- En lançant Louis sur les traces de son père, Böhm se doutait que cette enquête allait mener à une haine immense de Louis pour son monstre de père. Haine qui pourrait le conduire au parricide et donc accomplir le désir de vengeance de Böhm. Bon, il faut avouer que c'est tiré par les cheveux parce qu'il y a quand même une chance sur 100 que le fait de suivre les cigognes amène Louis à son père !
- Le frère de Louis, Frédéric, meurt parce que sa mère ne vient pas le voir "
il [Djuric]
avait ensuite découvert Frédéric, mon frère, qui avait succombé dans ses bras en appelant sa mère." (p.374 de mon édition de poche) Il sent peut-être qu'il est arrivé quelque chose de grave à sa mère, ne connaît pas ce type qui est là à son réveil, bref trop de choses nouvelles, le coeur, très fragile (suite à la récente transplantation) lâche. C'est comme cela que je comprends la mort de Frédéric. Par contre, là où je suis d'accord avec toi, c'est sur la très très faible probabilité d'arriver à vivre en changeant de coeur tous les ans, surtout dans les années 70-80 début des années 90 ! Là c'est hyper tiré par les cheveux !
- Oui il est possible que l'épouse de Pierre Sénicier lui ait confié cela dans ses lettres.
- Pour la violence de Pierre Sénicier, j'ai répondu dans un autre topic intitulé "Pourquoi tant de violence ?".
- Il pousse son fils Frédéric au suicide pour ensuite le sauver et ainsi passer pour le héros. C'est hyper tordu comme raisonnement, mais en phase avec le cerveau malade de Pierre Sénicier.
- Pour ce dernier point, faut demander directement à l'auteur !
Je suis comme toi, je n'ai pas été convaincu par les scènes d'amour.