Posté le: Jeu Aoû 02, 2007 4:11 pm Sujet du message: L'as de trèfle
J'ai écris ma 1ere vraie nouvelle, mais j'écris quand même assez souvent des petits trucs.
Vous pouvez soit télécharger la nouvelle (en .doc)
ICI
Soit lire cette nouvelle en cliquant sur la balise Spoiler ci-dessous
Spoiler:
L’as de trèfle
Lundi 21 mai 2007, 11h du matin
Depuis peu elle n’était plus que l’ombre d’elle-même. Du haut de ses 1m64, à 43 ans elle était encore plutôt jolie même si les marques de l’âge se faisaient de plus en plus présente. Pas suffisamment pour qu’elle n’attire plus les hommes mais malgré tout elle était toujours célibataire et elle le resterait à jamais …
La Mort l’avait emportée, et elle gisait là, dans sa cuisine, comme un pantin désarticulé. La Mort, non contente de lui avoir pris la vie, lui avait aussi prit sa dignité vu la manière dont elle était allongée sur le carrelage froid de la cuisine.
Sa gorge avait été tranchée, le sang qui avait beaucoup coulé était maintenant sec, mais le pire n’était pas là, son chemisier était grand ouvert, son soutien-gorge noir était baissé et coupé en son milieu. Elle portait encore son pantalon mais à part ça tout le reste de son corps était rouge, rouge à cause du sang séché et à la place du cœur se trouvait une carte de jeu.
C’est tout ce que vit sa voisine avant de s’évanouir. A l’origine elle n’était venu que pour chercher un pot de moutarde, la porte d’entrée étant ouverte elle était entrée et elle regretta à jamais d’avoir ouvert la porte de la cuisine tant cette scène hanta ses cauchemars par la suite.
A son réveil, elle composa immédiatement le 17 avec le téléphone de la maison, pour signaler l’horrible crime.
Deux inspecteurs de police de Paris arrivèrent 1h après, accompagné de la police scientifique, la scène de crime fut passé au peigne fin, la voisine ne l’ayant que très peu pollué, on découvrit que le tueur avait craché au visage de la victime, ce crachat fut recueilli pour être analysé dans l’après-midi, l’absence d’empreintes digitales montra que le tueur portait des gants. Le corps fut emmené au médecin légiste. Toutes les personnes présentes dans la pièce avaient remarqués que le tueur avait pris le cœur de sa victime pour le remplacer par un as de trèfle.
L’inspecteur Marc Bognar et son acolyte Maxime Libert prirent en charge cette affaire sordide.
L’après-midi les deux inspecteurs interrogèrent la voisine qui avait découvert le corps et celle-ci leur appris que la victime s’appelait Caroline Mercier, qu’elle avait 43 ans et qu’elle ne lui connaissait pas d’ennemi.
La victime était identifiée, c’était un bon point de départ, il n’y avait rien de pire lorsque la victime n'était pas identifiée.
Ils passèrent le reste de l’après-midi à collecter toutes sortes d’infos sur elle.
Il ne pouvait rien faire d’autre sans le rapport du médecin légiste.
Ledit rapport arriva mardi matin au bureau de Marc Bognar, le médecin légiste leur apprenait que la victime avait tout d’abord été chloroformée puis on lui avait tranché la gorge à l’aide d’un couteau de cuisine, simple tranchant, d’une lame de 15cm de long. Le médecin légiste, tenant compte de la rigor mortis (rigidité cadavérique), estimait que la mort avait eu lieu le samedi 19 mai entre 10h et midi.
La victime était déjà morte quand on lui avait prélevé le cœur, le tueur s’y connaissait un petit peu en biologie mais il avait plus fait un travail de boucher que de chirurgien. Le crachat avait été analysé et on avait retrouvé l’ADN du tueur mais celui-ci n’était pas fiché, cette piste ne servait donc à rien pour le moment mais elle aurait toute son importance plus tard, soit pour innocenter un suspect soit, au contraire le confondre.
