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Polars Pourpres

Les 70 ans de la Série Noire
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Hoel
Patrick Kenzie (modo)


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Le Vol des Cigognes

MessagePosté le: Sam Jan 19, 2019 5:16 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Dans La Peau du papillon figure, comme souvent, le catalogue de la SN depuis l'arrêt de la numérotation, c'est à dire depuis King Bongo de Thomas Sanchez, paru en octobre 2005.
En parcourant la liste, je me suis dit que j'en avais lu un paquet. Sans parler de ceux que j'ai et que je n'ai toujours pas lus ou de ceux que j'ai seulement commencé. Du coup, vous me voyez venir, j'ai calculé.
J'en ai lu à ce jour 45 sur 196, soit pas loin d'un quart (23%). Et je dois en avoir pas loin d'un autre quart pas encore lus (peut-être un peu moins).
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Quand je pense à tous les livres qu'il me reste à lire... J'ai la certitude d'être encore heureux.
Jules Renard (1864-1910)

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Le Juge Wargrave
Ishigami le Dharma


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Les Rivières Pourpres

MessagePosté le: Sam Jan 19, 2019 8:54 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Hoel a écrit:

J'en ai lu à ce jour 45 sur 196, soit pas loin d'un quart (23%). Et je dois en avoir pas loin d'un autre quart pas encore lus (peut-être un peu moins).


A peine 9 pour ma part !
Pour les numérotés, 23 précisément.

Ce qui fait un pauvre total de 32 livres lus dans la Série Noire, alors qu'on arrive bientôt au 3000e... soit à peine 1,07% du total... ridicule.
Il va falloir que je remédie à cela.
Heureusement, j'ai une centaine de SN dans ma PAL (101 précisément).
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La vie ne devrait consister qu'à trouver les bons mots au bon moment. (Tété, Emma Stanton, 2003).
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Hoel
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Le Vol des Cigognes

MessagePosté le: Jeu Jan 31, 2019 2:32 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Tous les romans parus à la Série Noire sont officiellement dans la base à l'exception de 31 romans parus en 1955 et 1956 pour lesquels nous n'avons pas pu retrouver les résumés (pas de résumé, pas de fiche). Ils le sont même désormais avec le nom de leur traducteur/traductrice le cas échéant.
Ça fait quand même pas loin de 3000 titres rien qu'avec cette collection !
2941 titres parus à ce jour tout de même !

Un grand merci au Juge Wargrave pour cette collaboration de longue haleine et à l'incontournable Marco qui avait déjà ajouté un nombre impressionnant de ces titres !
Champagne !
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Le Serment des Limbes

MessagePosté le: Jeu Jan 31, 2019 3:19 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Pour les titres sans résumé, il est très probable qu'ils aient été publiés comme ça (sans résumé, justement - pendant longtemps beaucoup de titres de collections dites de "romans de gare" ne comportaient en 4e de couv' soit qu'un court extrait, comme le début d'une scène d'action par exemple, soit juste les titres déjà parus et/ou à paraître).
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Hoel
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Le Vol des Cigognes

MessagePosté le: Jeu Jan 31, 2019 3:25 pm    Sujet du message: Répondre en citant

C'est fort possible. Pour certains titres, nous avons traduit des résumés de l'anglais. Mais s'il s'agit d'un livre écrit en français et publié sans résumé, il n'y qu'en le lisant qu'on pourra en faire un résumé. Et des bouquins de 1955, c'est pas en librairie ou à la médiathèque qu'on va les trouver facilement.
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Le Juge Wargrave
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Les Rivières Pourpres

MessagePosté le: Jeu Jan 31, 2019 7:44 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Dès que j'aurai un peu plus de temps, je creuserai pour trouver les résumés en anglais des 31 titres manquants.
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Le Juge Wargrave
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MessagePosté le: Ven Mar 01, 2019 12:15 pm    Sujet du message: Répondre en citant



Résumé

Citation:
Que se passe-t-il lorsqu'une femme, son mari, son ex-mari et le collaborateur de celui-ci sont coincés dans une tempête de neige à la montagne ? En quelques heures, le camp de touristes se transforme en un terrible huis clos où les passions s'exacerbent et la mort rôde, tandis que la neige continue à s'amonceler...


Mon avis :

Citation:
Pete et Joe tiennent un chalet de montagne où ils accueillent des touristes venus chasser et pêcher. Une affaire qui marche bien.
Alors qu'une tempête de neige se prépare, Ed Kent, un homme richissime et client du duo, annonce son arrivée. Il vient avec sa femme, Marty.
Mais Marty n'est pas une inconnue pour Pete : c'est son ex-femme, qui l'a quitté il y a une dizaine d'années.
Voilà non pas un trio, mais un quatuor infernal qui se forme : le riche mari jaloux, l'ex-mari rancunier, la femme fatale, vénale et manipulatrice et enfin l'ami, Joe, très intéressé par cette dernière. Une situation explosive dont la tempête de neige qui sévit au-dehors empêche toute sortie.

