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Et l'obscurité fut - Maurizio de Giovanni (Fleuve)

 
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norbert
Serial killer : Hannibal Lecter


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Le Serment des Limbes

MessagePosté le: Sam Avr 16, 2016 4:02 pm    Sujet du message: Et l'obscurité fut - Maurizio de Giovanni (Fleuve) Répondre en citant

Après La Méthode du crocodile et La Collectionneuse de boules à neige (dispos en poche chez 10-18 ), on retrouve l'inspecteur Lojacono dans Et l'obscurité fut, le nouveau roman de Maurizio de Giovanni qui vient de paraître chez Fleuve Noir, traduit par Jean-Luc Defromont.






Le livre :

À l'image de Naples, écrasée par la chaleur d'un mois de mai estival, le commissariat de Pizzofalcone baigne lui aussi dans une atmosphère étouffante.
L’équipe du commissaire Palma reçoit un coup de fil alarmant : Dodo Borelli, 9 ans, petit-fils d’un puissant entrepreneur napolitain, vient d’être enlevé.
La demande de rançon ne se fait pas attendre.
Rien de très surprenant dans cette famille qui a tout pour attiser les haines, du grand-père richissime et intraitable à la mère en révolte contre l'autorité paternelle.
Entre eux, le beau-père « artiste endetté » ou la secrétaire diffamée du patriarche, tout le monde semble avoir de bonnes raisons de vouloir toucher le magot.

Mais pendant que Romano et Aragona tentent de démêler l’affaire, Lojacono et Di Nardo se retrouvent à enquêter sur un cambriolage plus que douteux…
Et si l’enlèvement du bambino masquait un crime plus grave encore ?
Plus que jamais, les « Salauds de Pizzofalcone » vont devoir se serrer les coudes pour se sortir d’un abîme de mensonges...

Maurizio De Giovanni nous invite une nouvelle fois à plonger dans le quotidien d’un commissariat napolitain, et de ses flics confrontés en permanence à la détresse ordinaire. À travers une galerie de personnages intrigants et terriblement humains, le récit nous entraîne dans une sombre histoire d’enlèvement, sur fond de désespoir et de crise économique. Un roman très actuel, qui parvient à combiner peinture sociale, rythme et psychologie tout en finesse.




>> La page Facebook de l'auteur : https://www.facebook.com/maurizio.degiovanni.7

>> Celle de son fan-club en France : https://www.facebook.com/MaurizioDeGiovanniFanClubOfficielFrance





L'auteur :

Né en 1958, Maurizio De Giovanni vit à Naples.
Cadre du secteur bancaire, il remporte en 2005 le prix national Tiro Rapido avec une nouvelle ("Je vis et je meurs") qui servira de base à L'Hiver du commissaire Ricciardi.
Napolitain jusqu’au bout de la plume, il aime sa ville au point d’en faire un personnage à part entière de ses romans.
Il poursuit sa série consacrée au commissaire Ricciardi, dont les enquêtes se déroulent dans l'Italie des années 1930, publiée chez Rivages/Noir.
Il a remporté de nombreux prix, dont le Prix Scerbanenco du meilleur polar italien en 2012 pour La Méthode du crocodile, premier volet d'une autre série plus contemporaine consacrée aux enquêtes de l'inspecteur Lojacono et publiée parallèlement chez Fleuve Editions puis en 10-18.
Après La Collectionneuse de boules à neige, Et l'obscurité fut est son troisième roman à paraître chez Fleuve Editions.







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norbert
Serial killer : Hannibal Lecter


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Le Serment des Limbes

MessagePosté le: Dim Mai 22, 2016 1:34 pm    Sujet du message: Répondre en citant




>> La chronique de Marie Torres sur MicMag :

Citation:

Ne vous fiez pas au mois de mai

Un enfant est enlevé à Naples et la fièvre monte dans les locaux du commissariat de Pizzofalcone. Vengeance ? Drame familial ? Conséquence de la crise économique ? Comme dans ses deux précédents romans, Maurizio De Giovanni parvient à combiner suspense, peinture sociale et psychologie.
Une réussite.



Naples au mois de mai.
La chaleur s’est déjà invitée sur la ville et l’atmosphère du commissariat de Pizzofalcone est d’autant plus étouffante que l’équipe en place est sur une affaire délicate.
Dodo Borelli, 9 ans, petit-fils d’un puissant entrepreneur napolitain, a disparu lors d’une visite scolaire dans un musée.
Les caméras de surveillance témoignent : le garçon s’est dirigé de lui-même vers une jeune femme blonde, dont on ne distingue pas le visage, et l'a suivie sans hésitation.
Aucun doute, Dodo, d’un naturel plutôt réservé, ne peut que la connaître.
S’agit-il alors d’une promenade inattendue ?
Va-t-il réapparaître dans quelques heures ?
C’est l’espoir auquel les proches de l’enfant se raccrochent mais une demande de rançon vient l’anéantir : Dodo a été enlevé.
Et enlevé par une personne en qui il a confiance.