L’as de trèfle avait été analysé et il était strictement impossible de remonter jusqu’à la trace de l’acheteur (et donc a fortiori du tueur) étant donné que cette carte de tarot était trop courante.
Les deux inspecteurs étaient donc dans l’impasse, surtout qu’ils n’avaient aucune idée à propos de l’enlèvement du cœur et de son remplacement par une carte de tarot.
Ils interrogèrent donc les voisins et la famille proche de la victime. La famille ne leur apprit rien de plus qu’il ne savait déjà et les voisins n’avaient rien remarqué de suspect ce samedi matin là.
L’enquête piétinait et les deux inspecteurs furent donc obligés de mettre de côté cette enquête pour se consacrer à diverses tâches liées à leur dur métier.
Le tueur, lui, ne comptait pas s’arrêter en si bon chemin …
En ce samedi matin du 26 mai, Caroline Perez, 28 ans, dormait encore dans son lit au 2eme étage, après tout elle avait bien le droit à une grasse matinée après une longue semaine de travail ! D’autant plus qu’elle vivait seule.
Crocheter la serrure de la porte d’entrée fut aisé, surtout que la rue était vide. Il avait garé sa voiture un peu plus loin et était venu à pied. C’était plus discret.
Il entra discrètement dans la maison même si il savait déjà qu’elle dormait paisiblement, il préférait être le plus prudent possible.
Il ouvrit son sac à dos, pris son couteau de cuisine, remit son sac sur le dos et monta d’un pas léger les escaliers. Sa seule crainte étant que l’escalier ne craque trop fort et réveille sa Caroline. Mais cela ne se produit pas. La semaine qu’il venait de passer à la surveiller discrètement lui permettait de savoir où elle dormait, il entra dans la chambre, resta une minute à la regarder et il serra un peu plus fort la manche du couteau avec sa main gantée.
Elle dormait encore quand il lui trancha la gorge d’un coup sec, le sang jaillit un peu, mais le tueur ne s’en soucia pas.
Elle était morte lorsqu’il découpa le cœur de sa nouvelle victime. Il prit une boite rectangulaire en bois de son sac à dos, l’ouvrit et y déposa le cœur dedans.
Dans l’entaille béante il déposa à nouveau un as de trèfle. Il essuya ses gants plein de sang sur sa chemise, ensuite il la changea et mit la chemise blanche propre qui se trouvait dans son sac.
Il repartit de la maison comme si de rien n’était et rentra chez lui, satisfait.
Il déposa le cœur à côté de l’autre dans son congélateur.
Il était prêt, une dernière victime et sa colère serait apaisée.
Le corps fut découvert le lendemain par le frère de la victime et sa femme, ils étaient invités à diner.
Marc et Maxime se rendirent sur le lieu du crime, le médecin légiste confirma par la suite que c’était le même couteau et que la carte appartenait à un jeu identique à celui de la 1ere fois.
Marc remarqua que le tueur n’avait pas craché sur sa victime, il s’était plus maitrisé, la victime était plus jeune, plus dur à tuer, il affinait ses crimes, il devenait plus redoutable, plus dangereux.
De nouveau les deux inspecteurs enquêtèrent auprès de la famille de la victime, auprès de ses voisins et de ses amis.
Elle était sans histoire.
Marc Bognar et Maxime Libert se trouvait encore une fois dans l’impasse malgré les quelques liens entre les deux victimes.
Le premier lien était leurs prénoms, Caroline, mais la police n’allait quand même pas faire surveiller toutes les Caroline de Paris ! D’ailleurs, était-ce une simple coïncidence ou un lien ? Et si c’était un lien, pourquoi est-ce que quelqu’un s’acharnerait sur des Caroline ?
Marc vu enfin l’évidence, si c’était bel et bien un lien, une Caroline avait joué un rôle majeur dans la vie de ce tueur.
