Posté le: Jeu Mar 05, 2020 1:11 pm Sujet du message: MotherCloud - Rob Hart (Belfond)
Thriller dystopique particulièrement alléchant et bientôt adapté au cinéma par Ron Howard, MotherCloud (The Warehouse) de l'Américain Rob Hart paraît aujourd'hui chez Belfond Noir, traduit par Michael Belano.
Rob Hart sera présent cette année au festival Quais du Polar.
Le livre :
Effrayant hommage à Ray Bradbury, Margaret Atwood ou George Orwell, MotherCloud nous entraîne dans un monde où le Big Business aurait supplanté Big Brother, un monde d’une perversion totale, pas si éloigné du nôtre.
Cloud n'est pas seulement un lieu de travail. C'est un lieu de vie.
Cloud est la solution à tous vos problèmes.
Ex-petit patron désormais ruiné, Paxton n’aurait jamais pensé devoir intégrer une unité MotherCloud, cette superstructure de l’e-commerce qui a dévoré la moitié de l’économie mondiale. Pourtant, dans une société n’ayant plus rien à offrir, comment refuser un job qui propose non seulement un salaire, mais aussi un toit et à manger ?
La jeune Zinnia non plus n’aurait jamais pensé rejoindre MotherCloud, mais sa mission est tout autre : une révolution est en marche dont elle est le bras armé. Devenir salariée n’est qu’un premier pas pour infiltrer le système, en percer les secrets. Le détruire.
Dans cet univers où tout est calculé, paramétré, surveillé, où l’humain disparaît au profit de la rentabilité, où l’individu n’est qu’un algorithme, Zinnia et Paxton réalisent bientôt qu’il est impossible de dévier. À moins d’être prêt à se sacrifier ?
Car derrière sa façade d’entreprise idéale, MotherCloud est une machine à broyer, impitoyable à l’égard de ceux qui oseraient se rebeller.
« Effrayant et tellement plausible, bienvenue dans le monde de demain, où le big business a enterré la liberté de penser. »
Alafair Burke
« Voilà un roman qui va vous tenir loin de vos séries pendant quelques soirées. Le texte de couverture évoque la rencontre entre "Big Brother" et le "Big Business", et c'est exactement ça. »
Stephen King
« Un blockbuster littéraire avec un cerveau ! Captivant et terriblement addictif. »
The Observer
« Avec ses rebondissements sensationnels, ce mélange hybride entre 1984 d'Orwell et Nous autres de Zamiatine est un triomphe. »
The Guardian
« MotherCloud est un thriller d'idées, au rythme tendu et doté d'un sous-texte socio-culturel fort, qui n'est pas sans rappeler Fahrenheit 451 et Jurassic Park. »
USA Today
« La raison du succès de thrillers d'anticipation comme 1984, Fahrenheit 451 et La Servante écarlate ? C'est la crédibilité du propos, la vérité qui se dessine dans l'intrigue. On peut désormais ajouter le brillant MotherCloud à cette liste. Non seulement cette histoire pourrait arriver, mais, à bien y regarder, elle est déjà en cours. »
Associated Press
« Je referme à l'instant le livre de Rob Hart. Je l'ai dévoré plus vite qu'un cloudburger ! Un roman qui s'inscrit avec brio dans la grande tradition des dystopies. Brillant, dérangeant, politique, et... passionnant ! Lecture obligatoire ! »
Renaud - Librairie Lucioles
« Un thriller d'anticipation aux allures de dystopie glaçante, à l'image de 1984 de George Orwell. »
Marie-Christine Luton - Pep's Magazine
Éditeur de romans noirs, directeur de communication politique, conseiller municipal de la ville de New York, le trentenaire Rob Hart est un hyperactif. Il est également auteur d'une série policière, de nouvelles publiées dans de nombreuses revues de littérature suspense, ainsi que dans les Best American Mystery Stories 2018, et coauteur d'un roman avec James Patterson. Rob Hart vit à Staten Island avec sa femme et leur fille.
