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Ne fais confiance à personne - Paul Cleave (Sonatine)

 
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norbert
Serial killer : Hannibal Lecter


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Le Serment des Limbes

MessagePosté le: Sam Sep 02, 2017 6:27 am    Sujet du message: Ne fais confiance à personne - Paul Cleave (Sonatine) Répondre en citant

Roman "one-shot" pouvant se lire indépendamment, Ne fais confiance à personne, le nouveau thriller de Paul Cleave, vient de paraître chez Sonatine dans une traduction de Fabrice Pointeau.






Le livre :

Il y a pire que de tuer quelqu’un : ne pas savoir si on l’a tué.

Les auteurs de thrillers ne sont pas des personnes très fréquentables.
Ils jouent du plaisir que nous avons à lire d’abominables histoires, de notre appétit pour des énigmes qui le plus souvent baignent dans le sang.
Nous ne sommes pas très raisonnables.
Ce jeu dangereux peut parfois prendre des proportions inquiétantes.
Leurs ouvrages peuvent nous donner des idées regrettables, favoriser un passage à l’acte aux conséquences funestes.
Eux les premiers, qui pensent connaître toutes les ficelles du crime parfait, ne sont pas à l’abri de faire de leurs fictions une réalité.


Prenez par exemple Jerry Grey, ce célèbre romancier, qui ne sait plus très bien aujourd’hui où il en est.
À force d’inventer des meurtres plus ingénieux les uns que les autres, n’aurait-il pas fini par succomber à la tentation ?
Dans cette institution où on le traite pour un alzheimer précoce, Jerry réalise que la trame de son existence comporte quelques inquiétants trous noirs.
Est-ce dans ses moments de lucidité ou dans ses moments de démence qu’il est persuadé d’avoir commis des crimes ?
Quand la police commence à soupçonner les histoires de Jerry d’être inspirées de faits réels, l’étau commence à se resserrer.
Mais, comme à son habitude, la vérité se révèlera bien différente et bien plus effroyable que ce que tous ont pu imaginer !

Entre Shutter Island (Dennis Lehane) et Un employé modèle, Paul Cleave signe sans conteste avec Ne fais confiance à personne son chef d’œuvre.



« Une sacrée réussite ! Ce livre est un modèle du genre. Vivement le prochain ! » Le Point

« Entre thriller drolatique et polar cauchemardesque, l'auteur creuse une veine originale, où on le suit en hurlant d'effroi et de bonheur. Oui… la ville de Christchruch a du souci à se faire. » Elle

« Un thriller exceptionnel. » Publishers Weekly





>> Le site de l'auteur : http://www.paulcleave.co.nz/

>> Sa page Facebook : https://www.facebook.com/PaulCleave/





L'auteur :

Paul Cleave est né à Christchurch, Nouvelle-Zélande, en 1974.
Ne fais confiance à personne est son sixième roman publié chez Sonatine Éditions.



_________________
« Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy


Dernière édition par norbert le Mer Oct 04, 2017 7:58 pm; édité 1 fois
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norbert
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MessagePosté le: Sam Sep 02, 2017 7:18 am    Sujet du message: Répondre en citant




>> La chronique de Philippe Lemaire sur Onlalu :

Citation:

Un Paul Cleave virtuose



Dans le paysage international du polar, le Néo-zélandais Paul Cleave donne à entendre un ton unique.
Un mélange de distance, d’humour noir, de dérision qui tient à la nature même des histoires qu’il crée.
Ce quadra tranquille, dont le talent s’épanouit à Christchurch mais qui adore sillonner l’Europe, a le don de se glisser dans la peau de types qui se croient sains d’esprit et se révèlent dangereusement tordus.
Au fil de leur monologue intérieur, on en vient vite à douter, à suspecter des horreurs.
C’est le mécanisme de ses cinq premiers romans, depuis Un employé modèle (2010) jusqu’à Un prisonnier modèle (2016).
C’est encore celui de son nouvel opus, Ne fais confiance à personne, avec davantage encore de niveaux de lecture et de fausses pistes.


D’entrée, on découvre un certain Jerry confessant un meurtre à une jeune policière qu’il trouve très sympathique.
Sinon qu’il décrit un crime imaginaire, sorti d’un des polars qu’il a publiés, et que l’inspectrice est sa fille.
Jerry est romancier et atteint de la maladie d’Alzheimer.
Son entourage est d’autant plus inquiet qu’il s’enfuit régulièrement de l’établissement où il est placé et que des morts inexpliquées coïncident avec ses fugues.


Dans une construction virtuose jusqu’à donner le tournis, mais qu’il maîtrise parfaitement, Paul Cleave juxtapose les deux temps de sa narration.
Un présent immédiat où l’histoire de Jerry semble s’écrire à mesure qu’on la lui remémore, pour s’effacer aussitôt.
Un passé situé au moment où la maladie se déclarait, où son histoire s’écrivait sous ses yeux et où il a essayé de la consigner dans un « cahier de la folie », pour anticiper les effacements de sa mémoire.
L’auteur y intercale des extraits du fameux cahier qui, loin de nous éclairer, rendent le mystère plus épais encore : on croit y voir tantôt une accusation, tantôt une confession.