Les deux jeunes femmes avaient été tuées un samedi matin, Maxime supposa donc que le tueur devait travailler le reste de la semaine.
Le troisième lien qui unissait les deux femmes était le fait qu’elles étaient célibataires, elles vivaient seules.
Ces trois liens ne fournissaient toujours pas de pistes exploitables pour Marc et Maxime.
La presse parisienne commençait à se déchainer autour des deux meurtres, « L’As de trèfle sévit encore » pouvait-on lire dans le Parisien.
Il devenait urgent qu’ils mettent la main sur ce maudit tueur !
**********************************************************
Mercredi 30 mai, 18h
Caroline Miserey venait de rentrer de son travail. Comme d’habitude elle regardait un moment la télé, en l’occurrence de la télé réalité.
Il se sentait sûr de lui, il avait commis deux meurtres et la police ne le soupçonnait même pas. Il entra donc dans la maison de Caroline sans s’inquiéter d’être entendu ou non.
Quand Caroline entendit la porte d’entrée s’ouvrir, elle entra dans le corridor qui menait à la porte d’entrée, quel fut sa surprise lorsqu’elle vit Benoît dans l’entrée, la porte fermée derrière lui !
« Benoît mais qu’est-ce que tu fous ici ? Sors, je ne veux pas te voir » cria-t-elle
- Tais-toi ! Tu ne me dis même pas bonjour ?
- Sors de chez moi
Il n’y avait plus qu’un mètre entre les deux et c’est à ce moment précis que Benoît sorti son couteau et l’égorgea avant qu’elle n’ait pu dire un seul mot ou esquissé un seul geste.
Elle tomba de tout son long dans le corridor et Benoît ne prit même pas la peine de la déplacer pour lui prélever son cœur et mettre une carte à la place.
Il rentra chez lui 45 minutes plus tard et put enfin écouter sa chanson préférée assis dans son canapé en cuir.
Pour Marc et Maxime tout recommençait encore une fois, le tueur avait utilisé le même modus operandi et il n’avait laissé aucune trace, c’était toujours le même couteau, la même carte et personne dans le quartier n’avait rien remarqué de particulier.
Mais en interrogeant la famille, celle-ci les informa que Caroline avait rompu avec son petit ami un mois plus tôt.
Quand celui-ci l’avait demandé en mariage elle avait craqué, refusé sa demande en lui avouant qu’elle le trompait avec un autre homme qui, selon les dires de la famille, n’avait pas fait long feu non plus.
Ce Benoît avait été anéanti par ce refus et depuis il refusait de lui parler et quand il le faisait ce n’était que pour l’insulter de tous les noms !
Marc & Maxime décidèrent donc de rendre une petite visite à ce Benoît le lendemain. Il regardait tranquillement la télé quand il entendit frapper à la porte et une voix disant « Police, ouvrez ».
Là, il paniqua totalement, il avait 24 ans, se croyait intouchable et voilà que la police débarquait chez lui pour le mettre en prison jusqu’à la fin de ses jours.
Il se rendit donc dans sa chambre, prit son glock, cria « J’arrive » à l’intention du policier derrière la porte.
Le glock était pratique, il n’y avait pas de chien à défaire pour tirer.
Benoît tira trois fois sur la porte.
Dès la première balle Marc se protégea derrière le mur mais cette balle et les deux suivantes touchèrent Maxime, une dans l’épaule et les deux autres dans l’abdomen.
Sans hésiter une seconde Marc défonça la porte d’un solide coup d’épaule et tira 4 balles sur Benoît qui n’avait pas eu le temps de réagir.
Bilan : trois balles dans la poitrine et la dernière en pleine tête.
Marc ne lui avait laissé aucune chance.
On retrouva dans le congélateur de Benoît les trois cœurs congelés, le couteau des crimes, et l’analyse ADN confirma que c’était bien lui le tueur.
Marc retrouva aussi un CD, un single de MC Solaar, dans la chaine Hi-fi.