Acheté dans plus de vingt pays et bientôt adapté au cinéma par Ron Howard, MotherCloud est son premier roman à paraître en France.
_________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy
Age: 36 Inscrit le: 06 Oct 2005 Messages: 11460 Localisation: Au bout du monde
Posté le: Jeu Mar 05, 2020 4:05 pm Sujet du message:
Par curiosité, j'ai essayé de bipper le bas de l'illustration avec ma douchette : ça fait rien. _________________ Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire... J'ai la certitude d'être encore heureux.
Jules Renard (1864-1910)
Posté le: Jeu Mar 05, 2020 5:00 pm Sujet du message:
Hoel a écrit:
Par curiosité, j'ai essayé de bipper le bas de l'illustration avec ma douchette : ça fait rien.
Il faut d'abord télécharger l'appli Lisez!, et scanner la couv (puis, au fur et à mesure de la lecture, les pages du livre marquées par un symbole "cloud") à partir de cette appli pour avoir accès aux contenus. _________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy
Le monde, demain, celui à notre porte. Rob Hart pousse légèrement le curseur temporel, à peine. Une société si proche que nous risquons fort de la connaître. Peut-on encore parler de dystopie alors que tout semble si crédible ?
Le monde qui est en marche
Dérèglement climatique, chaleur à crever, la montée des eaux qui change la cartographie. Voilà juste une partie des conditions qui vont amener cette évolution sociétale.
Les gouvernements exsangues et corrompus ont perdu leur pouvoir, ce sont les immenses entreprises qui mènent la danse et pilotent dorénavant notre civilisation (et ses citoyens). Du moins, une seule, en quasi-monopole : Cloud. Les descriptions vous font penser à Amazon ? C’est bien ce futur de l’ultra libéralisme et de la consommation de masse qui est décrit, celui du jetable (les produits comme les gens). Un futur bien présent.
MotherCloud est un vrai thriller d’anticipation, accessible à tous. En toute humilité, Rob Hart cite à plusieurs reprises ses références dans le livre, 1984, Fahrenheit 451, La Servante écarlate. Des romans qui brisent la frontière des genres littéraires et ont vocation à toucher un large public. Quand ambition rime avec accessibilité, sans jamais oublier le divertissement.
Oxygène vicié
Pas de propos complexes, une fluidité de narration constante, une vraie intrigue. L’univers de l’auteur suit la voie de la technologie et de l’économie, sans jamais perdre le lecteur dans des termes techniques. L’essentiel en est le résultat. Et comment le vivent les Hommes, et deux personnages principaux aux profils très différents mais qui vont s’unir par la force des choses.
Paxton, qui a vu sa petite entreprise mangée par l’immense Cloud. Zinnia, la « gentille » fille qui est en fait une espionne infiltrée. À ces deux protagonistes se rajoute Gibson Wells fondateur de la solution finale (expression à prendre au premier degré, ou non…).
Cloud fait vivre le monde, le fait travailler (beaucoup), manger (ce qu’il décide), dormir (quand il l’ordonne), s’amuser (à Pac-Man…). Cloud est l’oxygène du monde. Vicié, même si l’entreprise se targue de ses extraordinaires résultats en termes d’écologie…
Big business vs libertés
MotherCloud regorge d’une foultitude de bonnes idées. La meilleure est sans doute de donner la parole au patron de Cloud, à travers son blog. C’est particulièrement intelligent de le laisser s’exprimer sur son projet, d’expliquer comment il en est arrivé là et ce qu’il cherche à construire. Pour réfléchir à une situation, il faut l’ensemble des éléments et des avis.
Peut-on encore croire qu’il est possible de concilier le big business avec la liberté de penser ? Ce roman formidable aide, en tout cas, à réfléchir à cette situation et à sortir la tête du sable. Car cette société-là est déjà en marche et nous en sommes les acteurs au service de quelques « bâtisseurs ».