Publié en 1937, ce court roman se lit très bien. L'auteur a su planter un décor et des personnages propices à une tension psychologique qui va aller crescendo. Un regret, cependant : la traduction de Max Morise de 1947 (n°5 de la Série noire) aurait besoin d'un sérieux rajeunissement. J'ai par ailleurs eu le sentiment que le texte souffrait d'ellipses, sans savoir si elles sont le fait de Don Tracy ou le résultat de coupes de la part de la Série noire que l'on sait peu regardante à l'époque sur ce genre de pratiques... Là encore, une nouvelle traduction, du texte intégral bien sûr, serait la bienvenue.
Car ce texte est d'une étonnante modernité et sans les quelques références au contexte de l'époque (la crise de 29 et ses effets principalement) l'on pourrait aisément imaginer qu'il se passe de nos jours.

Cela faisait longtemps que je voulais lire ce roman et il a été à la hauteur de mes espérances. Neiges d'antan fait partie des premiers suspenses psychologiques où le huis clos n'est pas imaginé comme un endroit duquel l'on doit résoudre une énigme (de type chambre close) mais comme un lieu où sentiments et émotions sont exacerbés. Une bien belle réussite.

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Le Vol des Cigognes

MessagePosté le: Ven Mar 01, 2019 1:15 pm    Sujet du message: Répondre en citant

De grandes chances qu'il y ait eu des passages d'escamotés.
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MessagePosté le: Ven Mar 01, 2019 1:18 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Oui probable car si j'en crois :

https://www.goodreads.com/book/show/18809840-last-year-s-snow

l'original fait 250 pages, celui de la Série noire (j'ai la version Folio Policier) seulement 185... Sad
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Le Juge Wargrave
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MessagePosté le: Mar Avr 23, 2019 4:49 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Le Juge Wargrave a écrit:


Citation:
La Série Noire est née durant l’été 1945. Marcel Duhamel l’a dirigée pendant trente-trois ans, au sein de la maison d’édition de Gaston et Claude Gallimard. Ami de longue date de Jacques Prévert et de Raymond Queneau, féru de littérature américaine, Marcel Duhamel s’est entièrement voué à cette passionnante et frénétique entreprise éditoriale, commencée modestement avant de devenir l’une des collections phares de la NRF. Bon marché et largement diffusée, la Série Noire a été accueillie à bras ouverts par les lecteurs français de l’après-guerre fascinés par l’Amérique, scène mythique de ces romans noirs rugueux et haletants, hérités des pulps et puissamment relayés par le cinéma. « C’est Duhamel qui a créé le genre avec sa Série Noire, a pourtant écrit Manchette. Duhamel a inventé la grande littérature morale de notre époque. Il faisait semblant de ne pas le savoir. » L’homme, professionnel tenace, n’était pas dogmatique ; sa collection ne l’a pas été plus que lui, trouvant, de son vivant comme à sa suite, les moyens de se réinventer ou de se réajuster, sans piétiner l’héritage.

Jamais un album n’avait été consacré à l’histoire éditoriale, commerciale et littéraire de cette collection emblématique, riche de quelque trois mille titres. L’anniversaire de ses soixante-dix ans offre l’occasion d’y remédier, en retraçant un parcours rythmé par la succession de quatre directeurs et par les métamorphoses d’un genre, porté par plusieurs générations d’auteurs – anglo-saxons, français puis du monde entier –, tous porteurs d’une certaine conscience de notre temps.

Trois cents documents, issus notamment des archives de la maison Gallimard, viennent ainsi illustrer des contributions inédites sur l’histoire de la Série Noire, d’hier à aujourd’hui.


Et ça sort le 13 novembre prochain !!! Very Happy


Mon avis :

Citation:
J'ai lu avec passion cet ouvrage destiné à célébrer les 70 ans de la Série Noire que j'ai découvert assez tardivement. L'approche est chronologique et plusieurs pages sont dédiées à des thèmes divers comme le projet "Série rouge" finalement abandonné, la "Série Noire et le cinéma" (passionnant) ou encore "La Série Noire et le roman noir américain", le tout agrémenté de nombreuses photos, documents d'époque, pièces d'archives (notamment p.190 à 239).

