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Les Assassins de la 5e B - Kanae Minato (Seuil)
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norbert
Serial killer : Hannibal Lecter


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Le Serment des Limbes

MessagePosté le: Lun Mai 11, 2015 2:00 pm    Sujet du message: Les Assassins de la 5e B - Kanae Minato (Seuil) Répondre en citant

Véritable best-seller au Japon puis aux USA où il fut considéré comme l'un des meilleurs thrillers psychologiques de l'année, Les Assassins de la 5e B de Kanae Minato vient de paraître au Seuil Policiers, traduit du japonais par Patrick Honnoré.






Le livre :

Moriguchi Manami, 4 ans, est retrouvée noyée dans la piscine du collège où enseigne sa mère.
Un mois plus tard, lors de son discours d'adieu à sa classe de 5e B, Mme Moriguchi accuse deux élèves d'avoir tué sa fille et leur annonce sa vengeance.
À cette première intervention succèdent celles de la déléguée de classe, sous forme d'une lettre adressée à l'enseignante ; de la mère de l'un des deux meurtriers, au travers de son journal intime ; de l'adolescent lui-même, qui a des visions en flash-back de sa petite enfance traumatisante ; de l'autre coupable, qui se vante sur son site Internet de ses géniales inventions scientifiques.
La dernière intervention est un coup de téléphone de Mme Moriguchi à Watanabe.
Quelle sera donc la terrible vengeance de Mme Moriguchi ?

Dans ce roman construit avec virtuosité, le suspense est maintenu jusqu'au bout, quand les différentes pièces s'assemblent pour dévoiler une machination glaçante. Malgré les différences culturelles, le thème évoque Crime, de Meyer Levin, qui avait fait sensation en son temps.



L'auteur :

Née en 1973 dans le département d'Hiroshima, Kanae Minato a d'abord écrit des séries pour la télévision et la radio.
Les Assassins de la 5e B (Kokuhahu), son premier roman, a été un best-seller au Japon lors de sa publication et a remporté le Japanese Booksellers Award 2009.
Publié aux Etats-Unis en 2014 sous le titre Confessions, il a figuré parmi la liste des 10 meilleurs polars de 2014 du Wall Street Journal et a été récompensé par le Alex Award en 2015.
Parmi ses cinq romans suivants figure Shokuzai, dont l'adaptation pour le cinéma par Kiyoshi Kurosawa a connu un certain succès lors de sa sortie en France en mai 2013.



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Dernière édition par norbert le Jeu Juin 04, 2015 7:15 am; édité 1 fois
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Ssarlotte
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MessagePosté le: Lun Mai 11, 2015 6:48 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Le résumé me plaît bien, le scénario a l'air original.
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Le Juge Wargrave
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MessagePosté le: Lun Mai 11, 2015 6:49 pm    Sujet du message: Répondre en citant

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norbert
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Le Serment des Limbes

MessagePosté le: Mar Mai 12, 2015 5:50 am    Sujet du message: Répondre en citant

Il paraît qu'il est excellent, celui-là, le pitch me plaît trop en plus.
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norbert
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Le Serment des Limbes

MessagePosté le: Sam Mai 16, 2015 10:05 am    Sujet du message: Répondre en citant

>> La chronique du blog Le Vent sombre :

Citation:


Il serait fort dommage que Les Assassins de la 5e B ne trouve pas son public, dans la cohue accompagnant habituellement la sortie des grosses machines éditoriales de l'été.

Intelligente, labyrinthique et retorse histoire de vengeance, le roman de Minato Kanae a contre lui d'être très japonais.
Cruel, offrant en arrière-plan une critique vive et amère de certains aspects de la vie nipponne, Les Assassins de la 5e B adopte une construction à la Rashômon [1], la même histoire – ou certains de ses éléments – se voyant répétée, seule changeant la perception qu'en a le protagoniste.
Ceci est assez éloigné des habitudes d'un lectorat gavé de linéarités amerlocaines ou d'ouvrages s'en inspirant, alors que le procédé permet d'éclairer dynamiquement la personnalité de chaque acteur du drame et, surtout, les raisons de ses agissements meurtriers ou complices.

Lors de son discours de démission – qui est aussi l'occasion d'une remise en cause, tant des principes éducatifs que de la conception de la normalité dans l'Archipel [2] –, Moriguchi Yukô révèle donc à ses élèves que la mort de sa petite Manami n'est pas un accident comme l'a conclu la police, mais bien un meurtre prémédité par deux élèves, présents dans la salle de classe.
Sans les nommer, elle en fait une description si exacte qu'aucun doute n'est permis sur leur identité.
Dans cette société si normée, cette stigmatisation à venir est le premier étage de cette vengeance en marche.
Spoiler:
Le second, plus définitif, mais aussi reculé dans le temps, est l'annonce de la contamination des coupables par le virus du sida, dont était porteur le père de l'enfant.