MotherCloud est aussi plausible que divertissant, aussi crédible qu’effrayant. Rob Hart a un talent rare, celui de raconter une histoire à message, tout à la fois terrible et réjouissante, prenante au possible. Il nous pousse à la réflexion en nous permettant de prendre un certain recul sur notre monde, avant qu’il ne soit trop tard.
À lire absolument par le plus grand nombre, quels que soient vos goûts littéraires ! Un indispensable de cette année.
À noter que le roman sera adapté au cinéma par Ron Howard (rien que ça).
PS : j’adore la couverture française, très bien vue et plus parlante que l’originale ! Et sympa la lecture augmentée (plan du site Cloud, vidéos…), via l’application « Lisez » !
_________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy
Posté le: Sam Mar 21, 2020 9:02 pm Sujet du message:
Je l'ai terminé hier et j'avoue avoir pris une petite claque. C'est un vrai coup de coeur.
Il ne m'a pas seulement redonné goût à la lecture en cette période difficile - où depuis plusieurs jours je n'avais plus vraiment envie ni de lire ni même de regarder des films ou des séries -, mais je l'ai dévoré quasiment d'une traite et l'ai terminé avec la double satisfaction d'avoir lu un roman captivant, certes, et donc très divertissant, mais aussi un livre instructif et - malheureusement - visionnaire à bien des égards.
Lorsque j'avais découvert son pitch en soumettant sa fiche sur PP, je l'avais directement précommandé tellement le résumé était à la fois accrocheur et prometteur, mais également ambitieux. Toutefois, comme souvent lorsqu'on a des attentes élevées à propos d'un roman, d'un film ou d'une série, j'avais aussi la crainte qu'il ne soit finalement pas à la hauteur. Ou qu'il s'agisse uniquement d'un bon thriller, divertissant certes mais pas vraiment à la hauteur du sujet et de ses ambitions.
Inquiétudes vite envolées heureusement et, dès les premières lignes, j'ai littéralement plongé dans ce récit aussi fascinant qu'effroyablement réaliste.
On en ressort secoué, avec l'envie de tout faire pour que ce monde non pas d'après-demain mais de demain ne puisse pas se concrétiser. Pour pouvoir empêcher le rouleau-compresseur qui s'est déjà déclenché depuis au moins une décennie de poursuivre son inexorable progression. Mais pour cela, il faudrait une prise de conscience massive et collective.
À découvrir et à lire absolument !
Quant à la recette du fameux CloudBurger, je vous laisse la découvrir par vous-même. Bon appétit !
PS 1 : Le livre est dédié « à Maria Fernandes ».
On en apprend plus à la fin des remerciements de l'auteur, où Rob Hart écrit : « Pour finir, un mot sur la personne à qui est dédié ce livre : Maria Fernandes travaillait à temps partiel sur trois sites différents de la chaîne Dunkin' Donuts dans le New Jersey et, en 2014, alors qu'elle s'était endormie dans sa voiture entre deux services, elle s'est accidentellement étouffée dans les émanations de gaz d'échappement. Elle peinait à réunir les 550 dollars mensuels que lui coûtait le loyer de son appartement en sous-sol. La même année, d'après le Boston Globe, le directeur général de Dunkin' Donuts, Nigel Travis, avait gagné 10, 2 millions de dollars. Plus qu'aucune autre, l'histoire de Maria est au coeur de ce livre. »
PS 2 : Enfin, en exergue de ce roman, on trouve cette citation de Benjamin Harrison, président des Etats-Unis, qui est ô combien toujours aussi actuelle et pertinente :
« J'ai pitié de l'homme qui souhaite avoir un manteau pour un prix si bas que celui ou celle qui fabriquera le tissu ou confectionnera le vêtement mourra de faim pour le satisfaire. »
Citation:
Quelques citations :
« - Tu avais tort.
- Quoi ?