On y découvre la genèse de la SN avec, dès les années 1920-30, des collections comme "Les Chefs-d'oeuvre du roman feuilleton" (Gaston Leroux, Gustave Le Rouge...), "Les Chefs-d'oeuvre du roman d'aventures" (Van Dine, Edgar Wallace...), "Détective" (Gaston Boca, Raymond Fauchet, Noël Vindry, Ellery Queen, Earl Stanley Gardner, Leslie Charteris...) ou encore "Le Scarabée d'Or" (1936) avec notamment Rex Stout en fer de lance.
C'est en 1945, avec Marcel Duhamel à sa tête, que naît la Série Noire, marquéé tout d'abord par les deux anglais Peter Cheyney et James Hadley Chase. Dans une France marquée par la disette de romans noirs "américains" (écrits d'abord par des Anglais) durant la Seconde Guerre mondiale, le succès est au rendez-vous. Les 6 premiers titres (de 1945 à 1947) se vendent à 70 000 exemplaires.
1948 marque le "véritable lancement" (p.36) de la SN avec un rythme de parution plus élevé et des tirages plus importants. Le manifeste de la collection, signé Duhamel, date d'ailleurs de cette année-là.
Arrivent alors à la SN des auteurs mythiques comme James M. Cain, Raymond Chandler, Don Tracy... Le premier français publié (décembre 1948), Serge Arcouët, doit prendre le pseudonyme de Terry Stewart.
Face au succès, Gallimard lance une 2e collection, intitulée "Série Blême" (1949). Sensée accueillir les "suspense stories", avec un rythme d'une parution par mois, cette collection est un échec et est arrêtée deux ans plus tard, avec 22 titres au total (dont certaines seront republiés dans la S.N.).
Les années 1953-54 marquent la "percée des Français" avec Albert Simonin et son Touchez pas au Grisbi ! (meilleure vente de l'histoire de la SN avec 215 000 exemplaires vendus avant 1971), ou encore Auguste Le Breton et Dominique Ponchardier (avec sa série "Le Gorille").
Après 10 ans, la SN cartonnne : plus de 230 titres parus et 10 millions d'exemplaires vendus !
1959 marque l'entrée de l'auteur le plus prolifique jusqu'ici de la SN, Carter Brown (+ de 120 titres entre 1959 et 1974 !).
Les années 1960-70 sont marquées par une production quasi-industrielle avec la parution de 6 titres par mois. Un tirage moyen d'un titre de la SN se situe aux environs des 30 000 exemplaires par titre dans les années 60, 22 000 en 1978.
En 1977, Marcel Duhamel s'éteint, après 33 ans à la tête de la Série Noire, remplacé par Robert Soulat. Deux ans auparavant, la SN connaissait une crise importante avec 15 titres publiés en 1975 et seulement 5 en 1976.
La concurrence de la "Super Noire" en 1974 n'était pas pour rien dans cette crise (Super Noire qui s'arrêtera finalement en 1979 avec 134 titres parus).
Une partie fort intéressante est dédiée à la concurrence de la SN. En effet, pas moins de 35 collections de romans policiers et d'espionnage coexistent durant ces décennies, chez Calmann-Lévy, Denoël, Fayard, Fleuve Noir (Spécial Police, Engrenage, San Antonio), Lattès, Plon (SAS), Presses de la Cité, Rivages/Noir (1986), Rivages/Thriller, Oswald, Albin Michel (Spécial Suspense)...
Fin années 1970-début 1980, de nouveaux auteurs français intègrent la SN : Hervé Prudon, Joseph Bialot, Philippe Conil, Tito Topin, Jean-Paul Demure suivis par, en 1984-85 (années exceptionnelles !) Didier Daeninckx, Jean-Bernard Pouy, Marc Villard, Thierry Jonquet, Daniel Pennac !
En 1991, Robert Soulat est remplacé par Patrick Raynal (interview p. 134 à 142) qui abandonne la contrainte d'un nombre de pages maximum (jamais plus de 250 jusqu'ici, souvent aux alentours de 180) et contribue à l'arrivée d'auteurs venus du monde entier (et plus seulement français ou anglo-saxons). Il laisse à son tour la place à Aurélien Masson en 2005. En juin 2015, Le Dernier coup de Kenyatta de Donald Goines est le dernier SN numéroté (n°2743).

Que l'on soit amoureux de cette collection ou totalement novice, on ne peut ressortir indifférent de la lecture de cet ouvrage fascinant dédié à une collection mythique tout autant fascinante. Dire que j'ai adoré cette lecture est un euphémisme !

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El Marco
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MessagePosté le: Ven Juin 21, 2019 4:18 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Mes derniers achats en livres de la Série Noire :

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Le Juge Wargrave
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MessagePosté le: Mer Juin 26, 2019 4:24 pm    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai 94 SN dans ma PAL, sûrement quelques lectures à venir durant l'été...
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MessagePosté le: Ven Juil 19, 2019 10:26 pm    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai lu et bien apprécié



Résumé :

Citation:
Un môme de quinze ans, un gringalet abruti par la télévision, un laissé pour compte de la bénédiction matrimoniale : Papa parano et Maman nympho sur les bords. Je décidai d'intervenir, et pourtant ça ne me regardait pas. J'avais une furieuse envie de lui sauver la mise à ce petit paumé. Il fallait pour cela le débarrasser de ses parents, ces malhonnêtes, en s'y prenant d'une façon malhonnête. Le chantage, par exemple.


