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Les Assassins - R. J. Ellory (Sonatine)
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Fredo
Michael Myers


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Le Vol des Cigognes

MessagePosté le: Ven Aoû 28, 2015 9:15 pm    Sujet du message: Répondre en citant

J'en suis à 140 pages. J'y retourne là !
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Fredo
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Le Vol des Cigognes

MessagePosté le: Sam Aoû 29, 2015 5:18 pm    Sujet du message: Répondre en citant

225 pages.

Et je pense à deux choses. Un livre et un auteur.
Le livre

L'auteur
Maxime Chattam.

RJ Ellory semble parvenir à réveiller des échos d'Au-delà du Mal. Je trouve les deux livres parfaitement complémentaires et ils dégagent une ambiance et une "texture" assez proche. Un régal donc.

Pourquoi faire référence à Maxime Chattam ? Parce qu'il me semble que RJ Ellory parvient à bien faire en un seul roman ce que Maxime Chattam peine à faire dans l'ensemble de sa bibliographie. Ce dernier est connu, entre autres, pour faire référence, depuis quelques années, de manière quasi compulsive, à ce mal qui fait faire des trucs de fous à ces tueurs de masses. Une sorte de mantra omniprésent dans ces livres qui évoque les liens étroits entre le diable, le mal et l'homme.

Et là, en lisant les Assassins de RJ Elloy, je trouve des références à ce diable, c'est fait avec parcimonie, intelligence, c'est ciselé, pensé. C'est tellement bien fait que ça en devient rafraichissant. Un coup de frais entre deux courants d'air provenant directement de la porte de l'enfer.

Je parle de Maxime Chattam parce que je me rends compte que son approche est intéressante mais qu'au final, dans la forme, il en fait trop. Un peu comme un cuisinier qui aurait la main super lourde sur les épices.
À force de matraquer la chose, de véritablement marquer ses romans au fer rouge, il galvaude le message.

Ellory est plus subtile, il glisse une référence ici, un brin poivré là et laisse son histoire mijoter à feu moyen. Pour laisser les saveurs exploser à la figure de ses lecteurs.

J'y retourne...
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chouchou
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MessagePosté le: Sam Aoû 29, 2015 5:54 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Fredo a écrit:
225 pages.

Et je pense à deux choses. Un livre et un auteur.
Le livre

L'auteur
Maxime Chattam.

RJ Ellory semble parvenir à réveiller des échos d'Au-delà du Mal. Je trouve les deux livres parfaitement complémentaires et ils dégagent une ambiance et une "texture" assez proche. Un régal donc.

Pourquoi faire référence à Maxime Chattam ? Parce qu'il me semble que RJ Ellory parvient à bien faire en un seul roman ce que Maxime Chattam peine à faire dans l'ensemble de sa bibliographie. Ce dernier est connu, entre autres, pour faire référence, depuis quelques années, de manière quasi compulsive, à ce mal qui fait faire des trucs de fous à ces tueurs de masses. Une sorte de mantra omniprésent dans ces livres qui évoque les liens étroits entre le diable, le mal et l'homme.

Et là, en lisant les Assassins de RJ Elloy, je trouve des références à ce diable, c'est fait avec parcimonie, intelligence, c'est ciselé, pensé. C'est tellement bien fait que ça en devient rafraichissant. Un coup de frais entre deux courants d'air provenant directement de la porte de l'enfer.

Je parle de Maxime Chattam parce que je me rends compte que son approche est intéressante mais qu'au final, dans la forme, il en fait trop. Un peu comme un cuisinier qui aurait la main super lourde sur les épices.
À force de matraquer la chose, de véritablement marquer ses romans au fer rouge, il galvaude le message.

Ellory est plus subtile, il glisse une référence ici, un brin poivré là et laisse son histoire mijoter à feu moyen. Pour laisser les saveurs exploser à la figure de ses lecteurs.

J'y retourne...

