Jean-Christophe Grangé — Polars Pourpres Index du Forum Jean-Christophe Grangé — Polars Pourpres
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Polars Pourpres

Betty, d'Arnaldur Indridason
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Dodger
Serial killer : Leland Beaumont


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Les Rivières Pourpres

MessagePosté le: Ven Nov 25, 2011 8:59 pm    Sujet du message: Betty, d'Arnaldur Indridason Répondre en citant

Comme j'ai été assez longtemps éloigné du forum, je l'ai peut-être manqué, mais il ne me semble pas avoir lu de sujet sur Betty, le nouveau roman d'Arnaldur Indridason...
Pourtant, il mérite carrément plus qu'un coup d'oeil. C'est peu de dire qu'il m'a bluffé, en fait !

Mon avis sur PP (9/10):

Quand Indridason met Erlendur, son héros policier habituel, entre parenthèses, c'est pour écrire une tuerie qui s'appelle Betty. Cette histoire mettant en scène une femme obsédante, fascinante - donc forcément fatale - est déjà en soi un très bon roman noir, dans les règles de l'art. Mais Indridason va plus loin et dépasse les codes du genre en nous flanquant une surprise mémorable. Dire plus serait criminel... Mais que vous soyez amateur ou non du romancier islandais, foncez, c'est du très très bon !
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"Il faut donc avoir de l'âme pour avoir du goût." (Vauvenargues)
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Fredo
Michael Myers


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Le Vol des Cigognes

MessagePosté le: Ven Nov 25, 2011 10:23 pm    Sujet du message: Répondre en citant



Au cas où, je met le résumé en spoiler :
Spoiler:
Dans ma cellule je pense à elle, Bettý, si belle, si libre, qui s’avançait vers moi à ce colloque pour
me dire son admiration pour ma conférence. Qui aurait pu lui résister. Ensuite, que s’est-il passé ?
Je n’avais pas envie de ce travail, de cette relation. J'aurais dû voir les signaux de danger. J'aurais
dû comprendre bien plus tôt ce qui se passait. J'aurais dû… J'aurais dû… J'aurais dû…
Maintenant son mari a été assassiné et c’est moi qu’on accuse. La police ne cherche pas d’autre
coupable. Je me remémore toute notre histoire depuis le premier regard et lentement je découvre
comment ma culpabilité est indiscutable, mais je sais que je ne suis pas coupable.

Un roman noir écrit avant la série qui fit connaître le commissaire Erlendur.

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voxac30
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La Ligne Noire

MessagePosté le: Sam Nov 26, 2011 6:57 am    Sujet du message: Répondre en citant

Je confirme un petit bijou Very Happy ...
ici pas d'enquêteur chouchou qu' Indridason nous réserve à chacun de ces livres. c'est un roman bien noir, machiavélique à souhait. Une manipulation poussée à l'extreme. Manipulé, le lecteur l'ai auss,i avec une grosse surprise après une centaine de pages .
J'ai bien aimé ce roman noir .....
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Dodger
Serial killer : Leland Beaumont


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Les Rivières Pourpres

MessagePosté le: Sam Nov 26, 2011 12:53 pm    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai oublié :


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Ironheart
Annie Wilkes


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Les Rivières Pourpres

MessagePosté le: Dim Nov 27, 2011 9:19 am    Sujet du message: Répondre en citant

Ecrit en 2003 ? Shocked

Dodger, ta critique donne envie !

En voici une (par "Arribat"), sur Amazon, qui est à l'opposé de la tienne :


L'habituelle carte postale islandaise est ici rangée dans les tiroirs pour laisser place à une affaire plus classique et disons-le, passe-partout. Pire l'auteur n'hésite pas à s'enfoncer dans une intrigue tellement usée, rabâchée, ressassée, que l'on se demande par quel stratagème il va s'en sortir. On se laisse pourtant surprendre là où l'on ne s'y attend le moins, et il faut dire que c'est plutôt original.

