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Mourir, la belle affaire - Alfredo Noriega (Ombres Noires)

 
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norbert
Serial killer : Hannibal Lecter


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Le Serment des Limbes

MessagePosté le: Jeu Oct 24, 2013 6:32 pm    Sujet du message: Mourir, la belle affaire - Alfredo Noriega (Ombres Noires) Répondre en citant

Les excellentes éditions Ombres Noires viennent juste de publier Mourir, la belle affaire de Alfredo Noriega, le premier polar équatorien traduit en France !





Le Livre :

Arturo Fernandez, médecin légiste de Quito, superpose aux éléments d’une enquête les destins des individus condamnés à passer entre ses mains. Sur fond de ville déchirée par un relief chaotique, le premier polar équatorien publié en France, bat au rythme de vies qui s’entrecroisent.

Équateur, Quito, 2850 mètres d’altitude. Une Subaru est percutée par une Cherokee. Dans la Subaru, deux morts et une survivante, María del Carmen. A l’arrivée de la police, la jeune fille, encore sous le choc, promet à l’inspecteur Heriberto Gonzaga de l’épouser s’il retrouve les coupables. Mais à Quito, les accidents de la route sont légions et l’affaire est vite classée. Quelques mois plus tard, rongée par la culpabilité d’avoir survécu, María del Carmen se jette du haut d’une falaise. En découvrant son corps, Heriberto se souvient de sa promesse et reprend l’affaire. Il découvre que le dossier a été étouffé…

Tout en maniant le scalpel, Arturo Fernandez, observateur mélancolique et subtil, raconte l’histoire de María del Carmen et Heriberto, mais aussi celle des habitants anonymes d’une cité entourée de volcans, fragilement bâtie sur des collines sillonnées de ravins. L’enquête et tous ces récits peu à peu s’entrecroisent et construisent le tableau d’une ville violente, indifférente, passive devant l’injustice sociale, le destin et l’acharnement de la nature. Un lieu où la mort est quotidienne et sans autres conséquences qu’intimes pour ceux qu’elle frappe.


L'auteur :

Alfredo Noriega est né en 1962. Il vit à Paris depuis 1985, où il donne des cours d’espagnol et de théâtre dans une école de commerce. En Espagne, il a publié plusieurs manuels de langue. Il écrit de la poésie et est l’auteur de plusieurs romans dont « De que nada se sabe » adapté au cinéma en Équateur. Son roman Mourir, la belle affaire paraîtra chez Ombres Noires le 23 octobre 2013.


>> Découvrez les premières pages du roman en cliquant ici


>> Plus d'infos : www.ombres-noires.com
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Dernière édition par norbert le Jeu Oct 24, 2013 8:33 pm; édité 1 fois
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Nico
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MessagePosté le: Jeu Oct 24, 2013 7:21 pm    Sujet du message: Répondre en citant


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norbert
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MessagePosté le: Mar Nov 05, 2013 7:03 am    Sujet du message: Répondre en citant

>> La chronique de Claude Le Nocher sur son blog Action-Suspence

Citation:
[...]

Parce que c'est un roman insolite, il mérite d'être découvert par un large public.

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Nico
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MessagePosté le: Ven Nov 15, 2013 9:24 am    Sujet du message: Répondre en citant

Merci à Ombres Noires pour ce beau concours avec 5 exemplaires du roman à gagner jusqu'au 30 novembre :
http://polars.pourpres.net/?act=concours&obj=form&concours=mourir


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norbert
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MessagePosté le: Lun Déc 23, 2013 10:50 am    Sujet du message: Répondre en citant

Les gagnants du concours organisé par PP et Ombres Noires, ainsi que les autres bien sûr, pourront rencontrer Alfredo Noriega aux prochains Quais du Polar !



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Le Juge Wargrave
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MessagePosté le: Mar Fév 25, 2014 8:18 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ce n'est pas pour parler du roman que j'écris ici mais pour dire que j'aime beaucoup le format choisi par Ombres Noires. J'ai fait un tour sur leur catalogue, assez peu fourni pour l'instant.