Tu me prends par les sentiments concernant la référence à Shane Stevens!... Laughing Laughing
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Fredo
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MessagePosté le: Sam Aoû 29, 2015 5:57 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je n'ai pas encore lu les commentaires/chroniques de mes camarades mais ça me semble évident comme référence.
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chouchou
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MessagePosté le: Sam Aoû 29, 2015 6:07 pm    Sujet du message: Répondre en citant

De toute les façons je me sens contraint d'acquérir cet opus! L'auteur, le fond et la trame tendent à mon inclination...
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Dodger
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MessagePosté le: Dim Aoû 30, 2015 5:47 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Terminé. Et comme voxac30, deuxième coup de cœur de la rentrée après Intérieur nuit de Marisha Pessl.
On a beau connaître R.J. Ellory, savoir de quoi il est capable, il arrive encore à me cueillir, façon uppercut au menton et K.O. pour le compte. Et là, sur le sujet vu et revu, lu et relu des tueurs en série, il avait de quoi décevoir. Hé ben non, c'est encore réussi Wink

Je rejoins en partie Fredo sur le parallèle à faire avec Au-delà du mal de Shane Stevens, même si ce dernier me semble inégalable dans sa manière de décortiquer de l'intérieur le fonctionnement d'un tueur en série.
Mais l'approche réaliste d'Ellory, qui s'attache aux pas d'un enquêteur lambda, provoque une empathie formidable. Pas de policier aux qualités quasi paranormales ni d'agent du FBI exceptionnel, mais un flic normal que la folie furieuse du meurtrier laisse loin de toute capacité de compréhension, et qui se "contente" d'essayer de trouver des éléments de preuve pour le coincer, avec le peu de moyens qu'il a et un soutien très distant de sa hiérarchie.

De ce point de vue, il m'a aussi beaucoup fait penser au travail de Mankell avec Wallander, ou à celui de David Fincher dans son film Zodiac. De la sorte, on est au plus près de la réalité, et on vibre d'autant plus qu'on a l'impression que cela pourrait nous arriver à nous aussi, n'importe où, n'importe quand. Ce sentiment de vulnérabilité qu'Ellory inflige au lecteur fait énormément pour la réussite du roman, dont certains passages m'ont angoissé comme cela n'avait pas été le cas depuis longtemps dans un polar.

J'imagine que la fin décevra certains, notamment parce qu'Ellory
Spoiler:
achève son histoire avec l'arrestation du tueur, sans effets superflus, avec une certaine cruauté pour l'un des personnages, et sans chercher non plus à expliciter longuement les agissements de son assassin. Pourquoi a-t-i copié d'autres meurtres célèbres ? Qu'est-ce qui le motivait ? On n'en sait rien. Une fois qu'il est neutralisé, son héros va pouvoir passer à autre chose, point.

C'est un choix risqué, mais j'avoue qu'il m'a séduit, même s'il m'a un peu pris de court... Pour moi, c'est cohérent mais ça pourra se discuter Wink
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chouchou
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MessagePosté le: Dim Aoû 30, 2015 6:07 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Dodger a écrit:
Terminé. Et comme voxac30, deuxième coup de cœur de la rentrée après Intérieur nuit de Marisha Pessl.
On a beau connaître R.J. Ellory, savoir de quoi il est capable, il arrive encore à me cueillir, façon uppercut au menton et K.O. pour le compte. Et là, sur le sujet vu et revu, lu et relu des tueurs en série, il avait de quoi décevoir. Hé ben non, c'est encore réussi Wink

Je rejoins en partie Fredo sur le parallèle à faire avec Au-delà du mal de Shane Stevens, même si ce dernier me semble inégalable dans sa manière de décortiquer de l'intérieur le fonctionnement d'un tueur en série.
Mais l'approche réaliste d'Ellory, qui s'attache aux pas d'un enquêteur lambda, provoque une empathie formidable. Pas de policier aux qualités quasi paranormales ni d'agent du FBI exceptionnel, mais un flic normal que la folie furieuse du meurtrier laisse loin de toute capacité de compréhension, et qui se "contente" d'essayer de trouver des éléments de preuve pour le coincer, avec le peu de moyens qu'il a et un soutien très distant de sa hiérarchie.

De ce point de vue, il m'a aussi beaucoup fait penser au travail de Mankell avec Wallander, ou à celui de David Fincher dans son film Zodiac. De la sorte, on est au plus près de la réalité, et on vibre d'autant plus qu'on a l'impression que cela pourrait nous arriver à nous aussi, n'importe où, n'importe quand. Ce sentiment de vulnérabilité qu'Ellory inflige au lecteur fait énormément pour la réussite du roman, dont certains passages m'ont angoissé comme cela n'avait pas été le cas depuis longtemps dans un polar.

