Jean-Christophe Grangé — Polars Pourpres

[Mag]

Mauvaise publicité pour le milliardaire Darwin Bishop : un fait divers impliquant sa famille fait la une des journaux. Brooke, sa fille de cinq mois, vient d'être sauvagement assassinée. Son fils adoptif, Billy, adolescent présentant toutes les caractéristiques d'un psychopathe en puissance, est accusé du meurtre. Mais ce coupable idéal ne satisfait pas le chef de la police locale. Son ami, le psychiatre Frank Clevenger, vient enquêter sur cette affaire. Frank s'aperçoit rapidement que, sous la coupe de Darwin, les Bishop vivent dans une atmosphère étouffante d'oppression et de violence. La famille est traversée de conflits si aigus que n'importe quel membre pourrait avoir tué Brooke. Plongeant au coeur des névroses de chacun, Frank va devoir rouvrir toutes les blessures, y compris les siennes...




Emballé par Psycho Killer et par le style de l'auteur je viens de commencer celui-ci , d'autres l'ont lu? des avis? merci...

[Mag]

Un polar comme je les aime , un peu moins sanglant que son prédecesseur "Psycho Killer" mais néanmoins une bonne intrigue avec rebondissements et un Clevenger toujours aussi tourmenté mais très doué. Style direct , pas de passages ennuyeux , un auteur qui a sa place d'assuré dans ma bibliotheque.


Toujours pas d'autres avis?

[Mag]

Cool je me fais les questions et les reponses!


L'amour à mort :

Le premier de la trilogie donc un style pas encore affirmé mais on y retouve tout de même "la patte" de l'auteur avec un personnage principal dévoré par ses propres démons , une enquête sans règles et sans limites , des rebondissements interessants...une trilogie passionnante pour amateurs de sensations fortes.

[weisses fleish]

Je viens de finir "Compulsion"

Il s'agit d'un thriller qui privilégie nettement la psychologie des personnages impliqués à l'action brute. Le parti pris est meme assez radical: le héros Clevenger étant psychologue, il intérprète tous les dialogues et des évenements en fonction de son analyse de la psychologie de personnages.

C'est intéressant puiqu'à travers les yeux de Clevenger, on a droit à 2 lectures des dialogues et évenements: ce qui a vraiment été dit et fait d'une part, et ce qui peut etre lu entre les lignes par Clevenger en fonctions des obsessions inconscientes des personnages qu'il décèle.
ça fait ressembler tout le livre à une séance d'analyse chez un psy...

Seul problème: j'ai deviné l'identité du coupable et le mobile du meurtre quand j'étais à peu près à la moitié du livre ; c'est le problème avec les huis-clos, l'intrigue doit etre super bien menée sinon on devine facilement la uite des évènements...

[Mag]

je suis entièrement d'accord avec toi et le fait que Clevenger soit le narrateur nous implique encore plus dans l'histoire...

je nai pas deviné l"identité du coupable à la moitié mais avant la fin tout de meme...il faut dire qu'il a du monde autour de Clevenger et que l'on rebondit sur les uns et les autres à tour de role car chacun peut etre le coupable dans cette famille Bishop...surtout la mère...

merci pour ton avis

[Ssarlotte]

Mon avis :