Pouvant paraître artificielle, cette confession/mise en cause n'est pas seulement riche du poison qu'elle vient d'instiller dans l'esprit de ces collégiens.
Minato Kanae pose dès le départ la question de la violence de certains jeunes Japonais.
De quoi cette facilité à tuer, et sans remords, est-elle la faillite ?
Du système éducatif ? Des parents ?
De dispositions pénales qui ne reconnaissent qu'une vague responsabilité aux mineurs meurtriers ?
Du goût effréné de médias omniprésents et racoleurs pour ce genre d'affaires ?

Les Assassins de la 5e B ne désigne a priori aucun responsable, mais Minato Kanae construit son roman en mettant en scène plusieurs approches de l'enseignement et, surtout, en envisageant des situations familiales très différentes pour les deux criminels, dans lesquelles nous sommes appelés à fouiller.

La seconde partie, Martyre, sert de transition durant laquelle Mizuki, la déléguée de classe, fait le point sur les effets dévastateurs des révélations de la démissionnaire.
L'un des élèves, Shimomura Naoki, se terre chez lui tandis que l'autre, Watanabe Shûya, subit stoïquement les vexations puis la violence moutonnière de ses condisciples.
Le nouveau et débutant professeur principal, sûr de lui et de ses pratiques, est incapable d'appréhender correctement et sereinement la situation.

Les deux parties suivantes, L'amour infini d'une mère et La recherche de la Voie, vont s'intéresser à la famille Shimomura, ou du moins ce qu'il en reste : une mère et un fils unis dans une solitude mortifère.
Bourrée de préjugés, cette femme qui représente la tradition n'a fait qu'appliquer dans sa cellule familiale ce qui avait réussi chez ses parents : tout pour le garçon – son frère a fait une grande carrière à l'international et possède une famille unie et heureuse – et, pour elle (et ensuite ses filles), de quoi devenir une gentille épouse et maîtresse d'un intérieur que son mari a soin, depuis longtemps, d'éviter.

Naoki devait donc être le chef d'œuvre, l'accomplissement ultime de cette vie dédiée aux autres, validant en retour sa propre existence.
Minato Kanae dit des choses passionnantes et justes autour du déni qui habite Mme Shimomura, ce souci de ne pas perdre la face qui se désagrège à mesure qu'elle avance dans sa confession et qui semble finalement plus important que l'affection étouffante qu'elle porte à son enfant.

La parole hallucinée de Naoki qui vient ensuite montrer les ravages de cet amour et de ces attentes disproportionnées auxquels il n'a pu répondre, la faible estime de soi et l'isolement social qu'ils ont entraînés, l'envie nourrie de colère, de violence, envers ceux qui semblaient posséder ce qui lui manquait.
Ce garçon qui s'enfonce dans une certaine forme de folie dit avec beaucoup de clairvoyance cette dépendance aux autres, à leur regard, à leur estime, qui l'ont précipité dans les traces de Watanabe et de son projet criminel.

Le croyant, la cinquième partie des Assassins de la 5e B, est le long monologue du second meurtrier.
Élève brillant, sûr de lui, arrogant, dominateur, il fut abandonné par la seule personne qui comptait.
Cette mère (moderne ?) qui déversait sur lui sa haine du monde, alternant coups et caresses, insultes et excuses, a repris sa liberté alors qu'il avait neuf ans.
Elle est devenue un rêve, une déesse inaccessible, son unique médiateur vers le réel.
Comme Shimomura Naoki, qu'il méprise et utilise, Watanabe Shûya ne peut exister sans le regard de cette autre, mais toute sa personnalité a été pervertie par la nécessité de dissimuler cette vérité première, l'estime très complaisante qu'il a pour lui-même, sa lâcheté essentielle [3].

Le projet de la romancière est circulaire et la dernière partie – La Prédicatrice – consacre le retour de Moriguchi Yukô et de sa vengeance.
L'ancienne professeure n'a jamais été très loin des événements racontés tout au long des Assassins de la 5e B et la façon dont elle obtient justice est l'un des nombreux retournements qui font, avec cette intense réflexion sur la culpabilité et la violence, la force et l'intérêt de cet excellent récit.



Notes :

[1] D'après le Rashômon de Kurozawa Akira, l'un des plus beaux films du monde, qui adaptait deux nouvelles d'Akutagawa Ryûnosuke. C'est le second de ces récits, Dans le fourré, qui est construit sur la relation divergente d'un même événement par ceux y ayant, de près ou de loin, participé, révélant du même coup au lecteur leur véritable nature.

Le titre japonais du roman, Kokuhaku (告白), qui signifie confessions est beaucoup plus parlant et correspond mieux à cette ronde. À noter que la première partie, la confession du professeure Moriguchi, avait été lauréate du principal concours de nouvelles criminelles du pays en 2007.

[2]
Spoiler:
Le père de l'enfant est séropositif et n'a donc pas accepté d'épouser Yukô pour ne pas condamner aux yeux du monde sa future progéniture. Du coup c'est Yukô qui a porté le fardeau d'être une fille-mère. La troisième partie qui donne la parole à Mme Shimomura montre ce que la société nippone pense de ces mères sans maris...