J'imagine que la fin décevra certains, notamment parce qu'Ellory
Spoiler:
achève son histoire avec l'arrestation du tueur, sans effets superflus, avec une certaine cruauté pour l'un des personnages, et sans chercher non plus à expliciter longuement les agissements de son assassin. Pourquoi a-t-i copié d'autres meurtres célèbres ? Qu'est-ce qui le motivait ? On n'en sait rien. Une fois qu'il est neutralisé, son héros va pouvoir passer à autre chose, point.

C'est un choix risqué, mais j'avoue qu'il m'a séduit, même s'il m'a un peu pris

e court... Pour moi, c'est cohérent mais ça pourra se discuter Wink


STOP! L'hypersiallorhée me guette. Des commentaires riches et structurés qui feraient pâlir des attachés de presse!
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MessagePosté le: Lun Aoû 31, 2015 6:09 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Fredo a écrit:
Je n'ai pas encore lu les commentaires/chroniques de mes camarades mais ça me semble évident comme référence.


Very Happy

Y pas a dire, il a fait fort l'Ellory Wink
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Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire... J'ai la certitude d'être encore heureux.
Jules Renard (1864-1910)

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Fredo
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MessagePosté le: Lun Aoû 31, 2015 6:37 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je suis dans la dernière centaine de pages. Je le repose sinon, j'y passe la soirée. J'ai le cœur serré. Je ne sais pas si c'est le fait d'avoir évoqué avec Yvan mes émotions de lecture concernant Replay de Ken Grimwood, mais je suis chamboulé par l'histoire d'amour qui pointe son nez dans le livre. La chronique s'annonce riche en émotions...
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Fredo
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MessagePosté le: Mar Sep 01, 2015 9:14 am    Sujet du message: Répondre en citant

Je viens de le terminer, je me suis régalé. Autant au niveau de l'enquête policière que de l'interaction entre les personnages principaux.
On y trouve un grand nombre d'éléments qui vont par deux et des personnages qui marchent dans les pas de ceux du passé. Certains parallèles fonctionnent, d'autres moins.
Spoiler:
Frank Gorman / Ray Irving
Les tueurs en série / Le Commémorateur
Deborah Wiltshire / Karen Langley
John Costello / Le Commémorateur
Les victimes du passé / et celles du présent
John Costello + Nadia / Ray Irving + Karen Langley


Mais ça reste habile et précis. Du grand art. Et puis ces prémisses à une grande histoire d'amour qui se dessine au fil des pages, je les ai trouvé très touchants.

Et cette fin, je l'aime bien. Sobre, efficace. Elle nous laisse comme le(s) survivant(s) : avec des interrogations et le sentiment d'être perdu.

Concernant la quatrième de couv du livre, Sonatine semble zapper le véritable héros du roman, Ray Irving. En la lisant, on pense que c'est John Costello qui est au premier plan alors que c'est très loin d'être le cas.
Parce que ces quelques lignes que l'on retrouve dans le résumé de la première page de ce sujet ne figurent pas sur la 4decouv du livre :
"En compagnie de Karen Langley, une journaliste du City Herald, et de Ray Irving, détective du NYPD, John va se livrer à la traque de cet assassin très particulier, à l’intelligence aussi fulgurante que morbide et à la virtuosité impressionnante. "

Et même cette mention rajoutée n'est pas fidèle à l'histoire, ce n'est pas Costello qui "dirige" cette traque, c'est bel et bien Irving qui est assisté de...

http://www.4decouv.com/2015/09/chronique-les-assassins-rj-ellory.html
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Dernière édition par Fredo le Mar Sep 01, 2015 11:22 am; édité 1 fois
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MessagePosté le: Mar Sep 01, 2015 10:56 am    Sujet du message: Répondre en citant

Il y a encore des dizaines de choses à dire au sujet de ce livre. J'ai omis de parler d'un autre élément important : les rituels. Que ce soit ceux des tueurs ou des enquêteurs. Avec la survie comme point commun. Des rituels pour survivre à la folie. Les rituels des personnages et ceux du romancier. Ça forme un grand tout.
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MessagePosté le: Mar Sep 01, 2015 11:27 am    Sujet du message: Répondre en citant

Oui, d'ailleurs, ces rituels sont le noyau du roman.
Nous sommes, nous lecteurs, pris dans l'étau des dates. L'intérêt est très fort puisque nous participons nous aussi à essayer de découvrir la vérité. C'est un peu dingue de décortiquer ce qui se passe dans le cerveau de ces serial killer.
La politique revient aussi par moments.
L'amour a une grande place aussi tout comme l'amitié...