Il lança la chanson et quand il put enfin tout comprendre lorsqu’il entendit le refrain :
« Je suis l’as de trèfle qui pique ton cœur Caro-line »
Je vous conseille de lire le document Word, c'est plus agréable.
Vous avez l'obligation de me dire ce que vous en pensez !
Posté le: Ven Aoû 03, 2007 3:04 pm Sujet du message:
"l'obligation de me dire"
tu te prends pour qui ???
mdr, t'as de la chance... patiente juste un peu que je télécharge, ça met plus de temps chez moi que chez n'importe qui d'autre !! ^^ _________________ Craignez la fureur d'un homme patient
Posté le: Ven Aoû 03, 2007 3:54 pm Sujet du message:
j'ai lu et critiqué.
les bonnes et surtout les mauvaises... lol
voilà, en général, ce que j'en pense.
ce qui demande un peu plus de précision, je te l'envoie par MP ou par mail si ça t'intéresse.
l'idée de la musique est sympa, moi j'aurais juste mis "un rappeur français", à la place de "Mc Solaar", parce que j'ai tout de suite compris. à part ça, la chute est très bien imaginée.
tu gères extrêment bien tes repères temporels, et ça c'est super pour l'avenir.
la mise en page est personnelle mais pertinente et tout à fait stylée, j'aime.
les scènes sont bien décrites, c'est vivant, quoique parfois, la tension retombe un peu, mais rien de grave si c'est ta griffe !
les expressions "sang seché" et "crachat", je suis sûr que tu peux trouver une autre formulation, un peu moins lourde (parle de "sang coagulé" ou "salive" et même "glaire" !)
sinon, fais gaffe à certaines conjugaisons ou accords, je connais quelqu'une (si si "quelqu'une" !) qui m'aurait linché pour moins que ça (lol, je te taquine Jade...)
je ne dirais pas "son corps était rouge", à moins que tu aies un message à faire passer (mais il n'est pas passé ^^), je préfère "son corps était maculé de sang", "plus aucune parcelle n'était teinte du liquide vital", quelque chose de plus "poétique" en somme...
ensuite, par définition, je crois pouvoir affirmer sans me tromper, qu'un couteau de cuisine n'a qu'un seul tranchant. ou alors ce n'est pas un couteau de cuisine... et pour un couteau de cuisine justement, 15 cm, ça n'est pas bien grand...
autre chose, tu as dit "on a retrouvé l'ADN du tueur" il y a deux points à relever : 1. on ne "retrouve"pas un ADN, on l'analyse, je ne sais pas moi ! mais en tout cas, il n'était pas caché quelque part... 2. tu as indiqué que l'histoire se passe en Mai 2007. à ma connaissance, les analyse ADN ne sont pas si rapide de nos jours... soit tu changes la phrase, soit tu ne fait pas mention de "2007", tu ne parles que des jours et du mois...
je ne savais pas qu'on analysait des as de pique... ^^
je tenais à préciser que lorsqu'on égorge quelqu'un (je ne l'ai jamais fait hein !), eh bien le sang ne gicle pas "un peu", c'est une fontaine parce que tu tranches la carotide, l'artère principale du visage et du cerveau...
maintenant, quand tu fait penser les inspecteurs, tu dis "il s'était plus maîtrisé que la première fois". au delà de la formulation un peu hasardeuse, cela signifie qu'on lui a d'ores et déjà collé l'étiquette "malade mental" ! tu n'en avais pas parlé avant, surtout que si on lui as mis cette étiquette, tu ne te demanderais pas pour quoi on "s'acharnerait sur toutes les caroline de paris" !
euh... la phase de dialogue :
-Tais-toi ! Tu ne me dis même pas bonjour ?