Pour autant ce petit tour de passe-passe ne suffit pas à sortir totalement l'histoire de ses poncifs clichés et inévitables issues déjà maintes fois visités, d'autant plus que la fin reste sans imagination, prenant de plus pour option que les flics islandais ont des imbéciles. Satisfaisant pour l'option paranoïa, mais peu crédible pour un bon polar. Il en ressort un roman pour presque rien, un sandwich, ou du moins on espère une pause pour reprendre son souffle. L'auteur a intérêt à rectifier le tir, à renouer avec son identité islandaise et ses noms à nous arracher les oreilles. Il nous fait cette fois le coup du fascicule alimentaire, mais qu'il évite d'y revenir, il pourrait bien y laisser des plumes.

PS: Comme le fait justement remarqué B.Martine ce livre a été écrit en 2003, avant la série du commissaire Erlendur qui a fait connaître l'auteur. Ceci explique celà, mais en tous cas confirmerait l'opportunisme d'un éditeur qui comptant sur la notoriété acquise par son auteur, n'hésite pas à publier un livre qui aurait dû rester dans les tiroirs et qui finalement s'avère contre-productif.
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Dodger
Serial killer : Leland Beaumont


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MessagePosté le: Lun Nov 28, 2011 10:07 am    Sujet du message: Répondre en citant

Chacun ses goûts...
Je rectifie cependant : Indridason a écrit Betty alors qu'il avait déjà bien entamé la série Erlendur, justement comme une respiration, une pause dans une série très sombre et très pessimiste sur la société islandaise.
Et c'est aussi la preuve qu'Indridason est capable d'autre chose, de varier les genres et les plaisirs.

Ici, l'aspect social est laissé de côté, et c'est peut-être ce qui déplaît à ce commentateur, au profit d'un hommage au roman noir, plus classique certes, mais porté par la maîtrise narrative d'Indridason. Ce lecteur doit être très blasé pour ne pas être plus soufflé que cela par la "surprise" imaginée par l'auteur... Pour ma part, il faut croire que j'ai encore assez de fraîcheur pour trouver jouissif de se faire ainsi prendre de court.

Quant à ce jugement : "la fin reste sans imagination, prenant de plus pour option que les flics islandais ont des imbéciles. Satisfaisant pour l'option paranoïa, mais peu crédible pour un bon polar" : je me permets de le trouver gentiment paradoxal...
Outre que la posture d'Indridason n'est pas (n'a jamais été, du reste ?) d'affirmer la bêtise des flics islandais - son héros récurrent est policier, me semble-t-il, et finit toujours par résoudre ses enquêtes -, la paranoïa est un ressort classique du polar, et la fin est dans le ton général du roman, ni plus ni moins.

Voilà, j'arrête de jouer les avocats de la défense, à chacun de se faire son opinion à présent Laughing
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Walter
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MessagePosté le: Lun Nov 28, 2011 10:33 am    Sujet du message: Répondre en citant

Citation:
"la fin reste sans imagination, prenant de plus pour option que les flics islandais ont des imbéciles. Satisfaisant pour l'option paranoïa, mais peu crédible pour un bon polar"


Je ne vois pas ce qu'il y a de paradoxal dans cette phrase.
Les flics imbéciles entraine une paranoïa, c'est plutôt logique.
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Mets-toi zéro !!
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voxac30
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La Ligne Noire

MessagePosté le: Lun Nov 28, 2011 5:33 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Dodger a écrit:
Chacun ses goûts...
Je rectifie cependant : Indridason a écrit Betty alors qu'il avait déjà bien entamé la série Erlendur, justement comme une respiration, une pause dans une série très sombre et très pessimiste sur la société islandaise.
Et c'est aussi la preuve qu'Indridason est capable d'autre chose, de varier les genres et les plaisirs.

Ici, l'aspect social est laissé de côté, et c'est peut-être ce qui déplaît à ce commentateur, au profit d'un hommage au roman noir, plus classique certes, mais porté par la maîtrise narrative d'Indridason. Ce lecteur doit être très blasé pour ne pas être plus soufflé que cela par la "surprise" imaginée par l'auteur... Pour ma part, il faut croire que j'ai encore assez de fraîcheur pour trouver jouissif de se faire ainsi prendre de court.