Mon avis :

Citation:
Boston. Le privé Spenser est contacté par une femme qui veut récupérer son fils, "kidnappé" par son père. Spenser accepte la mission, sans se douter qu'il va se prendre de compassion pour cet ado balloté entre ces deux parents, divorcés. Car le jeune Paul Giacomin ne compte pas ou si peu aux yeux de parents indignes, un père qui préfère le business (parfois louche d'ailleurs), une mère qui préfère les hommes...
Alors Spenser va faire le nécessaire pour faire de cet adolescent, qui n'a goût à rien, un homme.
Premier contact avec un roman de Robert B. Parker et son héros le privé Spenser. Lecture très plaisante, premier contact fort concluant. Il faut le dire, Spenser est un privé d'une grande humanité mais qui n'hésite pas à se servir de son physique musclé (l'homme pratique la musculation) pour régler certains soucis. Fidèle, féministe, faisant preuve d'altruisme, droit... bref on tient là un personnage fort attachant.
Sûr que je lirai un autre roman de la série !


J'ajoute que le choix du "je" dans la narration ajoute de la proximité avec le privé au grand coeur.
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Les Rivières Pourpres

MessagePosté le: Mar Juil 23, 2019 2:41 pm    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai lu



Résumé :

Citation:
Ils avaient vu leur cargo sombrer dans le golfe d'Aden. Seuls survivants isolés par la mousson, ils attendaient des secours problématiques. Mais le sultan Ali Yacquibi, prêt à tout pour sauvegarder un secret essentiel à la prospérité de son pays, avait juré que pas un d'entre eux n'en réchapperait. Le massacre devait se déclencher à l'aube...



Mon avis :

Citation:
1958, Golfe d'Aden. Le Cumbria, un cargo en perdition, fait naufrage au large d'un petit port de la côte somalienne, Sugulli.
Quelques rescapés occidentaux parviennent à rejoindre le village. Sur place, ils font la connaissance d'un carabinier italien, Dracopoli et d'un Américain, Harmer, ingénieur des mines qui fait de la prospection pétrolière dans le coin, jusqu'ici sans réussite. Le "coin" est dirigé par le sultan Ali Yacquibi, un homme dur, qui va mettre la main sur un rapport secret d'Harmer, rapport qui va mettre le feu au poudre et mettre grandement en péril les survivants du Cumbria, que tout le monde croit morts, par ailleurs.
Un récit d'aventures dont l'originalité principale réside dans le lieu de l'intrigue, la côte somalienne de la fin des années 1950, alors sous protectorat italien. Le reste est assez quelconque même si la scène du siège de l'hôtel est réussie. Je ne sais pas si le texte a été coupé (grande mode de l'époque à la Série Noire...) mais je trouve que le roman est un peu court (183 pages), que l'auteur ne prend pas le temps de développer psychologie des personnages et détails des lieux. Tout n'est qu'ébauché, c'est dommage.
Au final un roman qui devrait me marquer pour son lieu atypique mais dont je vais très probablement oublier assez rapidement l'histoire...

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MessagePosté le: Jeu Aoû 01, 2019 4:56 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Je continue ma lecture des Série Noire et notamment la série de Robert B. Parker dédiée au privé Spenser avec



(le titre en V.O. est bien meilleur "A Savage Place")


Résumé :

Citation:
Elle était belle, futée, orgueilleuse et journaliste. Elle menait une enquête dangereuse, dans le milieu des rackets cinématographiques, Los Angeles. Si dangereuse que la belle fit appel aux services de, l'ami Spenser comme garde du corps. Et Spenser se dé-brouilla de son mieux. Mais il ignorait qu'il fallait d'abord la protéger contre elle-même.




Mon avis :

Citation:
Sur fond de magouille entre studios de cinéma et mafia, la jeune Candy va tenter d'obtenir le scoop qui boostera sa carrière et permettra enfin à une femme de faire sa place dans un milieu journalistique très macho. Elle sera pour cela aidée du privé Spenser, qui quitte tout spécialement la côte Est et Boston pour jouer les gardes du corps auprès de la jeune journaliste. Mais Spenser suffira t-il à empêcher Candy de se fourrer dans de sales draps ?
Dans ce 8e tome de la série, on plonge dans les arcanes d'Hollywood, même si cela reste léger. Plus intéressante est la description de Los Angeles, ou encore la personnalité de Spenser, chevaleresque dans son rapport à la jeune Candy, rigoureux et efficace, mais jusqu'à quel point ?
J'ai un poil moins accroché à l'intrigue que pour le tome précédent mais je suis toujours aussi fan du privé Spenser !

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