Alors, victime ou salaud ?
Le présent nous montre un Jerry pathétique, cherchant désespérément à enquêter sur lui-même, soucieux de s’innocenter, mais prêt aussi à assumer les indices de sa culpabilité.
Le passé nous le montre sous un jour bien moins flatteur.
D’un temps à l’autre, l’image de son entourage change aussi du tout au tout, brouillant un peu plus les pistes.
C’est un des fondamentaux du polar : le personnage à deux visages.
Le romancier néo-zélandais l’accompagne de l’ombre malfaisante de la maladie dont Jerry, affranchi des conventions, parle sans retenue ni tabou, comme un autre lui-même qu’il méprise.


Entre le Jerry malade d’aujourd’hui, le Jerry en bonne santé d’hier et le Jerry écrivain à cheval sur les deux, on finit par se demander, finalement, où est le « vrai ».
Et s’il est ou non un tueur.
L’intrigue criminelle est étourdissante, mais Paul Cleave ne se contente pas d’en tenir fermement les rênes : il a visiblement réfléchi sur ce qu’il écrit et pourquoi il l’écrit.
Doublé de ce jeu subtil sur l’inspiration, Ne fais confiance à personne est à coup sûr son livre le plus abouti.



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norbert
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MessagePosté le: Mar Oct 03, 2017 6:57 pm    Sujet du message: Répondre en citant




>> La chronique de Catherine sur Le Blog du Polar de Velda :

Citation:

Paul Cleave, "Ne fais confiance à personne" :

Jerry, auteur de polars, 49 ans, Alzheimer...




Quarante-neuf ans, Alzheimer.
Voilà ce qui arrive à Jerry Grey, auteur de polars sous le pseudonyme de Henry Cutter.
Belle carrière, plus d'une douzaine de best-sellers sanglants, belle maison, femme et fille adorables.
Ça ne pouvait pas durer, n'est-ce pas ?
Il fallait bien être puni quand on s'est construit une si belle vie à partir de meurtres abominables !
Le prologue plonge son lecteur directement dans le vif du sujet - Jerry est interrogé par une policière plutôt gironde à propos du meurtre de Suzan (avec un z).
Et il s'en rappelle très bien, vu que c'est lui qui l'a commis, bien des années auparavant.
Sa queue de cheval, ses cheveux noirs, son bronzage, la porte de sa maison ouverte à trois heures du matin, quelle idée.
Et ça ne se passe pas bien, cet interrogatoire.
Vu que la Suzan en question est la victime de son premier roman, et la policière gironde nulle autre que sa fille Eva, venue le voir à la maison de santé.
Ne m'accusez pas de "spoiler", on n'en est là qu'aux premières pages...


Dans Ne fais confiance à personne, Paul Cleave prend des risques.
Ne serait-ce qu'à cause du métier du personnage principal.
Auteur de polars, ça ne vous dit rien ?
A un moment du roman, Cleave parle de cette nécessité - contestée - pour un auteur de ne parler que de ce qu'il connaît.
Eh bien voilà, le pas est franchi.
Dans ce roman-là, il y a davantage que du savoir-faire, de la tension, de la peur et de l'humour, les ingrédients préférés de l'auteur.
Paul Cleave a mobilisé là tous les outils dont il dispose, plus ceux qu'il a peut-être inventés pour l'occasion, pour faire de Ne fais confiance à personne un roman troublant, effrayant, complexe et passionnant.


A commencer par la structure et le style.
Tour à tour, il écrit à la troisième personne, sous couvert du narrateur ou sous la plume de Henry ; à la deuxième personne quand Jerry-Henry s'interpelle lui-même.
Et encore, c'est un peu plus compliqué que cela car parfois, Jerry, celui qui est malade mais qui peut encore s'exprimer, parle à Jerry du futur, celui dont on n'ose même pas imaginer l'état dans quelques années, voire quelques mois.
Si le livre commence, comme on pouvait s'y attendre, par le Jour 1, ce serait mal connaître notre auteur que de s'imaginer que les choses vont se dérouler, paresseusement, devant nous, dans un ordre chronologique et dûment numéroté.
Jerry est perdu, il faut bien que le lecteur le soit aussi, dans une certaine mesure, pour que le jeu avec l'auteur puisse commencer!
Et l'un des grands enjeux du roman est là, dans la façon qu'a l'auteur de jouer avec son lecteur, de le défier, de lui mettre les nerfs en pelote, de l'accabler de doutes et de questions.
Le style joue aussi un rôle prépondérant dans le rythme du roman : Paul Cleave suit impeccablement l'évolution de la maladie de son personnage, avec ses hauts et ses bas, ses moments de lucidité, ses crises paranoïaques et ses moments délirants où il laisse libre cours à une écriture libérée, exclamative, colérique, révoltée.