- À propos des livres. Nous avons des exemplaires de "Fahrenheit 451". Nous avons "La Servante écarlate". Cloud ne les a pas censurés. C'est juste que personne ne les commande. Ils ne gardent pas en stock les produits dont les gens ne veulent pas. C'est juste... de la logique commerciale, en fait. C'est le marché qui décide.
Ember s'apprêta à rétorquer, mais se ravisa. Quel intérêt ? semblait-elle se dire.
- Je me doute que ça ne fait pas grande différence, que tu aies eu tort ou non, reprit Paxton. Ce qui est important, c'est que les gens n'écoutent pas. On ne censure pas le message, ce sont eux qui n'ont pas envie de savoir. »
« Ember soupira en s'approchant d'eux. « Laissez-moi vous raconter quelque chose à propos de Cloud. C'est nous qui les avons choisis. Nous qui leur avons donné le contrôle. Quand ils ont décidé de racheter les épiceries, nous les avons laissés faire. Quand ils ont décidé de faire main basse sur l'agriculture, nous les avons laissés faire. Quand ils ont décidé de s'emparer des médias, nous les avons laissés faire. Idem pour les fournisseurs d'accès à Internet, les compagnies de téléphonie mobile, nous les avons laissés faire. On nous avait répété que l'on paierait moins cher, parce que Cloud se soucie avant tout de ses clients. Que ses clients formaient une famille. Mais nous ne formons pas une famille. Nous sommes la pitance qu'avalent les grandes entreprises pour devenir encore plus grandes. La seule chose qui continuait à lui faire un peu d'ombre, c'étaient les gros détaillants pour centres commerciaux. Mais les Massacres du Black Friday sont survenus, et les gens ont eu peur de sortir de chez eux pour aller faire leurs courses. Vous croyez que c'était quoi, un accident ? Une coïncidence ? » »
« - C'est le marché qui décide. Ce que je veux dire, c'est que les Américains ont voté avec leurs portefeuilles, et accepté que l'on devienne leur principal point de vente. »
« - Pardon, c'est un sujet sur lequel j'ai tendance à m'emballer. Mais après tout, c'est logique. Saviez-vous qu'aujourd'hui nous fournissons plus de soins médicaux que les hôpitaux ? Ou qu'il y a plus d'enfants inscrits dans les écoles Cloud que dans les écoles normales ? Bon sang, même la CIA stocke ses données sur nos serveurs. Cette nouvelle étape est finalement logique. »
Parce qu'en cette période de confinement on a plus de temps, je vous conseille vivement de visionner ce documentaire aussi passionnant qu'édifiant, si vous ne l'avez pas encore vu. Il vous montrera à quel point nous sommes proches du monde décrit dans MotherCloud...
_________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy
Dernière édition par norbert le Dim Mar 22, 2020 7:35 am; édité 2 fois
Posté le: Sam Mar 21, 2020 9:10 pm Sujet du message:
Bon, tu vas nous le copier cet avis sur Polars Pourpres agrémenté d'un 10/10 Norberounet ? _________________ La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003).
Posté le: Sam Mar 21, 2020 9:26 pm Sujet du message:
Le Juge Wargrave a écrit:
Bon, tu vas nous le copier cet avis sur Polars Pourpres agrémenté d'un 10/10 Norberounet ?
10/10, ça veut dire chef-d'oeuvre, donc quand même pas, mais un bon 9/10, c'est sûr. Mais je vais essayer d'écrire autre chose de plus complet parce qu'il y a pas mal de choses à dire sur ce bouquin. Là c'était juste un premier avis à chaud que je voulais partager pour "passer le message", mais je ne le trouve pas terrible...
PS : Et matez le documentaire, il est excellent ! _________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy
Posté le: Ven Mai 08, 2020 11:11 am Sujet du message:
Jetez-vous sur ce livre dès la réouverture des librairies la semaine prochaine, vous ne serez pas déçus ! L'ambiance glaçante et addictive d'un thriller, alliée à une critique d'une pertinence inouïe de nos sociétés consuméristes digne d'un roman noir. *
Je partage ici le vote d'Ironheart sur PP et son 8/10 :
Citation:
L'effondrement a eu lieu : réchauffement climatique, chômage dramatique, violentes tensions sociales...
