norbert Serial killer : Hannibal Lecter
Age: 47 Inscrit le: 18 Avr 2007 Messages: 11679 Localisation: Rhône-Alpes
|
Posté le: Ven Aoû 19, 2016 6:00 am Sujet du message: Dernière station avant l'autoroute - Hugues Pagan (Rivages) |
|
|
Rivages/Noir, à l'occasion de son 30e anniversaire, poursuit la réédition de quelques uns de ses plus grands classiques, et c'est au tour du fameux Dernière station avant l'autoroute de Hugues Pagan, lauréat en 1998 du Prix Mystère de la Critique, de reparaître en cette rentrée.
Le livre :
Un sénateur s'est suicidé dans un hôtel quatre étoiles. Ses responsabilités au sein de plusieurs enquêtes parlementaires lui avaient permis de réunir des informations sensibles. Juste avant sa mort, il a vidé la mémoire de son ordinateur. Juste après, tout le monde est a la recherche d'une disquette.
L'officier de police judiciaire, chef du groupe nuit, est le premier soupçonné d'avoir fait les poches du mort. Mais l'officier en question, à qui l'on a recommande de ne faire ni creux ni vagues, n'a plus rien à foutre de rien depuis longtemps.
Ce roman a été récompensé par le Prix Mystère de la Critique en 1998.
« Avec cette Dernière station avant l'autoroute, personne ne peut plus ignorer le sens du rythme et l'écriture d'un lyrisme époustouflant d'Hugues Pagan. »
Emmanuel Laurentin - Télérama
« Pagan réussit ce truc si spécial : nous faire jouir de vérités presque insoutenables. »
Nicolas Mathieu, auteur de Aux animaux la guerre
L'auteur :
Hugues Pagan est né à Orléansville en Algérie. Après des études de philosophie et un bref passage par l'enseignement, il entre dans la police où il restera 25 ans. Il est aujourd'hui scénariste pour la télévision. Il a reçu le Prix Mystère de la critique pour Dernière station avant l'autoroute. Son denier roman, Profil perdu, a remporté un vif succès public et a été unanimement salué par la presse.
Il est considéré comme l'un des grands stylistes du polar français.
_________________ « Il vaut mieux cinq mille lecteurs qui ne vous oublieront plus jamais à des centaines de milliers qui vous auront consommé comme une denrée périssable. » Jérôme Leroy |
|