Bien sûr, Cleave ne se prive pas d'une si belle occasion d'aborder la question de la créativité de l'auteur et de sa paranoïa.
Là encore, il ne se contente pas d'évoquer la vraie question de l'irruption de la fiction dans la réalité, et vice versa ; ni la dualité entre l'auteur et ses personnages ; il soulève aussi une question qui, elle aussi, doit obséder bon nombre de romanciers : celle de la dualité entre l'auteur, l'homme qui écrit, et l'humain, celui qui vit sa vie quotidienne, avec son entourage, ceux qui l'aiment, ceux qui travaillent avec lui.
Comme si ça n'était pas suffisant, il est aussi beaucoup question de mortalité dans ce roman : comment survivre quand l'esprit est dissocié du corps, quand il a déserté ce corps alors que ce dernier est encore bien vivant ?
Et ce n'est pas ce qu'il y a de moins troublant dans ce livre.


Pour finir, Paul Cleave remplit largement son contrat habituel : il livre là, en plus de tout ce qu'on vient de décrire, un thriller particulièrement effrayant, bien construit, et son jeu avec le lecteur tourne carrément à la virtuosité, puisqu'il n'est pas question de lâcher le livre quand on l'a commencé, malgré le trouble, l'angoisse, la tension qu'il suscite.
Jusqu'au bout, on se demandera où est la vérité...
Et la fin, renversante, vous laissera sans voix...
Sans oublier l'humour qui fait partie de la signature de ce romancier qui, de titre en titre, mine de rien, se révèle bien davantage qu'un auteur de thriller efficace.
Chapeau bas, Mr. Cleave !


A lire aussi : l'interview en roue libre de Paul Cleave de 2016.



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MessagePosté le: Lun Oct 09, 2017 12:16 pm    Sujet du message: Répondre en citant




Un Paul Cleave visiblement assez exceptionnel, et qui vient encore de récolter en deux jours deux 9/10 sur PP de la part d'Emil' et de JackBauer !
Ce roman pourrait apparemment faire un bon candidat pour le Prix PP 2017...


>> L'avis de JackBauer :

Citation:


Paul Cleave nous aide à boucher les trous ( de mémoire), en juxtaposant les points de vue, et les souvenirs, pour tenter de démêler le Grey du faux...
Il teinte les blancs de noir, avec ce whodunit paranoïaque et haletant, traversé de féroces éclats de rire, où la vérité de la veille n'est pas forcément celle du lendemain...
Face à l'incertitude constante qui façonne le quotidien de Jerry, le lecteur s'interroge avec lui sur le bien-fondé de ses actes, et la réalité de ses dires...
Avec son imbroglio psychologique, Cleave traduit de manière brillante l'essence même de ce vers quoi tend tout bon romancier de polar : l'état d'esprit du personnage principal illustre admirablement celui dans lequel les auteurs du noir cherchent à plonger leurs lecteurs...
Ballottés entre demi-vérités et révélations douteuses, se défiant de tout, à la merci de leur bon vouloir, ils aiment à se sentir déboussolés en parcourant les lignes de leurs littérateurs préférés, à l'image des fameux carnets de Jerry Grey...







>> L'avis d'Emil' :

Citation:


J'écris ceci au cas où un jour le capitaine A prenne le contrôle de mon navire, je ne dois jamais oublier que Paul Cleave est un auteur extraordinaire, qui joue avec les normes du thriller pour créer son propre univers afin de nous servir des histoires noires, cocasses et incomparables.

Ici la mémoire est mise à l'épreuve !
Accrochez vous car Jerry atteint d'Alzheimer va vous trimballer, il ne sait parfois plus qui il est, simple auteur de romans ou dissimulateur, et comme lui vous douterez de tout, vous serez déstabilisés face à certaines révélations amphibologiques.
Faites vous plaisir, lisez Paul Cleave !



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MessagePosté le: Sam Nov 11, 2017 12:33 am    Sujet du message: Répondre en citant




>> Rencontre avec Paul Cleave organisée par Babelio :



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dioler
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MessagePosté le: Dim Jan 07, 2018 7:13 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Super,
l'entretien avec Paul CLEAVE !
Mais avec une version en français, cela aurait été plus "cool" .

Rolling Eyes
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Le Juge Wargrave
Ishigami le Dharma


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MessagePosté le: Dim Jan 07, 2018 7:24 pm    Sujet du message: Répondre en citant

dioler a écrit:
Super,
l'entretien avec Paul CLEAVE !
Mais avec une version en français, cela aurait été plus "cool" .

Rolling Eyes


Tu vas dans "Paramètres" puis "Sous-titres" puis "activé" et le tour est joué.
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dioler
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MessagePosté le: Dim Jan 07, 2018 8:33 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Super, merci M.Le Juge.

Très intéressant cet entretien.

Very Happy
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Le Juge Wargrave
Ishigami le Dharma


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Les Rivières Pourpres

MessagePosté le: Lun Jan 08, 2018 10:17 pm    Sujet du message: Répondre en citant

dioler a écrit:
Super, merci M.Le Juge.

Très intéressant cet entretien.

Very Happy


De rien, avec plaisir. Smile
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