Quant à ce jugement : "la fin reste sans imagination, prenant de plus pour option que les flics islandais ont des imbéciles. Satisfaisant pour l'option paranoïa, mais peu crédible pour un bon polar" : je me permets de le trouver gentiment paradoxal...
Outre que la posture d'Indridason n'est pas (n'a jamais été, du reste ?) d'affirmer la bêtise des flics islandais - son héros récurrent est policier, me semble-t-il, et finit toujours par résoudre ses enquêtes -, la paranoïa est un ressort classique du polar, et la fin est dans le ton général du roman, ni plus ni moins.

Voilà, j'arrête de jouer les avocats de la défense, à chacun de se faire son opinion à présent Laughing


Tout à fait d'accord avec toi dodger. Je ne vois pas comment on peut rester insensible à cette "surprise".
Moi, j'avoue sans honte, avoir été scotché, arrêt sur image pendant un petit moment...
Une sensation à la Sukkwan Island de David Vann ( attention, pas de comparaison) juste un resenti. Une grande surprise identique pour ceux qui l'auront lu.
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Dodger
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MessagePosté le: Mar Nov 29, 2011 10:37 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Walter a écrit:
Citation:
"la fin reste sans imagination, prenant de plus pour option que les flics islandais ont des imbéciles. Satisfaisant pour l'option paranoïa, mais peu crédible pour un bon polar"


Je ne vois pas ce qu'il y a de paradoxal dans cette phrase.
Les flics imbéciles entraine une paranoïa, c'est plutôt logique.


Je précise ma pensée : si je trouve ce jugement paradoxal, c'est que la paranoïa, notamment suscitée par des flics idiots ou bernés par les apparences, est un élément classique du polar. Il me semble donc bizarre d'en faire le reproche à Indridason.
De plus, contrairement à Arribat, je ne pense pas que les policiers de Betty soient des imbéciles. Comme tous ceux qui croisent Betty, ils se font duper, manipuler, c'est différent et beaucoup plus subtil (même si assez classique du genre).
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Ironheart
Annie Wilkes


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MessagePosté le: Mer Nov 30, 2011 9:48 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ce roman me fait très très envie et ce n'est pas la critique ci-dessus qui m'a refroidie. Par contre, j'ai eu envie de la recopier car je l'ai trouvée assez argumentée et plutôt pas mal écrite. Critiquer de manière négative, expliquer pourquoi on n'a pas aimé est un exercice assez difficile et ce "Arribat" ne s'en est pas trop mal tiré. Après, on est d'accord ou pas...
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Dodger
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MessagePosté le: Mer Nov 30, 2011 11:12 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ironheart a écrit:
Critiquer de manière négative, expliquer pourquoi on n'a pas aimé est un exercice assez difficile et ce "Arribat" ne s'en est pas trop mal tiré. Après, on est d'accord ou pas...


Même si je ne partage pas du tout son opinion, je te rejoins là-dessus, il a clairement expliqué pourquoi il n'avait pas aimé.
Néanmoins j'ai surtout réagi à cause de la fin de son argumentation, sur le côté fond de tiroir vénal de ce roman, qui m'a déplu, d'autant que Betty ne date pas d'avant la série Erlendur. Pour bien critiquer, il faut aussi être bien renseigné...
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La Ligne Noire

MessagePosté le: Dim Déc 04, 2011 1:53 pm    Sujet du message: Répondre en citant

yes Very Happy

"betty" vient d'avoir encore une excellente note sur PP

J'suis trop content, ce livre le mérite...
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Hoel
Patrick Kenzie (modo)


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Le Vol des Cigognes

MessagePosté le: Ven Mar 09, 2012 6:53 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Et encore une bonne note, une ! Smile
J'ai pas été loin de lui coller 5 cigognes tant Bettý m'a foutu une grosse baffe (la garce ! Razz). J'ai pas été aussi sonné par un rebondissement depuis Shutter Island je pense (et là aussi on revient en arrière pour voir si on a raté quelque chose ou si l'auteur est vraiment très fort. Bien sûr c'est le second cas de figure.).