Quelqu'un en sait-il un peu plus sur cette maison d'édition ?
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norbert
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MessagePosté le: Mer Fév 26, 2014 9:29 am    Sujet du message: Répondre en citant

Le Juge Wargrave a écrit:
Ce n'est pas pour parler du roman que j'écris ici mais pour dire que j'aime beaucoup le format choisi par Ombres Noires. J'ai fait un tour sur leur catalogue, assez peu fourni pour l'instant.

Quelqu'un en sait-il un peu plus sur cette maison d'édition ?


Quand tu parles de format, c'est au premier sens du terme (la dimension des livres, ni trop grands ni trop petits) ? C'est vrai que j'aime bien, les livres de feu la collection La Cosmopolite Noire de Stock avaient adopté le même, d'ailleurs.

Pour Ombres Noires, c'est une maison d'éditions qui a été fondée par Nelly Bernard, connue pour son exigence éditoriale et littéraire, mais qui dépendait du groupe Flammarion. Comme Nelly Bernard l'avait expliqué dans son entretien paru dans le magazine Alibi n°8 d'automne 2012, elle avait tout de même des objectifs commerciaux, Flammarion espérant par exemple que se dégagent deux ou trois locomotives la première année par exemple (ce qui, avec du recul, est énorme, d'autant plus que dès le départ, pour ne pas inonder les librairies, il avait été convenu d'un rythme de publication de 6 à 8 titres seulement par an !).

Bref, des pépites ou de très bons romans ont été édités, comme Utopia de Ahmed Khaled Towfik - dont on peut se demander par qui d'autre (hormis peut-être François Guérif) il aurait pu être publié en France... -, ceux de Rogelio Guedea, Mike Nicol et le très beau Monstres à l'état pur, porté par l'écriture magnifique de Miguel Angel Molfino.
Nelly Bernard a démissionné l'automne dernier, après s'être énormément investie dans son "bébé", certainement à la suite des considérations bassement commerciales venues de Flammarion qui a du exiger d'elle une modification de la ligne éditoriale, plus commerciale, ce qu'elle a naturellement dû refuser.
Les deux romans parus cet automne - pour lesquels elle s'était adjoint les conseils de Sébastien Rutès, spécialiste de littérature sud-américaine - et celui de Marin Ledun en début d'année ont été édités sous sa direction, et elle a été remplacée en début d'année par Caroline Lamoulie, responsable éditoriale chez J'ai Lu (poste qu'elle conserve en parallèle), sous la direction d'Anna Pavlowitch, directrice de J'ai Lu (le label poche de Flammarion).

Cette année 2014, il n'y aura donc pas eu de publications chez Ombres Noires entre le roman de Marin Ledun en janvier, et un roman sur lequel la nouvelle direction d'Ombres Noires mise beaucoup, Entre ennemis de l'Allemand Georg M. Oswald, prévu lui pour fin avril...
Il y aura heureusement la publication (sans doute à la rentrée) de la suite de la trilogie "Vengeance" du Sud-Africain Mike Nicol, après La Dette paru l'an dernier.
Le reste des nouveautés seront connues en temps voulus. Wink

Toujours est-il que je regrette grandement que Flammarion n'ait pas laissé les 2 années de "liberté éditoriale" à Nelly Bernard comme ça avait été prévu dès le départ, car Ombres Noires apportait une nouvelle offre, variée, audacieuse et de qualité, ainsi qu'un nouveau souffle dans le domaine du polar.

Heureusement, Asphalte, petite maison indépendante, reste bel et bien là dans le paysage éditorial pour apporter sa touche de fraîcheur, son talent de défricheur et son lot de pépites littéraires (même si toutes ne sont pas des romans noirs) ! Very Happy
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Le Juge Wargrave
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MessagePosté le: Mer Fév 26, 2014 10:24 am    Sujet du message: Répondre en citant

norbert a écrit:
[
Quand tu parles de format, c'est au premier sens du terme (la dimension des livres, ni trop grands ni trop petits) ?


Oui.