-Sors de chez moi
, j'ai l'impression que quelque chose ne va pas...
ah oui ! quand quelqu'un s'est fait égorger, il ne "tombe" pas, il "s'affale", dans ce goût là. il te faut un mot qui exprime les capacités physiques du personnage, ici : il est démembré, flasque...etc
une dernière chose : soit benoit est lent à la détente, soit marc est l'homme bionique, parce que pour se planquer à la première balle, il est rapide !
DONC. en général j'ai apprécié, quoique les commentaires puissent laisser penser. je suis un peu dur, mais je suis un perfectionniste et je ne m'imagine pas autrement (et puis c'est tellment sympa de critiquer ses amis ^^)
je relirai bien volontiers d'autres de tes nouvelles puisque tu dis que tu en as écrit d'autres, j'attends surtout les suivantes en fait, en espérant que tu t'améliores à chacune.
et c'est bien de redonner un coup de boost à la section "auteurs en herbe", elle risquait de dépérir après le concours de nouvelles...
en espérant bientôt te relire... (du moins quand je passe sur internet...)
merci memess !
PS : question perso : "Benoît", ça a un rapport avec notre ami commun ??? ^^ _________________ Craignez la fureur d'un homme patient
Posté le: Ven Aoû 03, 2007 4:26 pm Sujet du message:
Déjà Luce merci pour ta critique !
Pour Benoît la réponse est non !
J'ai concentré l'histoire autour des victimes , du tueur, et des 2 inspecteurs parce que sinon je n'en finissais pas !Je voulais juste que ça soit une petite nouvelle pas un roman (comme certains !).
J'ai vu mes lacunes en biologie (est-ce que c'est difficile de prélever un coeur ?est-ce que beaucoup de sang est versé lorsqu'on tranche la gorge de quelqu'un etc...)
Les dialogues, je les aient évité un maximum parce que je trouve que ça sonne faux à chaque fois et d'ailleurs le seul que j'ai mis il dérange lol !
Marc il est super bien entrainé c'est tout ^^ il ne fallait pas qu'il meure !
J'ai vu mes lacunes par rapport à la police scientifique !Pour l'adn je savais mais je ne voulais pas que l'affaire s'espace trop dans le temps !
Quand je parle de l'analyse de l'as de pique je voulais dire qu'il avait regardé si c'était un modèle courant ou pas !
Pour "il s'était plus maîtrisé que la première fois" ça c'est de l'influence de Maxime Chattam. D'après Chattam le 1er meurtre est souvent le + desordonné par rapport aux autres, et le tueur accelère dans le temps au fur et à mesure que sa confiance grandit !
"son corps était rouge" j'ai rien à dire, c'est moche comme expression !
Pour le couteau j'ai hésité à mettre plus long comme lame mais 15 cm me semblait suffisant !
Sinon Frog vas-y, critique ! Je n'ai aucune prétention quant à cette nouvelle !
Pour l'histoire j'étais en train de bosser à la chaine quand à la radio est passé une chanson de MC Solaar (da vinci claude je crois)ça ma fait penser à la chanson Caroline, j'ai imaginé un tueur utilisant le refrain et dans la foulée j'ai improvisé à l'oral l'histoire que vous avez lu à mon collègue de taf ! _________________ Polars Addict : Chroniques des littératures de genre
So many books, so little time...
Posté le: Dim Aoû 19, 2007 8:22 pm Sujet du message:
C'est pour ça qu'il est jeune et qu'il panique par la suite ...et bon, il fallait bien que je trouve un moyen de le faire faire attraper par la police !
Pour Luce , c'est pas grave si tu ne savais pas que Frog est une femme !
lol
j'aurais du mettre "t'es pas très réactive comme meuf" ???
c'est unisexe comme expression. du moins c'est mon avis. (et puis je vais voir les profils des personnes à qui je parle... sauf que je n'ai pas tilté pour frog, j'avoue... ) _________________ Craignez la fureur d'un homme patient
Maintenant que la lumière a été faite sur cette erreur je pense que l'on peut revenir au sujet. Merci ! _________________ It's not who you are underneath, it's what you do that defines you
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