Si toute l’équipe du commissaire Palma est touchée par cette affaire, c’est Romano et Aragona qui la prennent en main.
Avec difficulté.
La famille du petit garçon se déchire.
De vieilles querelles d’argent et de pouvoir refont surface et nuisent à la progression de l’enquête.
« Je n’en reviens pas que des gens qui se sont aimés puissent éprouver autant d’animosité les uns envers les autres. Chacun est obsédé par sa propre rage et sa propre haine, et personne ne pense au bien de l’enfant », remarque Romano.


De leur côté, Lojacono et Di Nardo tentent de démêler un cambriolage on ne peut plus douteux.
Au fil des pages, on se demande si les deux affaires ne finiront pas par se recouper.


On ne change pas une équipe qui gagne.
C’est ce que doit penser Maurizio de Giovanni qui, depuis La méthode du crocodile, conserve précieusement les membres de l’équipe du commissariat de Pizzofalcone.
Et il a raison !
C’est avec beaucoup de plaisir qu’on se réintroduit dans leurs locaux, qu’on les accompagne à travers Naples, qu’on les suit dans leurs investigations comme dans leur vie privée.
Un très bon polar sur fond de querelles familiales et de crise économique.
Une réussite.



(J'ai reproduit les mises en gras présentes dans l'article.)


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Ssarlotte
Serial killer : Le Poète


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MessagePosté le: Dim Mai 22, 2016 2:45 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Super !!!
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norbert
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Le Serment des Limbes

MessagePosté le: Ven Mai 27, 2016 12:54 pm    Sujet du message: Répondre en citant




>> La brève chronique du Monde des Livres :

Citation:

Caustique Maurizio De Giovanni


Dans la torpeur du mois de mai, à Naples, l’équipe du commissariat de Pizzofalcone se voit confier deux affaires.
La première est un cambriolage dans un appartement où, en dehors de quelques papiers, aucun objet de valeur ne semble avoir été dérobé.
La seconde, le kidnapping dans un musée d’un enfant, Dodo, petit-fils unique d’un ­riche entrepreneur local.
Deux cas en apparence sans rapport, mais dont les connexions vont peu à peu se faire jour.

Au-delà de ces intrigues plutôt convenues et de leur dénouement, rapide et incomplet, Maurizio De Giovanni brosse les portraits ­attachants des enquêteurs, dont la disparition de Dodo met à nu les failles personnelles et familiales.

Et l’obscurité fut, troisième roman de la série des « Salauds de Pizzofalcone » (après La ­Méthode du crocodile et La Collectionneuse de boules à neige, Fleuve, 2013 et 2015), offre un regard ori­ginal et caustique sur le pouvoir de l’argent, et la fascination qu’il exerce, a fortiori ­en temps de crise économique.



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norbert
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MessagePosté le: Sam Juin 04, 2016 3:49 pm    Sujet du message: Répondre en citant




>> La chronique de Jean-Marc Laherrère sur Actu du Noir :

Citation:

Maurizio de Giovanni de Naples.


J’adore les romans du napolitain Maurizio de Giovanni.
Tous.
Qu’ils fassent partie de la série Ricciardi qui se déroule sous le fascisme, ou de celle, actuelle, des flics du commissariat de Pizzafalcone.
C’est à cette dernière qu’appartient Et l’obscurité fut.


Le mois de mai est beau et parfumé à Naples.
On peut rêver d’amour et de liberté.
Ce qui ne veut pas dire que les policiers sont au repos.
Au commissariat de Pizzafalcone, Lojacono et Di Nardo sont appelé sur les lieux d’un cambriolage.
Etonnamment, l’appartement pourtant équipé du nec plus ultra en termes de sécurité a été visité sans aucune effraction.
Encore plus étonnant, à part le contenu d’un coffre, sur lequel les volés ne sont pas très bavards, rien ne semble avoir été emporté.

De retour au commissariat, ils trouvent tous les flics en alerte : Un gamin d’une dizaine d’année a été enlevé lors de la visite d’un musée avec son école très privée, très catholique et très chère.
Comme son grand-père est l’un des hommes les plus riches de Naples, tout le monde s’attend à une demande de rançon.
La course contre la montre est lancée…


Qu’est-ce qu’il est bon De Giovanni pour évoquer l’air doux et parfumé de mai, la musique dans les rues populaires, et l’ambiance d’une trattoria.
Comme il sait nous toucher en quelques phrases sur la fatigue d’une mère célibataire, l’émotion d’un jeune homme amoureux, la détresse d’une vieille femme seule.