Merci pour toutes ces précisions.
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norbert
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Le Serment des Limbes

MessagePosté le: Dim Juin 21, 2015 7:47 pm    Sujet du message: Répondre en citant

La roman d'Alfredo Noriega vient de sortir en poche chez J'ai Lu :





>> La chronique de Claude Le Nocher sur son blog Action-Suspense :

Citation:


Les rééditions en format poche offrent l'opportunité de découvrir des titres que l'on a pu négliger à leur parution initiale.
C'est probablement le cas de “Mourir, la belle affaire”.
Inhabituelle et déstabilisante histoire dans un décor fort peu familier, un inclassable, “hors normes” à tous égards.
Polar noir ou roman sociétal, difficile de se prononcer car l'intrigue ne se dévoile qu'à travers un chassé-croisé nocturne et brumeux.
C'est ce qui donne sa tonalité particulière, et rapidement fascinante, à cette intrigue…



Quito, capitale de l'Équateur, altitude 2850 mètres, une agglomération de deux millions et demi d'habitants.
À l'ombre du volcan Guagua Pichincha, la vieille cité coloniale côtoie la ville moderne, issue d'un essor urbain labyrinthique et anarchique. L'Équateur, un pays latin conjuguant foi et violence.

“Les lascars avaient déjà pris la fuite, la police arrivait, ainsi qu'une ambulance. La rue où habitait Heriberto Gonzaga S'était remplie du spectacle qu'engendre la violence dans une ville née pour prier.”

Ici, règles et lois sont des notions approximatives, puisque la mort fait pleinement partie du quotidien…
Un accident de la route cause les décès de Julio et Marianna.
Leur amie Maria de Carmen Sosa s'en sort, non sans séquelles psychologiques.
Le conducteur du 4x4 qui a heurté leur voiture pourrie s'est enfuit sans attendre.
Pendant deux ans, nul ne cherche à l'identifier.

Quand survient le suicide de Maria de Carmen, le policier Heriberto Gonzaga vérifie que l'enquête fut bâclée.
Il se sent impuissant.
Pourtant, en secouant un épicier qui fut témoin de l'accident, Heriberto trouve une piste.
Le chauffard serait l'architecte Ortiz, sans doute impliqué dans des affaires de blanchiment.
Le policier l'abat sans hésiter et lui vole son nouveau 4x4.
Le défunt Ortiz a une fille de dix-huit ans, Paulina.
Pas insensible, Heriberto la prend en filature tandis qu'elle visite des églises.
À l'inverse de son oncle et de sa mère, Paulina n'éprouve aucun esprit de vengeance.

Le légiste Arturo Fernadez est braqué par trois sbires à la solde des Ortiz, qui cherchent Heriberto Gonzaga.
S'ils épargnent la grand-mère du policier, ils tuent le chauffeur du taxi transportant dans la nuit Paulina et Heriberto.
Ainsi s'acheva la vie singulière de Devoto Santos, qui se paya son taxi de curieuse façon.
Le père du brigadier Segundo Cifuentes étant autopsié après un arrêt cardiaque en voiture, c'est ainsi qu'il fait connaissance du légiste Arturo.
Consultant le rapport médical sur l'accident causé par Ortiz, il espère relancer l'affaire.
Tandis que Heriberto navigue toujours dans la métropole quiténienne, avec ou sans Paulina, le légiste rencontre la grand-mère du policier. Cifuentes et lui poursuivent une enquête qui a peu de chances d'aboutir…



“Voilà comment est la nuit, sans trêve ni compassion, uniquement soumise au destin. Heriberto la regarde, le visage envahi par l'absurde ; tous deux sont épuisés, crasseux et morts de faim. Depuis un bon bout de temps, ils n'arrivent pas à comprendre, ne serait-ce que cela, pourquoi ils sont ensemble.”

Paulina et le policier, couple hautement improbable, en effet.
Dès que l'on adopte un certain fatalisme des habitants de Quito, on se sent à leurs côtés dans ces tribulations équatoriennes.
Ce qui apparaît déroutant, peut-être, c'est qu'aucun d'eux ne cherche vraiment d'explication, ni de vérité.
Comme si la torpeur valait mieux que la réalité.
On vous répond facilement “Et...?” dans le sens de “Qu'est-ce que ça peut me faire ?”
Ambiance éloignée de nos critères occidentaux : il faut prendre le temps d'y adhérer.
L'auteur s'attarde sur des personnages au parcours gratiné.
Tels le chauffeur de taxi Devoto Santos, ou l'attachante aïeule du policier Gonzaga.
Parce que c'est un roman insolite, il mérite un large public.


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