Spoiler:
Ces personnes qui ont survécu à des serial killer et qui se réunissent, j'ai trouvé cette idée particulièrement intéressante

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MessagePosté le: Mar Sep 01, 2015 5:46 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Fredo a écrit:
Et cette fin, je l'aime bien. Sobre, efficace. Elle nous laisse comme le(s) survivant(s) : avec des interrogations et le sentiment d'être perdu.


J'aime beaucoup cette phrase, elle résume parfaitement le sentiment que j'ai eu à la fin. Moi aussi j'apprécie qu'Ellory ait fait ce choix, c'était courageux et un peu risqué, car
Spoiler:
nombre de lecteurs préfèrent qu'on leur mette les points sur les i, ce qui n'est pas le cas ici.


Fredo a écrit:
Concernant la quatrième de couv du livre, Sonatine semble zapper le véritable héros du roman, Ray Irving. En la lisant, on pense que c'est John Costello qui est au premier plan alors que c'est très loin d'être le cas.


Tu as raison, je n'avais pas percuté. Drôle de choix... Costello est un personnage très intéressant, mais le pilier du livre, celui à travers le regard duquel on vit cette histoire, c'est Irving.

voxac30 a écrit:
Spoiler:
Ces personnes qui ont survécu à des serial killer et qui se réunissent, j'ai trouvé cette idée particulièrement intéressante


Une idée presque un peu sous-exploitée d'ailleurs, je pensais qu'on les verrait beaucoup plus dans le roman...
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MessagePosté le: Mar Sep 01, 2015 5:58 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Dodger a écrit:
Fredo a écrit:
Et cette fin, je l'aime bien. Sobre, efficace. Elle nous laisse comme le(s) survivant(s) : avec des interrogations et le sentiment d'être perdu.


J'aime beaucoup cette phrase, elle résume parfaitement le sentiment que j'ai eu à la fin. Moi aussi j'apprécie qu'Ellory ait fait ce choix, c'était courageux et un peu risqué, car
Spoiler:
nombre de lecteurs préfèrent qu'on leur mette les points sur les i, ce qui n'est pas le cas ici.


C'est frustrant mais ça nous rapproche un peu plus des sentiments du héros. Et comme tu l'évoquais plus haut, c'est une manière de nous dire qu'il arrive enfin l'occasion pour lui de tourner la page. Les détails importent peu, il peut se consacrer à... autre chose.

Dodger a écrit:
Fredo a écrit:
Concernant la quatrième de couv du livre, Sonatine semble zapper le véritable héros du roman, Ray Irving. En la lisant, on pense que c'est John Costello qui est au premier plan alors que c'est très loin d'être le cas.


Tu as raison, je n'avais pas percuté. Drôle de choix... Costello est un personnage très intéressant, mais le pilier du livre, celui à travers le regard duquel on vit cette histoire, c'est Irving.

Oui, vraiment drôle de choix, je pourrai même aller jusqu'à évoquer la bévue éditoriale.

Dodger a écrit:
voxac30 a écrit:
Spoiler:
Ces personnes qui ont survécu à des serial killer et qui se réunissent, j'ai trouvé cette idée particulièrement intéressante


Une idée presque un peu sous-exploitée d'ailleurs, je pensais qu'on les verrait beaucoup plus dans le roman...


Oui, une idée qui pourrait à elle seule nourrir un roman à part.
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MessagePosté le: Mar Nov 03, 2015 5:06 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Mon avis:
Citation:
L'épicentre John Costello et son satellite Irving gravite dans un univers, une atmosphère morbide et délétère. L'angle d'écriture d'Ellory confère à l'effort une vision psychopathologique à sa revue de sociopathes et nous aspire irrémédiablement. La sueur, l'adrénaline, les humeurs nauséabondes s'insinuent dans notre psyché pour faire de ce roman une oeuvre enivrante. Cette descente, ce tourbillon nous prouvent que les Assassins peut nous mener à la lipothymie!

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