sa mère et du "Black Dahlia" en expliquant qu'il s'agit d'un fait réel. Je suis donc entrain de découvrir Ellroy dont le style me plaît bien.

Pour en revenir au film, je l'ai trouvé un peu confus (j'ai eu un peu de mal à m'y retrouver) sans doute parce qu'il est difficile de "restituer" les lignes importantes d'un livre en deux heures mais, selon moi, l'ambiance des années fin quarante était plutôt bien rendue: décors, vêtements, coiffures, etc... Et puis, les acteurs étaient tout-à-fait convainquants. En fait, je regrette le manque de clarté de l'histoire (mais peut-être n'étais-je pas assez concentrée? Crying or Very sad ) mais, dans l'ensemble, je n'ai pas été déçue.

Je compte bien lire le livre dès que possible.

A bientôt
September

Demain, je vais voir "Scoop" de W. Allen
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