Heureusement, le génial Gibson Wells a crée les structures MotherCloud, reines du commerce en ligne, qui accueillent leurs salariés dans des conditions idéales...ou pas.
Des cars remplis de gens désespérés se déversent régulièrement dans les centres de recrutement MotherCloud pour tenter de décrocher un job dans ces mini-villes protégées et climatisées où vous mangez "MotherCloud", dormez "MotherCloud" et surtout travaillez "MotherCloud".
Zinnia et Paxton ont la chance (ou pas) d'être embauchés dans un de ces "paradis terrestres" et on découvre aux travers de leurs yeux le mode de fonctionnement édifiant de ces super complexes autonomes, temples de la société de consommation. Le récit est ponctué par les mémoires de Gibson Wells, le fondateur de l'entreprise. S'éteignant petit à petit d'un cancer, il nous explique la genèse de ses MotherCloud, vante leurs mérites et justifie ses méthodes de management.
La narration est froide, clinique et répétitive comme pour faire écho à ce que vivent les personnages au quotidien. Elle est peu génératrice d'émotion mais je crois que c'est un choix assumé de Rob Hart pour être en cohérence avec la déshumanisation de son propos. Cependant, c'est un aspect du roman qui m'a gênée.
Dans cette oeuvre semi post-apocalyptique, pas de zombies, de virus ou de luttes acharnées pour la survie. Pour autant, le récit est glaçant car tellement plus réaliste et proche de ce que nous pourrions vivre...
A noter les petits clins d'oeil sympathiques de l'auteur envers certains confrères ayant écrit des dystopies (Margaret Atwood, Ray Bradbury ou George Orwell).
Au fait, toute ressemblance avec ce qui doit se passer chez Amazon ou Google n'est absolument pas fortuite...
8/10
* Hoel, il faut que tu le lises, bon sang ! _________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy
Age: 36 Inscrit le: 06 Oct 2005 Messages: 11460 Localisation: Au bout du monde
Posté le: Ven Mai 08, 2020 11:34 am Sujet du message:
Je ne le lirai pas avant de voir ton vote sur Polars Pourpres. _________________ Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire... J'ai la certitude d'être encore heureux.
Jules Renard (1864-1910)
Posté le: Ven Mai 08, 2020 6:37 pm Sujet du message:
Je l’ai en e.book, il faut que je le lise aussi. Dépêche toi de voter Norbert ! _________________ La seule chose que l'on puisse décider est quoi faire du temps qui nous est imparti - JRR Tolkien
Posté le: Ven Mai 08, 2020 8:10 pm Sujet du message:
charlice a écrit:
Moi j'ai retenu le ''Norberounet""
Arf, tu ne connais pas notre histoire commune avec Norberounet... il s'en est passé des choses en plus de 7 ans... _________________ La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003).
Posté le: Sam Mai 09, 2020 3:52 pm Sujet du message:
Le Juge Wargrave a écrit:
charlice a écrit:
Moi j'ai retenu le ''Norberounet""
Arf, tu ne connais pas notre histoire commune avec Norberounet... il s'en est passé des choses en plus de 7 ans...
@ Hoel : J'avais voté, mais la bande de hackers qui sévit sur PP a immédiatement supprimé mon vote et mon commentaire. Ces djeuns n'ont plus aucun respect, décidément.. _________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy
Age: 36 Inscrit le: 06 Oct 2005 Messages: 11460 Localisation: Au bout du monde
Posté le: Sam Mai 09, 2020 3:54 pm Sujet du message:
Si tu votes pas, je lirai tous les Le Denmat avant MotherCloud. _________________ Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire... J'ai la certitude d'être encore heureux.
Jules Renard (1864-1910)
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