Enfin bref, mon avis vient de paraître sur Polars Pourpres.

Citation:
Bettý, ou quand l’élève rattrape le maître

Cette histoire est de celles où l'on sait dès le départ qu'elle va mal se terminer. Dès les premières lignes, le personnage principal nous explique que s'il est actuellement en détention provisoire dans la prison de Litla-Hraun (la plus grande d'Islande), c'est à cause de Bettý. Il se demande s'il aurait pu empêcher ça, mais c'est trop tard. Bettý l'a pris dans ses filets et, aveuglé par son amour, il n'a rien vu venir.

Délaissant le temps d'un livre (originalement publié en 2003) la série qui lui a valu une renommée mondiale et de nombreux prix prestigieux, Arnaldur Indridason en profite pour rendre hommage au roman noir qu'il affectionne. S'affranchissant totalement du célèbre commissaire Erlendur et de ses collègues – un petit clin d’œil mis à part, il n'a pas pu s'en empêcher – il nous livre une adaptation très personnelle du classique qu'est Le facteur sonne toujours deux fois, texte fort et plusieurs fois porté à l'écran sous divers titres (« Les amants diaboliques », « Le dernier tournant », ou tout simplement avec le même nom). L'auteur ne cache pas sa source d'inspiration, citant James M. Cain en exergue.
En principe, le lecteur de polar un tant soi peu connaisseur sait donc déjà tout de l'histoire : la femme fatale va mettre le grappin sur l'amant pour abréger la vie du mari. Et il n'est pas loin d'avoir tout bon. Lors d'une de ses conférences, le personnage principal, avocat spécialisé dans le droit maritime et la pêche, rencontre Bettý et succombe immédiatement à ses charmes. La magnifique et vénéneuse jeune femme lui propose alors de travailler pour son mari, un richissime armateur. Le narrateur n'est pas au bout de ses peines.
Tout semble cousu de fil blanc et pourtant, à la moitié du roman, Arnaldur Indridason assène un énorme rebondissement venu de nulle part qui laissera plus d'un lecteur pantois, sous le choc. A se demander comment, alors qu'on croyait tout savoir, l'auteur a pu nous mener aussi astucieusement par le bout du nez pendant une centaine de pages.

Avec Bettý, roman noir hommage construit avec machiavélisme, Arnaldur Indridason nous dévoile une nouvelle facette de son immense talent. Puisqu'il s'agit d'un exercice de style brillamment accompli, on accordera à l'élève une excellente note pour ce coup de maître.
On saluera aussi au passage le superbe travail du traducteur, personnage de l'ombre que l'on ne remercie jamais assez, Patrick Guelpa.


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Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire... J'ai la certitude d'être encore heureux.
Jules Renard (1864-1910)

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Laurent.V
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MessagePosté le: Lun Mar 12, 2012 12:33 am    Sujet du message: Répondre en citant

Je l'ai lu la semaine dernière. J'adore Indridason, mais vu le sujet je m'attendais à ne pas apprécier cette lecture. Et ce fut bien le cas, au delà de toute désespérance.
J'espère qu'une personne qui commence Indridason par ce livre ne s'arrêtera pas là. Car on est très loin de la série de Erlendur.
C'est une histoire très banale, c'est du déjà lu ou vu. Beaucoup de dialogues, et parfois c'est vraiment très mauvais. Certes, il y a bien le rebondissement à mi-livre mais à part cela je ne retiens rien de ce livre.
Je ne pensais pas qu'un jour, je critiquerais négativement un Indridason.

Vivement le prochain Erlendur.

Laurent.
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Xave
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MessagePosté le: Lun Mar 12, 2012 11:34 am    Sujet du message: Répondre en citant

Apparemment, ce livre divise... mama mia, je l'ai offert à Noel à ma mère, j'espère qu'elle sera dans le camp des convaincu Wink
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"c'est dur à imaginer mais pour les enquêteurs, l'art et la manière, ça ne change pas grand chose. En revanche, si le légiste a raison, pour la victime, l'acide vivant ou mort, la différence a dû compter pas mal"
Pierre Lemaitre-Alex
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