Sa peinture de la ville sait se faire précise, détaillée, ou impressionniste.
Le rythme est toujours le bon, les mots touchent.
Il est aussi fort dans la description de la haine qui déchire une famille richissime, que dans celle d’un amour sans lendemain ou celle des espérances d’une jeune fille.


Et cette capacité à décrire une ambiance et à construire des personnages ne l’empêche pas de construire très habilement une intrigue qui joue avec nos nerfs.


Plus je lis Maurizio de Giovanni, plus j’aime ses romans, son humanité, sa tendresse pour ses personnages et sa ville.
Plus je le lis, plus il me touche et me bouleverse.



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MessagePosté le: Dim Nov 13, 2016 5:53 am    Sujet du message: Répondre en citant




>> La chronique de Laurent Greusard pour K-libre :

Citation:

Le 88e district de Naples


À l'intérieur de ce vaste continent qu'est la littérature policière, il existe des pays spécifiques avec leurs coutumes particulières.
Il y a quelques années déjà, Ed McBain a offert son propre territoire, ou du moins l'a rendu connu du monde entier, en s'appuyant sur un schéma simple.
Face aux héros individuels et redresseurs de tort, il a proposé l'idée de constituer son intrigue autour d'un groupe de policiers, d'un commissariat. Même si certaines figures pouvaient émerger, le véritable personnage c'était bel et bien le collectif du commissariat de ce satané "87e District".
Depuis, le genre a essaimé et plusieurs auteurs s'y sont intéressés avec plus ou moins de bonheur.
C'est dans cette perspective que s'inscrit Maurizio De Giovanni.
Son commissariat de Pizzofalcone a mauvaise presse depuis qu'une équipe précédente a surtout été connue pour ses affaires de corruption, et la nouvelle équipe essaie de redorer le blason de la police napolitaine. Certains ont des obsessions comme cet inspecteur qui pense qu'une série de suicides dans le quartier cachent des meurtres, sans savoir qu'il est très proche de la réalité et du coupable.
Deux affaires vont rompre la monotonie du commissariat.
C'est tout d'abord un vieux couple dont la demeure a été cambriolée sans que visiblement rien n'ait été dérobé - les voleurs ont été même très précautionneux avec les objets qu'ils ont eu entre les mains.
Ensuite, c'est un contre-la-montre diabolique qui s'engage lorsque l'on apprend qu'un jeune enfant a été kidnappé.
Les parents divorcés se disputent sans cesse et même l'amant de la mère semble avoir des raisons pour avoir organisé cet enlèvement.
Derrière le garçon, ne serait-ce pas le grand-père, parrain local discret, qui serait visé ?

Maurizio De Giovanni maîtrise son intrigue : les deux histoires qui, bien sûr, vont se recouper, constituent l'essentiel du roman.
Mais il sait ménager des espaces pour les soucis de ses personnages, sans pour autant appuyer, et surtout il présente ses policiers - Romano, Aragona, Lojacono, Di Nardo - avec leurs envies et leurs doutes, leurs problèmes personnels et comment ceux-ci interfèrent avec leurs actions.
Des chapitres insérés rappellent la noirceur de la vie à travers des multiples anecdotes sur d'autres habitants de cette bonne ville de Naples.
Mais le fil conducteur reste cet enlèvement, et il est présenté dans toute sa complexité, avec une véritable montée de la tension jusqu'à une conclusion très noire et qui laisse un goût amer.
En effet Maurizio De Giovanni montre combien, par delà les mauvaises actions, il y a surtout beaucoup de désespoir, de contradictions, de petits coups du sort qui altèrent les plans les mieux conçus, et comment la cupidité et la convoitise s'associent facilement à la violence et à la bêtise pour créer des situations inextricables.
Avec cette série qui en est à son troisième volet, en très bon émule d'Ed McBain, Maurizio De Giovanni montre qu'il reste encore des territoires littéraires à découvrir et bien des pays à visiter.



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Ssarlotte
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MessagePosté le: Dim Nov 13, 2016 8:13 am    Sujet du message: Répondre en citant

Je l'ai ré-emprunté hier, cette fois je vais le lire avant de le rendre.
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MessagePosté le: Dim Nov 13, 2016 12:54 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Ssarlotte a écrit:
Je l'ai ré-emprunté hier, cette fois je vais le lire avant de le rendre.



#emprunteusecompulsive Laughing
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Ssarlotte
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MessagePosté le: Dim Nov 13, 2016 1:32 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Complètement Mr. Green Mr. Green Mr. Green Mr. Green
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El Marco
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MessagePosté le: Ven Nov 18, 2016 8:39 am    Sujet du message: Répondre en citant

Sortie en poche le 16 février.
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norbert
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MessagePosté le: Ven Fév 17, 2017 10:38 pm    Sujet du message: Répondre en citant




El Marco a écrit:
Sortie en poche le 16 février.




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