[3] Elle rejoint là, en partie, les observation de Murakami Ryû dans Chansons populaires de l'ère Showa et la lecture plus métaphysique qu'il en a fait dans Miso Soup. Kirino Natsuo a également abordé ces questions de violences juvéniles, d'abord dans l'extraordinaire Monstrueux où le jeu de l'envie et la quête de l'identité sont parfaitement décryptés. Également dans Le vrai monde, où elle explore la fascination de la jeunesse japonaise pour la mort.



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Ssarlotte
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MessagePosté le: Sam Mai 16, 2015 11:29 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Suggéré à la bibli.
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norbert
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MessagePosté le: Dim Mai 31, 2015 3:41 pm    Sujet du message: Répondre en citant

>> La chronique de Bob Polar sur son blog Bob Polar Express :

Citation:

DU SANG DANS LE LAIT

Introduction : Afin de maintenir un minimum de qualité et de déontologie à ce blog, je me suis permis de censurer les propos de Penny.
Je ne suis pas coutumier de ces méthodes expéditives mais je ne pouvais pas lui laisser dire en introduction de son intervention que ce roman est nippon ni mauvais.


C'est la fin de l'année scolaire, Mme le professeur va quitter le collège.
Sa fille Manami est décédée un mois plus tôt.
Ainsi Moriguchi Yukô se tient devant ses élèves et évoque son parcours, sa vision de l'éducation et révèle les noms des deux assassins qui se trouvent dans la classe.
Sa sanction est prononcée et va atteindre son paroxysme à la toute dernière page.

Vont ainsi intervenir tour à tour dans le récit : la mère vengeresse, la déléguée de classe, la sœur puis la mère de Naoki (l'un des élèves accusés), Naoki et Shûya (l'autre accusé).
La prof annonce deux informations ahurissantes – la seconde étant la contamination - qui sont le point de départ d'une incursion dans les méandres de cette histoire très douloureuse.
Ensuite la déléguée résume la situation en décrivant les réactions des protagonistes.
Puis notre regard va se tourner sur la mère de Naoki qui couve son fils comme il se doit dans les coutumes, une hyper-attention et une fausse conviction – qui n'est qu'illusoire - dont on devine les effets destructeurs. C'est ainsi que l'on découvre un Naoki torturé qui nourrit son désir de violence et c'est avec Shûya que se termine les interventions.
Ce dernier est pétri de cynisme et de narcissisme mais esseulé et accablé par la fuite de sa mère et sa relation ambivalente.


S’il m’a été donné de découvrir des œuvres plutôt variées depuis (si peu de temps) que je musarde dans le polar, avec ce récit d’une auteure japonaise, j’avoue avoir été surpris tout d’abord, puis légèrement décontenancé et pour finir tout à fait conquis.

La structure est peu commune puisque l’on va entrer dans l’intimité des personnages principaux à travers leurs propres interventions (écrites, contées ou diffusées sur le Net) et suivre l’évolution de cette affaire au gré de leurs informations personnelles.
Il va de soi qu’elles sont divergentes et c’est le moteur de ce roman.
Le trouble s'insinue puis les interrogations affluent alors que l'on se hasarde à discerner certains dérèglements de la communauté nippone avec notamment la violence de sa jeunesse.

Sous la surface de ce thème sociétal étonnamment mis en évidence, l'auteure parvient à construire une intrigue en distillant une tension presque impalpable par le jeu des états d'âme et des comportements des acteurs – Moriguchi Yukô est-elle à l'affût ? Se délecte-t-elle des affres des deux assassins et comment vont-ils assumer leur destin ? –, avec un final digne des meilleurs thrillers.

Kanae Minato - une auteure dont on attend les prochaines publications - nous offre un roman inventif, profond et troublant.
Il parait que le soleil se lève chez eux aussi j’en déduis qu’ils ont un métro d’avance sur nous et il est indéniable que « Les Assassins de la 5e B » devrait devenir un objet littéraire de consommation courante tant la qualité est au rendez-vous.


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Ssarlotte
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MessagePosté le: Dim Mai 31, 2015 3:43 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Cette chronique confirme mon envie de lire cet ouvrage.
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norbert
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MessagePosté le: Dim Mai 31, 2015 3:47 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ssarlotte a écrit:
Cette chronique confirme mon envie de lire cet ouvrage.


Et moi donc...
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MessagePosté le: Dim Mai 31, 2015 3:59 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Tu vas te le prendre ?
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norbert
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MessagePosté le: Dim Mai 31, 2015 4:33 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Oui, clairement. Wink
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MessagePosté le: Dim Mai 31, 2015 4:40 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Laughing
Norbert, il faudrait VRAIMENT que tu prennes en photo ta bibli, ça me ferait trop plaisir ! Laughing
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MessagePosté le: Dim Mai 31, 2015 4:47 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Mais je t'ai dit, ce n'est malheureusement pas une bibliothèque, juste une pièce avec quelques rares étagères de livres, remplie de cartons de livres !... Laughing
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MessagePosté le: Dim Mai 31, 2015 4:48 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Oui justement, c'est ça qui est intéressant Laughing
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MessagePosté le: Dim Mai 31, 2015 4:52 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Non, non, j'aurais honte en plus, c'est tellement le boxon... Rolling Eyes Wink

[Fin du HS]
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